ADENCA
Association de Défense de l'ENvironnement de Claye-Souilly et ses Alentours
"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le
mal,
mais par ceux qui les regardent agir et qui refusent d'intervenir."
Albert Einstein
Depuis plusieurs années on constate que nos élus utilisent l’argent de nos impôts pour verser à la pelle des subventions aux agriculteurs pour des projets privés peu créateurs d’emplois.
C’est le cas notamment de la méthanisation agricole, la subvention moyenne en Seine et Marne tourne autour de 800 000 € par méthaniseur pour créer 1 emploi, parfois 2 et recevoir des stagiaires.
Pour fournir du gaz aux autres !
Certains élus se vantent que les méthaniseurs seraient implantés en Seine et Marne pour obtenir l’autonomie en gaz dans ce département, ils oublient de citer que des dizaines de communes du 77 n’ont jamais été raccordées au gaz de ville comme Beautheil, Charmentray, St Mesmes, Vinantes, Le Plessis Aux Bois, Le Plessis l’Evêque, Montgé en Goële, Nantouillet, Cuisy, Forfry, Gesvres le Chapitre, Marcilly, Maisoncelles en Brie, Hautefeuille, May en Multien…..
Les subventions pour les agriculteurs méthaniseurs.
L’augmentation des impôts locaux pour les habitants des villages ruraux.
Difficile à comprendre que des millions d'euros de subventions soient réservés aux agriculteurs alors que les villages ruraux recherchent désespérément des subventions pour boucler leur budget, les habitants découvrent des augmentations importantes de leurs impôts locaux ou de leur facture d’eau, eux qui doivent également faire face à l’augmentation du prix de l’essence, la voiture est pratiquement le seul moyen pour se rendre à leur travail, pour aller consulter un médecin ou pour se ravitailler.
Le centre de sécurité sociale de Claye-Souilly est fermé depuis plusieurs années et c’est bien dommage, les usagers le regrettent.
Celui de Mitry-Mory était ouvert au public chaque jeudi mais depuis près de 2 ans c’est fini.
Si vous avez un problème particulier vous devez prendre rendez-vous au 3646, mais ironie du sort le site est saturé et l’on vous demande de renouveler votre appel, encore et encore.
Si vous avez besoin d’urgence d’un document ou autres le mieux est de faire vos démarches sur Internet sur le site Ameli ou de vous rendre aux centres CPAM de Meaux ou Chelles.
Pour les usagers ne possédant ni ordinateur, ni véhicule et habitant dans un village rural, il est vrai que c’est le parcours du combattant.
Pour toute demande
d’amélioration de ce service public
Nous vous conseillons de vous adresser à votre député
Rodrigue KOKOUENDO (LREM)
Depuis l’arrivée à la mairie du « couple » Yves Albarello/Jean-Luc Servières les élus ont permis la construction de centaines de logements, sans respecter la législation en vigueur qui les obligeait à construire 25 % de logements sociaux.
Pour exemple au bois des Granges, environ 250 logements sociaux devraient être construits, ils ne seront qu’une centaine, donc il faut rechercher d’autres emplacements pour implanter le complément.
Jean-Luc Servières dit ne pas vouloir implanter de logements sociaux dans les zones pavillonnaires sauf, semble-t-il, à Souilly près de la jolie place couverte de tilleuls plus que centenaires.
C’est le site de l’entreprise «La Juste Pression », fabriquant de manomètres depuis des décennies, qui a été choisi par le maire, le propriétaire privé ne serait pas vendeur, mais qu’à cela ne tienne, Jean-Luc Servières voudrait y construire 25 logements sociaux au moins sur environ 700 m2 de terrain, soit un immeuble de plusieurs étages.
Ce site devrait être listé dans le PLU en emplacement réservé, ce qui permettra à la commune d’exproprier le propriétaire contre son gré.
