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11 février 2016 4 11 /02 /février /2016 14:33

 

Non contents de venir déverser les ordures dans le bassin versant Beuvronne, les camions de déchets peuvent être un risque pour les enfants de nos villages ruraux.

 

l’ETAT a décidé depuis des décennies de faire des regroupements scolaires et de transporter plusieurs fois par jour les enfants de nos villages ruraux par cars scolaires.

 

Nous prendrons pour exemple Fresnes sur Marne le village  aux 2 décharges, aux 2 entreprises de concassage de déchets.

 

Depuis des années les associations demandent que la circulation des poids lourds  soit interdite aux abords de l’école maternelle mais les élus sont aux abonnés absents, devons-nous attendre qu’un grave accident ne se produise ?

 

En effet à Fresnes sur Marne  il y a une école maternelle/primaire CP (4 classes), c’est un regroupement scolaire d’enfants en provenance des villages ruraux voisins de Précy sur Marne et Charmentray.

 

Les cars scolaires peuvent croiser sur leur passage des poids lourds de tonnages importants spécialisés notamment dans l’acheminement des gravats de bâtiments.

 

Et la situation devrait encore se détériorer puisqu’un projet de 3ème décharge de gravats de bâtiment est prévue sur cette commune,  un dossier qui avait été bloqué par le vote du PREDEC en juin dernier interdisant l'implantation de décharges ISDI en Seine et Marne pendant 3 ans de juin 2015 à juin 2018, mais c’était sans compter sur l’intervention du représentant de l’ETAT, le préfet de région Jean-François Carenco, qui  vient de demander l'annulation du PREDEC, en effet les gravats du Grand Paris il faut bien les mettre quelque part et il n’est pas concevable pour le préfet de région d’interdire l’implantation de décharges en Seine et Marne.

 

 

Quant à Jean-Jacques Barbaux, président du CD77, il veut investir massivement dans la rénovation des routes « pour rendre le territoire attractif », attractif pour qui, pour  les poids lourds chargés d’ordures qui sillonnent nos villages ruraux ?

 

Sur le dossier des transports scolaires, Jean-Jacques Barbaux est bien  plus discret, pourtant c’est un poste sur lequel  il pourrait faire des économies conséquentes  en demandant la réimplantation dans les villages ruraux de classes à plusieurs niveaux,  ce qui permettrait  de réduire les transports scolaires et d'éviter une mise en danger inutile des enfants.

 

 

Les 2 accidents  récents de transports scolaires vont peut-être faire prendre conscience à nos élus que les regroupements scolaires ne sont pas dans certains cas la solution idéale pour nos enfants.

 

 

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11 février 2016 4 11 /02 /février /2016 09:54

 

Quelles mesures

le préfet de Seine et Marne

va-t-il prendre pour protéger les enfants

dont l’école se trouve

à proximité des champs  traités aux pesticides ?

 

 

Nous n’en savons rien

 nous n’avons trouvé

aucun communiqué

à ce sujet sur le site de la préfecture.

 

 

St Mesmes l'école primaire  située au bord des champs traités aux pesticides

St Mesmes l'école primaire située au bord des champs traités aux pesticides

 

 

 

Beaucoup d’écoles dans le bassin versant Beuvronne sont situées à proximité de champs traités aux pesticides pour ne citer qu’elles : Villeparisis, St Mesmes, Fresnes sur Marne, St Mard, Juilly…. Mais la liste est bien plus longue.

 

Nos enfants ne doivent pas être encore une fois  les oubliés de la Seine et Marne, nous attendons des mesures fortes de la part de Jean-Luc Marx, préfet de Seine et Marne.

 

 

 

 

 Paru sur le site actu environnement :

Pesticides : une "boîte à outils" donnée aux préfets pour protéger les personnes vulnérables

Le ministère de l'Agriculture donne aux préfets la "boîte à outils" censée leur permettre de protéger les populations vulnérables lors des épandages de pesticides. La mise en œuvre de ces mesures repose sur leur bon-vouloir.

