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8 octobre 2019 2 08 /10 /octobre /2019 18:52

 

Un manque de transparence  ?

 

Riverains à vous de juger

 

 

 

Pour toutes informations complémentaires

nous vous conseillons de vous rapprocher de

 

Patrick MAURY

Adjoint au maire de Villeparisis

Et membre du bureau de la CSS Suez Villeparisis

 

Réédition de notre article du 7 décembre 2014 :

 

La commission de suivi de site de la décharge SEVESO SITA Villeparisis à hauts risques ne sera pas ouverte au public !

Décharge SEVESO à hauts risques Suez Villeparisis : Pourquoi les élus, les services de l’ETAT et l’industriel ont refusé l’ouverture de la CSS au public alors que les associations environnementales la demandait ?

 

 

 

 

Dans un souci de transparence les associations de défense de l’environnement demandaient l’ouverture de la commission de suivi de site au public, la décision a été prise  de  5/12/2014 par les membres du bureau.

 

Les membres défavorables à l’ouverture de cette commission au public

Sont :

 

- M. Patrick Maury adjoint au maire de Villeparisis (représentant les élus)

- M. Arnaud Roy (représentant la décharge SITA)

- Mme Fanny Millambourg (représentant les salariés de la décharge SITA)

 - les services de l’ETAT.

 

 

Le seul membre favorable à l’ouverture de cette commission au public

était :

-  Mme Mireille LOPEZadministratrice NE 77 (1) représentante au bureau des associations de défense de l’environnement (NE 77,ADEBF, Les amis de la Terre de la Dhuis)

 

Les membres favorables étant minoritaires

la commission

ne sera pas ouverte au public

 

 

Pour connaître les raisons pour lesquelles certains de vos élus ont refusé à ce que vous puissiez assister à cette commission nous vous conseillons de vous rapprocher de :

 

M. Patrick Maury adjoint au maire de Villeparisis

et de son suppléant au bureau

M. Jacqui Cuisinier, conseiller municipal de Courtry

 

 Pour mémoire :

L’association Nature Environnement 77(1) a demandé à M. Jean-Luc MARX, préfet du 77, d’ouvrir cette commission au public, M. Vincent Eblé, président du CG77, a soutenu cette demande.

 http://adenca.over-blog.com/article-la-commission-de-suivi-de-site-de-la-decharge-seveso-sita-villeparisis-a-hauts-risques-ne-sera-pas-o-125151204.html

 

(1) http://www.environnement77.fr/

 

 

 

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7 octobre 2019 1 07 /10 /octobre /2019 15:30

 

Un manque de transparence  ?

 

Riverains à vous de juger

 

 

 

Pour toutes informations complémentaires

 nous vous conseillons de vous rapprocher de

La préfecture de Seine et Marne

 

 

 

Réédition de notre article du 17/10/2014  :

La CSS commission de suivi de site de la zone industrielle de Mitry-Compans ne sera pas ouverte au public

 

      Dans un souci de transparence, Mireille LOPEZ, association ADENCA,représentante des Riverains de l’installation ou associations de protection de l’environ nement, au bureau de la commission de suivi de site de la zone industrielle de Mitry-Compans avait demandé à la sous préfecture de Meaux d’organiser une réunion de bureau pour décider de l’ouverture de cette CSS au public.

 

Or aujourd’hui elle vient de recevoir de la sous préfecture le message  suivant :

« Après la consultation des membres du bureau quant à l'ouverture au public des réunions de la CSS pour la ZI Mitry-Compans, il ressort que la majorité des membres est défavorable à cette ouverture au public »

 

Les membres défavorables

  sont

les services de l’Etat  et les exploitants

 

Les membres favorables 

sont

les collectivités locales et les  associations de riverains

 

 

Les membres favorables étant minoritaires

la commission

ne sera pas ouverte au public

 

 

       http://adenca.over-blog.com/article-la-css-commission-de-suivi-de-site-de-la-zone-industrielle-de-mitry-compans-ne-sera-pas-ouverte-au-p-124798889.html

 

