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29 août 2018 3 29 /08 /août /2018 11:16

 

 

Des fleurs

devant la mairie et dans le centre ville

mais pas de cantine bio

pour vos enfants.

 

Pour permettre à la commune d'encaisser de nouveaux impôts locaux, il faut construire à outrance.

Pour attirer de nouvelles populations, il faut que la commune soit accueillante, un centre ville bien fleuri est un plus.

 

Il semblerait que ce soit le souci principal de vos élus .

 

Quant à proposer des produits bio à vos enfants dans les cantines scolaires, il semblerait que les élus l'aient projeté en 2014, un projet qui aurait été repoussé à plus tard, et nous le regrettons.

 

Pour tous renseignements complémentaires

Nous vous conseillons de vous rapprocher

de

Christiane Miquel

l'adjointe chargée des écoles

 

 

L'exemple d'une commune de 9500 habitants :

 

Paru sur le site Reporterre :

La cantine bio de Mouans-Sartoux nourrit bien élèves et paysans

4 juin 2018 Samantha Rouchard (Le Ravi) 

Avec sa cantine scolaire 100 % bio et sa régie agricole, la commune de Mouans-Sartoux, dans les Alpes-Maritimes, fait figure d’exemple en matière de restauration collective. Une réussite qui « n’est qu’une affaire de volonté politique », explique un des élus locaux.

  • Mouans-Sartoux (Alpes-Maritimes), reportage

« Voici la terre nourricière de nos enfants ! » s’exclame Gilles Pérole, adjoint à l’éducation et à l’enfance (DVG) de Mouans-Sartoux, dans les Alpes-Maritimes, en remontant l’allée d’oliviers du domaine de Haute-Combe. Une exploitation de six hectares, des champs à perte de vue, des arbres fruitiers et une vieille bâtisse qui deviendra d’ici peu la Maison d’éducation à l’alimentation durable labellisée par le ministère de l’Agriculture. « Elle aura vocation à devenir un vrai centre de ressources », explique l’élu.

Ici, on produit 25 tonnes de légumes bio par an, qui permettent d’alimenter à 85 % les cantines des trois écoles ainsi que les crèches de cette ville de 10.000 habitants, soit environ 1.000 repas servis par jour. Pour arriver à une autonomie complète, la commune met en place actuellement un système de transformation de la surgélation des légumes pour les fins d’hiver. « Concernant les 15 % restant, et notamment la viande, nous faisons en sorte là aussi de rester vertueux », précise l’élu.

La mairie se fournit dans le cadre des marchés publics auprès de la société Naturdis et bientôt auprès d’Échanges paysans, à Gap (Hautes-Alpes). Le pain, quant à lui, est préparé avec une farine bio du Var par un boulanger du village. Ils sont trois équivalents temps plein et demi sur l’exploitation. « Ici, on laisse la nature faire. Les enfants mangent des produits sains, qui ont du goût. J’espère que ça donnera des idées à d’autres communes, et que ça sera ça l’avenir »,explique Bastien, aide-maraîcher.

« Ce n’est qu’une affaire de volonté politique » 

Mouans-Sartoux fait en effet figure d’exception car c’est la seule commune, avec Grande-Synthe (Nord), à posséder sa propre régie agricole et à nourrir ses enfants en 100 % bio depuis 2012. En préemptant Haute-Combe, la municipalité a fait le choix de faire pousser des légumes de saison au lieu d’un lotissement, comme le souhaitaient les promoteurs. Dans une région où les terrains sont à prix d’or, le dernier plan local d’urbanisme de Mouans-Sartoux a fait passer les terres agricoles de 40 à 112 hectares. Quelques terres sont devenues constructibles mais souvent ce sont des espaces naturels redonnés à l’agriculture.