Agriculture  |    |  Laurent Radisson 

Le directeur général de l'alimentation (DGA) a adressé le 27 janvier une instruction technique aux préfets et aux directions régionales de l'agriculture (Draaf) relatives à la protection des personnes vulnérables lors des épandages de pesticides. Une circulaire qui vient à point nommé alors que l'enquête du magazine Cash Investigation, diffusée le 2 février, a fait grand bruit. Elle montrait la présence de nombreux pesticides dans les cheveux des enfants vivant à proximité de vignes ou de vergers traités par les produits phytosanitaires.

Cette note, qui précise les mesures de protection prévues par la loi d'avenir pour l'agriculture d'octobre 2014, se veut "une « boîte à outils » à la disposition des préfets de département afin de leur permettre d'appréhender les situations locales, en l'état actuel des connaissances". Une manière de dire que ces mesures de protection reposent sur le bon-vouloir des préfets, même si l'instruction indique que l'article L. 253-7-1 du code rural, introduit par cette loi, est directement applicable.

Mise en place de haies anti-dérive

Cet article réglemente l'utilisation des produits phytopharmaceutiques à proximité des espaces habituellement fréquentés par les élèves ou les enfants, et des établissements de santé ou accueillant des personnes âgées. L'utilisation des produits à proximité de ces lieux est subordonnée à "la mise en place de mesures de protection adaptées telles que des haies, des équipements pour le traitement ou des dates et horaires de traitement permettant d'éviter la présence de personnes vulnérables lors du traitement".

Le ministère de l'Agriculture précise les conditions d'efficacité des haies : hauteur supérieure à la culture ou aux équipements de pulvérisation, précocité de végétation, homogénéité effective, largeur et semi-perméabilité permettant de filtrer le maximum d'effluents sans les détourner totalement… Les dispositifs totalement imperméables, comme les murs, palissades, filets brise-vent, haies trop compactes ne sont pas satisfaisants, explique-t-il.

Concernant les matériels, qui peuvent être des pulvérisateurs complets, des buses de pulvérisation ou des combinaisons de moyens, ils permettent selon le ministère de "diminuer les risques dedérive d'au moins 66% par rapport aux conditions normales d'application des produits". Ce dernier renvoie à une liste de matériels publiée au Bulletin officiel.

Distance minimale de 50 mètres pour l'arboriculture

Lorsque ces mesures de protection ne peuvent pas être mises en place, la loi prévoit que le préfet détermine "une distance minimale adaptée" en deçà de laquelle il est interdit d'utiliser ces produits. Pour cela, l'instruction demande aux préfets de tenir compte de plusieurs facteurs : caractéristiques des cultures, modes et matériels de traitement utilisés, dates et horaires de traitement préconisés, réduction apportée par les mesures de protection, etc.

S'appuyant sur les travaux de l'Anses, le directeur général de l'alimentation précise que pour obtenir moins de 1% de dérive, il faut au minimum 5 mètres pour les cultures basses mais 20 mètres pour la viticulture et 50 mètres pour l'arboriculture.

Enfin, la loi prévoit que des mesures de protection physique doivent être mises en place par tout responsable lors de la construction des bâtiments hébergeant des personnes vulnérables. Dans ce cadre, l'instruction précise que la mise en place d'une barrière physique, comme une haie anti-dérive, est obligatoire. Cette haie devra être implantée sur une zone d'une largeur minimale de 5 mètres, sur laquelle les personnes vulnérables ne pourront pas être présentes, et répondre aux caractéristiques présentées précédemment. La demande de permis de construire de l'établissement devra décrire ces caractéristiques.

L'instruction ne contient en revanche aucune précision relative à la protection des riverains lorsqu'ils ne font pas partie de la catégorie des personnes vulnérables.