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4 octobre 2019 5 04 /10 /octobre /2019 14:17
Passage à niveau zi Mitry-Compans non protégé par une barrière de sécurité alors que circulent sur cette voie ferrée des wagons chargés de produits chimiques alimentant un site SEVESO à hauts risques (photo 1/6/2018)

Passage à niveau zi Mitry-Compans non protégé par une barrière de sécurité alors que circulent sur cette voie ferrée des wagons chargés de produits chimiques alimentant un site SEVESO à hauts risques (photo 1/6/2018)

 

En 2013 alors que le plan de prévention des risques technologiques de la zone industrielle de Mitry-Compans était en cours d’instruction, la préfète dispense d’effectuer une évaluation environnementale bien que 3 sites SEVESO à hauts risques étaient comptabilisés sur cette zone industrielle.

 

Voici les raisons invoquées par Madame la Préfète dans son AP  13 E 1C 001 du  22/5/2013,  pour extrait:

En 2013 la préfète Nicole Klein dispense d’effectuer une évaluation environnementale dans le cadre du PPRT SEVESO de la zone industrielle de Mitry-Compans

 

 

http://www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/Decision_dispense_Evaluation_Envtale_PPRT_Mitry-Mory_cle7ef1a5.pdf

 

 

 

Après l’accident de LUBRIZOL ROUEN ne serait-il pas utile que la préfète Béatrice ABOLLIVIER demande une mise à jour de l’étude de danger aux industriels responsables des 2 sites SEVESO à hauts risques  CCMP et GAZECHIM, contrôlée par un organisme indépendant, et impose une évaluation environnementale du PPRT ?

 

Riverains à vous de juger

 

 

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3 octobre 2019 4 03 /10 /octobre /2019 10:16

 

 

Le plan particulier d’intervention (PPI) constitue une disposition spécifique du dispositif ORSEC qui permet de gérer les moyens de secours en cas d'accident dans une installation classée dont les conséquences dépassent l'enceinte de l'installation. Il assure la sauvegarde des populations, des biens et la protection de l’environnement lorsque l’accident entraîne ou est susceptible d’entraîner des dangers débordant les limites de l’établissement (installations nucléaires, établissements « SEVESO », stockages souterrains de gaz). (1)

 

 

 

Dans son arrêté de dispense de Plan Particulier d’Intervention 2018/16 Cabinet du Préfet/BIDPC du 27/4/2018, la préfète indique, pour extrait :

Décharge Suez Villeparisis, SEVESO à Hauts Risques: Pourquoi la préfète Béatrice Abollivier  n’a pas mis en place un plan d’intervention PPI pour protéger les riverains et l’environnement en cas d'accident?

voir arrêté préfectoral complet page 7

http://www.seine-et-marne.gouv.fr/content/download/32290/254050/file/RAA%20n%C2%B045%20du%2030%20avril%202018.pdf

 

 

Il semblerait que pour prendre sa décision la préfète se soit reposée uniquement sur l’étude de dangers présentée par l’industriel sans prendre l’avis d’une autorité indépendante.

 

Comment l’industriel pouvait-il démontrer, l’absence en toute circonstance, même en cas d’incendie, de danger grave pour la santé de l’homme ou pour l’environnement à l’extérieur de l’établissement.

 

 

Lors d’un départ de feu

les fumées toxiques de l’incendie

s’arrêteraient-elles

aux limites de la décharge ?

 

 

Les riverains n’ont pas oublié l’incendie qui s’est déclaré le dimanche 17 février 2013 alors que le site était fermé, le gardien n’ayant pas lui-même détecté le sinistre.

 

Des flammes de 3 à 4 m de hauteur

 

Le feu s’était déclaré dans un casier contenant des déchets dangereux d’amiante et de fûts contenant des poussières avec de l’arsenic.

Les pompiers mettront près de 7h pour circonscrire le feu.

 

A cette époque la préfète Nicole Klein ne réunira pas en urgence la commission de suivi de site bien que les associations le demandèrent, les résultats des analyses seront présentés aux membres de cette commission près de 10 mois après les faits lors de la CSS du 3 décembre 2013.