« Ce n’est qu’une affaire de volonté politique, note Gilles Pérole. Si on a été en avance, c’est parce qu’on a pris très tôt conscience des enjeux de santé et d’environnement. » Notamment grâce à l’ancien député-maire écologiste André Aschieri, qui a veillé sur la commune de 1974 à 2015 [1] et qui a longtemps travaillé sur ces problématiques au niveau national. Lors de la crise de la vache folle, la mairie a décidé d’introduire le bœuf bio à la cantine. A suivi une réflexion globale sur la restauration scolaire.

« On arrive à avoir une cantine 100 % bio sans dépenser plus, explique l’adjoint. En 2008, on avait 25 % de bio, on était à 1,92 euro d’achat aliment. En 2012, on est passé à 1,86 euro. Et de 147 grammes à 30 grammes de restes alimentaires, soit 20 centimes d’économie par repas. On gaspille moins, donc on achète moins et on réinvestit dans la qualité. » Et Gilles Pérole de reconnaître pourtant que produire soi-même ses légumes ne fait pas faire d’économies : « On n’a aucune subvention. Chez un grossiste on paierait 20 % de moins. Mais on l’assume et on fait des économies sur autre chose. » Un repas coûte à la commune 8,39 euros, charges comprises. Pour les familles, selon leur quotient familial, il faut compter entre 2 et 6,20 euros par enfant.

 

 « Vide bien ton assiette ! Gaspillage-bousillage-sabotage : c’est la fin des haricots ! »

À quelques minutes de l’exploitation, la cantine de l’école primaire l’Orée-du-bois est en plein service. Sandrine Nemri œuvre en cuisine depuis 15 ans et mesure la chance qu’elle a de pouvoir préparer des produits bio dont elle connaît l’origine. « En tant que maman, je trouve ça formidable », ajoute-t-elle. Aujourd’hui au menu, c’est blanquette de veau (originaire de Gap), salade verte de la régie et polenta « cuisinée à la minute pour éviter d’en faire en trop grosse quantité ». Les fruits sont proposés en quartiers et chaque enfant choisit une portion selon sa faim, avec la possibilité de se resservir. Krystelle, la référente cantine, est là pour vérifier qu’ils finissent bien leurs assiettes. Chacun a appris à trier ce qu’il reste sur son plateau. « Vide bien ton assiette ! Gaspillage-bousillage-sabotage : c’est la fin des haricots ! » indique un panneau coloré épinglé au-dessus des poubelles....

https://reporterre.net/La-cantine-bio-de-Mouans-Sartoux-nourrit-bien-eleves-et-paysans

 

 

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28 août 2018 2 28 /08 /août /2018 11:55

 

 

 

 

Considérant qu’au regard des éléments fournis par le maître d’ouvrage le projet est susceptible d’avoir des impacts notables sur l’environnement ou sur la santé, le préfet de région impose une étude d’impact.

 

 

Les points mis en avant sont notamment :

 

- déboisement 10 050 m2

- présence de lignes électriques aériennes, projet qui pourrait avoir une incidence notable sur le cadre de vie

- projet d’évacuation partielle des terres polluées

- trafic routier environ 900 véhicules/jour.

 

 

Extrait de la décision du 11/6/2018 de la préfecture de région :

http://www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/driee-sddte-2018-122.pdf

 

Villevaudé, projet de construction de logements 41 rue de la Tour : le préfet de région impose une étude d’impact
Villevaudé, projet de construction de logements 41 rue de la Tour : le préfet de région impose une étude d’impact
Villevaudé, projet de construction de logements 41 rue de la Tour : le préfet de région impose une étude d’impact
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27 août 2018 1 27 /08 /août /2018 10:40

 

 

 

Pour l’instant il semble que ce ne soit pas à l’ordre du jour, le député a seulement mis ce message sur  Facebook :

 

« Dégagements d'odeurs d'essence à Villeparisis : j'ai contacté Monsieur le Maire, des enquêtes en cours et des solutions sont faites pour rassurer la population »

 

 

 

Est-ce le message

qu’attendait

la population de Villeparisis

de son député

qui  habite cette commune ?

