ADENCA
Association de Défense de l'ENvironnement de Claye-Souilly et ses Alentours
"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le
mal,
mais par ceux qui les regardent agir et qui refusent d'intervenir."
Albert Einstein
Depuis quelques temps, deux charmantes contractuelles municipales arpentent sans relâche les rues du centre ville, dans le but semble-t-il, d’infliger des PV aux automobilistes en infraction.
Ces charmantes dames ne dressent pas le PV de suite, cela leur permet, semble-t-il, de faire plus de verbalisation à l’heure, mais elles déposent sur votre pare-brise le papillon suivant.
En général le PV vous arrive sous quinzaine.
Si vous n’avez pas commis d’infraction : comment la contestez ?
Là est la question à laquelle nous n’avons pas de réponse.
En effet votre parole contre celle d’une contractuelle municipale aura peu de poids.
Alors il faut mieux payer et encore payer.
Plutôt que d’utiliser l’argent de vos impôts pour créer des parkings, le nouveau maire, Jean-Luc Servières, préfère, comme son prédécesseur, Yves Albarello, inscrire la commune au concours des villes et villages fleuris.
Mais pour cela il faut beaucoup d’argent
environ 600 000 € par an
pour fleurir la commune.
Où trouver cet argent ?
Le plus facile c’est de le trouver dans la poche du contribuable.
Extrait de l'arrêté préfectoral :
Lien vers l'AP complet :
http://www.val-doise.gouv.fr/content/download/22478/142511/file/AP%20ABROGATION%20IC-22-015.pdf
Fin 2017 la Sté Wabco a fermé son usine de Claye-Souilly
pour délocaliser ses activités à l’étranger.
Un industriel qui a laissé derrière lui un site pollué.
Extrait du site Géorisques (1) :
« En 2017, dans le cadre de la cessation d'activité des installations classées soumises à déclaration, il a été demandé à l'exploitant :
- en application de l’article R.512-66-1 du code de l'environnement, de remettre le site dans un état tel qu’il ne puisse porter atteinte aux intérêts mentionnés à l’article L.511-1 et qu’il permette un usage futur comparable à celui de la dernière période d’exploitation (industriel). En cas de changement d'usage, il lui appartiendra de s' assurer de la compatibilité de l'état du site avec l'usage projeté ;
- de présenter en conséquence des mesures de gestion adaptées en recherchant les possibilités de traitement des sources de pollution. »
Par arrêté préfectorale du 12/11/2019 (2) la préfecture imposait des prescriptions à l’industriel Wabco afin de mettre en sécurité son ancienne usine et les abords.
En effet ce site se trouve en bordure de la rivière Beuvronne et au bord du lotissement des «Jardins Anglais» où plusieurs investigations ont déjà été menées en 2013.
Un plan de l’étendue de la pollution sur l’ancienne usine et en dehors du site devait être fourni par WABCO FRANCE avant fin février 2020 et l’industriel devait présenter, ensuite, un plan de gestion pour traiter les sources de pollution identifiées sur le site et sur l’environnement proche si besoin.
Le site a été vendu en mai 2019 à DG GROUP 24, avenue du Gué Langlois Bussy St Martin, dont l'une des entités Ceprom (3) est promoteur-constructeur et commercialise actuellement un programme immobilier de 103 logements au Bois des Granges à Claye-Souilly. https://ceprom.fr/programme/8-plein-ciel-plein-air
Actuellement cette société y stockerait des matériels de bâtiment.
Néanmoins la société WABCO FRANCE reste responsable des mesures de gestion afin de traiter les sources de pollution identifiées sur le site.
Où en est ce dossier ?
Nous n'en savons rien
Pour le savoir nous vous conseillons de vous rapprocher de
Jean -Luc Servières
Maire de Claye-Souilly
et de
Julien Boussange
Président du Syndicat de la Beuvronne
D’après une étude récente de l’association « Respire » un air mauvais est constaté aux abords de 69 % des écoles de la commune, un air pollué aux particules fines PM 2.5.
