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23 décembre 2020 3 23 /12 /décembre /2020 18:18

 

 

 Il avait été élu en 1944 après la libération de la ville de Claye-Souilly.

 

Une allée porte sans nom le long de la mairie.

André Benoist au milieu des pompiers (collection Godard)

André Benoist au milieu des pompiers (collection Godard)

 

               

 

 

Journal « La Croix de Seine et Marne » 15.1.1950

 

Un geste à imiter…

C’est celui de M. le Maire de Claye, tout dévoué aux vieillards déjà bien à l’honneur dans sa commune.

La veille de Noël, tous les vieillards valides répondirent à l’appel de leur maire, M. Benoist, pour recevoir de sa part un cadeau de Noël, brioche, orange etc… et surtout une belle part de porc, don personnel du maire aux 154 vieillards de la commune.

Des personnes dévouées avaient aidé à préparer ce beau cadeau de Noël, qui apporta un peu plus de joie et de …. chaleur aux anciens, puisqu’ils avaient bénéficié d’un sac de boulets, livré gratuitement.

Merci, Monsieur le Maire, pour votre beau geste. (l’Echo de la Beuveronne)

 

 

 

 

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22 décembre 2020 2 22 /12 /décembre /2020 19:54
CLAYE-SOUILLY : Félicitations pour ces décorations de Noël atypiques près de l'école Eugène Varlin
CLAYE-SOUILLY : Félicitations pour ces décorations de Noël atypiques près de l'école Eugène Varlin
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18 décembre 2020 5 18 /12 /décembre /2020 18:06

 

 

L’Observatoire Régionale de Santé vient de faire paraître :

FOCUS SANTÉ EN ÎLE-DE-FRANCE | DÉCEMBRE 2020

SURMORTALITÉ EN PÉRIODE DE COVID-19 EN ÎLE-DE-FRANCE

 https://www.ors-idf.org/fileadmin/DataStorageKit/ORS/Etudes/2020/surmortalite_12/ORS_FOCUS_Surmortacovid_vague2_cc.pdf

 

 

D'après une étude de l'Observation Régionale de Santé d'IDF Claye-Souilly  est la commune qui a eu la surmortalité la plus importante  en période de Covid 19 (mars/avril 2020) de la communauté d’Agglomération Roissy Pays de France (secteur Seine et Marne)

 

 

 

Carte ORS complétée par Adenca pour indiquer l'emplacement de la communauté d'agglomération Roissy Pays de France

Carte ORS complétée par Adenca pour indiquer l'emplacement de la communauté d'agglomération Roissy Pays de France

Carte ORS complétée par Adenca pour indiquer l'emplacement de la commune de  Claye-Souilly

Carte ORS complétée par Adenca pour indiquer l'emplacement de la commune de Claye-Souilly

Pour plus d’informations

nous vous conseillons de vous rapprocher de

Jean-Luc Servières

Maire de Claye-Souilly

et de vos conseillers municipaux

 

 

 

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18 décembre 2020 5 18 /12 /décembre /2020 16:25

 

 

Alors que la population est vent debout contre l’implantation d’un méthaniseur

 Valérie Pécresse alloue 500 000 € de subvention et l’ETAT (Ademe) 300 000 €  à :

VGBIO ERNERGIE 29 RUE DE Courtry 77 GUERARD

Président M Antoine GELDOF

Directeurs Généraux  M Philippe BLOMME, M Dominique VANWALLEGHEM

Coût de l’opération 5 480 900 €

 

De quelle sucrerie viendront les pulpes de betteraves ?

De quels silos viendront les déchets de silos de céréales ?

Les agriculteurs ne le disent pas.

 

 

La question du jour :

Considérez-vous que la Région IDF et l’ETAT

 gère bien votre argent

ou favorisent-t-ils

certaines catégories professionnelles ou détriment des autres  ?