 

 

Ne serait-il pas utile que Rodrigue Kokouendo alerte  Nicolas Hulot sur les risques des anciennes cuves de carburant qui peuvent être toujours en place en France et qui risquent de poser problème lors de travaux.

 

Rien qu’à Villeparisis, au regard du site Basias, nous avons constaté que 14 dépôts de carburant y avait été répertoriés (avec celui de l'ex centre Leclerc).

 

 

Afin de rassurer la population de Villeparisis Rodrigue Kokouendo pourrait peut-être demander, aux 3 attachés parlementaires à son service, qu’ils se penchent sur ce dossier, pour savoir si les cuves de carburant  ont été retirées où sont toujours sur ces sites.

 

 

 

Liste des dépôts de carburant

figurant sur le site Basias pour Villeparisis

http://www.georisques.gouv.fr/dossiers/inventaire-historique-des-sites-industriels-et-activites-de-service-basias#/

 

N° Identifiant

Raison(s) sociale(s) de(s) l'entreprise(s) connue(s)

Nom(s) usuel(s)

Dernière adresse

Commune principale

Code activité

Etat d'occupation du site

Etat de connaissance

IDF7703897

FLIPON (Raymond)

Dépôt d'hydrocarbures

162 Avenue De Gaulle (du Général)

VILLEPARISIS

V89.03Z

Activité terminée

Inventorié

IDF7706191

Mattei (Distribution) - Centre LECLERC

Dépôt d'hydrocarbures

170 Avenue De Gaulle (du Général)

VILLEPARISIS

V89.03Z

En activité

Inventorié

IDF7707057

MONTAGNIER

Dépôt d'hydrocarbures

Avenue Perraton

VILLEPARISIS

V89.03Z
V89.03Z

Activité terminée

Inventorié

IDF7707270

PAGES (L.)

Dépôt d'hydrocarbures

8 Rue Chêne (du)

VILLEPARISIS

V89.03Z

Activité terminée

Inventorié

IDF7707273

RICARD (R.)

Dépôt d'hydrocarbures

68 Avenue Briand (Aristide)

VILLEPARISIS

V89.03Z
V89.03Z

Activité terminée

Inventorié

 

 

N° Identifiant

Raison(s) sociale(s) de(s) l'entreprise(s) connue(s)

Nom(s) usuel(s)

Dernière adresse

Commune principale

Code activité

Etat d'occupation du site

Etat de connaissance

IDF7707500

UGD (Société)

Station-service

118 Avenue Varlin (Eugène)

VILLEPARISIS

G47.30Z

Activité terminée

Inventorié

IDF7710246

Dureau (Garage)

Station-service - Garage

Rue Jaurès (Jean)

VILLEPARISIS

G45.21A
G47.30Z

Ne sait pas

Inventorié

IDF7710248

LIETAER (Ets)

Station-service

Avenue Varlin (Eugène)

VILLEPARISIS

G47.30Z

Ne sait pas

Inventorié

IDF7710249

NOTAIRE (Ets), Ex. HATRAIT (Ets)

Station-service

5 Rue Jaurès (Jean)

VILLEPARISIS

G47.30Z

Ne sait pas

Inventorié

IDF7710251

Félix Potin (Société)

Station-service - Epicerie

Avenue République (de la)

VILLEPARISIS

G47.30Z

Activité terminée

Inventorié

IDF7710253

Docks rémois (Les) (SA)

Station-service - Epicerie

20 Rue Paris (de)

VILLEPARISIS

G47.30Z

Ne sait pas

Inventorié

IDF7710254

Docks rémois (Les) (SA)

Station-service - Epicerie

Avenue Gare (de la)

VILLEPARISIS

G47.30Z

Ne sait pas

Inventorié

IDF7710255

Grands Economats (Les) (SA)

