En effet ce village situé dans le désert algérien a accueilli un projet « pilote » de stockage de déchets de gaz carbonique CO2 dans le sol ( les aquifères salins), hormis les risques de pollution de la nappe phréatique par les additifs ajoutés au CO2 lors de l’injection dans le sol, il a été constaté une élévation du sol dans ce secteur :
" le Dr. Vasco du Lawrence Berkeley National Laboratory fait des recherches sur les déformations de la surface du sol suite à l'injection de CO2 à In Salah dans le sahara algérien. Un million de tonnes de gaz sont injectées par an à environ 2 km de profondeur. L'interférométrie radar a permis d'observer une élévation de la surface du sol de de 5mm par an sur des kilomètres…" (1)
C’est ce même type de projet « pilote »
que VEOLIA préconise
sur le site de la décharge de Claye-Souilly
Dans ce même village d’In Salah en Algérie, c’est aujourd’hui un autre projet « pilote » qui a vu le jour, un projet de fracturation hydraulique gaz de schiste, malgré l’opposition des populations qui ont manifesté. (2)
Ce qui se passe ailleurs doit nous servir de leçon.
Ne laissons pas nos élus autoriser des projets « pilotes »
en Seine et Marne
qui pourraient nous priver de notre eau potable
Pour aller plus loin :
Sonatrach mise sur des projets "aveugles" pour blanchir la rente