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21 mai 2012 1 21 /05 /mai /2012 12:02

 

Favoriser le frêt aérien n’est-ce pas favoriser

les délocalisations de nos entreprises vers l’étranger ? 

 

Pour prendre  l’exemple d’une entreprise de notre secteur :

Le cas de Wabco Claye-Souilly propriété de l’un des plus des plus grands équipementiers mondiaux de systèmes de freinage électronique….

 

600 employés en 2000, moins de 400 en 2009.

 

Entre temps Wabco a ouvert des usines  en 2001 en Pologne et Corée, en 2002 et 2011en Chine, en 2005 et 2008 en Inde.

 

Les populations  préfèrent-elles que ces pièces détachées soient fabriquées à Claye-Souilly par nos ouvriers qualifiés ou préfèrent-elles que la fabrication de ces pièces soient délocalisées vers des pays étrangers et reviennent en France par frêt aérien de nuit pour être stockées dans des entrepôts qui remplacent nos champs de blé ?

 

 

 

Le Grand Roissy n’est ce pas créer des emplois précaires sous qualifiés   ?

 

Le Grand Roissy n’est ce pas, en favorisant le frêt aérien, favoriser les délocalisations de nos entreprises vers l’étranger, favoriser la perte de nos emplois qualifiés ?

 

 

                                   Les candidats aux élections de la 7ème circonscription

doivent s’engager

                 à organiser un référendum sur ce sujet sensible

 

 

Pour aller plus loin :

http://www.leparisien.fr/claye-souilly-77410/84-licenciements-programmes-chez-wabco-17-12-2008-344685.php

http://www.atome77.com/breves/628/pourquoi-le-chomage-explose.htm

http://www.wabco-auto.com/fr/about_us/dates_cle

http://www.senat.fr/questions/base/2009/qSEQ09020446S.html

 

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10 avril 2012 2 10 /04 /avril /2012 18:35

 

Vivre au milieu des ordures des autres,
du trafic intensif des camions
et  des avions d’Aéroport de Roissy
de jour comme de nuit

 


Paru sur le site du journal Le Monde :
Interdiction des vols nocturnes : Roissy pourrait-il suivre l'exemple de Francfort ?

Le Monde.fr | 10.04.2012 à 15h52 • Mis à jour le 10.04.2012 à 17h03

Par Audrey Garric

 

 

Quand on lui parle de "vol de nuit", elle ne pense pas au roman d'Antoine de Saint-Exupéry. Ghislaine Kusnierz habite à Saint-Brice-sous-Forêt, à proximité de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle (Val-d'Oise), avec sept voies aériennes au-dessus de la tête. Chaque nuit, elle est réveillée par le vrombissement des avions qui décollent ou atterrissent. Vingt ans qu'elle ne dort que d'un œil.   

"Toute la nuit, les aéronefs se suivent, les uns derrière les autres. Ils me tapent sur les nerfs ; je les ai en horreur !, désespère-t-elle. Il faudrait que cela s'arrête de temps en temps." Un espoir ravivé par la décision de la justice fédérale allemande, jeudi 5 avril, d'interdire les vols de nuit entre 23 heures et 5 heures à Francfort, troisième aéroport européen. Le jugement pourrait faire jurisprudence.

"Jusqu'à présent, on nous opposait qu'unelimitation des vols de nuit à Roissy pourrait affaiblir sa compétitivité par rapport aux autres aéroports européens. Mais maintenant que ses concurrents appliquent des restrictions au trafic aérien de nuit, c'est Charles-de-Gaulle qui est favorisé, explique Patrick Kruissel, président de l'Association de défense contre les nuisances aériennes. Nous demandons donc au gouvernement de limiter le nombre de vols en Ile-de-France en s'alignant sur les pays voisins."

 

 

ROISSY, PREMIER AÉROPORT EUROPÉEN LA NUIT

Car aujourd'hui, l'aéroport de Roissy, deuxième aéroport européen, s'avère le plus important en terme de trafic aérien de nuit. En 2010, le "hub" a enregistré 61 000 mouvements (décollages et atterrissages) entre 22 heures et 6 heures, soit 170 vols par nuit sur un total de 1 500 sur 24 heures. Des performances - en augmentation tous les ans - bien supérieures à celles de Francfort (40 000 mouvements), Schiphol, à Amsterdam (31 000) et Heathrow, à Londres (30 000).

Si Roissy-Charles-de-Gaulle enregistre autant de vols, c'est qu'il concentre 60 % du trafic national nocturne : en comparaison, on ne compte que 32 vols à Marseille, 30 à Orly (l'aéroport a adopté en 1968 un couvre-feu entre 23 h 30 et 6 heures), 26 à Nice, 25 à Lyon, 20 à Toulouse et moins de 10 vols à Nantes, Bordeaux et Strasbourg, selon les chiffres de l'Autorité de contrôle des nuisances sonores aéroportuaires (Acnusa). Et 80 % du fret aérien français est canalisé à Roissy.