LES RIVERAINS INQUIETS
Dans son futur PLU, Jean-Luc Servières ne veut imposer qu'une seule place de parking dans les immeubles de logements sociaux alors qu'il en impose 2 pour les autres logements, la petite rue de la Place ne pourra pas absorber à elle seule le surplus de véhicules en stationnement.
Pour combler ce manque, Jean-Luc Servières, va-t-il détruire la jolie place de Souilly, dernier poumon vert de ce secteur, pour y créer des places de parkings pour ces nouveaux habitants ?
Côté assainissement le déversoir d’orage dit « Allende » qui se trouve sous la place de Souilly est déjà à saturation et reverse en cas de fortes pluies des eaux non traitées dans la rivière voisine, qu'en sera-t-il avec 25 logements en plus ?
Combien d'étages fera cet immeuble : rez de chaussée + 2 ou 3 étages ?
L'immeuble dépassera de combien de mètres les habitations environnantes ?
Pour donner votre avis
Venez nombreux à la réunion publique : Projet PLU secteur Souilly
jeudi 19 mai 2022 à la salle Planète Oxygène
Paru sur 76 Actu :
Près de Rouen, des « échauffourées » éclatent sur le site du projet de stockage de déchets du Grand Paris
La tension était vive, jeudi 5 mai 2022, entre des opposants à un projet d'enfouissement de déchets du Grand Paris et le propriétaire du site concerné, à Mauny. Explications.
Le site du stockage des déchets du Grand Paris est une ancienne carrière, située à Mauny (Seine-Maritime), à l’ouest de Rouen. (©AF/76actu)
Par Valentin Lebossé
Publié le 9 Mai 22 à 17:07 mis à jour le 9 Mai 22 à 17:46
C’est un incident qui en dit long sur la tension qui règne autour d’un projet d’enfouissement de déchets inertes, dans une ancienne carrière située aux confins des communes de Mauny et Bardouville (Seine-Maritime), à l’ouest de Rouen. Jeudi 5 mai 2022, les gendarmes ont dû intervenir pour séparer des habitants, à deux doigts d’en venir aux mains.
Près de 400 000 m³ de gravats
« On était en train de faire un reportage avec une équipe de TF1, resitue Nathalie Haubert, présidente des Pieds dans l’eau, association qui s’oppose à ce projet de stockage. Le journaliste m’a demandé de lui faire voir où se trouve le nœud du problème. »
Direction le hameau de Beaulieu où à quelques encablures de celui-ci, un terrain situé dans la commune de Mauny pourrait accueillir près de 400 000 m³ de gravats issus des travaux du Grand Paris. « Nous y étions avec le maire de Bardouville (lui aussi s’étant prononcé contre le projet, NDLR) et quelques membres de l’association. Nous avons fait attention à ne pas pénétrer sur la propriété. »
Une version contestée par Jean Lefebvre à qui appartient la carrière : « J’ai vu 12 ou 13 personnes sur mon terrain. Je ne pouvais même plus sortir de chez moi ! » Le septuagénaire se dit déjà lié par une convention avec la Société Environnement et Minéraux (SEM), l’entreprise en charge du réaménagement. Un engagement qu’il ne pourrait rompre qu’en s’acquittant de coûteuses pénalités.
Également interrogé, Dominique Rousseau, le maire de Bardouville, admet que « les gens se sont baladés moitié sur le trottoir, moitié chez M. Lefebvre ». Tout en faisant remarquer qu’« il n’y a pas de barrière, rien qui matérialise une défense d’entrer. De plus, il doit respecter le droit de passage vers une autre propriété desservie par ce chemin ».