Retrouvez l’étude complète ici : https://www.respire-asso.org/wp-content/uploads/2022/02/Analyse-RESPIRE-Carte-IDF-2013-2019.pdf
Particules fines PM 2.5
Les particules fines pénètrent en profondeur dans les poumons. Elles peuvent être à l’origine d’inflammations, et de l’aggravation de l’état de santé des personnes atteintes de maladies cardiaques et pulmonaires. De plus, elles peuvent transporter des composés cancérigènes absorbés sur leur surface jusque dans les poumons.
Les élus dépensent près de 600 000 € de l’argent de nos impôts pour fleurir la commune dans le but de gagner un concours : celui des villes et villages fleuris.
Moins de fleurs
et
plus de mesures de protection de la qualité de l’air ?
A vous de juger
Une partie de cette somme ne pourrait-elle pas être utilisée pour implanter des points de contrôles de la qualité de l’air près des écoles de Claye-Souilly afin d’étudier avec attention ce problème et chercher des mesures pour réduire cette pollution qui inquiète les parents d’élèves ?
Pour toute information nous vous conseillons de vous rapprocher de :
Loïc GABILLET
Conseiller municipal en charge de la santé
et Chef de bloc opératoire
Pour aller plus loin :
Paru sur le site « La Marne » :
VIDÉO. Un avion manque de s'écraser à l'aéroport de Roissy
Une tragédie a été évitée de peu mardi 5 avril 2022 aux abords de l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle. Une Boeing 777 a eu un problème à l'atterrissage, finalement maîtrisé.
Un Boeing a failli avoir un accident à l’atterrissage mardi 5 avril 2022 à Roissy, ce qui a été évité grâce à l’équipage. (©Pxhere)
Par Louis Gohin Publié le 6 Avr 22 à 10:24
Modifications
Le 6 avril à 12h10, la DGAC a donné de premières explications à l'incident. À 15h, nous avons complété les informations du BEA.
Une tragédie a été évitée de peu sur le vol Air France AF 11 aux abords de l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle, mardi 5 avril 2022 (Île-de-France), selon une information du journal Le Point.
Les services de l’État évoquent une « instabilité » au niveau des commandes de vol.
Un Boeing 777 provenant de New-York devait se poser peu après 10h à l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle.
Lors de la préparation de l’atterrissage, un problème technique est survenu. L’équipage a finalement réussi à éviter un grave accident.
Un accident d’avion évité à Roissy
Dans une vidéo du blog Air Live, on entend la conversation entre l’équipage et la tour de contrôle. On entend l’équipage lutter pour éviter la catastrophe.
Des extraits audio des échanges entre le cockpit et la tour de contrôle mis en ligne sur internet témoignent de l’incident. « Stop, stop », dit l’un des pilotes à son collègue, d’une voix stressée. « Je vous rappelle », dit-il ensuite à la tour de contrôle qui le contactait.
« On a remis les gaz, 4000 pieds (environ 1300 mètres), on va les maintenir, on va vous rappeler », dit-il ensuite. Les données du vol visibles sur le site FlightRadar indiquent que l’avion se trouvait peu auparavant à 400 mètres d’altitude.
Vidéos : en ce moment sur Actu
Contacté, Air France déclare : « Air France confirme que l’équipage du vol AF011 du 4 avril 2022 reliant New-York JFK à Paris – CDG en B777 a interrompu sa séquence d’atterrissage et effectué une remise de gaz en raison d’un incident technique survenu lors de l’approche. L’équipage a posé l’appareil normalement après une seconde approche. »
Selon Air France, « la remise de gaz est définie par les autorités, les constructeurs aéronautiques et Air France comme une procédure normale qui va dans le sens de la sécurité ».
