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8 octobre 2023 7 08 /10 /octobre /2023 11:39
St Mesmes, rue de Charny : irrigation du gazon le 7 octobre vers 16 heures

St Mesmes, rue de Charny : irrigation du gazon le 7 octobre vers 16 heures

 

Alors que l’ETAT demande à la population de restreindre sa consommation d’eau, il semblerait qu’au Nord 77 certains agriculteurs ne se préoccupent pas beaucoup de la préservation de la ressource en eau, après Rouvres et Marchémoret c’est aujourd’hui un agriculteur de St Mesmes qui arrose la route en pleine période de sécheresse.

 

Cet agriculteur cultive du gazon, qu’il découpe ensuite en plaques pour le vendre. Pour faire pousser ce gazon en période de sécheresse il lui faut irriguer très régulièrement.

 

Certains agriculteurs prennent soin de placer leur arroseur de façon à ne pas arroser la route, mais cet exploitant de gazon de St Mesmes  ne semble pas s'être préoccupé de ce problème ce samedi 7 octobre, puisqu'il semblerait d’ailleurs qu’une partie de l’eau prévue pour l’irrigation se déversait sur la rue de Charny depuis un petit moment car elle coulait le long des fossés.

 

Il est vrai que l’eau de forage ne coûte pas chère aux agriculteurs, alors pourquoi s’en priver ?

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5 octobre 2023 4 05 /10 /octobre /2023 17:23
MEGABASSINES : communiqué de le Confédération Paysanne
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16 février 2023 4 16 /02 /février /2023 12:34

 

 

 

Paru sur le site Générations Futures :

 

 

Agriculteurs condamnés pour l'utilisation de pesticides interdits !
Agriculteurs condamnés pour l'utilisation de pesticides interdits !
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25 janvier 2023 3 25 /01 /janvier /2023 20:23

 

 

Paru sur le site Générations Futures

 

 

 

La France renonce à accorder une dérogation aux betteraviers
La France renonce à accorder une dérogation aux betteraviers
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24 juillet 2022 7 24 /07 /juillet /2022 11:11

 

 

 

Un exemple à suivre

 

Puisque les agriculteurs de la Somme peuvent le faire

pourquoi

les agriculteurs de Seine et Marne ne le feraient pas ?

 

 

Près de ST VALERY SUR SOMME en juin dernier

Près de ST VALERY SUR SOMME en juin dernier

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5 juillet 2022 2 05 /07 /juillet /2022 11:22
CARICATURE HUMORISTIQUE
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17 mai 2022 2 17 /05 /mai /2022 11:49
Arrosage en plein mois d'août  de CIVE Cultures pour nourrir le méthaniseur

Arrosage en plein mois d'août de CIVE Cultures pour nourrir le méthaniseur

 

Les champs couverts de céréales pour nourrir les méthaniseurs commencent à s’imposer au nord 77 au détriment des champs de blé qui nourrissent la population.

 

Il faut bien comprendre que Valérie Pécresse et Emmanuel Macron ont encouragé les agriculteurs à implanter ces usines à gaz (méthaniseur) notamment sur une grande partie du nord 77 en leur versant des subventions importantes, environ 800 000 € par méthaniseur.

Les agriculteurs ont même le droit d’utiliser une partie de leurs champs pour ne produire toute l’année que des céréales qui serviront à nourrir les méthaniseurs.

 

 

Va-t-on devoir choisir entre le blé pour se nourrir

ou le gaz pour se chauffer ?

 

Vu les cours du blé qui explosent certains agriculteurs qui ont investis dans un méthaniseur commencent à se poser la question de savoir si c’était vraiment un bon investissement et s’ils n’auraient pas dû continuer comme leurs ancêtres à concentrer leur activité sur les cultures nourricières pour la population.

 

Il est trop tard pour revenir en arrière, la France qui vendait du blé à l’étranger va-t-elle devenir maintenant dépendante de la Russie ou des Etats Unis… à cause du choix de nos élus qui ont trop encouragé la méthanisation.