« C’est parti en cacahuète »
« J’ai voulu les faire sortir de chez moi », reprend le propriétaire. Après l’avoir interviewé, le journaliste de TF1 interroge Nathalie Haubert. « M. Lefebvre se tenait derrière moi de manière oppressante, décrit cette habitante de Bardouville. Je lui ai lancé : ‘Reculez, vous me faites de l’ombre !’ C’est là que c’est parti en cacahuète. »
La présidente des Pieds dans l’eau raconte avoir été « menacée, insultée, poussée » par Jean Lefebvre – « il a voulu me mettre un coup de poing ». Ce dernier réfute : « Je l’ai poussée avec ma main comme elle m’a poussé avec la sienne. Je ne l’ai pas frappée. »
Dominique Rousseau évoque, lui, « des échauffourées qui ont duré 30 secondes ». C’est lui qui a demandé l’intervention des gendarmes pour ramener le calme.
Des plaintes déposées ou à venir
Pour autant, cet incident ne devrait pas en rester là. Jean Lefebvre indique avoir porté plainte pour intrusion sur sa propriété, ce que confirme le maire de Bardouville. Du côté des membres des Pieds dans l’eau, « nous sommes trois à devoir aller porter plainte » pour les violences dont ils accusent le septuagénaire, précisait vendredi 6 mai Nathalie Haubert.
Le propriétaire de la carrière a néanmoins été invité par la présidente de l’association à s’exprimer lors d’une réunion publique organisée le soir même par le collectif Bardouville en danger. Mais l’accès lui a été refusé par Dominique Rousseau qui se justifie : « En tant que garant de la sécurité de cette manifestation, j’ai considéré que ce n’était pas opportun qu’il vienne prendre la parole. Il était tout seul, il se mettait en danger. » Une explication qui ne convainc pas Jean Lefebvre : celui-ci accuse l’édile de l’empêcher de s’exprimer devant ses administrés.
Combien de camions ?
Au cours de cette réunion, les réfractaires au projet ont répété leurs arguments contre l’enfouissement des déchets inertes. En tête de leurs préoccupations, la noria des camions qui achemineront les gravats débarqués par barge à l’appontement d’Anneville-Ambourville, jusqu’à la carrière de Mauny en traversant le village de Bardouville et le hameau de Beaulieu. Un ballet que les opposants estiment à 120 poids lourds par jour et dont ils craignent les conséquences en matière de pollution de l’air et de risque d’accident.
La SEM avance pour sa part des chiffres bien plus modestes : « Il y aura chaque jour 50 rotations de camions, soit un nombre de quatre à six camions maximum. »
Du côté de la préfecture de la Seine-Maritime, qui a autorisé ce stockage par un arrêté en date du 25 avril 2022, on assure que « le trafic de poids lourds ne dépassera pas 11 % du trafic global sur la RD64 ». Leur circulation sera « interrompu[e] les lundi, mardi, jeudi et vendredi (hors vacances scolaire) aux heures d’entrée et de sortie des écoles », ajoute l’organe d’État dans son arrêté.
La préfecture prévoyait aussi, dans son projet d’arrêté, « des mesures de retombées de poussières et de niveau sonore […] imposées à l’exploitant, qui devra prendre les mesures correctives en cas de dépassement des valeurs seuil ».
Les opposants veulent casser l’arrêté préfectoral
Autre exigence du préfet, « une traçabilité et des contrôles des matériaux issus de sites non pollués pour lesquels des analyses à chaque barge sont imposées à l’exploitant, pour éviter tout risque de pollution des eaux souterraines. Des analyses d’eau de la nappe phréatique sont imposées périodiquement pour vérifier l’absence d’impact ».
Pas de quoi convaincre les opposants. Nathalie Haubert envisage de déposer un recours contre l’arrêté préfectoral. « Nous avons deux mois pour le faire. » Le collectif Bardouville en danger a d’ailleurs lancé une levée de fonds via son site Internet pour pouvoir se payer les services d’avocats spécialisés dans le droit de l’environnement».
Jean-Luc Servières
dévoilera-t-il
le nombre de logements sociaux à construire ?
lors de la réunion de ce soir :
à 19h00 à la salle Planète Oxygène allée André Benoist
En effet depuis l’arrivée à la mairie du « couple » Yves Albarello/Jean-Luc Servières les élus ont permis la construction de centaines de logements, sans respecter la législation en vigueur qui les obligeait à construire 25 % de logements sociaux.