 

pour aller plus loin :

subventions page 48 : https://www.iledefrance.fr/sites/default/files/medias/rapports/RAPCP2020-190DEL.pdf

        projet :https://vgbioenergie.fr/projet/

déclaration : https://www.seine-et-marne.gouv.fr/content/download/45468/336663/file/2020-03-11-VGBIO%20ENERGIE-FAREMOUTIERS-DECLARATION%20INITIALE-ICPE.pdf

 

Paru sur actu 77 :

Seine-et-Marne. Projet de méthanisation à Faremoutiers : la fronde gronde chez les habitants

Le projet d'installation d'un méthaniseur à Faremoutiers prévue en 2021 crée la polémique chez les habitants. Mais les porteurs de projet, eux, ne sont même pas sûrs qu'il se fasse

 

Par Ann Marie KornekPublié le 1 Oct 20 à 7:30 

« On a cherché des points positifs pour l’installation du méthaniseur, mais on n’en a pas trouvé », explique Maylis. Cela fait plusieurs années qu’elle vit à Faremoutiers avec sa famille, tout comme Stéphanie. Pour elles, la commune était l’endroit parfait pour élever leurs enfants, dans un cadre paisible.

Un méthaniseur au bout du jardin

Si elles sont mécontentes aujourd’hui, c’est que l’année prochaine, un méthaniseur devrait sortir de terre, entre la commune et le hameau des Bordes, à quelque 800 mètres de leurs maisons. Elles ont appris l’existence du projet presque par hasard, il y a environ deux mois. « Nous n’avons appris par une agente immobilière qu’un méthaniseur devrait se construire au bout de nos jardins », raconte Stéphanie.

L’annonce de la construction les a fait tomber des nues : « Nous avons eu aucune information de la mairie. Il a fallu que l’agente immobilière l’apprenne d’un potentiel acheteur pour nous prévenir à son tour ! ».

Lorsqu’elles ont contacté la mairie, cette dernière se serait déchargée de sa responsabilité dans le projet et ne proposerait pas non plus de réunion publique pour le présenter aux habitants : « Ils nous ont dit que ce n’est pas de leur ressort. On a l’impression que tout se fait en sous-marin », déplore Stéphanie.

« La mairie n’est pas porteuse du projet » – Nicolas Caux

À la mairie, cependant, on ne comprend pas vraiment l’affolement des habitants :

« Pour l'instant les agriculteurs ont uniquement déposé le projet. C'est trop anticipé de tirer la sonnette d'alarme. Il s'agit d'un projet privé, sur un terrain privé. À la mairie, on ne porte rien du tout, donc il n'y a pas de raison de tenir les habitants au courant dès maintenant. »

Nicolas Cauxmaire de Faremoutiers

Destin incertain

À l’origine du projet de méthaniseur se trouve la société VGBIO Énergie qui regroupe trois familles agricoles. D’après une délibération du conseil régional sur les subventions de futurs projets de méthaniseur en Île-de-France, « le projet est dimensionné sur un approvisionnement total de 10 830 t/an, composé de 67 % CIVE (cultures intermédiaires à vocation énergétique), de 23 % de pulpes de betterave, de 8 % issus de silos et de 1 % de déchets fruits et légumes. […] La production de digestat est d’environ 9 700 m3 /an, qui sera valorisé par épandage sur les terres des exploitants du projet. »

Toutefois, l’un des porteurs de projet, Antoine Geldof, affirme qu’il n’est même pas sûr que le projet va aboutir :

« Nous avons déposé le projet, mais il reste très flou à l'heure actuelle. Nous sommes en attente de savoir si le gouvernement passe un décret et un arrêté sur le biométhane qui pourrait être très pénalisant pour nous. »

Antoine Geldofagriculteur

Le décret dont il parle, voulu par le ministre de l’Economie Bruno Le Maire, porte sur une réforme du tarif d’achat du biométhane. D’après la revue numérique spécialisée « Actu Environnement », ce projet de décret prévoit une série de dispositions qui pourraient à terme menacer la rentabilité des méthaniseurs pour les petits agriculteurs et favoriser des projets industriels.