, journaliste
 

http://www.actu-environnement.com/ae/news/epandage-pesticides-boite-outils-haie-coupe-vent-proteger-enfants-sante-26198.php4

 

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11 février 2016 4 11 /02 /février /2016 08:51

 

 

La communauté de communes Plaines et Monts de France avait préconisé en date du 20/4/2015 d’entreprendre la mise à niveau de la station d’épuration. A moyen terme, la station d’épuration de Longperrier atteindra sa capacité nominale de 10 000 EH en raison du remplissage de la ZAC de Saint-Mard et la création de la nouvelle ZAC des Archers. Le montant estimé des travaux s’élève à 884 000 euros HT.

 

Pour ce faire Plaines et Monts de France sollicitait des subventions auprès de l’Agence de l’Eau Seine Normandie, du Conseil Régional IDF et du Conseil Départemental 77.

 

Ironie du sort la communauté de communes Plaines et Monts de France devrait voir son territoire modifié, Longperrier devrait rejoindre l’Intercommunalité Roissy Pays de France.

 

Le contrat bassin Beuvronne 2012-2016 (1)  devait financer des travaux sur les stations de traitement des eaux usées, la somme de 14 millions d’euros devait être utilisée à cette fin, mais le contrat arrive à son terme en 2016 et ce projet ne semble pas avoir été planifié.

 

L’espoir de voir ces travaux se réaliser rapidement semble donc s’envoler.

 

 

Pour tous renseignements complémentaires

contactez :

 Michel Mouton

maire de Longperrier

 

Daniel Dometz

maire de  St Mard

 

Jean-Pierre Dormeau

 adjoint au maire de Gressy

 et président du syndicat de la Haute Beuvronne

en charge du contrat bassin Beuvronne

 

 (1) Contrat bassin Beuvronne http://www.iledefrance.fr/sites/default/files/mariane/RAPCP12-209RAP.pdf

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10 février 2016 3 10 /02 /février /2016 20:20

 

 

Aujourd’hui se tenait à la sous préfecture de Torcy la commission de suivi de site Fort de Vaujours, quelques minutes après le début de la réunion plusieurs élus ont claqué la porte,

indiquant qu’ils n’assisteraient plus à cette commission. Il s’agit  de Ludovic Toro, maire de Coubron et médecin de profession, de Xavier Vanderbise, maire de Courtry.

 

Il faut dire que dans ces 2 départements du 93 et 77 où l’espérance de vie est la plus faible d’Ile de France et dans ce secteur du nord-ouest 77 particulièrement impacté par une masse d’activités polluantes, les élus sont fortement sollicités par les populations qui n’en peuvent plus de voir autour d’elles tous ces problèmes de santé et ces jeunes décéder prématurément sans que ni le ministère de la santé ni celui de l’écologie ne lève le petit doigt.

 

Ludovic Toro avait demandé dans les 2 précédentes réunions à l’Agence Régionale de Santé de lui fournir les statistiques concernant les décès sur Coubron et Vaujours, soutenu par une association environnementale qui le demandait également sur Villeparisis.

Mais l’Agence Régionale de Santé fait la sourde oreille.

 

l’Agence de Sureté Nucléaire fait des inspections quand les préfets lui demande, 1 fois tous les 6 mois environ.

 

Concernnant la démolition des bâtiments, lors de la dernière inspection de décembre  l’ASN a constaté que les murs extérieurs n’étaient pas investigués  radiologiquement sur toute la hauteur.

 

Concernant  la sortie des déchets du site, bien qu’un portique de contrôle de la radioactivité soit mis en place, l’ASN  souhaite que des investigations complémentaires soient réalisées directement sur les déchets, car le portique n’est pas toujours sensible à certains déchets radioactifs.

 

Quant aux salariés qui travaillent sur le site, ils ne sont pas munis de dosimètre pour contrôler la radioactivité, alors que les employés de l’entreprise Burgeap qui contrôle le site en sont munis.

 

Des balises contrôlent la radioactivité sur le site mais aucunes ne contrôlent  les émissions de poussières (amiante, métaux lourds arsenic, plomb...)

