22 décembre 2017
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ADENCA
Association de Défense de l'ENvironnement de Claye-Souilly et ses Alentours
"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le
mal,
mais par ceux qui les regardent agir et qui refusent d'intervenir."
Albert Einstein
U
L’argent de l’industriel
n’a pas fait fléchir les élus de Courtry.
S’ils avaient accepté, la commu
Enfin des élus conscients que l’argent de l’industriel
Des élus qui ont voté à l’unanimité contre la mise en conformité du Plan Local d’Urbanisme qui devait permettre l’extension pour 6 ans (de 2020 à 2026) de la décharge de déchets dangereux Suez Sita Villeparisis, classée Seveso à hauts risques.
Un vote qui
Valérie Pécresse comptait bien sur la décharge de déchets dangereux pour continuer à y déverser les déchets d’Ile de France mais pas seulement, le plan actuel permet à la décharge de Villeparisis de recevoir des déchets dangereux de la France entière, il faut bien rendre service aux amis élus d’autres régions
En effet plusieurs régions françaises
Valèrie Pécresse a organisé la 1ère réunion de la commission consultative plan déchets dangereux le 15 novembre dernier.(1)
Ironie du sort aucuns élus de Sei
Souhaitons que lors de la prochai
Pour mémoire Alfred Stadler, maire de St Mesmes, Jean-François Parigi, député et Jean-François Copé, maire de Meaux sont également nommés dans cette commission.
(1) Journal la Mar
Article Mag Journal 77
:19DÉC2017 Serge Moroy
Enfouissement des déchets : la commune n’en veut plus
Le site d’exploitation de Suez-Minerals, en activité depuis 1997, est classé Seveso. Il a une capacité de stockage de 250 000 tonnes par an, ainsi qu’une capacité de traitement des terres polluées de 60 000 tonnes par an. Le site est à cheval sur les communes de Courtry et Villeparisis, cette dernière détenant la plus grande superficie. En face, de l’autre côté de la route, se trouve le fort de Vaujours.
La mise en compatibilité avec le PLU aurait permis à Suez-Minerals de poursuivre son activité au-delà de 2020. Or, selon les élus courtrysiens, « une poursuite d’exploitation jusqu’en 2026 entraînerait son lot de nuisances pour six années supplémentaires, alors que Courtry vit déjà avec depuis quarante ans ».
En vertu du principe de précaution
Xavier Vanderbise, le maire, explique : « Au vu de la dangerosité des déchets enfouis sur le site, le conseil municipal a voulu réaffirmer l’idée du principe de précaution, inscrit dans la constitution, afin de préserver la qualité de vie et la santé des Courtrysiens ».
En prenant cette décision, la commune s’inscrit dans la démarche du conseil départemental « de ne plus être le département qui concentre 80 % des capacités de stockage des déchets d’Ile-de-France sur son territoire ».
Après avoir invoqué le principe de précaution, le maire attend l’avis de la Région. « Nous préférons attendre le plan régional de prévention et de gestion des déchets, qui sera adopté fin 2019 par la Région. Il déterminera une répartition plus efficace et plus juste des déchets sur le territoire francilien » ajoute-t-il.
Xavier Vanderbise justifie la décision comme un « geste en direction des générations futures ». Il conclut : « Courtry a pris sa part, il est normal que d’autres prennent la leur ».
Le classement Seveso
Seveso est le nom d’une série de directives européennes qui imposent aux états membre de l’Union européenne d’identifier les sites industriels qui présentent des risques d’accidents majeurs, appelés « sites Seveso », et d’y maintenir un haut niveau de prévention. La directive tire son nom de la catastrophe de Seveso qui s’est produite en Italie en 1976 et qui a incité les états européens à adopter une politique commune en matière de risque de pollution industrielle.
En savoir plus sur http://www.magjournal77.fr/courtry-enfouissement-des-dechets-la-commune-nen-veut-plus/#2AHEPMuleT5DQTMf.99
La cour administrative d’appel de Bordeaux a annulé mardi 12 décembre 2017 l'autorisation d’exploitation délivrée par le préfet en 2014.
Par Elisnouyane Kout
Publié le 12/12/2017 à 16:02
Mis à jour le 12/12/2017 à 16:06
L'incinérateur d'Echillais, à côté de Rochefort, n'est pas prêt de démarrer. Sans surprise, la cour administrative d'appel a suivi les recommandations du rapporteur public et annulé l'arrêté préfectoral autorisant le SIL à gérer l'installation
Il faudra attendre la notification de la décision aux parties pour prendre connaissance des motifs de la décision mais mi-novembre, le rapporteur public avait estimé que l'équipement n'était pas cohérent avec la loi de transition é ne rgétique votée en 2015.