Parmi les plus grands perdants de cette réforme se trouveraient les méthaniseurs entre 100 à 200 Nm3/h (normo mètres cubes par heure, soit une mesure de quantité de gaz, N.D.L.R.). Or, à Faremoutiers, le débit moyen devrait se situer aux alentours de 123 Nm3/h, soit pile-poil dans la fourche.

« On veut jouer la carte de la transparence » – Antoine Geldof

Plus loin, Antoine Geldof souhaite rassurer les habitants :

« On veut jouer la carte de la transparence. Il est prévu de créer un site internet, d'échanger avec les habitants et même de visiter une unité de méthanisation. La sécurité du projet nous importe car un de nos associés vivra juste à côté du méthaniseur. Mais comme les choses sont encore très floues, on ne communique pas sur le projet à l'heure actuelle. »

Antoine Geldofporteur de projet

Une réunion sur ce sujet se tiendra jeudi 1er octobre à 20h dans la salle socio-culturelle de Faremoutiers. Le port du masque est obligatoire

 

https://actu.fr/ile-de-france/faremoutiers_77176/seine-et-marne-projet-de-methanisation-a-faremoutiers-la-fronde-gronde-chez-les-habitants_36459760.html

 

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17 décembre 2020 4 17 /12 /décembre /2020 18:55

Le sous préfet Nicolas Honoré n’a pas réuni cette commission de suivi de site ni en 2019, ni en 2020, alors que la législation l’oblige, ce que regrettent les associations.

 

Dans ce contexte particulier les dirigeants de la décharge Veolia de Claye-Souilly ont souhaité rencontrer les membres des associations de riverains et protection de l’environnement pour une réunion informelle afin de leur présenter les améliorations dans leurs conditions d’exploitation et de répondre aux questions que ces associations n’avaient pas pu poser depuis la dernière CSS qui s’était réunie il y a plus de 2 ans.

 

Une initiative qui a été appréciée par les associations qui ont attiré notamment l’attention de Veolia sur les odeurs récurrentes ressenties à certaines périodes de l’année.

 

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16 décembre 2020 3 16 /12 /décembre /2020 19:22

 

 

Jean-Luc Servières, nouveau maire de Claye-Souilly et adjoint à l’environnement dans la précédente municipalité ne veut plus d’aire de grand passage des gens du voyage sur sa commune.

 

Notre association avait l’attirer l’attention  sur l’intérêt environnemental du site qui accueillait depuis des années un projet pilote en Seine et Marne d’agroforesterie pour y développer des techniques de boisements limitant les pesticides, engrais….

 

Sur la parcelle concernée un programme de paillage sur merisiers et chênes y est mené.

 

Mais à ce moment là ni le maire Yves Albarello, ni son adjoint à l’environnement Jean-Luc Servières n’avait pris contact avec notre association pour obtenir plus amples informations.

 

Notre association avait rencontré l’élu de la CARPF, en charge de ce dossier, pour attirer son attention sur la qualité du site pour la protection de l’environnement.

 

Nous apprenons aujourd’hui que les nouveaux élus de Claye-Souilly ne veulent plus de cette aire de grands passages des gens du voyage qui devait s’étendre sur 4 hectares de ce site naturel consacré à  un projet pilote écologique.

 

La protection de l’environnement

sera-t-elle au centre

des projets des nouveaux élus ?

 

L’avenir nous le dira.

 

 

Réédition de notre article du 9 septembre 2019

 

La commune de Claye-Souilly se porte volontaire pour accueillir une aire de grand passage des gens du voyage

 

La CARPF (1)  recherchait une commune, sur son territoire du 77, qui accepterait d’accueillir une aire de grand passage des gens du voyage, Claye-Souilly est la seule commune qui ait accepté.

 

Cette aire, située aux monts gardés, sur un terrain de 4 à 5 hectares (la capacité de 6 à 7 terrains de foot) pourrait recevoir jusqu’à 200 caravanes.

