ADENCA
Association de Défense de l'ENvironnement de Claye-Souilly et ses Alentours
"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le
mal,
mais par ceux qui les regardent agir et qui refusent d'intervenir."
Albert Einstein
Acheter déjà un vélo
les pistes cyclables on verra plus tard !
Plutôt que d’utiliser l’argent public pour implanter des pistes cyclables pour relier les villages ruraux du nord 77, l’élu du sud 77 Patrick Septiers décide d’aider à l’organisation d’un salon dans la base de loisirs de Jablines, pour favoriser, semble-t-il, le commerce du vélo.
paru dans Mag journal 77 :
Seine-et-Marne ► Vélo en Grand : le Département signe une convention
Écrit par Rédaction
Communiqué du Département de Seine-et-Marne, jeudi 21 janvier -
Patrick Septiers, président du Département de Seine-et-Marne, et Christophe Jobic, directeur général de Chlorobike, ont signé, jeudi matin, à Melun, la convention pluriannuelle de « Vélo en Grand ». Le plus grand rendez-vous des fabricants et amateurs de vélo se tiendra du 17 au 19 septembre, sur l’île de loisirs de Jablines-Annet, site support de Paris 2024.
C’est un véritable salon du vélo urbain et un centre d’essai unique en France qui prendra place durant trois jours. Ouvert au grand public, Vélo en Grand propose de découvrir et de tester des milliers de vélos sur les 450 hectares de l’espace naturel de la base de loisirs de Jablines-Annet. Urbains, électriques, pliants, cargos, gravel, de voyage ou nature, tous les types de vélos seront présents.
Vélo en Grand incarne l’engouement des Français pour le vélo et témoigne de la volonté du Département de s’inscrire avec sa marque d’attractivité « Vivre en Grand ! » comme une destination pour contribuer à améliorer le moral, la santé et l’environnement de tous.
La programmation offrira des randonnées thématiques accessibles à tous et des épreuves sportives destinées aux disciplines Route et Gravel, ainsi que des compétitions internationales de cyclo-cross et de MTB Eliminator.
Aujourd’hui s’est réuni la CSS de la décharge Suez Villeparisis.
En 2019 la décharge a reçu plus de déchets provenant du Nord (10.18 %), du Pas de Calais (7.80 %), de Paris (15.90 %), des Hauts de Seine (8.6 %)… que de la Seine et Marne.
Pour mémoire c’est au titre de la solidarité inter régionale que les Hauts de France, qui ne souhaitent pas implanter de décharge de déchets dangereux sur leur territoire, les envoient à Villeparisis.
Une manque de transparence ?
A vous de juger
Les associations attendent des réponses :
Le rejet des eaux pluviales dans le réseau communal de Villeparisis
Un sujet qui fâche ?
En effet depuis des années Suez rejette ses eaux pluviales dans le réseau communal de Villeparisis sans y être autorisé alors qu’en cas de fortes pluies certains quartiers de Villeparisis subissent d’importantes inondations.
Pourtant l’arrêté préfectoral de 2020 à l’article 5.8.2.1 page 22 impose à Suez que :
C’est avec la communauté d’agglomération CARPF que Suez doit donc signer cette convention mais Suez dit vouloir signer une convention avec le conseil départemental (ARD) car son réseau d’eaux pluviales est raccordé sur ce réseau ARD. Une situation bien embrouillée qui inquiète les associations.
Un sujet qui semble fâcher Xavier Vanderbise, le vice-président du CD77, qui a pris à partie la représentante d’une association trouvant qu’elle avait posé assez de questions, il est vrai que l’élu qui cumule les mandats avait probablement autre chose à faire que d’écouter les demandes des riverains et associations de protection de l’environnement.
Suez est autorisé a exploité à Villeparisis jusqu’à avril 2025, qu’en sera-t-il ensuite, l’industriel va-t-il acquérir des terrains alentours pour s’étendre ?
