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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 13:40

dhuis villevaudé 2 15.10.2011Promenade de la Dhuis Villevaudé 15/10/2011
Aqueduc de la Dhuis :
Appel à manifester le Samedi 19 Novembre 2011 à partir de 14h30.

« La Marche pour la Dhuis »

 

A l'appel du collectif « Sauvons la Dhuis », vous êtes invités à une marche pour la sauvegarde de l'aqueduc de la Dhuis.

Cette marche aura lieu Samedi 19 Novembre 2011 à partir de 14h30.

Le lieu du rendez-vous a été fixé sur la commune de Villevaudé (77410) à l'angle de la rue du Lavoir et de la rue Charles de Gaulle.

 

 

coubron dhuis 13.11.2011 2

 

Promenade de la Dhuis Coubron 13/11/2011

 

dhuis coubron 13.11.2011 1

 

Promenade de la Dhuis Coubron 13/11/2011

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15 novembre 2011 2 15 /11 /novembre /2011 12:05

 

 

 

Zone industrielle Mitry-Compans, un secteur à risque !

 

Un septième site classé SEVESO  :

l’incinérateur de déchets dangereux GEREP ?

 

 

 

 ZI-MITRY-INCINERATEUR_8122009.JPG

Incinérateur de déchets dangereux zone Industrielle Mitry-Compans 8/12/2009

 

Alors que cette  zone industrielle compte déjà  6 sites classés Seveso, dont 2 seuil haut, un projet d’arrêté préfectoral devrait être présenté au prochain Coderst du 25 novembre 2011 visant à mettre à jour la situation administrative (Seveso Seuil Haut) de l’incinérateur de déchets dangereux GEREP.

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11 novembre 2011 5 11 /11 /novembre /2011 14:06

 

 

Inquiétude à Villeparisis

 

De nouveaux déchets radioactifs (DRNR) en provenance de Fertiladour

vont-ils être stockés dans la décharge de SITA FD ?

 

Paru sur le site EITB :

Contamination radioactive

L'Autorité de Sûreté Nucléaire renvoie Fertiladour à ses manquements

11/11/2011

L'Autorité de Sureté Nucléaire a remis le 3 octobre dernier un avis non favorable à toute reconversion industrielle de ce site du Port de Bayonne, exigeant plus de transparence sur son sous-sol.

contenus reliés:

Infos (1)

Dans le dossier de cessation d'activités de l'ancienneusine Fertiladour du Boucau (zone portuaire de Bayonne), dont les sols sont significativement contaminés par de la radioactivité,l'Autorité de Sûreté Nucléaire a donné un avis non favorable à la reconversion du site, en regard de la décontamination présentée par son propriétaire, la filière Agriva du groupe industriel Roullier.

"La reprise d'une activité industrielle industrielle nécessite une connaissance préalable des niveaux de contamination radiologique des sols", écrit ainsi la plus haute autorité de surveillance nucléaire du territoire français.

Ce rapport, remis le 3 octobre dernier à la Direction Régionale de l'Environnement (DREAL), pointe les "omissions" de l'évaluation fournie par l'industriel, et les manquements aux exigences préfectorales, donnant ainsi totalement raison aux affirmations depuis près de 15 ans du collectif de défense d'environnement CADE, et reprenant sans les minimiser les conclusions alarmantes du rapport de la contre-étude indépendante de l'ACRO, en septembre 2010.

Répondant le 2 novembre dernier à la demande du CADE sur la teneur de ce rapport de l'ASN, la DREAL de Pau répondait que "cet avis sera rendu public, mais pour l'heure il doit être traité en relation avec l'entreprise Agriva, qui doit nous indiquer de quelle façon elle entend le prendre en compte".

Une étape qui devait prendre "quelques semaines", mais que la rédaction d'eitb.com est ravie de pouvoir vous restituer avant ce délai.


Aucuneparcelle des 7,5 hectares n'est neutre

Pointant en particulier une zone de 25.000 m2 (soit un tiers du site) sur laquelle "il est avéré que la contamination du sol peut atteindre par endroit des niveaux significatifs", tout projet de construction ne pourrait voir le jour qu'en assumant "des mesures très contraignantes" pour cette zone simplement recouverte de cailloux concassés par l'industriel.