Aujourd’hui le Préfet donne le choix à Jean-Luc Servières :
Délivrer les permis de construire un droit que Jean-Luc Servières ne veut pas laisser lui échapper, donc il a fait le choix de continuer à urbaniser la commune en construisant des logements sociaux.
Restreindre les constructions en zone urbaine
Les promesses de campagne vite oubliées ?
Le maire ne semble pas disposé à utiliser le patrimoine immobilier de la ville pour construire ces logements sociaux, préfère-t-il continuer à vendre les terrains communaux à des promoteurs comme la commune l’a fait encore récemment pour une parcelle située en face du château d’eau où une masse d’appartements ont été construits sans imposer au promoteur aucuns logements sociaux ?
Promesses, promesses....
Un maire qui disait vouloir faire preuve de dialogue.
Le maire préfère obliger des propriétaires privés du centre ville, à vendre, contre leur gré, leurs maisons à la commune ou à un promoteur dans le but de les détruire pour construire à la place des immeubles de logements sociaux.
Pour leur annoncer la nouvelle le maire en a convoqué certains, mais le dialogue n'était pas de mise, le maire avait pris sa décision sans écouter les arguments des intéressés.
Les élus vont vous présenter
lundi 9 mai 2022 à 19 heures
à la salle Planète Oxygène
les mesures projetées pour les années à venir
dans le cadre de leur projet de Plan Local d'Urbanisme
Dans ces mesures
la protection de la santé des populations
sera-t-elle prise en compte ?
En effet l’association Respire nous a appris récemment que la qualité de l’air était mauvaise près d’un grand nombre d’écoles de notre commune.
Il est vrai que 3 écoles du centre ville sont particulièrement impactées par la pollution dégagée par les véhicules à moteur :
Pour protéger la santé des petits écoliers, quelles mesures pourraient prendre les élus ?
- installer des points de contrôles de la qualité de l’air autour de ces écoles
- implanter une école à Souilly pour réduire la circulation de véhicules aux abords de ces écoles
- créer des places de parkings vélos aux abords de ces écoles pour éviter aux parents de prendre leurs véhicules
- encourager les riverains à verdir ces secteurs
- ne plus autoriser l’implantation d’immeubles dans ces secteurs......
Affaire à suivre.....
Pour aller plus loin : https://actu.fr/ile-de-france/villeparisis_77514/air-pollue-dans-les-ecoles-d-ile-de-france-la-sante-des-enfants-en-danger_50320788.html
Paru sur le site de l’association RESPIRE :
Le 12 mai mobilisons-nous pour un futur meilleur pour nos enfants
Habitant.e.s, demandons plus de verdure et moins de voitures pour nos enfants
Pourquoi demander plus d’espace pour nos enfants ?
Aujourd’hui, près de la moitié de l’espace public à Paris est consacré à la voiture alors que son utilisation ne représente que 13 % des déplacements. Aujourd’hui c’est plus de trois enfants sur quatre qui respirent un air toxique en France.
L’OMS a annoncé que 570 000 enfants de moins de 5 ans meurent chaque année dans le monde à cause de la pollution de l’air. Les cas d’asthme chez les enfants ont doublé en deux décennies avec 240 000 enfants asthmatiques en Ile-de-France.
D’après une étude de Environmental Research, en France, le nombre de décès prématurés à cause de la pollution de l’air est évalué à près de 100 000 (97 242), ce qui représenterait 17 % des morts recensés en 2018.
La vie de nos enfants n’est pas un détail et c’est une crise sanitaire qui se joue là.
Il y a urgence à agir !
Pour mobiliser les riverains des écoles de vos enfants, aidez-vous de notre support de sensibilisation :
12 mai : Support sensibilisation parents.