A notre connaissance il n’y a pas eu de contrôles dans le ru des Grues qui reçoit les eaux de ruissellement de cette décharge, les écoles alentours n’ont pas fait l’objet d’investigations particulières.

 

 

Depuis 3 autres incendies  se sont déclarés sur le site :27/4/2017, 12/10/2017 et 14/5/2018.

 

 

 

 

 site BARPI :

 

N° 43438 -  17/02/2013 -  FRANCE - 77 - VILLEPARISIS

E38.22 - Traitement et élimination des déchets dangereux

 

Vers 8h30, le gardien d’un centre d’enfouissement de déchets dangereux classé Seveso est alerté par une société voisine d’un dégagement de fumée dans un casier extérieur de déchets. Il répercute l’alerte vers l’opérateur d’astreinte. Le casier de 2 500 m², partiellement recouvert, contient 200 t de déchets dont de l’amiante et 44 fûts de 200 l (60 t) de poussières avec de l’arsenic (As) déposés 3 jours plus tôt. L’astreinte, qui arrive sur site à 8h45, constate des flammes de 3 à 4 m de haut et décide de contacter le cadre d’astreinte puis les pompiers, le sinistre n’étant pas maîtrisable en interne. Les secours interviennent avec 56 hommes et plusieurs engins sur un foyer de 500 m². Le brasier est attaqué avec de la mousse puis progressivement recouvert par de la terre au moyen d’engins de chantier (plus efficace dans le temps que la mousse). Une épaisse fumée grise et malodorante se dégage au voisinage, mais les mesures de toxicité en As se révèlent négatives car les fûts n’ont pas été significativement touchés (du benzène et du toluène sont détectés dans le panache de fumées à l’intérieur du site). Les mesures de polluants dans les eaux de surface autour du site ne montrent pas de risque de pollution. Le feu est éteint à 16h30 et les pompiers quittent le site.

Des enquêtes judiciaires et administratives sont effectuées pour identifier les circonstances et les causes du sinistre. L’exploitant mettra en place le coffrage de l’alvéole accidentée sans toucher à la couche de terre et lancera un programme de prélèvements et d’analyses pour étudier l’impact potentiel du sinistre sur le milieu.

 

 

 

(1)https://www.gouvernement.fr/risques/plans-ppi-plans-particuliers-d-intervention

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2 octobre 2019 3 02 /10 /octobre /2019 19:11

 

Paru sur le site Robin des Bois :

LUBRIZOL

2 oct. 2019

Accueil » Actualités » Lubrizol

 

Communiqué Lubrizol n°2

 

La liste publiée par la préfecture de Seine-Maritime, se basant sur les informations communiquées par Lubrizol, est un numéro de strip-tease industriel réservé aux initiés. Il est précisé que 5253 tonnes de produits ont été brûlées. Il est confirmé à travers les mentions de danger conformes au règlement CLP (Classification, Labelling, Packaging) que des substances corrosives, irritantes, nocives, cancérogènes, narcotiques, très dangereuses pour l’environnement aquatique ont été dispersées sur les sols de l’usine, les voiries urbaines, la Seine et dans l’atmosphère.

Cet inventaire partiel ne concerne que les produits finis et conditionnés en fûts. Manquent les matières intermédiaires, les déchets de production et les déchets consécutifs à la destruction de certaines installations fixes ou mobiles.

Robin des Bois publiera ultérieurement une interprétation plus fine des documents disponibles.

 

Voir aussi :
 

Lubrizol, communiqué n°1 : Comment le secret s’est abattu sur les usines Seveso,

30 septembre 2019

 

 

http://www.robindesbois.org/lubrizol/

 

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1 octobre 2019 2 01 /10 /octobre /2019 13:54

 

 

Cette décharge de déchets dangereux est située dans un environnement très peuplé, à seulement 25 kms de Paris (12 millions d’habitants), en bordure de la Seine St Denis (1,6 million d’habitants), à une quinzaine de kms de l’aéroport de Roissy (69 millions de voyageurs par an), à 18 kms de Disneyland (9,6 millions de visiteurs par an) dans une ville de 26 000 habitants.