Sur le restant du site, soit une zone de 50.000 m2, il n'est pas plus possible pour l'ASN de les considérer comme neutres, "la contamination en profondeur ne peut être exclue", précise le rapport.


L'industriel devra fournir un rapport "plus complet" avant d'en demander 6 millions d'euros pour sa revente

Ce terrain de la zone portuaire de Bayonne, que l'industriel souhaitait vendre au Conseil Régional d'Aquitaine pour la coquette somme de 6 millions d'euros en juin 2009, ne peut aujourd'hui accueillir en l'état la moindre reprise d'activité industrielle.

Sur intervention du groupe Europe Ecologie Les Verts, l'acquisition de ce site avait été repoussée tant que n'étaient pas connues les conclusions de l'étude indépendante de l'ACRO, elles-même soumises à l'avis de l'ASN.

A la demande de cette dernière, l'industriel, qui n'a eu de cesse depuis 1997 de minimiser "des traces de pollution" par "de la radioactivité naturelle", devra donc présenter un nouveau rapport, faisant figurer cette fois-ci la caractérisation en profondeur des terres encore contaminées (estimées à près de 10.000 m3), ainsi qu'un scénario plus plausible de reconversion industrielle, que l'industriel se contente de mentionner sans aucune justification.

Toutes les personnes qui se sont opposées à la volonté de l'industriel de "quitter le site" seront également rassurées de savoir que l'ASN s'interroge aussi sur l'impact dosimétrique de cette contamination radioactive sur la population riveraine.

Et conclut : "Le public devra être informé des démarches d'évaluation des risques conduits sur ce site".


"Les objectifs d'assainissement, par certains endroits, n'ont pas été atteints"

Depuis 1998, une double obligation préfectorale s'imposait à l'industriel, à savoir une taux de radiation inférieure à 0,5 µSv/h sur l'ensemble du site et une activité massique inférieure à 5 becquerel par gramme de terre (Bcq/g).

Si les écarts entre l'ACRO et le cabinet de l'industriel de mesure de la première exigence ne sont pas jugés "significatifs", estime l'ASN (que "le choix du maillage retenu par chaque organisme peut expliquer"), l'ASN pointe par contre le fait que "les objectifs d'assainissement n'ont pas été atteints par endroits" et qu'il convient donc d'y revenir.

Sur la caractérisation des terres par leur activité massique, l'ASN valide pleinement les conclusions de l'ACRO sur le fait que, avec des mesures de plus de 300 Bcq/g, Fertiladour présente aujourd'hui encore "des valeurs très éloignées de l'exigence préfectorale du 20 avril 2000" qui demandait que soient excavées toutes les terres contaminées supérieures à 5 Bcq/g.


Le "bouclier de confinement" est insuffisant

Historiquement, 5 zonages avaient fait apparaitre depuis 1997 la présence de terres fortement contaminées par la radioactivité du thorium (par broyage d'une terre rare, la monazite, entre 1973 et 1992), caractérisées par une activité massique de plus de 500 becquerel par gramme de terre (soit la radioactivité aujourd'hui constatée à 40 km de la centrale japonaise de Fukushima).

Trois arrêtés préfectoraux entre 1997 et 2000 avaient pour objet de contraindre l'industriel à décontaminer le site de 75.000 m2, notamment par l'excavation des terres les plus contaminées, mais, aujourd'hui, pour l'ASN, le compte n'y est pas.

L'ASN considère que le confinement constitué de quelques centimètres de gravats, mis en place sur 25.000 m2 sur les zones les plus contaminées (et qualifié de "maquillage des terres" par le CADE en avril 2009), est susceptible de se dégrader dans le temps, et n'est pas la solution à apporter pour l'assainissement durable du site.

"Dans la mesure où toutes les terres contaminées n'ont pas été excavées, la situation radiologique du site risque de se dégrader avec une éventuelle dégradation du confinement mis en place", précise le rapport.

Dans les omissions du rapport de l'industriel est pointé également le risque représenté par le radon, un gaz radioactif à l'état naturel généré par la présence de radionucléides dans les sols.

