Le Grand Paris et ses déchets
un court métrage sur l'économie circulaire
on y parle
de la
Seine et Marne
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ADENCA
Association de Défense de l'ENvironnement de Claye-Souilly et ses Alentours
"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le
mal,
mais par ceux qui les regardent agir et qui refusent d'intervenir."
Albert Einstein
Le Grand Paris et ses déchets
un court métrage sur l'économie circulaire
on y parle
de la
Seine et Marne
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En effet Jean-Jacques Barbaux veut que la Seine et Marne continue à recevoir les ordures des autres mais pour cela il faudra verser de l’argent.
Continuer à détruire le nord-ouest Seine et Marne cela n’a pas l’air de gêner le président du Conseil Départemental, il est vrai qu’il ne vit pas au milieu des décharges, il vit à Neufmontiers en Brie, un secteur épargné par ce type de pollution.
Alors qu’importe que les populations du nord-ouest 77 supportent les ordures des autres, prennent des risques sur leur santé et boivent de l’eau puisée au pied des décharges,
Jean-Jacques Barbaux a besoin d’argent :
- pour faire des routes que défoncent chaque jour les milliers de camions d’ordures qui arpentent la Seine et Marne
- pour favoriser le "business du lobby agricole" qui pour transférer plus facilement ses céréales à destination de l'étranger souhaiterait faire élargir la Seine pour permettre à des péniches de plus grandes contenances de rejoindre Rouen, le premier port céréalier d'Europe.
M. Jean-Jacques Barbaux
la santé des populations du nord-ouest 77
n’est pas à vendre
Nos enfants
ont le droit comme les vôtres
de vivre
dans un environnement sain
01 septembre 2016, 16h20|0
Villeneuve-sous-Dammartin. Les déchets de chantier forment des buttes de remblai qui modifient ici et là le paysage seine-et-marnais. (LP/Faustine Léo.)
Face aux montagnes de déchets des chantiers de la région, le conseil départemental a décidé de changer de stratégie. Et a choisi le pragmatisme.
Le plan de prévention et de gestion des déchets de chantier (Prédec) adopté l’an dernier à l’unanimité par le conseil régional permettait à la Seine-et-Marne de bénéficier d’un moratoire de trois ans dans le département interdisant la création et l’extension de sites de stockage et fixant le plafond de la capacité d’accueil à 4 millions de tonnes.
Jusqu’à ce qu’en mars le préfet de région demande au tribunal administratif d’annuler le plan. « La Société du Grand Paris estime ne pas avoir d’autre solution pour les 40 millions de tonnes de déchets que vont produire les travaux du Grand Paris Express », regrettait Jean-Jacques Barbaux, le président (LR) de l’assemblée départementale. Or, avec treize installations de stockage de déchets inertes et une multitude de carrières de remblayage, la Seine-et-Marne a reçu entre 2009 et 2013 26,7 millions de tonnes de déchets, soit 80 % des déchets inertes stockés en Ile-de-France.
« L’Etat estime que la Seine-et-Marne est la réceptacle des déchets de chantier. Nous allons le concevoir, mais nous exigeons des contreparties », avance le cabinet de Jean-Jacques Barbaux. Or, pour le moment, il n’y en a pas. Pas question de subir ». Le département souhaiterait des financements pour aménager des routes et la mise en grand gabarit de la Seine entre Nogent-sur-Seine et Bray-sur-Seine.
Estimant qu’il y a « une véritable économie du déchet de chantier », le département voudrait créer une filière permettant de les recycler, transformer la nuisance en atout. « Il faudra assurer la traçabilité, poursuit le cabinet. Mais il faut d’abord que l’Etat, les entreprises et les collectivités locales s’assoient autour de la table ».
leparisien.fr
La commune « accueille » déjà :
Yprema zone industrielle de Mitry-Compans
Suite à notre article du 9 mai 2016 Yprema nous dit qu’elle exerce seulement, sur le site industriel multimodal situé rue Decauville, une activité de transit et de commercialisation de matériaux recyclés, sur un espace total d’environ 4500 m2.
Que l’aire de stockage étant inférieure à 5000 m2 l’activité n’est pas soumise à déclaration auprès des services de la Préfecture.
Yprema nous précise :
Qu’elle ne procédera pas directement sur le site au concassage des matériaux, ni au recyclage des mâchefers ou des terres, la sté n’envisage pas non plus d’installer à terme une déchetterie.
Yprema souhaite également attirer notre attention sur le fait que ses activités répondent à un intérêt collectif : le recyclage des déchets.