L’avenir nous le dira……
ESBLY
Vue sur le Grand Morin
LES ARCHES DU PONT CANAL DE CHALIFERT
SOUS LES EAUX
RIVE GAUCHE
COMPARAISON ENTRE LE 12/9/2020 ET LE 24/1/2021
ESBLY
Vue sur le Grand Morin
LES ARCHES DU PONT CANAL DE CHALIFERT
SOUS LES EAUX
RIVE DROITE
On en sont les promesses du gouvernement ?
A partir de maintenant c’est comme d’habitude ?
Pas d’augmentation des effectifs des ingénieurs de la DRIEE en charge de ce secteur :
Sur 4 ingénieurs en charge du secteur Mitry-Compans/Torcy :
2 sont en formation, 1 est en arrêt jusqu’à juin prochain !
Pas d’informations supplémentaires pour les populations en cas de sinistre :
Pour l’instant aucune modification.
Mais en projet : prévenir par téléphone les personnes possédant un téléphone portable dernière génération.
Un « projet » de contrôles des entreprises voisines des sites SEVESO
qui n'ont jamais été contrôlées par les services de la DRIEE
dans les 2 ans à venir.
mais pour ce faire il faudrait renforcer les effectifs de la DRIEE.
Pour mémoire certaines petites entreprises ne sont jamais contrôlées pendant toutes la durée de leur activité par les services de la DRIEE à qui l’ETAT ne donne pas les moyens humains de le faire.
23/1/2021
CONDE STE LIBIAIRE
Vue sur le Grand Morin
Les détritus bloqués par le pont canal de Chalifert
LES ARCHES DU PONT CANAL DE CHALIFERT
SOUS LES EAUX
RIVE GAUCHE
CONDE STE LIBIAIRE
Vue sur le Grand Morin
PONT CANAL DE CHALIFERT
RIVE DROITE
COMPARAISON ENTRE LE 29/8/2020 ET LE 23/1/2021
Les membres de la commission CSS avaient été désagréablement surpris d’apprendre par la presse l’incident de BASF sans que la préfecture ne les informe.
Le sous-préfet Nicolas Honoré leur a adressé ce jour une note dans laquelle il les informe qu’il n’y a eu ni pollution de l’air, ni de l’eau. Un compte-rendu plus détaillé leur sera présenté lors de la prochaine CSS.
Paru sur le site « La Marne » :
Incident à l'usine BASF de Meaux jeudi 7 janvier : une personne hospitalisée
Les pompiers sont intervenus dans la soirée du jeudi 7 janvier et ont résolu l'incident sans gravité. Un salarié a été légèrement intoxiqué, il semble être hors de danger.
Les pompiers ont résolu l’incident à l’usine BASF de Meaux, jeudi 7 janvier (©Illustration Actu.fr).
Par Louis GohinPublié le 8 Jan 21 à 11:00
Un incident est survenu dans l’usine BASF de Meaux, jeudi 7 janvier à 17h55. Une personne a été hospitalisée, les pompiers ont mis l’usine hors de danger dans la soirée.
Le problème était une fuite de souffre liquide enflammé qui alimente un réacteur chimique.
Un salarié hospitalisé à Meaux après l’incident de l’usine BASF
Il ne s’agit visiblement pas d’un incident grave : le plan particulier d’intervention n’a pas été déclenché. Ce type de plan est déclenché en cas d’incident grave et permet à la préfecture de prendre la direction des opérations pour résoudre l’incident.
Dans le cas présent, seul un plan d’opération interne a été déclenché. L’usine a fait appel aux pompiers, qui ont établi un périmètre d’exclusion avec le service interne de sécurité incendie de l’usine. Une lance a été utilisée pour éteindre le foyer et une autre pour refroidir les installations.
Un salarié a été transporté au centre hospitalier de Meaux après avoir respiré des matières dégagées par la combustion. Son état était sans gravité. Vendredi 8 janvier à 10h, l’usine BASF déclare qu’il est sorti de l’hôpital et qu’il se porte bien.
Le danger est écarté
Lors de l’intervention jeudi 7, quatre autres salariés ont été pris en charge sur place par les pompiers, qui n’ont pas eu besoin de les emmener à l’hôpital.