"Par rapport au radon, même une décontamination plus poussée devra être assortie de mesures permanentes pour tout projet de construction", précise le rapport, "tout nouveau bâtiment qui serait construit sur le site devrait l'être selon les règles de l'art vis à vis du risque radon".

 

 

Lien vers l’article :

http://www.eitb.com/fr/infos/environnement-et-science/detail/773681/lautorite-surete-nucleaire-renvoie-fertiladour-ses-manquements/

 

 

 

sur le même sujet :

Déchets radioactifs de Fertiladour stockés à la Sita Villeparisis :

http://adenca.over-blog.com/article-dechets-radioactifs-stockes-a-la-sita-fd-villeparisis-en-provenance-de-fertiladour-que-nous-cache-ton-60270388.html

 

http://adenca.over-blog.com/article-terres-contanees-56677134.html

 

http://adenca.over-blog.com/article-fertiladour-le-canard-enchaine-n-y-passera-pas-ses-vacances-58529018.html

http://adenca.over-blog.com/article-dechets-radioactifs-enfouis-a-villeparisis-en-provenance-de-fertiladour-que-nous-cache-t-on-70534382.html

 

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10 novembre 2011 4 10 /11 /novembre /2011 23:44

 

 

Qui se préoccupe de la santé  des Seine et Marnais

vivant autour des décharges ?

 

Quelle est la responsabilité des élus

qui donnent des avis favorables pour l’implantation de décharges ?

 

 

 

 

Paru sur le site Romandie News

 

Un rapport pointe les dix sources de polluants les plus dangereuses

 

L'exploitation des mines, et le traitement des minerais qu'elle implique, est la source de polluants la plus importante sur la planète en 2011. C'est la conclusion d'une étude menée par Green Cross Suisse et le Blacksmith Institute, ONG américaine, qui a été présentée jeudi à Zurich.

"Les charges toxiques résultant des mines et des processus industriels du monde entier représentent un risque considérable pour la santé de la population concernée", affirme David Hanrahan, directeur du Programme global du Blacksmith Institute. Les produits chimiques toxiques sont aussi particulièrement nuisibles pour la santé, selon l'enquête.

Peu de mesures

"Bien que le nombre de personnes souffrant de maladies liées aux polluants soit au moins égal à celui des victimes de la malaria ou la tuberculose, la communauté internationale soutient peu de mesures d'aide dans de nombreux pays", souligne pour sa part Nathalie Gysi, directrice de Green Cross Suisse.

Le rapport sur les polluants 2011 identifie les dix sources de polluants les plus importantes de 2011 en se basant sur les résultats de recherches effectuées au cours des trois dernières années dans plus de 2000 sites fortement pollués, précisent les deux organisations. Il chiffre également leurs conséquences sur la santé (décès ou handicap).

Minerais et métaux dangereux

L'exploitation des mines et le traitement des minerais représentent un risque pour 7,02 millions de personnes. La deuxième source de polluants la plus importante est la fusion des métaux avec 4,95 millions de personnes à risques, selon le classement du rapport.

Viennent ensuite la production chimique (4,78 millions de personnes à risques), l'exploitation de mines avec des moyens artisanaux (4,23 millions), les surfaces industrielles (3,86 millions), la production agricole (3,27 millions) ou encore les décharges de déchets industriels et ménagers (3,21 millions).

Le rapport indique que beaucoup des sources de polluants ne sont pas directement reliées à des entreprises internationales mais à des activités effectuées dans des espaces restreints insuffisamment régulés. L'exploitation de mines à l'aide de moyens artisanaux ou le recyclage des métaux en sont des exemples.



(ats / 10.11.2011 17h23)

Lien vers l'article :

http://www.romandie.com/news/n/Un_rapport_pointe_les_dix_sources_de_polluants_les_plus_dangereuses101120111711.asp

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8 novembre 2011 2 08 /11 /novembre /2011 21:16

 

 

 

_6597.jpg

 

Décharge d'Annet sur Marne Lieudit les Carreaux exploitant ECT 11/2/2009

 

 

 

 

Une nouvelle décharge à Claye-Souilly ? 