Projet aire de grand passage des gens du voyage à l'endroit marqué d'une croix blanche

Projet aire de grand passage des gens du voyage à l'endroit marqué d'une croix blanche

Les divers travaux seraient pris en charge par votre communauté d’agglomération (CARPF) :

- aménagement d’un accès routier

- installation d’alimentation en eau potable

- installation électrique sécurisée, avec éclairage électrique à l’entrée

- dispositif de recueil des eaux usées

- un système permettant la récupération des toilettes individuelles ….

- l’installation sur l’aire ou à sa proximité immédiate de bennes pour les ordures ménagères

- un accès au service de la déchetterie et à la collecte des encombrants…..

 

La tarification serait calculée par caravane double essieu et pourrait faire l’objet d’un forfait par semaine.

agroforesterie

agroforesterie

Cette aire devrait s'implanter pour partie à la place d'un espace naturel dédié depuis 2003 à un projet pilote en Seine et Marne d’agroforesterie où Agnès Sourisseau y mène, en partenariat avec l’INRA, CEMAGREF… un programme de recherche pour y développer des techniques de boisements limitant les intrants (pesticides, engrais…).

 

Sur la parcelle concernée elle y mène un programme de paillage sur merisiers et chênes. http://www.les-monts-gardes.com/

 

Sur une parcelle voisine, actuellement en  prairie, la SNCF prévoyait de planter une haie de 500 mètres linéaires et une zone arbustive d’un hectare, une opération  qui devait s'étaler sur plusieurs années afin de permettre, entre autres, à la linotte mélodieuse, au lézard des murailles et à l’oedipose turquoise d’y retrouver un habitat approprié (dans le cadre d’une compensation CDG Express).

 (1)  (Communauté d’Agglomération reçoit Pays de France)

  

Pour tous renseignements complémentaires

nous vous conseillons

de vous rapprocher de :

Yves Albarello

Maire de Claye-Souilly 

Et de

Jean-Luc Servières

Vice président de la communauté d’agglomération CARPF

Et conseiller municipal de Claye-Souilly

 

 

pour aller plus loin :

https://actu.fr/ile-de-france/claye-souilly_77118/gens-du-voyage-la-mairie-annule-un-projet-d-aire-de-grand-passage_38145260.html

 

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15 décembre 2020 2 15 /12 /décembre /2020 21:01

 

Un captage qui n’est pas protégé, alors que la loi l’oblige depuis 1992.

Un captage qui ne possède pas de station d’alerte dans la Marne en amont.

Un captage qui ne possède pas de ressource d’eau de secours.

 

 

Déjà dans son rapport de 2014 la Cour des Comptes indiquait à la page 25

https://www.ccomptes.fr/sites/default/files/EzPublish/JF00141322_JF_INTERNET1.pdf

« La mise en place d’une ressource de secours en eau constitue une nécessité impérieuse pour l’agglomération meldoise

Dans le contexte meldois, la question de la protection du point de prélèvement d’eau est, par ailleurs, indissociable de celle de la constitution d’une ressource de secours. Celle-ci permettrait, en effet, de pallier un éventuel arrêt de l’usine consécutif à une pollution de la Marne, qui priverait l’agglomération meldoise de son unique source d’alimentation (la capacité de stockage en eau potable de la régie n’excédant pas une journée). »

 

 

Pour tous renseignements complémentaires

Nous vous conseillons de vous rapprocher de

Jean-François Copé

Qui est en charge de ce dossier depuis des années.

 

Pour aller plus loin :

http://adenca.over-blog.com/2020/11/protection-du-captage-d-eau-de-nanteuil-les-meaux-une-question-qui-fache-jean-francois-cope-4.html

http://adenca.over-blog.com/2020/12/protection-du-captage-d-eau-de-l-agglomeration-de-meaux-un-sujet-qui-fache-l-agence-regionale-de-sante-et-les-elus.html

 

 

Paru sur le site La Marne :

Pollution en cours sur la Marne à Meaux devant l'usine d'eau potable

Les pompiers sont en train d'intervenir au niveau de la station de pompage d'eau sur la Marne, juste au niveau de la station de captage d'eau. Aucune coupure d'eau n'est prévue.