Elle est à proximité de la Francilienne A104 (trafic environ  90 000 véhicules/jour sur ce secteur).

 

 

Des flammes de 3 à 4 m de hauteur

 

Les riverains n’ont pas oublié l’incendie qui s’est déclaré le dimanche 17 février 2013 alors que le site était fermé, le gardien n’ayant pas lui-même détecté le sinistre.

Le feu s’était déclaré dans un casier contenant des déchets dangereux d’amiante et de fûts contenant des poussières avec de l’arsenic.

Les pompiers mettront près de 7h à circonscrire l'incendie.

 

A cette époque la préfète Nicole Klein ne réunira pas en urgence la commission de suivi de site bien que les associations le demandèrent, les résultats des analyses seront présentés aux membres de cette commission près de 10 mois après les faits lors de la CSS du 3 décembre 2013.

 

A notre connaissance il n’y a pas eu de contrôles dans le ru des Grues qui reçoit les eaux de ruissellement de cette décharge, les écoles alentours n’ont pas fait l’objet d’investigations particulières.

 

Depuis 3 autres incendies  se sont déclarés sur le site : 27/4/2017, 12/10/2017 et 14/5/2018.

 

 

 site BARPI :

 

N° 43438 -  17/02/2013 -  FRANCE - 77 - VILLEPARISIS

E38.22 - Traitement et élimination des déchets dangereux

 

Vers 8h30, le gardien d’un centre d’enfouissement de déchets dangereux classé Seveso est alerté par une société voisine d’un dégagement de fumée dans un casier extérieur de déchets. Il répercute l’alerte vers l’opérateur d’astreinte. Le casier de 2 500 m², partiellement recouvert, contient 200 t de déchets dont de l’amiante et 44 fûts de 200 l (60 t) de poussières avec de l’arsenic (As) déposés 3 jours plus tôt. L’astreinte, qui arrive sur site à 8h45, constate des flammes de 3 à 4 m de haut et décide de contacter le cadre d’astreinte puis les pompiers, le sinistre n’étant pas maîtrisable en interne. Les secours interviennent avec 56 hommes et plusieurs engins sur un foyer de 500 m². Le brasier est attaqué avec de la mousse puis progressivement recouvert par de la terre au moyen d’engins de chantier (plus efficace dans le temps que la mousse). Une épaisse fumée grise et malodorante se dégage au voisinage, mais les mesures de toxicité en As se révèlent négatives car les fûts n’ont pas été significativement touchés (du benzène et du toluène sont détectés dans le panache de fumées à l’intérieur du site). Les mesures de polluants dans les eaux de surface autour du site ne montrent pas de risque de pollution. Le feu est éteint à 16h30 et les pompiers quittent le site.

Des enquêtes judiciaires et administratives sont effectuées pour identifier les circonstances et les causes du sinistre. L’exploitant mettra en place le coffrage de l’alvéole accidentée sans toucher à la couche de terre et lancera un programme de prélèvements et d’analyses pour étudier l’impact potentiel du sinistre sur le milieu.

 

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1 octobre 2019 2 01 /10 /octobre /2019 10:53

 

 

 

Depuis des années notre association souligne le travail remarquable des ingénieurs de la DRIEE 77 dans ce département et demande, sans jamais avoir été entendu, le renforcement des effectifs de cette administration.

 

Ces ingénieurs ont en charge le contrôle des sites SEVESO et de toutes les installations dangereuses pour l’environnement (ICPE) du département, des ingénieurs qui sont souvent sollicités le week end puisque certains incendies notamment dans des sites de traitements de déchets se déclarent le samedi ou le dimanche.

 

Ces ingénieurs qui doivent également instruire les demandes d’autorisations d’implantation de sites polluants ou dangereux qui pleuvent, en particulier, cette année sur notre département.

 

Il est vrai que dans l’état actuel de la législation rien n’interdit aux industriels de maintenir plusieurs sites SEVESO les uns à côté des autres, d'implanter plusieurs industries polluantes ou dangereuses les unes à côté des autres sur un territoire réduit et les industriels ne s’en privent pas.