 

C’est dans cette commune qui possède déjà la plus importante décharge de France d’ordures ménagères et de déchets industriels Rep Veolia, qui a aménagé un parcours de santé sur une ancienne décharge illégale, que devrait peut-être encore s’implanter une décharge ?

 

En effet dans un courrier adressé le 29 septembre dernier à Monsieur Canepa, Préfet de la Région  Ile de France, Monsieur Huchon, Président du Conseil Régional Ile de France évoque un projet d’implantation d’une décharge sur cette commune.

 

Un accord financier est-il déjà entrain d’être négocié entre la commune de Claye-Souilly  et le futur exploitant de la décharge  pour compenser le préjudice subi par l’implantation de cette nouvelle  activité polluante ?

 

Pour plus amples renseignements sur ce dossier, rapprochez-vous de vos élus.

 

 

Un référendum ne serait-il pas nécessaire sur ce sujet ?

 

 

Les habitants de cette commune

doivent-ils encore supporter

 une nouvelle décharge

sans donner leur avis ?

 

 

 

 

 

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8 novembre 2011 2 08 /11 /novembre /2011 17:16
Paru sur le site EITB :
Hasparren : et au milieu coulait un ruisseau de déchets ultimes

07/11/2011

La pollution de dimanche n'est pas remise en cause par la Dreal de Pau, qui trouve "anormal" que l'alerte ait été donnée par un citoyen et pas par l'exploitation du groupe Sita Suez en charge du site

  • Des rejets de lixiviats de la décharge Sita Suez à Hasparren.

Officiellement, l'exploitant du centre de stockage Hazketa de la commune d'Hasparren aurait "procédé à la résolution de l'incident", selon les propos des gendarmes venus dimanche 6 novembre 2011 à 17h sur le site, après que des citoyens réunis dans le collectif Hazketa 2010 aient lancé une nouvelle alerte à la pollution.

Avec trois jours de pluie ininterrompue sur le Pays Basque nord, cette colline abritant divers zones de confinement de déchets dit "ultimes" (sans valorisation possible) n'a pas échappé aux averses, qui ont provoqué le débordement de la cuve de rétention des "jus de décharge", ces lixiviats composés de produits chimiques toxiques, de dioxine, de métaux lourds, d'azote et de phosphore que la réglementation française considère comme extrêmement polluants pour l'environnement.

Ce sont des volumes importants et à un fort débit qu'aura constaté l'un des membres d'Hazketa 2010 (collectif citoyen réclamant la fermeture de ce centre), prenant en photo notamment le déversement d'un torrent brunâtre (voir cliché) dans le ruisseau Hazqueta qui irrigue des surfaces agricoles en aval, charriant ce jour-là des amoncellements de mousses blanches.

Derrière la pollution incontestable d'un cours d'eau dûe à un "incident" sur le site exploité par le groupe Sita -Suez, subsiste sans doute un aspect bien inquiétant.

Celui de ne pas avoir la possibilité d'obtenir de réponse claire et satisfaisante sur un "phénomène non prévisible" liée la météo (malgré l'alerte Méteo France cinq jours auparavant), quand les systèmes de rétention de ce "jus de décharge" n'ont pas fonctionné, et que l'alerte au sous-Préfet, dimanche matin, aura été due à une vigilance citoyenne et pas à l'exploitant lui-même.

Ni M. Arambidhe, exploitant du centre Asketa d'Hasparren, ni la délégation régionale du groupe Sita Suez ("le spécialiste du déchet de sa valorisation à son élimination"), n'ont répondu à nos questions sur le sujet.

Un "incident" circonscrit "officiellement" dimanche 6 novembre à 19h ?

Une visite sur place permettait pourtant ce lundi matin à 9h de constater que les eaux brunâtres  issus de la décharge se jetaient toujours dans le ruisseau, porteurs de mousses moins importantes que la veille, mais tout aussi douteuses.


Deux versions "contradictoires" sur le volume de la pollution

De par sa conception (voir cliché), la rétention des lixiviats (qui dégoulinent des différentes zones de stockage de déchets ultimes) se fait dans un bassin équipé de pompes, permettant de re-diriger ce "jus de décharge" vers un système d'épuration situé en hauteur, et de valves de secours, permettant, en cas de volumes limites, d'en diriger une partie vers un second bassin versant, dit "bassin d'eaux pluviales".