Il est vrai que pour  les émissions poussières Placoplatre connaît bien pour être déjà le 5ème plus important émetteur de poussières  pour son usine de fabrication de plâtre de Vaujours.

 

Quand à l’inspection du travail qui assistait à la visite de l’ASN de décembre, elle est muette, son rapport est secret et ne sera pas fourni aux membres de la commission.

 

Pour L’Agence régionale de Santé c’est autre chose, elle n’a pas fait de rapport, comme cela vous êtes édifié.

 

 

 

Paru de le Parisien 77 :

 

Fort de Vaujours : les élus claquent la porte de la commission de suivi

T.P. | 10 Févr. 2016, 19h20 | MAJ : 10 Févr. 2016, 19h20

 

Trop, c’est trop. Ce mercredi, Ludovic Toro, maire (UDI) de Coubron, Dominique Bailly, maire (UDI) de Vaujours, et Xavier Vanderbise, maire (LR) de Courtry (Seine-et-Marne), ont claqué la porte de...

 

 

 

http://www.leparisien.fr/vaujours-93410/fort-de-vaujours-les-elus-claquent-la-porte-de-la-commission-de-suivi-10-02-2016-5532655.php

 

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10 février 2016 3 10 /02 /février /2016 18:21

 

 

 Petit peuple

du Bassin versant Beuvronne

de quoi vous plaignez-vous ?

 

 

Le Grand Paris va créer des emplois pour vos enfants

dans le  secteur  des ordures.

 

 

Car ici on ne créera pas de grandes écoles 

d’ailleurs pourquoi ?

 

 

Vos enfants n’en ont pas besoin, le Grand Paris va leur permettre de trouver des emplois dans le secteur des ordures, alors pour cela pas besoin de faire de longues études.

 

D'ailleurs Jean-François Carenco le Préfet de Région IDF prépare le terrain, il vient de demander l'annulation du PREDEC qui interdisait l'implantation de décharges ISDI en Seine et Marne pendant 3 ans de juin 2015 à juin 2018, comme cela les ordures vous allez pouvoir en recevoir à la pelle.

 

Mais  Jean-Jacques Barbaux, président du CD 77, prépare  aussi le terrain, pour rendre votre territoire attractif, il va investir massivement dans la rénovation de vos routes, une aubaine pour les exploitants de décharges.

 

Il est vrai que c’est vous qui allez payer l’addition car Jean-Jacques Barbaux a décidé d’augmenter vos impôts fonciers.

 

Jean-Jacques Barbaux avait promis d’aider les villages ruraux, promesse difficile à tenir quand on a pour vice président Jean-François Parigi, président de Meaux Habitat, un organisme qui fait de la rénovation urbaine en détruisant des tours plutôt que de les rénover.

 

En détruisant également vos villages ruraux car Meaux doit bien trouver des endroits pour y déverser ses gravats de bâtiment.

 

 

 

Pour aller plus loin :

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/conseil-departemental-hausse-d-impots-et-economies-drastiques-en-2016-15-01-2016-5454617.php

 

 

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10 février 2016 3 10 /02 /février /2016 09:15

 

 

 

Qu'en est-il un an

après l'édition

de notre article du 8/1/2015 ?

 

Un Conseil Régional aux abonnés absents !

 

 

Réédition de notre article  du 5 janvier 2015

L’exploitation du gypse dans la forêt régionale de Montgé en Goële : une bonne affaire pour le Conseil Régional IDF !

 

  

                                    Forêt régionale de Montgé en Goële

 

 

 

 

Le nouveau conseil régional  IDF va-t-il permettre à l’industriel Knauf de détruire la forêt régionale de Montgé en Goële, en implantant une carrière à ciel ouvert remblayée par des déchets !

 

 

L’exploitation du gypse

dans la forêt régionale de Montgé en Goële

une bonne affaire pour le Conseil Régional IDF !

 

 

Le Conseil Régional Ile de France a engagé  en 1992 une procédure d’utilité publique pour lui permettre d’acquérir les terrains de la forêt de Montgé en Goële.