"Il est aberrant que l'essentiel du trafic soit regroupé dans le bassin qui compte la plus grosse population. On multiplie le nombre de personnes affectées", regrette Patrick Kruissel. Si la sensibilité au bruit reste malaisée à mesurer, selon l'Acnusa, 170 000 personnes sont indemnisées au titre du plan de gêne sonore de Roissy, 622 000 concernées par le plan d'exposition au bruit et 2 millions survolées à moins de 3 000 mètres d'altitude.

 

IMPACT ÉCONOMIQUE

A ces chiffres, les aéroports opposent ceux des retombées économiques pour la région : 27 000 emplois directs et 4,5 milliards d'euros de chiffre d'affaires seraient générés par l'activité aérienne nocturne à Roissy, selon Aéroports de Paris. "L'activité économique des aéroports est très importante la nuit, notamment du fait du fret, avec FedEx et La Poste, qui transportent des quantités importantes de colis. Reporter ce trafic sur le rail neserait pas possible et handicaperait tant les compagnies que les aéroports, assure Jean-Claude Ziv, professeur sur les transports au Conservatoire national des arts et métiers. Quant aux passagers, il n'y a tout simplement pas assez de créneaux en journée pour assurer la totalité de leurs déplacements."

"Les vols de nuit ont un impact économique positif pour les compagnies et les aéroports. Mais il n'existe pas d'étude indépendante quant au besoin réel des entreprises ainsi que sur l'impact économique pour les territoires. Qu'en serait-il si ces vols étaient reportés en journée ? On nele sait pas", note Ghislaine Esquiague, secrétaire générale de l'Acnusa.

 

LIMITATION DES VOLS ET ALTERNATIVES

A défaut d'un couvre-feu à Roissy, aujourd'hui inenvisageable au regard de l'ampleur du trafic, les associations demandent une limitation des vols de nuit. "Nous souhaiterions unediminution de l'ordre de 20 %, surtout entre 22 heures et minuit et à partir de 5 heures", livre Julien Delannay, chargé de mission à l'association d'élus Ville et aéroport.

Autre solution avancée : un meilleur aménagement du territoire. "Unepartie du trafic de Roissy pourrait être délocalisée vers des plateformes situées dans des zones faiblement peuplées et reliées à Paris par le rail, comme l'aéroport de Vatry dans la Marne. Cela nécessiterait toutefois unevolonté politique, via des incitations fiscales pour les entreprises et des prix attractifs pour les voyageurs", poursuit le chargé de mission. En Allemagne et en Belgique, les aéroports de Cologne et de Liège ont déjà permis de désengorger une partie du trafic de fret des capitales. Un projet de liaison marchandise en TGV entre Lyon, Roissy et Londres est par ailleurs en cours de test.

La lutte contre les nuisances aériennes passe enfin par le renouvèlement d'une partie des flottes des compagnies. Depuis le 25 mars, les avions les plus bruyants, définis par le chapitre 3 de la directive européenne de 2002 sur le bruit dans les aéroports, notamment les A320, sont interdits de vol entre 22 et 6 heures. "C'est un bon début, mais cette mesure ne concerne que 1 000 avions par an, soit 1 % de la flotte, indique Julien Delannay. Il faut l'étendre à d'autres appareils."

 

Audrey Garric

 

 

 

lien vers l'article :

http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/04/10/interdiction-des-vols-nocturnes-roissy-pourrait-il-suivre-l-exemple-de-francfort_1681339_3224.html

 

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28 mai 2010 5 28 /05 /mai /2010 14:33

 

Extrait article paru sur le site

 de l’association Adev :

 

 

Tout d’abord, MERCI à toutes celles et tous ceux qui se sont mobilisés à nos côtés pour obtenir le résultat suivant : L'ABANDON DU PROJET D'UTILISATION UNIQUE DU DOUBLET NORD DE ROISSY CDG POUR LES VOLS DE NUIT. Cette expérimentation, décidée pour 6 mois, n'est plus d'actualité !

voir l'article de presse http://www.adev77.org/2/crbst_6.html

 

 

     Ce résultat est commenté dans la presse, avec impudence et fatuité,  par un responsable de la mairie de Claye Souilly : "C'est une victoire que l'on doit à 100 % aux députés Jean François Copé et Yves Albarello".

 

     En fait, ce résultat, qui n'est pas une victoire car les nuisances aériennes continuent, est à mettre à l'actif de tous ceux, politiques, associatifs ou riverains , qui se sont battus contre ce projet...  mais l'ADEV Nord 77 était effectivement en première ligne dans ce combat, et tout le monde le reconnait.

