Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
6 mars 2015 5 06 /03 /mars /2015 10:16

 

Le projet d'installation de 3 industries traitants des déchets a mis le feu aux poudres dans 4 villages ruraux de Seine et Marne, Val d’Oise et Oise.

 

Il a été créé un collectif villages en danger :

 

http://www.villagesendanger.com/index.html

 

Ce collectif a manifesté devant le conseil communautaire ce lundi

http://www.journallamarne.fr/2015/03/03/manifestation-lors-du-conseil-communautaire/

 

En effet la commune rurale de Moussy le Neuf qui "accueille" déjà une décharge ISDI devrait voir s’implanter 3 autres installations traitants des déchets avec la bénédiction du Maire Bernard Rigault, qui est également président de la communauté de communes plaines de France :

 

 

Compostage de boues de station d'épuration

Décharge Déchets de chantier
Usine de méthanisation !

 

 

Bien entendu les déchets traités sur ce site ne proviendront pas exclusivement de Moussy le Neuf et des villages limitrophes.

 

Comme à l’habitude les déchets déversés dans la décharge proviendront de l’ Ile de France et probablement d’ailleurs, car les préfets qui se sont succédés dans ce département n’ont jusqu’à maintenant imposés aucunes limites quant à l’origine des déchets pour les décharges ISDI.

 

En effet la décharge ISDI actuelle implantée sur la commune de Moussy le Neuf peut recevoir des déchets en provenance de la France entière.

 

Quant à l’usine de méthanisation de fumier de cheval, pourquoi l’implanter ici où on trouve peu de haras à proximité, n’est-ce pas pour rendre service à M. Eric Woerth qui depuis des années recherche désespérément un emplacement pour venir se débarrasser des fumiers de la      " Cité princière ".

 

Implanter une usine de méthanisation à Chantilly « la Cité princière », vous n’y pensez pas, ses ordures Chantilly préfère les envoyer chez les autres et pourquoi pas au Nord-Ouest 77, au point où ils en sont là-bas, un peu plus, un peu moins de déchets, cela ne les gênera pas……

 

Pour aller plus loin :

http://adenca.over-blog.com/article-chantilly-la-ville-princiere-et-capitale-du-cheval-veut-envoyer-son-fumier-chez-les-autres-a-moussy-125068000.html

 

Partager cet article
Repost0
5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 14:33

 

Ne pas interdire les affouillements et exhaussements de terrain dans les zones N qui recouvrent les espaces naturels peut conduire à l’implantation de décharges illégales  comme RTR Environnement à Villeparisis.

 

Pourtant M. Albarello, député-maire de cette commune semble bien connaître le sujet pour avoir posé la question suivante à Mme La Ministre de l’Ecologie :

 

« Yves Albarello

J’appelle l’attention de Mme la ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie sur l’absence de législation autorisant le rehaussement de terrains agricoles sur une hauteur inférieure à deux mètres. Au-delà de deux mètres, la législation autorise la présence d’installations de stockage de déchets inertes, les ISDI, dont les déclarations sont instruites par les services de l’État. En deçà de deux mètres, néanmoins, il n’existe aucune législation.

Nombreux sont les élus et les associations de défense de l’environnement qui s’inquiètent de la dérive observée ces dernières années concernant les rehaussements de terrains agricoles ouvrant la porte à des installations de stockage de déchets inertes sans aucune autorisation. Le dernier exemple en date concerne ma circonscription, non loin de Paris, le long de l’autoroute Francilienne. Des individus peu scrupuleux – j’irai même jusqu’à les qualifier de bandits – se sont emparés d’un terrain agricole pour y déposer des produits toxiques mélangés à des terres inertes.

Pourquoi vous signaler ce problème ? Vous savez que le Grand Paris prend corps et que les travaux ont d’ores et déjà commencé avec le prolongement de la ligne 14 du métro jusqu’à la mairie de Saint-Ouen. Ce chantier suppose d’extraire plus de 60 millions de tonnes de déblais, qu’il faudra stocker en Île-de-France. Le Conseil régional a adopté un moratoire concernant le plan régional d’élimination des déchets. L’Île-de-France court donc le risque que se développent sur son territoire ces rehaussements de terrains agricoles sans aucune autorisation.

Ma question est donc simple : ne pourrait-on pas modifier la législation pour donner compétence aux maires – qui sont d’ailleurs déjà compétents en matière d’urbanisme – concernant les permis de construire, pour éliminer ces décharges sauvages ? » (1)

 

 

Dans l’attente d’une nouvelle loi, la seule solution actuelle à la disposition des maires afin d’éviter ces rehaussements de terrains est de les interdire dans les PLU.