Station-service

48 Rue Vaujours

VILLEPARISIS

G47.30Z

Ne sait pas

Inventorié

IDF7710259

BERTRAND (Ets)

Station-service - Garage

Rue Jaurès (Jean)

VILLEPARISIS

G47.30Z
G45.21A

Ne sait pas

Inventorié

IDF7710260

Lemarchand (Ets)

Station-service - Garage

36 Rue Ruzé (de)

VILLEPARISIS

V89.03Z
G45.21A
G47.30Z

Ne sait pas

Inventorié

 

 

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25 août 2018 6 25 /08 /août /2018 21:20

 

 

Que les riverains qui vont  être évacués lundi sachent que notre association est de tout cœur avec eux et que nous suivons ce dossier avec la plus grande attention.

 

Afin de les rassurer nous tenons à les informer que  les ingénieurs de la DRIEE 77 et de l'ARS (préfecture) ont traité ce dossier  avec leur diligence et sérieux habituel et vont suivre les travaux imposés par la préfecture avec la plus grande attention.

 

 

Nous tenons ici à les en  remercier  ainsi que Gérard Péhaut, le sous préfet de Meaux qui supervise ce dossier.

 

 

 

Lien vers l’arrêté préfectoral du 23/8 /2018 imposant des mesures d’urgence à la Sté Mavidis

https://villeparisis.fr/wp-content/uploads/2018/08/Arr%C3%AAt%C3%A9-pr%C3%A9fectoral.pdf

Paru sur le site France Bleu :
Seine-et-Marne : des habitants de Villeparisis évacués lundi pour cause de pollution à l'essence

Samedi 25 août 2018 à 14:49Par Margot Delpierre, France Bleu Paris et France Bleu

A proximité de la rue Salengro à Villeparisis (Seine-et-Marne), des riverains sont dérangés depuis la mi-août par de fortes odeurs d'essence. Les personnes qui résident dans un périmètre de 50 mètres devront évacuer lundi 27 et jusqu'au vendredi 31 août, le temps d'effectuer des travaux.

 

L'odeur provient d'une ancienne station-essence près des rues Salengro et Aristide-Briand -Capture écran Google Street View

 

 

Villeparisis, France

Des riverains de la rue Salengro à Villeparisis (Seine-et-Marne) sont incommodés par de fortes odeurs depuis la mi-août. Elles proviennent d'une station-essence désaffectée dans les années 80. Des travaux auraient provoqué l'écoulement d'hydrocarbures dans le sol.

Pour résorber la pollution, Mavidis, société exploitante du site pollué, doit entreprendre des travaux. Ils "commenceront ce lundi 27 août et dureront jusqu'au vendredi 31 août en horaires continus, précise la préfecture. Ils permettront de créer une barrière hydraulique pour empêcher les hydrocarbures de se répandre dans le réseau d'assainissement et améliorer l'efficacité des opérations de pompage".

Toute personne résidant dans un périmètre de cinquante mètres à proximité du chantier devra plier bagage pour la semaine. Au-delà, il n'y a pas de risque pour la santé, estime la préfecture.

Bien aérer son domicile

L'agence régionale de santé rappelle qu'il faut :

  • aérer régulièrement les intérieurs, y compris les pièces en sous-sol
  • vérifier le bon fonctionnement du système de ventilation
  • vérifier le maintien en eau des siphons

Il est aussi recommandé de ne pas fumer en sous-sol. Si un riverain est incommodé par les odeurs, il est invité à se signaler auprès de la mairie ou des pompiers afin que des prélèvements soient réalisés et des mesures de suivi soient prises.