    De plus, tout n'est malheureusement pas réglé. Le pire, qui nous était promis, a été évité mais les nuisances que les riverains de Roissy CDG continuent de subir n'ont pas disparu pour autant  et nous devons continuer nos actions pour obtenir un réel couvre- feu nocturne.....

 

   

 

Article complet : http://www.adev77.org/2/

 

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19 août 2009 3 19 /08 /août /2009 09:22
Depuis peu la commune de Claye-Souilly, déjà fortement impactée par les décharges doit supporter une pollution supplémentaire : le survol
des avions du Bourget de jour comme de nuit.
 Une question avait été posée par une sénatrice de Seine et Marne en avril 2009, à cette époque seules les communes avoisinantes de Mitry-Mory et Villeparisis étaient concernées par ces nuisances, Claye-Souilly vient de se rajouter à cette triste  liste.


Sénat
Extrait Compte rendu analytique officiel du 28 avril 2009

 Questions orales

……..

Nuisances aéroportuaires du Bourget



Mme Nicole Bricq
.  - J'attire votre attention, monsieur le ministre, sur les dysfonctionnements qui caractérisent l'action de l'État dans la lutte contre les nuisances occasionnées par l'aéroport du Bourget. Dédié à l'aviation d'affaires, cet aéroport compte 70 000 mouvements par an, qui survolent 800 000 personnes selon l'Acnusa (Autorité de contrôle des nuisances sonores aéroportuaires). Comme il ne fait pas partie des dix plus grands aéroports français, il n'est pas soumis au même contrôle que les autres par l'Acnusa.

Toutefois, à l'initiative du préfet de région, une commission informelle de concertation avait été constituée, le 3 avril 2002, afin d'élaborer une charte de l'environnement ainsi qu'un avant-projet de plan d'exposition au bruit, en vue de permettre la constitution d'une commission consultative de l'environnement en bonne et due forme. Cette commission informelle s'est réunie le 4 juin 2003 ; des groupes de travail se sont mis en place autour des thèmes suivants : mesures de bruit, évolution et structure du trafic, évolution de l'activité de l'aérodrome.

L'Acnusa a demandé dès 2003 que le plan d'exposition au bruit soit approuvé avant le 31 décembre 2005, comme cela avait été fait pour l'aéroport de Montpellier, également placé hors du champ de ses compétences. Mais l'État n'a pas suivi cette recommandation et des élus dont les communes sont exposées au bruit s'en sont émus.

Le préfet de Seine-Saint-Denis, coordonnateur pour les départements concernés, a indiqué au maire de Villeparisis, en Seine-et-Marne, par un courrier du 8 décembre 2005, qu'un avant-projet de plan d'exposition au bruit était en cours d'élaboration et devait déterminer les communes appelées à siéger au sein de la commission consultative de l'environnement de l'aérodrome du Bourget.

Depuis, les communes de Seine-et-Marne semblent être laissées pour compte : la municipalité de Villeparisis n'a ainsi jamais été conviée ni informée des travaux de la commission informelle chargée de réaliser cet avant-projet de plan d'exposition au bruit, tandis que la municipalité de Mitry-Mory a été associée, dans un premier temps, aux groupes de travail mais, à la suite du changement de préfet en Seine-Saint-Denis en 2006, la concertation a été interrompue.

Pour quelles raisons aucun plan d'exposition au bruit n'a-t-il encore été approuvé alors qu'il permettrait enfin de créer une commission consultative de l'environnement ? Quand et comment le Gouvernement entend-il associer l'ensemble des communes concernées par les nuisances causées par les couloirs aériens réservés à l'aéroport du Bourget ?

M. Hubert Falco, secrétaire d'État chargé de l'aménagement du territoire.  - Le maintien d'une activité importante sur l'aéroport du Bourget, plate-forme dédiée à l'aviation d'affaires, est fondamental pour Paris et sa région. Malgré les quelque 64 500 mouvements enregistrés en 2008 sur cet aéroport, ce dernier ne fait pas partie des aéroports pour lesquels l'Acnusa dispose d'une compétence étendue. En effet, les avions d'affaires, beaucoup plus légers que les avions de ligne, font moins de bruit et l'aéroport ne répond pas aux critères prévus, à savoir au moins 20 000 mouvements annuels d'aéronefs de plus de 20 tonnes de masse maximale au décollage.

Pour autant, une commission informelle de concertation a été instaurée et une charte du développement durable ainsi qu'un projet de plan d'exposition au bruit sont en cours d'élaboration.

Compte tenu de l'intérêt qu'il y a à poursuivre ces travaux dans les meilleures conditions, le moment est venu de doter l'aéroport du Bourget d'une commission consultative de l'environnement et d'un plan d'exposition au bruit. M. Bussereau va donc demander au préfet de la région Ile-de-France de mettre en place ladite commission, ce qui permettra à l'ensemble des élus et des personnes intéressées de s'exprimer dans le cadre réglementaire prévu.