L’usine de captage d’eaux de Meaux interrompt son captage pendant l’opération contre la pollution (©Google Street View).

Par Louis GohinPublié le 15 Déc 20 à 17:46 

 

Une pollution aux hydrocarbures a été découverte sur la Marne mardi 15 décembre, l’après-midi vers 15h30. Elle se situe en amont et en aval de la station de captage d’eau de Nanteuil-lès-Meaux.

 

La pollution de l’eau d’origine indéterminée à Nanteuil-lès-Meaux

Les pompiers sont en train d’intervenir. Ils ont posé un barrage flottant sur la Marne pour limiter la dispersion des hydrocarbures. La police fluviale est également sur place.

L’irisation, large tache d’hydrocarbures sur la rivière, mesure un kilomètre carré environ. L’origine de la pollution est indéterminée pour le moment,  selon les pompiers.

Selon la police, aucune coupure d’eau n’est à prévoir. L’usine a interrompu le captage pour la durée de l’intervention.

 

https://actu.fr/ile-de-france/nanteuil-les-meaux_77330/pollution-en-cours-sur-la-marne-a-meaux-devant-l-usine-d-eau-potable_38143377.html

 

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15 décembre 2020 2 15 /12 /décembre /2020 16:08

 

 

«  Un PPC (périmètre de protection des captages) est un dispositif rendu obligatoire par la loi sur l’eau du 3 janvier 1992 (article L-1321-2 du code de la santé public). Il constitue la limite de l’espace réservé réglementairement autour d’un captage utilisé pour l’alimentation en eau potable, après avis d’un hydrogéologue agréé.Ce périmètre vise à prévenir les risques de pollutions ponctuelles ou diffuses sur un point de prélèvement d’eau pour la consommation humaine. Ils sont rendus officiels par Déclaration d’Utilité Publique (DUP). »(sic 1)

 

 

Meaux est la plus importante ville de Seine et Marne mais son captage d’eau dans la Marne qui fournit près de 85 000 habitants en eau potable n’est toujours pas protégé.

 

 

Une réunion a eu lieu fin novembre dernier.

Qu’est-il ressorti de cette réunion ?

Dans quel délai la procédure de protection de ce captage sera réalisée ?

Pourquoi l’ARS ne fournit pas aux associations la copie de l’avis de 2009 de l’hydrogéologue agréé ?

 

 Nous n’en savons rien.

 

Pour mémoire l’usine BASF qui se trouve en amont proche de ce captage, a déversé en 2012 accidentellement 200 kgs de sulfate de magnésium dans la Marne, les pompiers sont intervenus et ont installé un ballon obturateur, l’usine de captage d’eau a dû être momentanément arrêtée.

 

Aujourd’hui se tenait la réunion CSS de l’usine Seveso à Hauts risques BASF Meaux, les représentants d’associations pensaient pouvoir obtenir des réponses à leurs questions concernant la protection du captage d’eau mais, ironie du sort, l’Agence Régionale de Santé n’avait envoyé aucun de ses représentants à cette réunion, bien que le sous préfet Nicolas Honoré les y ait invités.

 

 

L’Agence Régionale de Santé

préfère-t-elle

pratiquer la politique de la chaise vide

 plutôt que de répondre aux questionnements

des associations de riverains et de protection de l’environnement ?

 

Il serait temps que le Préfet Thierry Coudert se penche sur le lourd dossier de la protection de la ressource en eau car rien qu’au nord ouest 77 de nombreux captages d’eau  ne sont pas protégés, pour ne citer qu’eux : Charmentray (2), Marcilly, Juilly, St Soupplets, Forfry…..