 

L’avenir nous le dira……

 

Ces champs de Blé qui disparaissent de nos paysages

Ces champs de Blé qui disparaissent de nos paysages

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26 avril 2022 2 26 /04 /avril /2022 17:23

 

 

Paru sur le site de la Confédération Paysanne :

 

 

MOBILISATIONS

DÉBLAIS ISSUS DES CHANTIERS DU GRAND PARIS

 

 

DÉBLAIS ISSUS DES CHANTIERS DU GRAND PARIS

 

Les champs de la grande couronne ne doivent pas servir de décharge aux chantiers du Grand Paris !
 

La Confédération paysanne Île-de-France appelle les paysannes et les paysans ainsi que tous les franciliens à se mobiliser pour que les champs de la grande couronne ne servent pas de décharge aux chantiers du Grand Paris.

Dès le printemps 2019, la Confédération paysanne Île-de-France s'était mobilisée contre un chantier d'enfouissement sur une parcelle agricole sur la commune d'Avrainville au nord d'Etampes. La parcelle a été saccagée avec des déblais dit inertes (mais des photos témoignent de la présence de métaux et plastiques) puis remise en culture.

Aujourd'hui des cas similaires nous sont rapportés partout en région, c'est maintenant qu'il faut dire stop au saccage des terres agricoles !

Pour être mis en lien avec d'autres collectifs ou communes confrontés au problème, contactez-nous.

 

http://ile-de-france.confederationpaysanne.fr/mobilisations.php?id=11389&PHPSESSID=h89hl37p10i8ngamkmone6tfk1

 

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20 octobre 2021 3 20 /10 /octobre /2021 11:04

 

 

pARU SUR LE SITE eAU  iLE DE France :

 

 

AGRICULTUREINTERNATIONAL

 

LES POLITIQUES DE L’UE N’EMPÊCHENT PAS LES AGRICULTEURS DE CONSOMMER TROP D’EAU

19 OCTOBRE 2021 ADMIN LAISSER UN COMMENTAIRE

 

 

Selon un rapport publié le 28 septembre par la Cour des comptes européenne, les politiques de l’UE ne permettent pas de garantir une utilisation durable de l’eau par les agriculteurs. L’impact de l’agriculture sur les ressources en eau est indéniable. Pourtant, les dérogations à la politique de l’UE dans le domaine de l’eau accordées aux agriculteurs sont trop nombreuses et vont à l’encontre des efforts déployés pour en garantir une utilisation raisonnée. Par ailleurs, les mesures prises dans le cadre de la politique agricole commune encouragent trop souvent à consommer plus qu’à consommer mieux. Communiqué de la Cour des comptes européenne.

Les agriculteurs sont de grands consommateurs d’eau douce: un quart des captages d’eau dans l’UE provient en effet de l’agriculture. Les activités agricoles ont une incidence à la fois sur la qualité de l’eau (du fait de la pollution causée par les engrais ou les pesticides, par exemple) et sur sa quantité. L’approche actuelle de l’UE en matière de gestion de l’eau remonte à la directive cadre sur l’eau (DCE) de 2000, directive qui a mis en place des politiques portant sur l’utilisation durable de l’eau. L’objectif fixé dans la DCE était de parvenir à un bon état quantitatif pour toutes les masses d’eau dans l’ensemble de l’UE. La politique agricole commune (PAC) joue également un rôle important dans la gestion durable de l’eau. Elle propose des outils susceptibles d’aider à réduire les pressions sur les ressources en eau, par exemple en liant les paiements à des pratiques plus écologiques et en finançant des infrastructures d’irrigation plus efficaces.

«L’eau est une ressource limitée, et l’avenir de l’agriculture de l’UE dépend dans une large mesure de la capacité des agriculteurs à l’utiliser de manière rationnelle et durable», a déclaré Mme Joëlle Elvinger, la Membre de la Cour des comptes européenne responsable du rapport. «Cela dit, jusqu’à présent, les politiques de l’UE n’ont pas permis de réduire suffisamment l’impact de l’agriculture sur les ressources en eau.»

La DCE prévoit des mesures de sauvegarde contre une utilisation non durable de l’eau. Nombreuses sont cependant les dérogations pour les captages d’eau accordées par les États membres à des fins agricoles. Les auditeurs ont constaté que ces dérogations sont généreusement octroyées aux agriculteurs, y compris dans les régions en situation de stress hydrique. Par ailleurs, certaines autorités nationales ne sanctionnent que rarement les cas d’utilisation illégale de l’eau qu’elles détectent. La DCE fait également obligation aux États membres de souscrire au principe du pollueur-payeur. Mais l’eau reste moins chère lorsqu’elle est utilisée à des fins agricoles, et de nombreux États membres ne récupèrent toujours pas les coûts des services liés à l’utilisation de l’eau dans l’agriculture comme ils le font dans d’autres secteurs. Souvent, la consommation d’eau facturée aux agriculteurs ne correspond pas au volume effectivement utilisé, déplorent les auditeurs.