En cause : la technique du tri mécano biologique utilisée par l'incinérateur, qui ne respecte pas la hiérarchie des modes de traitement des déchets inscrite dans la loi de 2015.
Le permis d'exploitation de l'incinérateur avait déjà été retoqué en premier instance par le Tribunal administratif de Poitiers en mars dernier pour un vice de forme.
Depuis son lancement en 2013, le projet de cet incinérateur fait l'objet de nombreuses oppositions, notamment d'associations de défense de l'environ ne ment.
Pour aller plus loin :
http://www.sudouest.fr/2014/10/31/a-echillais-34-ans-du-dossier-incinerateur-1721872-1336.php
Pourquoi à ce jour la commu
Pourquoi à ce jour la commu
La mairie va seulement demander au tribunal administratif de nommer un expert qui don
Pourquoi
la mairie
contre
le propriétaire
de la Beuvron
Pour le savoir nous vous conseillons de vous rapprocher des conseillers municipaux de cette commu
Yves ALBARELLO Maire |
Ali |
Kamira BEAUCOEUR |
Sylvie BEAUVALLET |
Romain BOUCHER |
Jeani |
Julien BOUSSANGE |
Séveri |
Ouarda CHOUKRI |
Catheri |
Emmanuel DENEUVILLE |
Daniel DERRIEN |
Jean-Louis FINA |
Yann FLEURY |
Stéphanie GENET |
Stépha |
Marie-Laurence HAAS |
Renaud HEE |
Laurent JACQUIN |
Pierre LOISON |
Sylvain MANDIN |
François MASSON |
Corin |
Christia |
Dorothée NICOLLE |
René OURY |
Véronique PASQUIER |
Jacques POINT |
Christi |
Julien PROFFIT |
Jean-Luc SERVIERES |
Antoi |
Christelle WAYSBORT |
Non contente d'envoyer ses ordures chez les autres, Paris la ville « lumière », n'est pas non plus un modèle dans le tri de ses déchets.(1)
Beaucoup d'immeubles ne possèdent pas de poubelle de tri : papiers, cartons et autres ordures ménagères sont déversés dans la même poubelle.
Seulement 2 arrondissements viennent de se lancer dans le tri des déchets alimentaires : le 2e et le 12e.
Paris pourrait prendre exemple sur Milan, mais il ne semble pas que ce soit à l'ordre du jour.
Paris pourrait mettre en place la contribution incitative (le contribuable ne paye que sur ses déchets en mélange), mais cela ne semble pas être à l'ordre du jour.
Quant aux gravats de bâtiment, n'en parlons pas, c'est un sujet qui fâche.
On démolie à tout va des bâtiments sans se préoccuper où iront les déchets, s'ils seront recyclés, où s'ils viendront atterrir sur les espaces agricoles transformés en décharges ISDI dans nos villages ruraux, près de nos écoles ou de nos captages d'eau.
Pourquoi Paris pourrait les déverser dans ses anciennes carrières qui forment un gruyère sous la capitale, mais vous n'y pensez pas, ces anciennes carrières sont un patrimoine historique pour la capitale, tandis que les anciennes carrières de Seine et Marne peuvent bien les accueillir, qui d'ailleurs en 77 se préoccupe de ce patrimoine historique ?
Paris
une capitale qui doit rayonner à travers le monde entier
sans se soucier
de détruire le cadre de vie
des « petites gens » du nord-ouest 77
est-ce vraiment la solution ?
A vous de juger
source :
Arivem
Depuis 2011 qu’il a été élu au Sénat Vincent Eblé n’a pas souhaité s’impliquer dans le lourd dossier du projet d’exploitation de gypse par Placoplatre sur le Fort de Vaujours.
Il
Parler d’argent
plutôt que de santé
c’est, semble-t-il, plus agréable ?
En effet Vincent Eblé a été nommé récemment « président » de la commission des finances du Sénat, un dossier qui demande beaucoup de travail, vous riverains vous devez comprendre que vos problèmes de santé et d’environ
Il faut bien que vous admettiez que Vincent Eblé
Président de la commission des finances au Sénat
La question du jour :
Vincent Eblé
au sein de la commission de suivi de site Fort de Vaujours ?
Vous pouvez le contacter au Sénat :
La préfecture vient de dresser 2 nouveaux arrêtés préfectoraux à l’encontre de Wipelec Meaux. Ce sont 9 arrêtés que la préfecture a dressé en un peu plus d’un an à l’encontre de l’industriel.
Un industriel qui a déjà pollué plusieurs sites l’un à Romainville et l’autre à Pompon
La question du jour :
Un industriel
qui exploite u
peut-il ne pas respecter la législation en vigueur
parce qu’il travaille pour la « Défense » ?