 

Ironie du sort l’industriel Terzeo a même été autorisée le 11/2/2019 par la préfecture a exploité une décharge de déchets dangereux en amont des captages d’eau d’Isles les Villenoy et Condé Ste Libiaire, avant même que ceux-ci ne soient protégés, une aubaine pour l’industriel qui n’est pas tenu de respecter les contraintes imposées par l’arrêté de protection des captages pris en date du 10/11/2020.

 

  1. http://sigessn.brgm.fr/spip.php?article82

 

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14 décembre 2020 1 14 /12 /décembre /2020 14:12

 

Le stockage des déchets radioactifs TFA est interdit depuis la fin du 20ème siècle dans les décharges de déchets dangereux comme celle de Villeparisis mais cela pourrait bien changer.

 

Le nouveau plan déchets radioactifs est en cours d’élaboration (1) et les services de l’ETAT étudient sérieusement la question, car les décharges de l’ANDRA qui stockent ce type déchets radioactifs TFA sont presque à saturation en France, plutôt que d’en ouvrir de nouvelles il serait peut-être mieux de stocker les déchets radioactifs TFA issus du démantèlement des centrales nucléaires dans des décharges de déchets dangereux.

Villeparisis : pour rendre service si vous preniez un peu déchets radioactifs TFA issus du démantèlement des centrales nucléaires dans votre décharge ?

 

A la page 22 du rapport HCTISN l'association ROBIN DES BOIS indique son opposition au stockage de ce type de déchets radioactifs dans les décharges de déchets dangereux

Villeparisis : pour rendre service si vous preniez un peu déchets radioactifs TFA issus du démantèlement des centrales nucléaires dans votre décharge ?

 

La décharge de Villeparisis

dans le viseur

des services de l’ETAT

 

 

 En effet cette décharge a stocké des déchets radioactifs pendant un certain nombre d’années (2), déchets dont le stockage a été interdit à Villeparisis à la fin du 20 ème siècle.

 

Actuellement la décharge de Villeparisis est parmi les quelques décharges françaises autorisées à stocker des DRNR, déchets à radioactivité naturelle renforcée.

 

Ces 2 éléments pourraient pencher en faveur d’un nouveau stockage de déchets radioactifs TFA dans la décharge de Villeparisis.

 

 

Pour tous renseignements complémentaires

Nous vous conseillons de vous rapprocher de

Frédéric BOUCHE

Maire de Villeparisis

 

 

(1) http://www.concertation-pngmdr.fr/thematiques/gestion-dechets-tres-faible-activite

(2) https://inventaire.andra.fr/les-matieres-et-dechets-radioactifs/dechets-ayant-fait-lobjet-de-mode-de-gestion-historique/1-les

 

 

 

 

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13 décembre 2020 7 13 /12 /décembre /2020 19:03

 

 

Pour compléter l’article de France Bleu du 11/12/2020

 

Le maire de Vaujours et deux ex-collaborateurs suspectés d'être mêlés à un trafic d'enfouissement des déchets

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/le-maire-de-vaujours-93-suspecte-d-etre-mele-a-un-trafic-d-enfouissement-de-dechets-pollues-1607708120

 

 

Réédition de notre article du 8/11/2018

 

De Vaujours à Claye-Souilly, en passant par Villeparisis : des décharges illégales gérées par des entreprises qui sont toutes en liquidation judiciaire !

 

Paru dans le Parisien 93 :

Vaujours : des milliers de m3 de gravats très embarrassants

>Île-de-France & Oise>Seine-Saint-Denis|Sébastien Thomas|17 septembre 2018, 18h59|

 Le maire et ses opposants bataillent toujours autour de 80 000 m3 de terre d’origine inconnue.