 

Pour faire court c’était dans le but :

- de préserver les boisements senescents (1), des boisements qui ont dépassé l’âge d’exploitabilité

- de maintenir les continuités écologiques

- d’accueillir le public pour des activités de plein air.....

 

Aujourd’hui il se pourrait que cette procédure d’utilité publique puisse être détournée de son but initial au profit d’une entreprise privée car  le carrier allemand  Knauf voudrait exploiter une carrière à ciel ouvert dans cette forêt qui appartient  en grande partie (596 ha) aux contribuables de l’Ile de France.

 

Une affaire qui pourrait être très lucrative pour le Conseil Régional d’Ile de France au travers de l’AEV.

 

En effet l’industriel Knauf a besoin d’obtenir un droit de fortage, pour ce faire le Conseil Régional d’Ile de France au travers de l’AEV peut en votre nom donner un droit de fortage à l’industriel Knauf, c’est-à-dire autoriser cet industriel à exploiter le gypse dans la forêt de Montgé en Goële contre le versement  d’une redevance.

 ( pour mémoire l’AEV perçoit environ 500 00 € par an pour l’exploitation souterraine de gypse sous la butte de Parisis (95)

 

Cette exploitation pourrait rapporter beaucoup d’argent à l’AEV et surtout presque 10 fois plus si l’exploitation est pratiquée à ciel ouvert que si elle est pratiquée en souterrain (2), en effet la redevance est versée au prorata de la tonne de gypse extraite.

 

Détruire la forêt de Montgé en Goële, en exploitant le gypse à ciel ouvert, donnerait de la trésorerie à l’AEV     pour acheter et préserver des espaces naturels ailleurs en Ile de France.

 

Et puis les travaux du Grand Paris ont besoin de trous pour déverser leurs déchets, cela ferait d’une pierre deux coups.

 

 

Pourquoi

 ne pas continuer à détruire ce secteur martyrisé

d'ailleurs comme le disent certains

 

" comme chez vous tout est foutu

pourquoi 

ne pas en rajouter une couche" ?

 

A vous de juger

 

 

 

 

 (1) http://crpf-paysdelaloire.fr/sites/default/files/fiches/les_bois_senescents.pdf

 

(2) version provisoire plan paysage et ressources de la butte de montgé présentation de scénarios d’évolution en comité de pilotage phase 2 élaboration des scénarios d’évolution 1/7/2014 (Omnibus /2G Génie Géologique/Rounet Guitel

 

 

 

 

 

Pour plus d'informations contactez vos élus du conseil régional IDF :

 

Mme Anne CHAIN-LARCHÉ (LR)

Maire St Denis les Rebais, vice présidente du Conseil Régional chargée  de la ruralité et de l’agriculture

 

 