 

Nous tenons à remercier Guillaume Bailly, responsable DRIEE 77, le sous préfet de Meaux Gérard Péhaut et leurs collaborateurs pour l’opération "coup de poing" qu’ils ont mené en avril dernier sur la zone industrielle de Mitry-Compans où plusieurs entreprises ont fait l’objet de mise en demeure pour infraction à la législation en vigueur.

 

 

Communiqué de la préfecture du 77 lors de l'opération "coup de poing" sur la zone industrielle de Mitry-Compans

Communiqué de la préfecture du 77 lors de l'opération "coup de poing" sur la zone industrielle de Mitry-Compans

 

Après avoir autorisé encore et encore l’implantation de sites polluants et dangereux dans ce département qui compte 40% des sites SEVESO d’Ile de France, L’ETAT doit prendre les mesures nécessaires pour protéger les riverains et ceci passe par plus de contrôles des entreprises et, pour ce faire, le renforcement des effectifs de la DRIEE 77.

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30 septembre 2019 1 30 /09 /septembre /2019 13:49
Dessin humoristique de l'un de nos adhérents
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27 septembre 2019 5 27 /09 /septembre /2019 14:53

 

 

Après l'accident de Lubrizol Rouen se pose le problème de la concentration de sites dangereux ou polluants sur un même secteur.

 

40 % des sites SEVESO d'IDF

se trouvent 

en Seine et Marne

  alors que Paris

n'en compte aucun

 

Pourquoi l'ETAT a-t-il autorisé de telles concentrations d'implantations dangereuses ou polluantes sur des surfaces aussi réduites ?

 

Au nord-ouest 77 l'ETAT a autorisé la concentration à Mitry-Compans de la plus importante zone industrielle d'IDF et du plus important nombre de décharges d'IDF sinon de France.

 

Les riverains de ces installations dangereuses ou polluantes sont les grands oubliés de la France, il serait temps que l'ETAT prenne des mesures pour les protéger.

 

Ironie du sort, c'est dans ce secteur que les services de la DRIEE 77, qui contrôlent ces installations, sont depuis des années en sous effectif.

 

Les riverains aimeraient bien entendre Elisabeth Borne, ministre de l'écologie, s'exprimer sur ce dossier anxiogène.

 

 

Sites SEVESOen Seine et Marne

Sites SEVESOen Seine et Marne

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26 septembre 2019 4 26 /09 /septembre /2019 18:29

 

Publié sur le site le Marneux :

http://www.lemarneux.fr/2019/07/contre-l-autorisation-de-la-prefete-de-l-ouverture-terzeo.html

19 juillet 2019

CONTRE L'AUTORISATION DE LA PREFETE DE L'OUVERTURE TERZEO
 

CONTRE  L'AUTORISATION DE LA PREFETE DE L'OUVERTURE TERZEO


Objet : demande dretrait de l’arrêté préfectoral n°2019/02/DCSE/BPE/I

 

d1février 201portant autorisation à la société TERZEO d’exploiter 

unplateforme de tri et de valorisation de terres issues dchantiers dBTP 

associée à une installation de stockage interne de mono-déchets dangereux situés sur le territoire des communes de Villenoy (77124) et 

dIsles-lès-Villenoy (77450)

 

Madame la Préfète,

La Ligue pour la Protection des Oiseaux France (LPO France) est une association de protection de la nature et de l’environnement agréée au niveau national au titre de l’article L. 141-1 du code de l’environnement, qui a pour objet d’ « agir pour l’oiseau, la faune sauvage, la nature et l’homme, et lutter contre le déclin de la biodiversité, par la connaissance, la protection, l’éducation et la mobilisation ».

 

Notre association suit depuis plusieurs années l’évolution du projet de plateforme de gestion et de stockage de déchets de TERZEO et a déjà alerté à plusieurs reprises sur les enjeux de ce dossier relatifs à la biodiversité.

 

Pour lire le courrier complet  adressée à la Préfète de Seine et Marne :

 

 

CONTRE  L'AUTORISATION DE LA PREFETE DE L'OUVERTURE TERZEO

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