 

Les élus doivent revoir leur copie et interdire les affouillements et exhaussements dans les zones naturelles.

 

(1) http://www.nosdeputes.fr/14/seance/3381#inter_8a612df7903bec9b319cc9b4bd1809a9

 

exhaussements de terres agricoles RTR Environnement Villeparisis

exhaussements de terres agricoles RTR Environnement Villeparisis

Partager cet article
Repost0
5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 10:30

 

Pourquoi l’AEV n’a pas acquis de terres agricoles autour du captage d’eau d’Annet sur Marne et n’a pas aidé des agriculteurs bio à s’y implanter, l’AEV a-t-elle laissé ce territoire aux mains des exploitants de décharges et carriers ?
Pourquoi l’AEV n’a pas acquis de terres agricoles à Villevaudé, Villeparisis, et n’a pas aidé des agriculteurs bio à s'y implanter, l’AEV a-t-elle laissé ces territoires aux mains des carriers ?
M. Olivier THOMAS président de l’AEV et élu de l’Essonne doit penser aussi au nord-ouest 77.

 

 

 

Paru sur le site actu environnement :
Etre agriculteur en Ile-de-France, c'est encore possible !

 

Bien qu'elle soit réputée pour son urbanisation galopante, la région Ile-de-France reste une des plus grandes surfaces agricoles du pays. A travers l'acquisition de terrains rendus à l'agriculture, l'Agence des espaces verts tente de préserver ces espaces qui sont toutefois menacés. Reportage.

Reportage vidéo | Agriculture | 25 février 2015 | Marie Jo Sader

 

Propriétaire de 4 hectares sur le plateau de Saclay dans l'Essonne, Charles Montville s'est converti à l'aviculture bio en 2010. Il élève aujourd'hui 2.500 volailles nourries exclusivement de céréales cultivées sur place et dans le respect du cahier des charges de l'agriculture biologique. Ses poulets, qu'il abat sur place, sont commercialisés en circuit court. 45% sont vendus sur la ferme, le reste localement en restauration collective et à des Amap (Association pour le maintien d'une agriculture paysanne).

Issu d'une autre profession, Charles Montville doit sa reconversion à l'Agence des espaces verts qui l'a aidé à financer son projet. Celle-ci a été désignée par la région Ile-de-France pour protéger les espaces agricoles fortement menacés par l'urbanisation. Grâce à l'acquisition de terrains et en exerçant une veille foncière permanente, l'AEV a permis le maintien de 17.000 hectares d'espaces agricoles dans la région. Elle s'est également lancée dans une opération de reconquête des friches abandonnées pour les rendre à l'agriculture à travers un programme d'incitation et d'accompagnement des jeunes agriculteurs.

Malgré la prolifération des projets d'urbanisme, l'Ile-de-France demeure une des plus grandesrégions agricoles du pays avec une forte production céréalière notamment. Pourtant, 90% de la nourriture consommée ici reste importée…

 

Marie Jo Sader, journaliste

 

http://www.actu-environnement.com/ae/news/agriculteur-ile-de-france-agence-espaces-verts-urbanisation-bio-terres-23958.php4

 

 

Partager cet article
Repost0
4 mars 2015 3 04 /03 /mars /2015 18:55

Les orientations d’aménagement et de programmation du futur PLU projettent de démolir 2 bâtiments soit 64 logements situés au 21-27 V. Hugo, 1-7 Courteline.

 

Les déchets BTP représentent près de 80 % des déchets produits en France. La majorité des déchets produits en Ile de France sont déversés sur nos terres agricoles de Brie qui devraient servir à nourrir la population et détruisent nos villages ruraux.

 

Où la commune de Claye-Souilly enverra-t-elle les déchets BTP :

- près de l’école maternelle de Fresnes sur Marne

- près d’un lotissement et du plus important captage d’eau du 77 à Annet sur Marne

- près d’un lotissement et d’une école à Isles les Villenoy….

 

La commune de Claye-Souilly pense-t-elle aux risques encourus par les riverains de ces décharges ?

 

Mais détruire 64 logements c’est aussi déraciner une population, des personnes âgées qui auraient souhaité finir leurs jours dans leur logement, des familles qui devront s’adapter

à un nouvel environnement…

 

Les élus doivent revoir leur copie et « Rénover plutôt que démolir ».