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/seine-et-marne-des-habitants-de-villeparisis-evacues-lundi-pour-cause-de-pollution-a-l-essence-1535201257

 

 

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23 août 2018 4 23 /08 /août /2018 19:31

 

Communiqué de presse de la préfecture :

 

Paru sur le site La Marne :
Pollution à Villeparisis. Les habitants sont inquiets des odeurs d’essence, la préfecture réagit

Après dix jours d'inquiétude à cause d'odeurs d'essence à Villeparisis, la préfecture explique la situation ce jeudi 23 août. Une fuite est recherchée dans les sous-sols

 

Les riverains de l’avenue Roger Salengro, à Villeparisis, ont alerté les pompiers et la mairie à cause d’odeurs d’essence. (©Google street View)

Cela fait plus de dix jours que des riverains de la rue Salengro, à Villeparisis ont alerté les pompiers et les services municipaux d’odeurs d’essence dans leurs habitations.

Des travaux réalisés à l’emplacement de l’ancienne station-service Leclerc, désaffectée dans les années 1980, en sont à l’origine. « A l’époque, des précautions auraient été prises pour que les trois cuves soient vidangées et dégazées », indique Hervé Touguet, maire de Villeparisis.

De l’essence dans le sol

Il apparaît que de l’essence est présente dans le sol, à proximité du réseau d’assainissement et qu’elle transite dans celui-ci. Le maire est formel :

Il y a bien de l’hydrocarbure. Pour l’heure, nous ne savons pas si c’est dans une cuve, dans une poche d’argile… 

La source de cette pollution n’a pas encore été localisée précisément.

A la suite de ce signalement, les services de l’Etat, le SDIS et la municipalité ont fait procéder à des mesures d’exposition de la population impactée et ont demandé à l’exploitant un plan d’action, dont la mise en oeuvre fait l’objet d’un suivi étroit.

 

L’odeur s’est fait sentir suite à des travaux au niveau de l’ancienne station essence du Leclerc (©La Marne)

 

Un arrêté contre la société exploitante

Hervé Touguet suit attentivement le dossier depuis dix jours :  » L’exploitant doit présenter un plan d’actions avec un engagement écrit qui doit être validé par les services de l’Etat et par les pompiers. C’est à lui que revient cette responsabilité. »

En attendant que des actions soient faites, le réseau a été isolé et une société vient pomper tous les jours pour que l’hydrocarbure ne se répande pas dans tout le réseau d’assainissement. 

C’est une solution d’attente. Mais nous espérons que les travaux vont être réalisés rapidement.

Afin de faire cesser les troubles dans les meilleurs délais, la Préfète de Seine-et-Marne a pris ce jeudi 23 août un arrêté à l’encontre de la société exploitante du site pollué la contraignant à poursuivre les mesures d’urgence notifiées dès le 20 août.

 

POLLUTION A VILLEPARISIS : la Préfecture suit le dossier avec la plus grande attention et vient de prendre un arrêté à l’encontre de la société exploitante du site pollué
L’odeur s’est fait sentir suite à des travaux au niveau de l’ancienne station essence du Leclerc (©La Marne)
Des consignes de prévention

Les prélèvements réalisés dans le bâtiment situé au 180 avenue du général de Gaulle analysés par le Laboratoire Central de la Préfecture de Police ont révélé une présence d’hydrocarbures dans l’air ambiant supérieure aux valeurs guides des autorités sanitaires.

Afin de protéger la population avoisinante, le maire ainsi que la Préfecture et l’Agence régionale de Santé (ARS) ont donné des conseils : 

  • aérer régulièrement les intérieurs, y compris les pièces en sous-sol. Ouvrir régulièrement les
    fenêtres et s’assurer du bon fonction
    nement de la ventilation (bouches non obstruées);
  •  veiller à maintenir les siphons remplis en eau afin d’éviter les remontées de vapeurs par les
    canalisations d’eaux usées;
  • ne pas fumer dans les espaces en sous-sol.
 
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21 août 2018 2 21 /08 /août /2018 11:49

 

 

 

Cette décharge fonctionne depuis 1951.