Quelles sont nos demandes ?
Comment agir ?
Nous vous proposons trois niveaux d’actions pour le 12 mai :
Niveau 1 : Mail aux maires et au cabinet de David Belliard (vous pourrez envoyer un mail automatique depuis notre site le jour de la mobilisation)
Niveau 2 : Pancartes devant l’école pour sensibiliser les riverains
Niveau 3 : Blocage complet de la rue avec animations type prise de parole, chansons, dessins à la craie sur le sol etc.
Tout cela en relayant nos actions sur les réseaux sociaux avec le #DeLairPourNosEnfants
POUR PLUS D’INFOS : CAMILIA@RESPIRE-ASSO.ORG
https://www.respire-asso.org/12-mai-mobilisation-europeenne-pour-plus-de-rues-aux-ecoles/
Il faut bien comprendre que les industriels ne sont pas disposés à réduire leurs émissions de déchets de gaz carbonique CO2 dans l’air et qu’ils préfèreraient mettre ces déchets sous le tapis.
La Seine et Marne est déjà le réceptacle des ordures des autres : déchets dangereux, déchets non dangereux, déchets « dits inertes », déchets de méthaniseurs…..
Au point où vous en êtes
un peu plus de déchets
ça ne devrait pas vous gêner ?
Pour en venir au sujet qui nous préoccupe :
Depuis de nombreuses années des essais de captage et stockage gaz carbonique CO2 sont fait en laboratoire mais les ingénieurs recherchent des sites où ils pourraient faire leurs essais grandeur nature.
A Jurançon près de Lacq Total a déjà fait des essais en 2010 en captant des déchets de gaz carbonique CO2 et en les stockant dans un ancien réservoir de gaz, des essais rapidement arrêtés en 2013 alors que Total n’avait même pas stocké la moitié des tonnages prévus, ne croyez surtout pas que ce sont les microséismes repérés dans le réservoir de stockage qui sont à l’origine de cet arrêt, mais il est vrai que Total a été très discret sur les raisons de l’arrêt des essais.
A Grandpuits Total dit vouloir faire des essais de captage de CO2, BRGM vient d’ailleurs d’informer la population environnante qu’une étude du sous-sol va être réalisée à l’aide de camions vibrateurs accompagnés de capteurs sur un secteur très étendu qui pourrait aller de la Brie Nangissienne, à la Brie des Rivières et même jusqu’au Val Briard, étude dans le but de la mise en place d'un projet de stockage de CO2.
Servir en quelque sorte de cobayes
ça vous dirait ?
Ici le stockage des déchets de CO2 pourrait se faire dans les aquifères salins, une nappe souterraine profonde d’eau salée qui recouvre le Bassin Parisien, ce serait l’un des premiers projets en France dans une zone aussi peuplée que le Bassin Parisien.
Le captage et stockage de CO2 est un sujet très sensible car en France les populations y sont plutôt opposées, Total le sait et se rappelle de l’hostilité des populations à Jurançon.
Une hostilité que Veolia Claye-Souilly a rencontré en 2008 lorsqu’il a annoncé « un projet pilote » de captage et stockage de déchets de CO2 sur sa décharge, projet que l’industriel dit avoir abandonné mais ADENCA n’est pas dupe, ce projet pourrait ressortir des cartons un jour ou l’autre.
Il faut dire qu’ADENCA connaît le sujet pour avoir rencontré l’association de Jurançon et à plusieurs reprises les ingénieurs de l’Ineris, les nombreuses incertitudes et risques pour les riverains ne sont pas là pour nous rassurer.
Pour vous faire une idée de ce projet nous vous conseillons de consulter :
« Retour d’expérience des incidents et accidents sur des sites d’exploitation ou de stockage en milieu souterrain » https://www.ineris.fr/sites/ineris.fr/files/contribution/Documents/drs-12-126009-13866b-unique-1397139450.pdf