Selon le fonctionnement "prévu", le débordement de ce 2ème bassin serait sécurisé par l'isolation totale des deux bassins.

Pour la Dreal à Pau (chargée du contrôle de l'installation), ce serait ce "2ème bassin" de recueillement qui aurait malgré tout débordé, entrainant effectivement "un rejet dilué de lixiviats et d'eaux pluviales" vers le ruisseau en aval, "dans des volumes et avec une toxicité non encore évalués".

"Inexact", rétorque le lanceur d'alertes Antton Amestoy, par ailleurs ingénieur chimiste, qui a photographié le bassin débordant des lixiviats (voir cliché), mais également le "2ème bassin", loin d'être rempli au moment du rejet comme on peut le constater sur cet autre cliché pris au même moment.

La pollution du ruisseau est donc dûe aux débordements extérieurs du 1er bassin, qui a directement contaminé le ruisseau sans dilution.

Deux versions "contradictoires" nourries d'un côté de la déclaration de l'exploitant industriel de la Sita Suez, et de l'autre d'un citoyen d'Hasparren qui, en juin dernier, avait déjà averti les pouvoirs publics sur des départs de feux au-dessus des zones de confinement du site.


Les questions sans réponses qui restent posées à Hazketa

Avec la fermeture du site du vendredi 16h jusqu'au lundi 9h, la question de la non-surveillance des lieux (aucun salarié n'y est d'astreinte durant le week-end) interroge dans ce cas de défaillances, quand les seules caméras de vidéo-surveillance sont pointées vers l'extérieur (et d'éventuels "gêneurs") là où elles pourraient sans doute être également déployées vers l'intérieur du site (et reliées à un système d'alertes).

Une instruction au niveau du CLIS (Commission locale information et surveillance) devrait permettre d'y voir plus clair, réagit Yves Boulaigue à la Dreal de Pau, qui estime "anormal que l'alerte ne vienne pas de l'exploitant" et qui trouve "parfaitement légitime de s'interroger sur la capacité de l'exploitant à répondre aux normes de surveillance et d'astreintes du lieu".

 

Lieu vers l'article :

http://www.eitb.com/fr/infos/environnement-et-science/detail/771058/hasparren--au-milieu-coulait-ruisseau-dechets-ultimes/

 

 

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5 novembre 2011 6 05 /11 /novembre /2011 17:42
Aqueduc de la Dhuis :
Appel à manifester le Samedi 19 Novembre 2011 à partir de 14h30.

« La Marche pour la Dhuis »

 

A l'appel du collectif « Sauvons la Dhuis », vous êtes invités à une marche pour la sauvegarde de l'aqueduc de la Dhuis.

Cette marche aura lieu Samedi 19 Novembre 2011 à partir de 14h30.

Le lieu du rendez-vous a été fixé sur la commune de Villevaudé (77410) à l'angle de la rue du Lavoir et de la rue Charles de Gaulle.

La « Marche pour la Dhuis », d'une durée de 2 heures, permettra de faire un aller-retour de Villevaudé (77410) à Courtry (77181) sur le tracé de la promenade de la Dhuis et jusqu'aux frontières de la Seine-St-Denis.

Dhuis_Coubron_17102011_01_Web.jpg

                                                                               Notre aqueduc de la Dhuis
Rappel des faits :

Tandis qu'à une centaine de mètres de l'aqueduc de la Dhuis, BP Placo - Placoplâtre (filiale du groupe Saint-Gobain) s'illustre déjà par sa volonté d'exploiter les sols potentiellement radioactifs de l'ancien site du Commissariat à l'Energie Atomique du Fort de Vaujours (Coubron, Vaujours, Courtry), et elle ne tient pas compte des études indépendantes.

Nous avons découvert, il y a peu que cet industriel projette la mise en œuvre d'une carrière à ciel ouvert sur l'aqueduc de la Dhuis.

Cet industriel envisage donc de sectionner cette coulée verte que nous adorons, cette continuité écologique indispensable à la survie des espèces et à l'équilibre des milieux naturels du massif de l'Aulnoye en Seine-St-Denis.