Elle est gérée  :

- De 1951 à 1975 par la Tiru

- de 1975 à 2017 par les carrières Capoulade

- depuis le 1/2/2017 par le groupe Suez (qui exploite également les décharges de Soignolles et Villeparisis)

 

 

Les sablières Capoulade hébergeaient sur leur site la Sté Cideme qui y traitait les mâchefers des incinérateurs de la région parisienne.

Une entreprise qui avait fait les titres des journaux à la suite de mâchefers déposés en illégalité sur la commune de St Cyr sur Morin.

 

Cideme était implantée sur le casier 4, qui pourrait être disponible puisque Suez n’a pas souhaité reconduire l’autorisation de Cideme d’y traiter des mâchefers.

 

 

Après avoir démantelé et reconstruit le casier 4 Suez projette de demander une prolongation du délai d’exploitation de la décharge jusqu’à 2022, une paille, puisque cette décharge reçoit les ordures des autres depuis 67 ans déjà.

 

Mais le groupe Suez va devoir se débarrasser des mâchefers présents sur le site, comme pratiquement personne n’en veut, il semblerait que ce soit difficile.

 

A Isles les Meldeuses, ils n’en peuvent plus de supporter le trafic incessant des camions chargés d’ordures, mais il semblerait qu’aucun élu n’ait souhaité se pencher sur ce dossier.

 

 

Pour aller plus loin, voir l’article d’Adenca concernant la Cideme :

http://adenca.over-blog.com/2017/10/nord-77-st-cyr-sur-morin-abandon-illegal-de-machefers-d-incineration.html

 

 

 

 

 

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16 août 2018 4 16 /08 /août /2018 12:25
12.6.2018  Vue sur le conservatoire de musique

12.6.2018 Vue sur le conservatoire de musique

 

 

 

 

Paru sur le site de la mairie de Claye-Souilly

http://www.claye-souilly.fr/

 

 

 

Information inondations :

Le Journal officiel du 15 août 2018 reconnaît définitivement l'état de catastrophe naturelle pour les inondations qui ont touché Claye-Souilly dans la nuit du 11 au 12 juin dernier. Les sinistrés disposent de 10 jours à compter du 15 août pour se déclarer auprès des assurances.

https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000037314959&dateTexte=&categorieLien=id

 

 

§§§

 

Extrait de l’arrêté paru sur Légifrance indiquant le nom des communes du 77 reconnues en état de catastrophes naturelles, parmi elles 4 communes se trouvant sur le bassin versant Beuvronne : Annet sur Marne ? Claye-Souilly, Compans, Villevaudé

 

 

 

DÉPARTEMENT DE SEINE-ET-MARNE
Inondations et coulées de boue du 6 juin 2018


Commune d'Évry-Grégy-sur-Yerre.


Inondations et coulées de boue du 9 juin 2018


Commune de Rampillon (1).


Inondations et coulées de boue du 10 juin 2018


Commune de Jouarre.


Inondations et coulées de boue du 10 juin 2018 au 12 juin 2018


Commune de Saâcy-sur-Marne.


Inondations et coulées de boue du 11 juin 2018


Communes de Chelles, Évry-Grégy-sur-Yerre.


Inondations et coulées de boue du 11 juin 2018 au 12 juin 2018


Communes d'Annet-sur-Marne, Boitron, Bussy-Saint-Martin (2), Claye-Souilly (1), Compans (2), Lésigny (2), Lognes (1), Montévrain, Ozoir-la-Ferrière (3), Pomponne, Villevaudé (2).


Inondations et coulées de boue du 12 juin 2018


Communes d'Aulnoy (2), Brou-sur-Chantereine (2), Citry, Courtry (1), Dampmart, Ferrières-en-Brie (2), Marolles-en-Brie (4), Meilleray, Méry-sur-Marne, Mouroux, Chauconin-Neufmontiers (2), Orly-sur-Morin, Poincy, Reuil-en-Brie, Sablonnières, Saint-Denis-lès-Rebais (3), Saint-Germain-sous-Doue (1), Saint-Thibault-des-Vignes, Signy-Signets (3), Villenoy.