Dans le cadre de la PAC, le versement d’aides de l’UE aux agriculteurs n’est généralement pas subordonné au respect d’obligations qui encouragent une utilisation rationnelle de l’eau. Certains paiements permettent de soutenir des cultures nécessitant de grandes quantités d’eau telles que le riz, les fruits à coque ainsi que les fruits et légumes, sans restriction géographique, et donc également dans des zones en situation de stress hydrique. De plus, le mécanisme de conditionnalité de la PAC (qui consiste à subordonner les paiements au respect de certaines obligations environnementales) n’a que peu d’effet, constatent les auditeurs. Les exigences ne s’appliquent pas à tous les agriculteurs et, en tout état de cause, les États membres ne réalisent pas suffisamment de contrôles et de vérifications en bonne et due forme pour décourager toute consommation non durable de l’eau.

Outre les paiements directs, la PAC finance également certains investissements des agriculteurs ou des pratiques agricoles telles que les mesures de rétention d’eau. Celles-ci peuvent avoir une incidence positive sur l’utilisation de l’eau. Les agriculteurs qui ont recours à cette possibilité sont toutefois peu nombreux, et les programmes de développement rural soutiennent rarement des infrastructures de réutilisation de l’eau. Par ailleurs, la modernisation des systèmes d’irrigation existants ne se traduit pas toujours par une économie des ressources en eau, étant donné que l’eau économisée peut être réutilisée pour l’irrigation soit de cultures nécessitant de plus grandes quantités d’eau soit d’une zone plus vaste. De même, l’installation de nouvelles infrastructures qui permettent d’augmenter la superficie irriguée est susceptible d’accroître la pression sur les ressources en eau douce. Les auditeurs estiment ainsi que, de manière générale, l’UE a indubitablement financé des exploitations agricoles et des projets qui ne respectent pas le principe d’utilisation durable de l’eau.

Lire le rapport spécial n° 20/2021 intitulé «La PAC et l’utilisation durable de l’eau dans l’agriculture: des fonds davantage susceptibles d’encourager à consommer plus qu’à consommer mieux»

 

 

https://eau-iledefrance.fr/les-politiques-de-lue-nempechent-pas-les-agriculteurs-de-consommer-trop-deau/#more-13817

 

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9 octobre 2021 6 09 /10 /octobre /2021 16:22
La Marche des Terres : les participants se sont arrêté à Fresnes sur Marne accueillis par les associations de défense de l'Environnement

 

C'est à Fresnes sur Marne que les vététistes avaient choisi de faire la pose déjeuner, cette commune est l'exemple type de la disparition de nos bonnes terres agricoles de la Brie au profit de décharges, car elle possède 2 décharges gérées par Veolia, une décharge de gravats de bâtiment de 34 hectares et la plus importante décharge d'ordures ménagères et  de déchets non dangereux de France de 289 hectares (implantée sur Fresnes sur Marne, Claye-Souilly et Charny)

 

Pour les accueillir plusieurs représentants d'associations environnementales avaient fait le déplacement :

- Francis Redon, le président d'Environnement 93 

- Claude Gautrat, le vice président de FNE Seine et Marne

- Jane Buisson, la présidente de Nature Environnement Mortcerf

- Mireille Lopez, la présidente d'Adenca

- des représentants du collectif des contribuables companais et mitryens, d'Adenca et de Mortcerf Environnement.

 

Un accueil très apprécié des participants qui après s'être restauré on pu déguster quelques gâteaux offerts par les membres des associations environnementales.

 

Ils ont ensuite regagné  Pantin par le canal de l'Ourcq accompagnés par la présidente de Nature Environnement Mortcerf et le vice président de FNE Seine et Marne.

 

 

La Marche des Terres : les participants se sont arrêté à Fresnes sur Marne accueillis par les associations de défense de l'Environnement
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