Partager cet article
Repost0
4 mars 2015 3 04 /03 /mars /2015 10:24

 

Deux projets « pilotes »
qui pourraient priver
cette région d’Algérie d’eau potable

En effet ce village situé dans le désert algérien  a accueilli un projet « pilote » de stockage de déchets de gaz carbonique CO2 dans le sol ( les aquifères salins), hormis les risques de pollution de la nappe phréatique  par les additifs ajoutés au CO2 lors de l’injection dans le sol, il a été constaté une élévation du sol dans ce secteur :

" le Dr. Vasco du Lawrence Berkeley National Laboratory fait des recherches sur les déformations de la surface du sol suite à l'injection de CO2 à In Salah dans le sahara algérien. Un million de tonnes de gaz sont injectées par an à environ 2 km de profondeur. L'interférométrie radar a permis d'observer une élévation de la surface du sol de de 5mm par an sur des kilomètres…" (1)

 

 

C’est ce même type de projet « pilote »

que VEOLIA préconise

sur le site de la décharge de Claye-Souilly

 

 

Dans ce même village d’In Salah en Algérie, c’est aujourd’hui un autre projet « pilote » qui a vu le jour, un projet  de fracturation hydraulique gaz de schiste, malgré l’opposition des populations qui ont manifesté. (2)

 

 

 

Ce qui se passe ailleurs doit nous servir de leçon.

Ne laissons pas nos élus autoriser des projets « pilotes »

 en Seine et Marne

qui pourraient nous priver de notre eau potable

 

 (2) Algérie : 40 policiers blessés lors d'une manifestation anti-gaz de schiste

Pour aller plus loin :

Sonatrach mise sur des projets "aveugles" pour blanchir la rente

http://www.lematindz.net/news/8867-sonatrach-mise-sur-des-projets-aveugles-pour-blanchir-la-rente.html

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
3 mars 2015 2 03 /03 /mars /2015 20:32

 

Aucune mention n’est faite pour interdire les affouillements et exhaussements de terrain dans cette zone.

 

Ne pas interdire les affouillements et exhaussements de terrain peut conduire à l’implantation de décharges illégales comme  RTR Environnement à Villeparisis.

 

 

 

Pourtant M. Albarello, député-maire de cette commune semble bien connaître le sujet pour avoir posé la question suivante à Mme La Ministre de l’Ecologie :

 

« Yves Albarello

J’appelle l’attention de Mme la ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie sur l’absence de législation autorisant le rehaussement de terrains agricoles sur une hauteur inférieure à deux mètres. Au-delà de deux mètres, la législation autorise la présence d’installations de stockage de déchets inertes, les ISDI, dont les déclarations sont instruites par les services de l’État. En deçà de deux mètres, néanmoins, il n’existe aucune législation.

Nombreux sont les élus et les associations de défense de l’environnement qui s’inquiètent de la dérive observée ces dernières années concernant les rehaussements de terrains agricoles ouvrant la porte à des installations de stockage de déchets inertes sans aucune autorisation. Le dernier exemple en date concerne ma circonscription, non loin de Paris, le long de l’autoroute Francilienne. Des individus peu scrupuleux – j’irai même jusqu’à les qualifier de bandits – se sont emparés d’un terrain agricole pour y déposer des produits toxiques mélangés à des terres inertes.

Pourquoi vous signaler ce problème ? Vous savez que le Grand Paris prend corps et que les travaux ont d’ores et déjà commencé avec le prolongement de la ligne 14 du métro jusqu’à la mairie de Saint-Ouen. Ce chantier suppose d’extraire plus de 60 millions de tonnes de déblais, qu’il faudra stocker en Île-de-France. Le Conseil régional a adopté un moratoire concernant le plan régional d’élimination des déchets. L’Île-de-France court donc le risque que se développent sur son territoire ces rehaussements de terrains agricoles sans aucune autorisation.

Ma question est donc simple : ne pourrait-on pas modifier la législation pour donner compétence aux maires – qui sont d’ailleurs déjà compétents en matière d’urbanisme – concernant les permis de construire, pour éliminer ces décharges sauvages ? » (1)

 

Dans l’attente d’une nouvelle loi, la seule solution actuelle à la disposition des maires afin d’éviter ces rehaussements de terrains est de les interdire dans les PLU.

 

Les élus doivent revoir leur copie et interdire les affouillements et exhaussements sur les zones agricoles.