Pour les associations, la coupe est pleine.

Du haut de leur logique commerciale, les hauts responsables de cette société désirent mettre à mal la promenade de la Dhuis. Pourtant celle-ci a été aménagée et entretenue avec notre argent, celui des contribuables (6 millions d'€ investis de 2006 à nos jours).

Tandis qu'une exploitation souterraine est possible, à l'instar du bois de Bernouille sur Coubron, cet industriel, comme sur le fort de Vaujours, s'obstine à tout vouloir détruire.

Une nouvelle carrière à ciel ouvert signifie la destruction programmée de la butte de l'Aulnay sur les communes de Le Pin, Villevaudé, Claye-Souilly et Annet-sur-Marne.
Une carrière à ciel ouvert sur la Dhuis, c'est la destruction d'un élément clef de la trame verte de l'Est Francilien.

Villevaude_30102011_Lafarge_03.jpg

                                                               Exemple d'une carrière de gypse à ciel ouvert.
Ceci est contraire aux engagements des grenelles de l'environnement.
Vous avez été des milliers à signer spontanément notre pétition pour vous opposer à la destruction de l'aqueduc de la Dhuis.

Vous êtes tous les jours de plus en plus nombreux.

PeticaoPublicaLogo.fr.gif

http://www.petitionpublique.fr/?pi=dhuis

C'est grâce à votre amour sans faille pour cette coulée verte que nous avons été en mesure d'obtenir le retrait de la délibération de cession de l'aqueduc de la Dhuis du conseil de Paris au profit de la société BP Placo - Placoplâtre (filiale du groupe Saint-Gobain).

Et maintenant ?
La lutte n'est pas terminée et certains voudraient que l'on s'épuise.
Car maintenant la Mairie de Paris demande au Conseil Général de Seine et Marne, à la Région IDF et aux communes concernées de se positionner clairement sur l'avenir de l'aqueduc de la Dhuis.

Après 6 semaines de mobilisation, il y a encore trop de ceux qui soutiennent sans vraiment soutenir, trop de ceux qui disent vouloir sauver la Dhuis sans vraiment agir et nous ne parlons pas de ceux qui se cachent pour ne pas répondre.

Si les associations n'avaient pas découvert le « pot aux roses » le sort de la Dhuis aurait déjà été très vite réglé.

C'est pour cela qu'une nouvelle fois, nous avons besoin de vous. Nous avons besoin de celles et ceux qui aiment la Dhuis.
Nous avons besoin de vous pour faire comprendre aux « politiques » que l'heure de vérité est venue et qu'il est temps qu'ils fassent ce qui est nécessaire et indispensable pour sauver l'aqueduc de la Dhuis et la butte de l'Aulnay.

Nous comptons donc sur vous pour vous joindre au collectif « Sauvons la Dhuis » en venant Samedi 19 Novembre participer à la « Marche pour la Dhuis », la marche pour la vie.

Dhuis_LePin_15102011_Web.jpg

                                                                              Touche pas à mon aqueduc
Cordialement,

 

Le Collectif « Sauvons la Dhuis ».

Le collectif est composé des associations suivantes :

Nature Environnement 77

6 rue Plâtrière 77000 MELUN http://nature.environnement.77.over-blog.com

Villevaudé... Demain

Rue de la Grange 77410 VILLEVAUDE http://www.villevaude-demain.com

Les Abbesses de Gagny-Chelles

67 av. Paul-de-Kock 93220 GAGNY http://www.dhuis.fr

VILL'PAS RANDO

17 RUE DANTON 77270 VILLEPARISIS

Environnement 93

16 avenue Monge 93470 COUBRON

ADENCA

Association de Défense de l'ENvironnement de Claye-Souilly et ses Alentours http://adenca.over-blog.com

 

Les Amis de Carnetin

Mairie, rue Albert-Mattar 77400 CARNETIN

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3 novembre 2011 4 03 /11 /novembre /2011 11:49

 

 

SEINE ET MARNE LE DEPOTOIR DE L’ILE DE FRANCE :

Comment en est-on arrivé là ?

 

 

 

Pour de l’argent ?

Compensations financières, taxes diverses….. ?