Les pompiers ont ensuite fait des mesures pour évaluer le risque d’explosion. Au terme de l’opération, vers 22h, les pompiers ont relevé une concentration de polluants inférieure au seuil de détection. Ils en ont conclu que le danger était écarté.
BASF affirme que l’incident n’a causé aucune pollution dans la Marne.
Durant cette opération, toutes les eaux incendies ont été bloquées au niveau du site et n’ont donc pas eu d‘incidence sur la Marne.
BASF
Les causes de l’incident sont encore floues
L’incident, explique BASF, est survenu dans l’atelier de l’usine.
Les causes de cet accident ne sont pas encore connues mais compte-tenu des dégâts dans l’atelier, cela aura vraisemblablement un impact important sur la production du site.
BASF
L’entreprise annonce qu’une enquête va être faite pour identifier les causes du sinistre.
Un autre incendie beaucoup plus important était survenu dans un entrepôt voisin de l’usine en juillet 2020.
Paru dans le journal de l’Environnement :
Affaire du siècle : la rapporteure publique reconnaît une carence de l’Etat
https://www.journaldelenvironnement.net/article/affaire-du-siecle-la-rapporteure-publique-reconnait-une-carence-de-l-etat,113198
Le 14 janvier 2021 par Stéphanie Senet
Ce recours climatique est porté par Greenpeace, Oxfam, FNH et NAT
Lors de l’audience qui s’est tenue ce 14 janvier au tribunal administratif de Paris, la rapporteure publique a reconnu la carence fautive de l’Etat à respecter ses objectifs climatiques mais a rejeté la demande de réparation du préjudice écologique.
Près de deux ans après le dépôt de leur recours au tribunal administratif de Paris, les 4 ONG réunies autour de l’Affaire du siècle –Fondation Nicolas Hulot, Oxfam, Greenpeace et Notre affaire à tous- ont obtenu un signal favorable de la rapporteure publique. Celle-ci a conclu, lors de l’audience, qu’il y a bien «une faute de l’Etat à n’avoir pas respecté sa trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre».
La magistrate, dont les conclusions ne seront pas forcément suivies par le tribunal, s’appuie sur la décision prononcée le 19 novembre dernier par la plus haute juridiction administrative.
LES LEÇONS DU RECOURS DE GRANDE-SYNTHE
Dans le cadre d’un autre recours climatique –pour excès de pouvoir et demande d’injonction formé par la commune de Grande-Synthe- le Conseil d’Etat avait en effet rappelé à l’Etat, sa responsabilité à tenir, dans les délais, l’objectif climatique d’une réduction de 40% des émissions de GES en 2030 et lui avait demandé des comptes sur la façon dont il comptait y parvenir alors qu’il a relevé, le 21 avril 2020, le plafond du dernier budget carbone 2019-2023. Entre-temps, l’objectif a d’ailleurs été relevé à 55% en 2030 au sein de l’UE. La réponse du gouvernement français est attendue au plus tard le 19 février 2021. Le Conseil d’Etat peut ensuite condamner l’Etat à prendre des mesures complémentaires.
Dans cette lignée, la rapporteure publique du tribunal administratif de Paris a estimé que «la méconnaissance du premier budget carbone 2015-2018 suffit à constater une faute de l’Etat». «La carence de l’Etat à prendre des mesures pour respecter la trajectoire qu’il s’est fixée contribue à l’aggravation du préjudice en cours», a-t-elle poursuivi.
PAS DE RÉPARATION DU PRÉJUDICE ÉCOLOGIQUE
En revanche, elle a estimé que les ONG requérantes n’avaient pas démontré que les objectifs climatiques étaient eux-mêmes insuffisants et n’a pas reconnu la carence de l’Etat quant au niveau des objectifs fixés au niveau national.