Cette future commission se prononcera sur les suites à donner au projet de charte élaboré en 2007, puis sur le futur plan d'exposition au bruit.

….

Compte-rendu complet : http://www.senat.fr/cra/s20090428/s20090428_8.html

Rapport à consulter :

Rapports infractions vols Roissy  Le Bourget

http://www.aviation-civile.gouv.fr/html/publicat/cnpn/2008/Rapportfinal%202008%2012%20mai.pdf

 

Article à consulter :

Injustice environnementale ou comment sacrifier la vie des autres ?

http://www.vivagora.org/spip.php?article210

 

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25 mai 2009 1 25 /05 /mai /2009 21:05
Article paru sur le site de Yonne Lautre
Brèves de Daniel Delestre : Réévaluation de l’impact de l’aviation sur le climat

mercredi 20 mai 2009 par Administrateurs du site

Réévaluation de l’impact de l’aviation sur le climat

Des scientifiques viennent de réévaluer l’impact de l’aviation sur le climat.[1]

Voici quelques conclusions de leur étude.

1°) Impact actuel de l’aviation

Pour 2005, la contribution de l’aviation est estimée à 4,9% du forçage anthropique global du climat, en incluant l’impact des traînées persistantes (cirrus).

2°) Croissance passée

L’aviation a connu une croissance exceptionnelle entre 2000 et 2007 : le trafic passager y a augmenté de 38%, soit une augmentation moyenne annuelle de 5,3%.

Entre 2000 et 2005, l’impact du trafic aérien sur le forçage climatique a crû de 14%.

3°) Croissance future

Si la croissance du trafic aérien se poursuit à ce niveau jusqu’en 2050, sa contribution au forçage radiatif serait multipliée d’un facteur 3 ou 4.

Est-ce une perspective soutenable ?

Certains se prennent à espérer que les 75 prochaines années de l’aviation soient beaucoup moins belles [2] , tout en se disant que « même les avions ne peuvent monter plus haut que le ciel. »[3]

La Fédération Européenne pour le Transport et l’Environnement appelle, de son côté, à inclure l’aviation lors de la prochaine négociation mondiale sur le climat, à Copenhage. [4]

D. DELESTRE

[1] Aviation and global climate change in the 21st century. Lee, D.S., et al., Atmosp


Pour plus amples informations :

http://yonne.lautre.net/spip.php?article3180

 

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18 mars 2009 3 18 /03 /mars /2009 09:06

LES NUISANCES D'AEROPORT DE ROISSY, LES DECHARGES......

 

QUI SE PREOCCUPE DE LA SANTE ET DE LA QUALITE DE VIE DES HABITANTS DU NORD SEINE ET MARNE ?



Article paru sur le blog de NE 77 : http://nature.environnement.77.over-blog.com/


Les propositions de Jacques Dermagne, président du Conseil économique, social et environnement de la République, chargé par Nicolas Sarkozy de présenter une charte pour un développement durable de l'aéroport de Roissy, sont arrivées par courrier chez toutes les personnes et associations qu'il a auditionnées.

Mauvaise surprise pour les associations de défense de l'environnement et des riverains: elles ne retrouvent pas leurs propositions. Pour le Collectif inter-associatif du refus des nuisances aériennes (Cirena), le «texte ne contient pas les bases de 'l'accord mutuellement avantageux' entre les 'différentes parties prenantes' que souhaitait le Président de la République dans la lettre de mission à M.Dermagne», indique le président du collectif Jean-François Michel. Même constat pour Alain Péri, porte-parole de l'Association de défense contre les nuisances aériennes (Advocnar): «Nous sommes profondément déçus devant un rapport qui n'apporte aucune réponse, ne fait aucune proposition concrète d'amélioration concernant les questions essentielles du droit fondamental de l'homme au sommeil, de la protection du cadre de vie et de la santé des centaines de milliers de personnes victimes chaque jour des nuisances aériennes».

En cause notamment, la non-inclusion des propositions de relèvement de survol des villes du Nord-ouest francilien, de limitation de nombre de mouvements annuels à un maximum de 500.000 (contre 540.000) actuellement et de suppression définitive des vols de nuit avec l'instauration d'un couvre-feu de 23 heures à 7 h (suivant les recommandations de l'OMS). Si ces trois points ne sont pas intégrés dans la charte, le Cirena affirme d'ores et déjà qu'il ne signera pas le texte. Pour l'heure, il prévoit, tout comme l'Advocnar, d'écrire à Dominique Bussereau et à Christian Blanc, réceptionnaires du rapport, afin de reparler de leurs propositions.

http://www.conseil-economique-et-social.fr/Roissy/Proposition_JDermagne.pdf


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