 

 

 

Extrait de  l’article paru dans le Parisien 77 lundi 31 octobre 2011 intitulé

 « Nous ne voulons pas être la poubelle de la région »

 

Monsieur Vincent Eblé,

Président du Conseil Général 77 et Sénateur de Seine et Marne

nous ouvre les yeux, il indique :

 

« On veut le rééquilibrage. Mais, s’il doit y avoir un déséquilibre, nous voulons des compensations financières ou économiques ».

 

 

 

Pourquoi  depuis des décennies nombre d’élus de Seine et Marne donnent des avis favorables encore et encore pour l’exploitation ou l’extension de ces activités polluantes que sont les décharges pour exemple :

 

- les communes de Claye-Souilly, Fresnes sur Marne, Charny... décharge Veolia Rep Claye-Souilly (aujourd’hui 289 hectares)

- la commune d’Annet sur Marne pour l’exploitation de 2 décharges ECT

- la commune de Villevaudé pour l’exploitation d’une décharge Terralia

- la commune de Fresnes sur Marne pour l’exploitation d’une décharge Veolia Rep.

 

Pour de l’argent ?

Compensations financières, taxes diverses…..?

 

 

 

Ces élus de bonne foi certainement n’ont-ils vu que l’aspect argent du dossier ? plus d’argent peut-être  pour organiser plus de banquets ? avoir la plus belle salle polyvalente? la commune la plus décorée? verser plus de subventions à certaines associations?….

 

Mais nous souhaitons à l’avenir  qu’ils n’oublient pas que l’argent ne remplacera jamais un environnement dégradé et que pour conserver leurs administrés en bonne santé rien ne vaut un environnement propre, notamment dans ce département où l'espérance de vie est l'une des plus faibles d'Ile de France.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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30 octobre 2011 7 30 /10 /octobre /2011 17:01

 

 

dhuis villevaudé 2 15.10.2011

Aqueduc de la Dhuis Villevaudé 15/10/2011 ( à cet endroit il passe en souterrain)

 

 

 

 

Collectif « Sauvons la Dhuis »


 

 

Un collectif vient de se constituer pour sauver la Dhuis ou Dhuys.

( les deux orthographes sont permis)

 

Il comprend  7 associations :

 

- Nature Environnement 77

6 rue Plâtrière

77000 Melun

http://nature.environnement.77.over-blog.com

 

- Villevaudé Demain

Rue de la Grange

77410 Villevaudé

http://www.villevaude-demain.com

 

-Les Abbesses de Gagny-Chelles

67. AV Paul de Kock 93220 Gagny

http://www.dhuis.fr

 

-Vill’pas Rando

17. rue Danton 77410 Villeparisis

 

-Environnement 93

16. avenue Monge

93470 Coubron

 

-Les Amis de Carnetin

Mairie rue Albert Matar

77400 Carnetin

 

-Adenca

7. rue du 8 Mai 1945 prolongée

77410 Claye-Souilly

http://adenca.over-blog.com

 

 

Un tract est en cours de distribution dans les différentes communes environnant le site.

 

Des panneaux viennent d’être posés à proximité de l’aqueduc de la Dhuys.


 

dhuis carrefour villevaudé 30.10.2011

Panneau posé ce jour au rond-point de Villevaudé

 

 

 

Pour sauver la Dhuys signez la pétition : http://www.petitionpublique.fr/?pi=dhuis

 

 


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29 octobre 2011 6 29 /10 /octobre /2011 22:34

 

 

L'une des causes principales de la disparition des terres agricoles

au Nord Ouest Seine et Marne :

 

 

 

Les exploitations de carrières à ciel ouvert

les exploitations de décharges

 


 

Un exemple la carrière Placoplatre Groupe St Gobain Villeparisis

 

placoplatre 16.5.2009 010

  Carrière Placoplatre ST GOBAIN Villeparisis 16/5/2009

 

 

 

Paru dans Ile de France Conjoncture Septembre 2011 :

 

L'ile de France a perdu 1/5 de ses exploitations agricoles en 10 ans

 

 

http://www.draf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/conjoncture_agricole_Ile-de-France_septembre_2011_cle8ec692.pdf

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