 

 

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14 août 2018 2 14 /08 /août /2018 14:03
Isles les Villenoy : sur le document édité par la mairie nous avons entouré en noir l'emplacement du projet d'installation de tri et recyclage de matériaux

Isles les Villenoy : sur le document édité par la mairie nous avons entouré en noir l'emplacement du projet d'installation de tri et recyclage de matériaux

 

 

 

Isles les Villenoy, village rural de 900 âmes,  baigné par la Marne et le Canal de l’Ourcq, prisé  au 19ème siècle par les peintres de l’école de Barbizon, qui devint un site de villégiature, impulsé en particulier par l’un de ses maires Raoul-Blaise Saint Arroman.

 

Raoul de Saint-Arroman, écrivain, journaliste et haut fonctionnaire y fit venir  ses amis et notamment des artistes parisiens.

 

Au 20ème siècle c’est la plage construite en bord de Marne qui attira une population importante, notamment les week-end, les parisiens qui avaient fait construire de petites résidences secondaires sur cette commune et celle voisine d’Esbly. On y trouvait des guinguettes et des restaurants.

 

La pollution de la Marne dans les années 1970  imposa la fermeture de la plage  et donna un coût d’arrêt à l’attrait touristique de la commune.

 

 

Aujourd’hui le village a un tout autre visage, il est martyrisé par le déversement des ordures des autres.

 

 

En effet l’ETAT a autorisé le remblaiement de carrières par des déchets, puis l’implantation d’une décharge ISDI, comme cela ne suffisait pas  en début d’année les habitants ont découvert une importante décharge illégale et une exploitation et tri et déchets également illégalement, exploitée par les carrières d’Isles les Villenoy, sanctionnées depuis par des mises en demeure de la préfecture.

 

 

 Mais le cauchemar ne devrait pas s’arrêter là, l’industriel afin de pérenniser son exploitation demande aujourd’hui à régulariser sa situation concernant l’installation de tri et recyclage de déchets.

 

Le dossier est consultable sur le site de la préfecture :

http://www.seine-et-marne.gouv.fr/Politiques-publiques/Environnement-et-cadre-de-vie/ICPE-carrieres/Enregistrement/ISLES-LES-VILLENOY-Ste-CIV-Mise-a-disposition-du-dossier-d-enregistrement

 

Les populations pourront donner leur avis sur ce dossier qui sera consultable en mairie d’Isles les Villenoy du 29/8/2018 au 12/9/2018. 

 

Pour mémoire c’est à proximité qu’un autre industriel Terzeo projette d’implanter à cheval sur cette commune et celle de Villenoy un centre de traitement et une décharge de déchets dangereux sur un site pollué par l’arsenic.

 

 

Au point où ils en sont ici

 un peu plus ou un peu moins d’ordures

 est-ce vraiment un problème ?

 

 

Les déchets dangereux de démolition des tours de Meaux et  ceux du Grand Paris, il faut bien les mettre quelque part, on  ne va tout de même pas les déverser au pied de la cathédrale de Meaux ou de la tour Eiffel.

 

 

 

 

 

Leurs jolies maisons
 les habitants
d’Isles les Villenoy
devront-ils les solder ?

 

 

 En effet
qui voudra les acheter
et  venir vivre
près
de montagnes d'ordures ?

 

 

 

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9 août 2018 4 09 /08 /août /2018 14:52

 

 

 

Après l’important sinistre de juin dernier, la préfecture, en date du 5/7/2018  a délivré un arrêté préfectoral  pour mise en sécurité du site et des mesures d’urgence prises à titre conservatoire.

http://www.seine-et-marne.gouv.fr/Politiques-publiques/Environnement-et-cadre-de-vie/ICPE-carrieres/Decisions/Mesures-d-urgence/Societe-MEN-AUTOS-commune-de-Le-Pin-77181

 

 

L'exploitant avait déjà reçu plusieurs mises en demeure de la préfecture avant ce sinistre.