 Décidément, Dominique Bailly, maire (LR) de Vaujours, ne sait plus trop quoi faire des 80 000 m3 de terre qu'il a fait déposer illégalement sur ...

http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/vaujours-des-milliers-de-m3-de-gravats-tres-embarrassants-17-09-2018-7892178.php

 

C’est sur un terrain situé au lieudit le Pré des Saules que 80 000 m3 de gravats ont été déversés en 2015 avec l’autorisation de Dominique Bailly, maire de Vaujours

 

Une pétition a recueilli 11 000 signatures sur le site Change.org.

 https://www.change.org/p/mairie-de-vaujours-responsable-du-d%C3%A9versement-de-d%C3%A9chets-de-b%C3%A2timents-p%C3%A9tition-pour-la-remise-en-%C3%A9tat-du-pr%C3%A9-aux-saules

 

Sur cette pétition on peut lire que c’est la sté  JFC, gérée par Hassan Yabanci qui a déversé des gravats sur un terrain de 3 hectares appartenant pour partie à la commune de Vaujours au lieudit le Pré aux Saules, une société qui depuis a été mise en liquidation judiciaire en 2016.

 

Par jugement le tribunal administratif de Montreuil de 2017 la commune de Vaujours a été obligée de remettre en état le site et c’est  en toute discrétion fin juillet 2018 qu’une partie des gravats a été transférée sur un terrain municipal, le long de la D84, à proximité d’une fourrière, terrain cultivé par Michel Legrand, un agriculteur de Villeparisis, qui semble-t-il l’exploitait sans autorisation écrite.

 

Michel Legrand, un agriculteur bien connu de la PJ de Bobigny pour avoir autorisé en 2013/2014  l’entreprise RTR Environnement à déverser des déchets sur les terres agricoles de 1,8 hectares qu’il exploitait à Villeparisis au bord de l’A 104, l’affaire appelée « Les décharges sauvages du « clan des Hornec » par le Journal du Dimanche. (voir article plus bas). Depuis RTR Environnement, gérée par Habib Ben M’Hamed a été mise en liquidation judiciaire en 2016.

 

A Claye-Souilly Michel Legrand qui exploitait 37 hectares au lieudit « La Prée » avait également laissé s’y installer une monstrueuse décharge illégale, pendant 2 ans ½, gérée par « Les Remblais Paysagers », une entreprise mise en liquidation judiciaire en 2008, entreprise qui avait été gérée par Gérard Balland (actuel maire de Nonville 77) puis par Pascal Balland.

http://www.leparisien.fr/annet-sur-marne-77410/la-ville-veut-en-finir-avec-la-decharge-sauvage-de-la-pree-16-03-2009-443847.php

http://adenca.over-blog.com/article-achat-des-terrains-de-l-ancienne-decharge-illegale-les-remblais-paysagers-un-cadeau-empoissonn-115828239.html

Paru dans le Journal du Dimanche :

Les décharges sauvages du "clan Hornec"

 16h44 , le 9 mars 2014, modifié à 12h50 , le 20 juin 2017

Paru dans leJDD

Scandale environnemental aux portes de Paris sur fond de banditisme. Un business lucratif où amiante et bitumes étaient lâchés en pleine nature

Nous ne sommes pas dans la région de Naples, sur les terres polluées par la Camorra, mais bien en Île-de-France, aux confins de la Seine-Saint-Denis et de la Seine-et-Marne. Et pourtant cinq suspects, parmi lesquels un agriculteur, un chef d'entreprise et trois figures du grand banditisme francilien, ont été mis en examen ces derniers jours, notamment pour dépôt illégal de déchets en bande organisée.

De l'amiante, des bitumes… Les gravats, déversés par tonnes depuis deux ans sur un terrain agricole de 18.000 m² en bordure de la Francilienne, sur la commune de Ville-parisis (Seine-et-Marne), auraient dû être stockés dans une installation classée, et donc payante. Et sans un renseignement anonyme transmis en juin dernier à la PJ de Seine-Saint-Denis, qui désignait le clan Hornec derrière les agissements de la société RTR Groupe environnement, pas sûr que les pouvoirs publics auraient réagi aussi vite pour faire cesser ce scandale écologique à moins de 30 km du centre de Paris.