Extrait arrêté préfectoral :
Pour consulter les arrêtés préfectoraux :
Le reportage de complément d'enquête d'hier soir sur France 2 sur le Fort de Vaujours a été regardé avec intérêt par des riverains très inquiets pour leur santé.
Particulièrement remarqué l'interview du député de la circonscription Rodrigue Kokouendo (LREM) à la sortie de la commission de suivi de suite, un député qu'il n'avait pas le temps de répondre aux questions des journalistes car il était attendu à l'assemblée.
Un député qui d'ailleurs n'avait posé aucunes questions lors de cette commission de suivi de site et semblait peu au courant du sujet, difficile à comprendre lorsque l'on sait que ce député habite depuis de nombreuses années à Villeparisis,
Rodrigue Kokouendo a-t-il demandé à Mme la Ministre des Armées la levée du secret défense ?
Pas à notre connaissance
Rodrigue Kokouendo a-t-il demandé à Mme la Ministre de la Santé qu'une étude épidémiologique soit effectuée autour du fort de Vaujours ?
Pas à notre connaissance
Rodrigue Kokouendo a-t-il demandé à Monsieur le Ministre de l'Ecologie qu'une étude de la pollution radioactive et chimique des eaux souterraines et des rivières soit réalisée autour du fort de Vaujours ?
Pas à notre connaissance
La question du jour :
a quoi sert un député?
Nous vous laissons le soin de répondre,
Pour ceux qui n'aurait pas pu voir l'émission d'hier
vous pouvez la revoir sur ce site :
C'est dans la commune martyre de Moussy-le-Neuf, où l'ETAT a déjà autorisé l'implantation de plusieurs décharges, que voudrait s'étendre l'entrepôt géant CSP, qui deviendrait SEVESO, suite au stockage d'un tonnage important de produits dangereux pour l'environnement.
Cette entreprise est située 3 avenue des 22 arpents, elle stocke des produits pharmaceutiques et a déjà subi 2 incendies en 2008 et 2010. (1)
Après extension ce serait 190 poids lourds/jour qui fréquenteraient le site.
Il n'est pas prévu de création d'emplois.
les habitants de
Moussy le Neuf
(1)étude environnementale
Paru dans le Parisien 77 :
>Île-de-France & Oise > Seine-et-Marne > Moussy-le-Neuf|28 février 2009, 7h00|0
Un immense champ de boue a remplacé les carcasses calcinées des entrepôts de CSP (Centre spécialités pharmaceutiques) à Moussy-le-Neuf. Il y a presque un an, le 19 mars 2008, un violent incendie détruisait 18 000 m 2 des dépôts de cette entreprise de stockage de produits pharmaceutiques, soit 40 % de la surface de l'époque. Les fumées étaient visibles à vingt kilomètres à la ronde. Onze mois plus tard, pelleteuses et foreuses s'activent pour redonner son image d'origine au site qui alimente une quarantaine de laboratoires.
« Dès le troisième jour après l'incendie, on savait que l'on allait reconstruire », se souvient Philippe Caruel, le directeur des opérations de l'entreprise. Les structures et la dalle de béton datant de 1991 ont été enlevées en janvier et les fondations des nouveaux entrepôts sont en train d'être mises en place. « Ils seront plus modernes, avec des capacités de stockage plus importantes, explique Jean-Luc Delmas, le directeur de la communication. Les murs seront en béton, avec des protections incendie automatiques. »
Un an après, la cause du sinistre reste inconnue
Ces entrepôts seront ainsi équipés comme les autres construits dans les années 2000 qui, eux, n'ont pas brûlé. Des traces de feu sur leurs murs rappellent ce petit matin où 20 000 palettes remplies de médicaments sont parties en fumée. Le personnel qui travaillait de nuit a tenté d'éteindre l'incendie, mais le feu était déjà bien trop puissant. Tous ont pu sortir à temps. Il n'y a eu aucune victime à déplorer. « La cause de l'incendie reste indéterminée, assure Jean-Luc Delmas. Mais nous ne sommes pas inquiets car nous n'avons jamais reçu de menace. Si la cause est humaine, elle est involontaire. »
A la fin de l'été, la première partie de la construction sera terminée. Le chantier coûtera plusieurs dizaines de millions d'euros, en partie pris en charge par les assurances. Les salariés exilés à quelques kilomètres de là à Saint-Witz (Val-d'Oise) dans 15 400 m 2 de locaux pourront commencer à revenir à Moussy-le-Neuf. « Une semaine après le sinistre, il ne restait que 140 salariés au chômage technique », se félicite Philippe Caruel. Les travaux s'achèveront à la fin de l'année. L'incendie ne sera plus que dans les mémoires.