Concentrer une masse d’activités de déchets venant pour la plupart d’autres départements (décharges, entreprises de tri et recyclage) sur une surface aussi réduite que le bassin Beuvronne, ne répond pas au principe d’égalité inscrit dans la constitution, ni à la convention Aarhus.
Il serait souhaitable que
Mme Royal
se penche sérieusement sur ce sujet
et pense aux riverains
qu'on oblige
à vivre au milieu
des ordures des autres.
L’entreprise Yprema qui a « bénéficé » de plusieurs mises en demeure de la DRIEE 77 pour non respect de ses arrêtés préfectoraux annonce son implantation dans la zone industrielle de Mitry-Mory.
Pour mémoire :
- à Emerainville la mise en demeure portait notamment en 2013 sur la qualité des eaux pluviales rejetées qui dépassaient les normes autorisées par l’arrêté préfectoral.
- à Lagny sur Marne c’est une mise en demeure qu’à reçu cette entreprise en 2014 pour non respect de l’arrêté préfectoral concernant la fourniture des analyses des rejets des eaux à la préfecture et les conditions de stockage des mâchefers en bordure de Marne.
En novembre 2015 Yprema ne respectant toujours pas certains articles de l’arrêté préfectoral, un arrêté de sanction a été délivré par la préfecture.
L’implantation de cette entreprise
à Mitry-Mory
a-t-elle été autorisée par les services de l’ETAT ?
Nous n’en savons rien
Cette entreprise a-t-elle une station d’épuration privée pour gérer ses eaux industrielles ou bénéficie-t-elle d’une autorisation de la communauté d’agglomération Roissy Pays de France pour reverser ses eaux industrielles dans le centre d’épuration de Mitry-Mory ?
Nous n’en savons rien
Pour toutes informations complémentaires
contactez
la mairie de Mitry-Mory
Paru sur le site de l’ORDIF :
BTP : un nouveau centre dans le 77
YPREMA ouvre un site à Mitry-Mory destiné aux professionnels du BTP.
L’entreprise de traitement des matériaux de déconstruction dispose aujourd’hui de sept centrales de recyclage en Ile-de-France (Gennevilliers, Trappes, Massy, Bonneuil-sur-Marne, Emerainville, Lagny-sur-Marne) et en Bretagne (Pluguffan). Le 02 mai 2016, YPREMA ouvrira une nouvelle centrale de recyclage à Mitry-Mory, en Seine-et-Marne.
YPREMA fait le choix de se positionner au plus près des chantiers de ses clients et ouvre un nouveau site de production et de vente de matériaux recyclés à Mitry-Mory. Les professionnels du BTP auront ainsi un accès à l’ensemble des produits, à proximité de leurs chantiers de Seine-et-Marne et de Seine-Saint-Denis.
Le site de Mitry-Mory proposera :
• Le concassage des matériaux de déconstruction
• Le recyclage des mâchefers issus de l’usine d’incinération de St Thibault
• Le recyclage de terres inertes issues des chantiers de terrassements locaux
• L’espace artisan, la déchetterie professionnelle pour déposer tous types de déchets
• Sans oublier la fabrication des matériaux utilisés en remblais et en sous-couches des routes.
http://www.ordif.com/public/actualite/btp-un-nouveau-centre-dans-le-77.html?id=17407&rub=8986
Le préfet de région Jean-François Carenço développe les projets pour le Grand Paris.
Ne cherchez pas : aucun projet emblématique n’est prévu dans le bassin versant Beuvronne, hormis l’extension de l’aéroport de Roissy.
L’extension de Roissy ce sont des nuisances supplémentaires pour les riverains :
- accroissement du bruit
- risques d’accroissement de la pollution de la Beuvronne
- risques d’inondation
- risque de rupture du barrage des Renardières......
Quant aux ordures du Grand Paris Monsieur le Préfet de Région évite de dire qu'il a déposé un recours contre le PREDEC afin de permettre l'installation de nouvelles décharges ISDI en Seine et Marne, même dans le bassin Beuvronne, secteur le plus impacté par les décharges ISDI
d'Ile de France, sinon de France.