Si elle a demandé à l’Etat de verser un euro symbolique en réparation du préjudice moral de trois associations (Oxfam, Greenpeace et FNH[1]), elle a revanche rejeté la réparation du préjudice écologique. "La nature profonde de notre action, ce n'est pas de faire condamner l'Etat mais de faire agir l'Etat", a rappelé Cécile Dufflot, directrice générale d'Oxfam.
L’Affaire du siècle s’appuie sur une pétition signée par 2,3 millions de citoyens. Un record en France. Le mouvement a été rejoint, en juin dernier, par trois nouvelles associations, la Fédération nationale d’agriculture biologique (Fnab), la Fondation Abbé Pierre et France Nature Environnement, ainsi qu’en septembre par l’association Anper-Tos[2].
Aussi attendu que la prochaine décision du Conseil d’Etat, le jugement du tribunal administratif doit être rendu dans les 15 jours.
[1] L’association Notre affaire à tous est trop récente
[2] Association nationale pour la protection des eaux et rivières, Truites, Ombres, Saumons
Les universités pour le sud 77 et les ordures pour le nord
Comme le disait un ancien président du CD 77 :
« Il faut faire des déchets une manne économique et non une contrainte.»
La manne économique des déchets pour qui ?
Pour financer des projets au sud 77 comme celui de la nouvelle université à Fontainebleau pour laquelle le conseil départemental va allouer 2 millions d’euros de subvention ?
On ne va tout de même pas implanter une université au milieu des décharges et d’une population avec un niveau de qualification globalement plus faible que la moyenne ?
Voir ce que disait Terzeo dans son étude d’impact page 192 :
http://webissimo.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/4-9-ei-tz_juin_2016_cle0457d4.pdf
La question du jour :
Considérez-vous que l’ETAT et le Conseil Départemental 77
gère bien votre argent
ou favorisent-t-ils
certains secteurs au détriment d'autres ?
Paru sur actu 77 :
Fontainebleau. Les premiers étudiants du futur campus universitaire arriveront en septembre
400 premiers étudiants de l’UPEC feront leur rentrée à Fontainebleau en septembre. Les travaux de la caserne Damesme vont commencer en février.
Par Yoann VallierPublié le 15 Jan 21 à 16:02
Un sacré coup d’accélérateur : cette semaine, le président de l’université Paris-Est Créteil Jean-Luc Dubois-Randé était à Fontainebleau, en compagnie de la sous-préfète Véronique Solère pour visiter une nouvelle fois la caserne Damesme, qui va accueillir le futur campus universitaire. Et la visite a abouti à du concret : « tout le stade de l’université a validé l’idée d’insérer dans Parcoursupp les deux filières concernées. Cela acte de manière l’implantation sur notre futur campus », se réjouit le maire Frédéric Valletoux.
Concrètement, ce sont 400 premiers étudiants qui poseront leurs valises à Fontainebleau : les premières années de licence et les Masters de l’Institut international d’Etudes Politiques.
Les Mines vont donner un coup de main
Un projet qui va donc s’accompagner sur le site, qui vont pouvoir démarrer en février, la ville ayant signé le permis de construire : « 12 salles de 60 places vont être construites, ainsi qu’une grande de 150. Il y aura aussi le lieu de vie pour les professeurs et les étudiants ». Un chantier lourd, qui sera largement financé par les 3,4 millions d’euros de l’Etat et les 2 millions du Département.
Mais en sept mois, il n’est pas certain que tout soit prêt pour accueillir les 400 étudiants : « nous avons discuté avec le nouveau responsable de l’antenne Bellifontaine de l’Ecole des Mines Xavier Caillard, qui est prêt à nouer un partenariat et nous mettre à disposition des locaux de cours dès septembre, pour que la rentrée puisse se faire. La ville fera de même si besoin, on va trouver des solutions ».
Voici donc posées les premières bases de ce virage majeur pour la ville, chaque rentrée de septembre étant appelée à venir allonger la liste des étudiants du campus. Et comme la caserne ne sera pas intégralement dédiée au campus, la ville prévoit de présenter dans le courant de l’année ses choix d’aménagements, entre logements, bureaux et commerces.
Yoann VALLIER