 

(1) http://www.nosdeputes.fr/14/seance/3381#inter_8a612df7903bec9b319cc9b4bd1809a9

rehaussement de terres agricoles RTR Environnement Villeparisis

rehaussement de terres agricoles RTR Environnement Villeparisis

Partager cet article
Repost0
3 mars 2015 2 03 /03 /mars /2015 08:57
A notre connaissance le dernier arrêté préfectoral qui autorise Knauf à exploiter au lieudit « Le bois des sables » dans la forêt régionale de Montgé en Goële date déjà de 10 ans et est délivré pour une durée de 30 ans y compris la remise en état soit 2035.
Où Knauf va aller chercher le gypse entre 2035 et 2100, voir 2150 si comme il l’a signalé au journaliste de « La Marne » il n’exploite pas dans la forêt de Montgé avant 100 ans, voir 130 ans ?
Nous n’en savons rien
Paru dans le journal « La Marne » :
Montgé-en-Goële La forêt menacée par une carrière de gypse ?

 

Si deux associations tirent la sonnette d’alarme, le domaine forestier ne devrait pas être impacté dans les années à venir.

17/02/2015 à 17:30 par admin

 

La forêt de Montgé et ses 750 hectares boisés.

La forêt de Montgé et ses 750 hectares boisés.

Montgé-en-Goële et ses 750 hectares boisés, sanctuaire d’arbres centenaires. Ce patrimoine naturel sera-t-il menacé dans les prochains mois par l’implantation d’une carrière de gypse ? C’est en tout cas ce que laissent entendre aujourd’hui les associations Adenca (Association de défense de l’Environnement de Claye- Souilly et ses Alentours) et Adev (association de défense de l’environnement et de la qualité de la vie) du nord 77 qui tirent la sonnette d’alarme. Un besoin de plâtre L’entreprise Knauf, spécialisée dans le second oeuvre du bâtiment, envisagerait d’extraire le minerai, matière première de la fabrication du plâtre, du sous-sol de la forêt. L’exploitation pourrait avoir lieu à ciel ouvert. « La forêt est classée en zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique, mais l’intérêt général prédomine pour l’État qui a besoin de plâtre pour la construction notamment dans la perspective du Grand Paris », avance Mireille Lopez, présidente de l’association Adenca.

 

Pas de projet pour Knauf Pourtant du côté de Knauf Plâtres, le son de cloche est tout autre. « Le projet d’une carrière sur la commune de Montgé n’est pas d’actualité car tout simplement hors de toute échelle de temps raisonnable. On parlerait alors d’une exploitation à l’horizon 2100-2150 ! », indique le carrier installé à Saint-Soupplets.

 

Une chose est sûre, la forêt de Montgé ne devrait pas être impactée dans les années à venir à en croire Pascal Hiraux, le maire de la commune. « Un plan de paysage et ressources de la Butte de Montgé-en-Goële a été engagé il y a trois ans », confie le premier magistrat de la commune. « La situation a pas mal évolué depuis. Knauf va poursuivre l’exploitation entreprise depuis plusieurs années au bois des sables, à Saint-Soupplets et à Cuisy. Mais pendant les 30 ou 40 prochaines années, l’exploitation ne concernera pas le domaine forestier de Montgé », affirme l’élu.

 

Château d’eau naturel L’importance du réseau hydrographique du domaine a été un argument de poids dans les discussions. « La forêt de Montgé est un château d’eau naturel qui alimente trois bassins versant : la Thérouanne, la Beuvronne et la Nonette », poursuit Pascal Hiraux. « Une exploitation à ciel ouvert risque de mettre en péril la captation des sources. Nous avons reçu le soutien de l’Agence des Espaces Verts (propriétaire de 596 hectares de la forêt via le Conseil régional, ndlr) qui était en retrait au départ et qui nous a rejoints depuis ».

 

http://www.journallamarne.fr/files/2015/02/foret.JPG

Partager cet article
Repost0
2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 11:38

 

Dernière minute

 

Nous apprenons que des décharges ne seraient pas interdites dans les zones agricoles.

 

En effet  le projet de règlement de la zone A agricole n'interdit pas  les constructions et installations nécessaires au service public ou d’intérêts collectif liées à la gestion de déchets .

 

Alors que cette commune possède la plus importante décharge d’Europe de déchets ultimes,

une ancienne décharge illégale « les remblais paysagers », qu’elle est entourée de toute part de décharges : Villevaudé, Annet sur Marne, Villeparisis, afin de protéger la santé et l’environnement des populations les élus doivent interdire les décharges dans la zone A

 

Les élus doivent revoir leur copie et interdire les décharges ou extension de décharges sur les zones agricoles.

décharge de déchets "dits inertes" sur des terres agricoles

décharge de déchets "dits inertes" sur des terres agricoles

Partager cet article
Repost0
2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 09:04

Plus gros émetteurs de méthane de France

 

 La décharge VEOLIA de Claye-Souilly passe du 4ème rang en 2012 au 2ème rang en 2013, pour mémoire elle était le plus gros émetteur en 2008 et 2011.