Mme Marie-Pierre Badré (LR) Adjointe au Maire de Couilly Pont aux Dames

M. Gilles Battail (LR) Maire deDammarie les Lys

M. Joffrey BOLLÉE (FN)

M. Pierre CHERRIER (FN) de la Celle St Cloud (92)

M. James CHERON (UDI) Adjoint au maire de Montereau Fault Yonne

Mme Aurélie COURNET (FN) de Paris

M. Gilbert CUZOU   (PS) de Paris

M. Benoît CHEVRON (LR) de Villiers St Georges, Président de la Fédération Départementale des Chasseurs

M. Bertrand DUTHEIL DE LA ROCHERE (FN)

Mme Sylvie FUCHS (FDG) Conseillère municipale  de Roissy en Brie

M. François Kalfon (PS ) Conseiller municipal Melun

M. Éric Jeunemaître (LR) Adjoint au maire de Provins

Mme Sylvie MONCHECOURT (UDI) Maire de Montigny sur Loing

Mme Laure-Agnès MOLLARD-CADIX (UDI) Conseillère municipale de Combs la Ville       

Mme Bénédicte MONVILLE de CECCO Conseillère municipale de Melun

M. Jean-Paul Planchou (PS ) Ancien maire de Chelles

M. Julien PROFFIT (LR) Conseiller Municipal de Claye-Souilly

Mme Hamida Rezeg (LR) Adjointe au maire de Meaux

Mme Roseline Sarkissian (PSConseillère municipale de Fontainebleau

Membre de la commission Environnement, aménagement du territoire

Mme Claudine Thomas (LR) Adjointe au maire de Chelles

Mme Béatrice TROUSSARD (FN) conseillère municipale de Chelles

M. Frédéric Valletoux (LR) Maire de Fontainebleau

Mme Thi Hong Chau VAN (CD) Adjointe au maire de Bussy Saint Georges

 

 

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9 février 2016 2 09 /02 /février /2016 22:19

 

 

Paru sur le site le Moniteur fr.

 

Ile-de-France : le préfet demande l’annulation du plan de gestion des déchets

LE MONITEUR.FR - 

 

Jean-François Carenco a déféré le « Predec » au tribunal pour le faire annuler. Ce plan impose notamment un moratoire sur tout projet de décharge en Seine-et-Marne, ce qui, selon le Préfet d’Ile-de-France « est l’affaire de la loi ».

 

Adopté en juin 20015, après près de deux ans de débat, le plan de prévention et de gestion des déchets issus de chantiers du bâtiment et de travaux publics (Predec) d’Ile-de-France faisait jusqu’à présent consensus. Voté à l’unanimité par l’hémicycle régional, ce plan de gestion décrétait d’une part un moratoire sur les stockages en Seine-et-Marne (aucun projet d’extension ou de création de lieu de stockage autorisé pendant une durée de trois ans, et limitation à 4 millions de tonnes par la suite), imposait d’autre part aux départements de la petite couronne d’envoyer leurs déchets dans un département de grande couronne dont ils sont limitrophes, et fixait comme objectifs 200 points de collecte en 2020 pour les artisans (220 points en 2026) et le doublement du nombre de déchèteries professionnelles (16 en 2020 et 20 en 2026 contre 8 en 2010). Indispensable pour gérer une quantité de déchets qui devrait 43 millions de tonnes à l’horizon 2026 avec les chantiers du Grand Paris Express.

Mais voilà que le préfet de la Région Ile-de-France, Jean-François Carenco a décidé d’attaquer le Plan et a demandé son annulation en justice. « J’ai déféré ce plan au tribunal pour le faire annuler dans les délais » indique-t-il dans Les Echos du 9 février. Le principal grief du préfet porte sur le moratoire en Seine-et-Marne. « La Région ne saurait poser ce type d’interdiction. C’est l’affaire de la loi. Et ce plan ne règle rien de nouveau en matière de déchets » épingle-t-il.

 

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9 février 2016 2 09 /02 /février /2016 08:48

 

Quand il s’agit de refuser une étude épidémiologique

L’Agence Régional de Santé

sait dire non

 mais quant il s’agit de donner des informations

sur la protection de notre ressource en eau

c’est silence radio.

 

 

Captage d’Annet sur Marne 

 

Sur le papier tout est parfait la préfecture a pris en 2009 un arrêté préfectoral de déclaration d’utilité publique imposant des contraintes pour la protection de ce captage.

 

Mais sur le terrain 7 ans après où en est-on ?

 

Depuis 2009 combien  l’Agence Régionale de Santé a-t-elle effectué d’inspection pour contrôler sur le terrain la mise en application des prescriptions de l’arrêté préfectoral ?

Nous n’en savons rien

 

Dans le périmètre de protection immédiat de ce captage, se trouvent un camping  et des établissements industriels, quel système d’assainissement possède ces établissements ?

Nous n’en savons rien

 

Les stations d’alerte prévues dans l’AP sur la Marne et La Beuvronne ont-elles été installées ?

Nous n’en savons rien

 

Dans le périmètre de protection immédiat  il est prévu que le recours à la prise d’eau de secours doit être exceptionnel en dehors des pompages d’essais mensuels ( car il faut savoir qu’en cas de forte pollution de la Marne Veolia est autorisée à pomper l’eau dans la base de Losirs de Jablines), cette prescription est-elle respectée ?