Air France affirme que les équipages sont « formés et régulièrement entraînés à ces procédures pratiquées par l’ensemble des compagnies aériennes afin de garantir la sécurité des vols ».
Un problème sur les commandes de vol
Il semblerait, selon de premières informations, que l’appareil ne réagissait plus aux commandes.
La Direction générale de l’aviation civile (DGAC), service du ministère de la Transition écologique chargé des Transports, explique : « Cet événement concernerait une instabilité des commandes de vol lors de l’approche finale qui a été suivie d’une remise de gaz. L’analyse est en cours par la compagnie. »
La DGAC, qui ne précise pas de quelle “instabilité » il s’agit, indique que le Bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aviation civile (BEA) avait indiqué ouvrir une enquête de sécurité.
Le BEA a qualifié l’incident de « grave », ce qui signifie un « incident dont les circonstances indiquent qu’il y a eu une forte probabilité d’accident ».
Selon une source proche du BEA citée par l’AFP, ce type d’enquêtes serait « régulièrement » ouvert par le BEA.
Les boîtes noires contenant l’enregistrement des données du vol (FDR) et des conversations dans le cockpit (CVR) ont été récupérées et sont « en cours d’analyse », selon le BEA.
Pour « nourrir » leurs méthaniseurs un certain nombre d’agriculteurs utilisent des CIVE cultures intermédiaires à vocation énergétique.
Ils sèment des graines, en général de maïs, fin juin/ mi-juillet, une aberration quand on sait que cette plante est forte consommatrice d’eau.
Si l’été est particulièrement sec, pour faire pousser leurs graines, en période de sécheresse, ils utilisent abondamment l’eau des nappes souterraines et comme on peut le constater ne se gênent pas pour arroser, en pleine journée, sous un soleil de plomb des cultures destinées à produire du gaz.
L’eau
va-t-elle devenir
une denrée rare
pour les habitants de ce département ?
Le réchauffement climatique et l’augmentation de la population en 77 devrait réduire la quantité d’eau destinée à chaque habitant de ce département, si en surcroît l’ETAT et le Conseil Régional d’IDF subventionnent largement près de 60 nouveaux projets de méthanisation à base de CIVE, forts consommateurs d’eau, l’eau va-t-elle devenir une denrée rare pour les habitants ce département ?
Paru dans Bio Energie :
CapMétha77, charte pour développer encore plus le biométhane en Seine-et-Marne.
PAR FRÉDÉRIC DOUARD · 2 JUILLET 2020
Le 22 juin 2020, le Département de Seine-et-Marne, la Préfecture de Seine-et-Marne, la Région Ile-de-France, l’Agence de l’environnement et de la maitrise de l’énergie, l’Union des Maires et des EPCI de Seine-et-Marne, le syndicat départemental des énergies de Seine-et-Marne, GRDF et GRTGaz, ont co-signé la charte CapMétha77 pour favoriser le développement de la production de biométhane en Seine-et-Marne.
Les objectifs de cet accord sont de réduire les émissions de gaz à effet de serre, d’augmenter la production locale d’énergie renouvelable pour les usages résidentiels et une mobilité décarbonée au bioGNV, de mettre en œuvre le traitement des déchets organiques et de diversifier les activités économiques dont celles en lien avec l’activité agricole.
La production de biogaz via la méthanisation est un atout pour la transition énergétique et écologique de la Seine-et-Marne. Avec plus de douze unités de biométhane en service et une soixantaine de projets à différents stades d’avancement, ce département est l’un des plus dynamiques de France pour la production de biométhane et le premier en Ile-de-France.
Les unités d’injection de biométhane en service en Seine-et-Marne début 2020 :
.......
La charte, accompagnée de son plan d’actions, est signée pour une durée de cinq ans soit jusqu’en 2025 et pourra être renouvelée pour une durée supplémentaire de cinq ans, après évaluation au regard des indicateurs du plan d’actions.
Frédéric Douard