 

Lors des commissions de suivi de site, ni les exploitants de cette décharge, ni même les services de l’ETAT n’ont informé les participants de ce classement national assez inquiétant. 

Pourquoi ?

Un sujet qui fâche ? 

 

Pourtant ce type de commission est là pour informer la population. Il serait souhaitable que Rep VEOLIA se penche sérieusement sur ce sujet et trouve des solutions pour réduire sa pollution méthane pour protéger les populations riveraines. 

 

« Le méthane est incolore, inodore, et non toxique. A très haute concentration, il peut cependant provoquer des asphyxies en prenant la place de l'oxygène dans l'air. » 

 

Pour savoir si des actions sont menées par les élus pour demander à l’industriel de réduire ses émissions de Méthane, afin de protéger la population, nous vous conseillons de vous rapprocher des mairies de Claye-Souilly, Charny, Fresnes sur Marne, Annet sur Marne et Messy ainsi que des conseillers généraux des cantons de Claye-Souilly, Michèle Pélabère, et Mitry-Mory Jean-Pierre Bontoux.  

 

Site airbreitz :

Le méthane (CH4)

Origines

Le méthane est un gaz qui est produit principalement de manière biologique. La principale source de ce gaz est agricole, et provient principalement de la fermentation entérique et de la gestion des déjections dans les élevages. Le méthane est aussi fabriqué par des bactéries dans les zones humides, telles que les rizières et les marais. Ce gaz est également le premier composant du gaz naturel.

Ses effets sur l’environnement

Le méthane est un gaz à effet de serre. C'est le troisième plus important gaz à effet de serre à contribuer au réchauffement de la planète après la vapeur d'eau (H2O) et le dioxyde de carbone (CO2). 
Lorsque les rayons solaires atteignent notre planète, l’énergie qu’ils apportent à la surface terrestre se transforme en chaleur. Les gaz à effets de serre emprisonnent une partie de cette chaleur autour de la terre, en retenant le rayonnement infrarouge réémis par la planète. La chaleur accumulée provoque ainsi le réchauffement climatique.
Ce changement climatique a des conséquences directes, physiques et climatiques sur l’environnement (fontes des glaciers, élévation du niveau de la mer). Il influe aussi sur les écosystèmes et en particulier en modifiant la biodiversité.

Ses effets sur la santé

Le méthane est incolore, inodore, et non toxique. A très haute concentration, il peut cependant provoquer des asphyxies en prenant la place de l'oxygène dans l'air.

http://www.airbreizh.asso.fr/polluants/le-methane/

 

Partager cet article
Repost0
1 mars 2015 7 01 /03 /mars /2015 15:34

 

 

En regardant avec plus d’attention et une loupe la carte du futur projet PLU (1) nous nous apercevons que les dizaines d’hectares d’Espaces Boisés Classés du PLU actuel sont supprimés dans le futur PLU.

 

Pour faire court ce classement interdit tout changement d'affectation ou tout mode d'occupation du sol de nature à compromettre la conservation, la protection ou la création des boisements.

 

Protéger les centaines d’hectares de bois et forêts qui entourent notre commune a toujours été une priorité, pourquoi aujourd’hui nos élus décident de retirer cette protection ?

 

Notre commune est soumise depuis des décennies à une forte pression urbanistique, pour se protéger d’une artificialisation excessive des sols et sauvegarder nos espaces naturels le classement de ces centaines d’hectares en « Espaces Boisés Classés » était l’un des derniers remparts qui pouvait encore protéger notre commune d’une urbanisation encore plus intensive.

 

 

 

Ce projet de PLU a-t-il été réalisé dans le but de protéger le cadre de vie des populations de cette commune ou de favoriser la promotion immobilière, c’est la question que nous nous posons ?

 

 

 

Pour préserver votre cadre de vie

demandez à vos élus de revoir leur copie et de maintenir

dans le futur PLU

les Espaces Boisés Classés du PLU actuel.

 

 

 

(1) carte présentée au format A3 page 74 du bulletin municipal de septembre 2014

 

 

 

Partager cet article
Repost0

Recherche