                                                     Nous n’en savons rien

 

Dans le périmètre de protection rapproché sont interdits les rejets d’eaux usées en Marne or les eaux de la station d’épuration d’Annet sur Marne se rejettent dans ce périmètre, vu le mauvais état de la station, qui contrôle si par période des eaux usées non traitées ne se déversent dans la Marne ?

Nous n’en savons rien

 

 

Ce que nous savons c’est que depuis près de 5 ans une décharge illégale est implantée dans le périmètre de protection rapproché de ce captage et qu’à ce jour les ordures sont toujours là.

 

 

 

Pour plus d’informations nous vous conseillons

de contacter

Laurent Legendart

Responsable ARS 77

ou

le maire de votre commune

 

Décharge illégale dans le périmètre de protection rapproché du captage d'eau d'Annet sur Marne

Décharge illégale dans le périmètre de protection rapproché du captage d'eau d'Annet sur Marne

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8 février 2016 1 08 /02 /février /2016 20:14
Rivière RENEUSE affluent de la BEUVRONNE ( en aval du déversoir ADP)

Rivière RENEUSE affluent de la BEUVRONNE ( en aval du déversoir ADP)

 

Qui gère la basse Beuvronne

ADP

ou

les élus du syndicat

SIAERBB ?

 

Nous avons pu enfin nous procurer la convention publique signée entre ADP et le syndicat de la Basse Beuvronne.

 

Un parcours difficile pour obtenir ce document car ni ADP, ni le syndicat ne voulait nous le fournir, Adenca a dû demander l’intervention de la CADA http://www.cada.fr/ commission d’accès aux documents administratifs.

 

 

Il est vrai qu’à la lecture de ce document

on peut se poser

des questions.

 

ADP s’engage à verser annuellement pendant 5 ans 100 000 € au syndicat Basse Beuvronne SIAERBB, mais l’industriel ADP impose ses conditions :

 

- 2 représentants d’ADP pourront assister aux réunions ordinaires du syndicat, ils seront convoqués dans les mêmes conditions que les délégués des communes membres.

- les réunions se tiendront au moins une fois par an

- il importe que les cours d’eau faisant transiter les eaux de l’aéroport soient aménagés de façon à accepter des débits importants, la participation financière d’ADP contribuera à la réalisation de ces aménagements.

 

 

 

Ici vous êtes

dans le Bassin versant Beuvronne

 

Là où vit

« le petit peuple »

 

Là où les industriels

semblent imposer leurs conditions aux élus

 

Là où les populations

ont seulement

le droit de payer leurs impôts

et de se taire

 surtout se taire !

 

 

 

Pour tous renseignements complémentaires

Contactez :

Yves Albarello

Député Maire de Claye-Souilly

Président du SIAERBB

 

 

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8 février 2016 1 08 /02 /février /2016 09:08

 

 

En effet lorsque l’on se rend sur le site du Conseil Régional IDF et que l’on consulte la fiche d’Anne Chain-Larché on s’aperçoit que son e.mail n’y figure pas.

 

Il est vrai que Madame la vice présidente cumule les mandats et ne semble pas vouloir être dérangée.

 

Petit peuple de Seine et Marne

vous avez le droit

d’élire

des conseillers régionaux

 mais

 n’en demandez pas plus à certains d’entre eux

 

D’ailleurs Anne Chain-Larché n’est pas la seule que vous ne pouvez pas contacter par e.mail il y a aussi : Gilles Battail, Joffrey Bollée, Sylvie Fuchs, Eric Jeunemaitre, François Kalfon, Bénédicte Monville-de-Cecco, Jean-Paul Planchou, Roseline Sarkissian, Frédéric Valletoux, Thi Hong Hau VAN.

 

 

Sur 24 conseillers régionaux de Seine et Marne

près de la moitié

n’a pas souhaité vous donner son e.mail.

 

 

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