Voir la liste des projets emblématiques du Grand Paris :
|02 juillet 2016, 11h04|0
L’histoire nous rattrappe quelquefois. Vendredi, vers 15 h 20, une bombe datant de la Seconde gurerre mondiale a été retrouvée dans un site de traitements de gravats à Fresnes-sur-Marne, transportée par un camion-benne en provenance de Brou-sur-Chantereine. L’engin d’origine anglaise pesait 250 kilos. Les démineurs dépêchés sur place n’ont pu réussir à la désamorcer. Ils ont dû faire exploser cette bombe vers minuit. Une intervention qui a eu des conséquences pour les automobilistes circulant dans le secteur car la RN3 a été coupée de 21 h 45 à une heure du matin. Même chose pour la ligne LGV, interrompue durant cette même période.
Les associations ont reçu, depuis plus de 2 mois le rapport d’activité de la décharge de déchets dangereux Sita FD Villeparisis et l’en remercient.
Mais Veolia Claye-Souilly ne nous a toujours pas envoyé le sien bien que nous l’ayons réclamé à l’un des responsables rencontré en mai dernier près de l’école de Fresnes sur Marne.
Il y a quelques années la multinationale Veolia nous adressait régulièrement, au début du 2ème trimestre de chaque année, ce rapport d’activité mais depuis l’année dernière il nous est de plus en plus difficile d’obtenir ce document.
Pourtant la multinationale est tenue d’adresser un rapport d’activité aux services de l’ETAT avant le 31 mars de chaque année.
Dans la foulée Veolia Claye-Souilly aurait pu, comme son homologue Sita Villeparisis le fait volontiers, nous envoyer ce rapport d’activité.
Un manque de transparence
de Veolia Claye-Souilly ?
A vous de juger
Marne et Gondoire, une collectivité qui protège ses espaces agricoles et qui envoie ses ordures chez les autres !
20 Mai 2016, 16h08 | MAJ : 20 Mai 2016, 16h08
Vallée de la Brosse. Marne-et-Gondoire a établi un périmètre de protection des espaces agricoles et naturels périurbains qui abrite des agriculteurs heureux de vous faire découvrir leurs activités. (LP/Thomas Poupeau.)
Promenez-vous dans les champs avec trois agriculteurs de Marne-et-Gondoire pour les journées de l’agriculture. Installés au cœur du périmètre de protection des espaces agricoles et naturels...
|Marine Legrand|12 juin 2016, 14h44 | MAJ : 12 juin 2016, 14h44
Moissy-Cramayel, le 1er juin. Plusieurs centaines de camions transitent chaque jour par la D 57 à Moissy pour déposer des déchets inertes sur les buttes de stockage de Combs-la-Ville. Les élus de Moissy et le collectif Sénart Citoyens se mobilisent. (LP/Marine Legrand.)
La mairie de Moissy-Cramayel tente par tous les moyens de faire cesser ce ballet incessant. Depuis un an, des camions remplis de déchets transitent par la commune pour abonder la décharge géante ECT le long de la D 57. Pour tenter de les en empêcher, les élus viennent de formuler un vœu en conseil municipal demandant « l’arrêt de la circulation des camions à Moissy-Cramayel à proximité de l’écoquartier Chanteloup en cours d’urbanisation et la création d’un nouvel accès des camions en dehors du territoire communal ».
Si les années précédentes ces camions remplissaient le site de stockage de déchets inertes ECT de Moissy sur la butte de Chanteloup, leurs gravats sont désormais destinés à la décharge de déchets inertes ECT des buttes du Bois-d’Egrenay, côté Combs-la-Ville. « Nous avons compté près de 450 camions par jour dès 6 heures du matin », s’étrangle Marc Contini, fondateur du collectif Sénart Citoyens et voisin de la butte de Chanteloup.
« Un nouvel itinéraire est en train d’être étudié »
« Après avoir vu le préfet à deux reprises et négocié avec ECT, un nouvel itinéraire est en train d’être étudié pour mener les poids lourds à la butte de Combs via Evry-Grégy et Combs-la-Ville, annonce Line Magne (PS), la maire de Moissy. ECT s’est engagé à abaisser le trafic à 100 camions par jour et à mettre deux agents pour sécuriser le carrefour D 57 - butte de Chanteloup où un accident mortel avait eu lieu entre un camion de la décharge et un vélo en juin 2015. »
Mais pour Sénart Citoyens, cela ne réglera pas le problème : « Le préfet de Seine-et-Marne délivre à chaque fois les autorisations pour exploiter ces sites de stockage de déchets et augmenter leur capacité alors qu’un moratoire de 3 ans a été voté en 2015 pour interdire toute extension ou création de site de stockage en Seine-et-Marne », regrette Marc Contini.
La société ECT, contactée à plusieurs reprises, n’a pas donné suite à nos sollicitations.
Le Parisien