Séjour en Corse en jet privé

Hornec : depuis plus de vingt ans, la saga de cette célèbre famille de Gitans sédentarisés de Montreuil (Seine-Saint-Denis) alimente la chronique judiciaire. Au point que Jean-Claude, Mario et Marc, les trois frères "H", appuyés par leurs enfants, cousins et neveux, ont longtemps été considérés comme les vrais patrons du milieu parisien. Après les meurtres, braquages, rackets, vols, machines à sous, "saucissonnages" et autres trafics de voitures volées ou de stupéfiants, les activités du clan se seraient donc élargies au lucratif business des déchets. Un remake des Soprano – série américaine narrant les aventures d'un clan mafieux du New Jersey dont la gestion des déchets sert de couverture – à la sauce Hornec?

En examinant les comptes de la société RTR Groupe environnement enregistrée en mai 2012, les policiers vont aller de surprise en surprise : un directeur général cité dans des dossiers liés au grand banditisme ; un employé présumé fictif nommé Loune Hornec ; d'importants retraits en liquide à l'étranger (Espagne, Maroc, Italie…) ; des dépenses somptuaires en produits de luxe, notes de restaurant, nuits d'hôtel et factures de cercle de jeux ; une pluie de chèques au profit de proches de la famille Hornec…

Côté rentrées d'argent, tout va bien. Près de 2 millions d'euros ont été crédités en un peu plus d'un an. Ils proviennent à 75% d'une société de transport spécialisée dans l'évacuation de chantiers du BTP, Vitrans SA, basée à Charny (Seine-et-Marne). Son président s'appelle Laurent Auguste. En s'intéressant à son téléphone, les enquêteurs s'aperçoivent qu'il a séjourné en Corse début juin 2013, aux mêmes dates que Loune Hornec et Habib Ben M'Hamed, le directeur de RTR groupe environnement, eux aussi trahis par leurs portables. Renseignements pris, la facture du jet privé – de l'ordre de 50.000 € – a été prise en charge par Vitrans.

Loin du maquis et des plages corses, les camions ne chôment pas à Villeparisis. "C'était un ballet permanent! On a vu passer des trucs bizarres, des gravats, du béton, explique Mireille Lopez, de l'Adenca (Association de défense de l'environnement de Claye-Souilly et ses alentours). Nous avons alerté les services de l'État. Le site a été fermé un temps puis c'est reparti de plus belle. Nous sommes inquiets à cause des eaux de ruissellement, surtout s'il y a effectivement de l'amiante. Nous sommes tout proches du plus important point de captage d'eau potable de Seine-et-Marne!" Sollicitée vendredi par le JDD, la préfecture de Seine-et-Marne n'a pas donné suite.

Des écoutes téléphoniques "accablantes"

Le propriétaire du terrain, ­Michel Legrand, a, lui, reçu environ 140.000 euros de la part de RTR Groupe environnement. Un juste paiement pour accueillir, illégalement, les déchets sur ses terres ? Pour les policiers, ces chèques s'apparentent plus à des prêts – destinés à faire face à des dettes – que l'agriculteur finira par rembourser… en cédant l'une de ses activités à RTR. Selon une source proche de l'enquête, les écoutes téléphoniques seraient "accablantes", notamment pour Jean-Claude Hornec. Les policiers sont par ailleurs à la recherche d'un second site d'enfouissement et cherchent à établir une autre tentative d'extorsion au préjudice du propriétaire d'une carrière à Gagny (Seine-Saint-Denis) "en dette" avec les Hornec.

Deux juges d'instruction ont été cosaisis dans ce dossier qui pourrait connaître plusieurs développements. Un premier sur un soupçon de fraude fiscale basée sur un carrousel de TVA. Un second plus politique car la société Vitrans avait accès aux marchés publics. Or, comme le stipule le code de l'environnement, "tout producteur ou détenteur de déchets est responsable de la gestion de ces déchets jusqu'à leur élimination ou valorisation finale, même lorsque le déchet est transféré à des fins de traitement à un tiers".

https://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Les-decharges-sauvages-du-clan-Hornec-656349

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