 

M. Nour-Eddine MEDJAHED, le dirigeant de Men Autos, n’ayant pas respecté les demandes de la préfecture, la sanction est tombée le 3/8/2018 la casse auto  illégale doit fermer.

 

 

Pour extrait :

 

http://www.seine-et-marne.gouv.fr/Politiques-publiques/Environnement-et-cadre-de-vie/ICPE-carrieres/Decisions/Sanctions/Commune-de-LE-PIN-Ste-MEN-AUTOS-Cessation-d-activites

 

Casse auto illégale Men Autos Le Pin : la préfecture impose la fermeture de l'installation
Casse auto illégale Men Autos Le Pin : la préfecture impose la fermeture de l'installation
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8 août 2018 3 08 /08 /août /2018 21:34
Claye-Souilly 12.6.2018 vers 17 heures, vue sur le conservatoire de musique

Claye-Souilly 12.6.2018 vers 17 heures, vue sur le conservatoire de musique

 

 

Nous apprenons par un communiqué de presse du 15/6/2018 que le conseil départemental 77 va soutenir financièrement les actions engagées pour prévenir les inondations sur le bassin versant de l'Yerres.

 

Quant aux sinistrés

du bassin versant Beuvronne

 il semblerait que le Conseil Départemental 77

 les ait oubliés ?

 

En effet sur le bassin versant Yerres une étude hydraulique a déjà été réalisée mais à notre connaissance une telle étude n'a jamais été réalisée sur le bassin versant Beuvronne .

 

Les populations de ce secteur constatent que leurs impôts sont utilisés en majorité pour les autres, alors que leur environnement se dégrade de jour en jour.

 

 

Pour toutes informations complémentaires

contactez 

votre conseillère départementale

Véronique Pasquier

qui est également

adjointe au maire de Claye-souilly

 

 

 

Extrait communiqué de presse du 15/6/2018 du CD77

http://www.seine-et-marne.fr/Espace-presse

 

Inondations : le Département soutient le plan d’actions pour le bassin versant de l’Yerres

 

La gestion des inondations constitue un enjeu majeur pour le territoire du bassin versant de l’Yerres, fortement touché en 2016 et début 2018 par des épisodes de crues. En charge de cette problématique, le SyAGE* porte un Plan d’actions de prévention des inondations (PAPI). Le Département a approuvé la convention financière relative à ce Plan pour les années 2018-2023.

Le premier volet du PAPI a permis d’acquérir une meilleure connaissance du fonctionnement du bassin versant de l’Yerres, notamment grâce à une étude hydraulique

. Ce deuxième volet se veut plus opérationnel pour prévenir les inondations, gérer leurs conséquences et développer la culture du risque inondation auprès de la population, des élus et des entreprises. Parmi les actions définies figurent des initiatives pédagogiques à destination des collèges, le renforcement du réseau de télésurveillance des crues, des exercices de gestion de crise ou encore l’amélioration de la coopération entre les gestionnaires de réseaux (assainissement, gaz, électricité, etc.). Le Département de Seine-et-Marne a soutenu le premier volet du PAPI. Depuis, il a également intégré la gestion et la prévention des inondations dans son 3e Plan départemental de l’eau 2017-2021 (PDE 3). Dans la continuité de ces actions, il s’engage donc en faveur du PAPI 2018-2023 aux côtés des autres partenaires financiers de la convention : État, Département de l’Essonne, commune de Boussy-SaintAntoine, Syndicat mixte du bassin du Réveillon (SYMBAR) et SyAGE.

 

  • Syndicat mixte pour l’assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres Quelques chiffres 118 communes et 560 000 habitants dans le bassin versant de l’Yerres

  • 92,5% de la superficie du bassin et 59% de sa population situés en situés en Seine-et-Marne

  • 2,3 M€ au total pour réaliser les actions du PAPI 2018-2023.

 

 

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