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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 09:55

 

 

Site Gesteau :

Liste des 65 SAGE (1) identifiés nécessaires en France

La liste ci-dessous correspond aux 65 SAGE (1) identifiés comme nécessaires dans les SDAGE approuvés en 2009 pour respecter les orientations et les objectifs fixés.

http://www.gesteau.eaufrance.fr/situation/sage/necessaires-sdage       

 

 


Ne cherchez pas

le bassin versant de la Beuvronne n’est pas concerné

 ici aucune priorité 

 

L’ objectif de bon état écologique des eaux fixé à 2015 par une directive européenne

ne sera pas respecté pour cette rivière.  

 

 

(1)Paru sur le site Agence de l’Eau RhôneMéditerranée Corse :
Qu'est-ce qu'un SAGE ?

Initié par la loi sur l’eau de 1992, le SAGE (Schéma d’Aménagement et de Gestion des Eaux) établit un « projet commun pour l’eau » assorti d’objectifs clairs et de règles de bonne conduite. Il décline à l’échelon local les objectifs majeurs du SDAGE (Schéma Directeur d’Aménagement et de Gestion des Eaux).

Une initiative locale

Le périmètre du SAGE est une unité de territoire où s’imposent des solidarités physiques et humaines : bassin versant, zones humides, nappe d’eau souterraine, estuaire, etc.

Initiés le plus souvent dans des contextes difficiles (pénuries d’eau, inondations, conflits d’usage, etc.), les SAGE permettent de renouer le dialogue et d’engager la concertation entre les acteurs. Ils reposent sur la création d’une Commission Locale de l’Eau (CLE), centre de débats et d’arbitrages, associant les collectivités, les usagers, les services de l’Etat.
Véritable « loi sur l’eau » pour le bassin versant, il est élaboré par les acteurs locaux et approuvé par l’Etat. Il a donc une portée réglementaire.

À quoi sert le SAGE ?

  • Il dresse un constat de l’état de la ressource en eau et du milieu aquatique et le recensement des usages qui lui est lié.
  • Il fixe des objectifs de qualité à atteindre dans un délai donné et contribue ainsi à l’atteinte de l'objectif de bon état des eaux poursuivi par la directive cadre sur l’eau ;
  • Il définit des objectifs de répartition de la ressource en eau entre les différents usages ;
  • Il identifie et protège les milieux aquatiques sensibles ;
  • Il définit des actions de protection de la ressource et de lutte contre les inondations…..

 http://www.eaurmc.fr/les-grands-dossiers-prioritaires-pour-latteinte-du-bon-etat-des-eaux/les-sage/quest-ce-quun-sage.html

(1)   http://www.seine-et-marne.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/SDVP_FICHE_DE_SYNTHESE_152_cle1b741a.pdf

 

  Avancement Sage idf mars 2013 DRIEE

aVANCEMENT sAGE IDF MARS 2013

 

 

 

Pour aller plus loin :

http://www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/Info_SAGE5_cle75a671.pdf

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 20:50

 

 

 

Bassin versant de la Beuvronne

 

Pourquoi aucun élu

n’a souhaité prendre en mains

la mise en place d’un SAGE (1) sur ce secteur,

alors que l'Etat y est favorable ?

 

Voir la réponse de Monsieur le Préfet à notre courrier du 3 septembre 2009, depuis cette date rien n’a changé, nous n’avons trouvé aucun élu souhaitant porter ce dossier et nous le regrettons.

 


préfet

 

  préfet1

 


Si vous souhaitez faire avancer ce SAGE (1), contactez les élus du bassin de la Beuvronne, pour ce faire nous vous indiquons une liste non exhaustive :

 

- Monsieur Yves Albarello, député maire de Claye-Souilly, Président du Syndicat de la Basse Beuvronne, Président de la communauté de Communes Portes de la Brie


- Monsieur Jean-Pierre Dormeau, Président du syndicat de la Haute Beuvronne SIEAEHB en mairie de Gressy


- Madame et Messieurs les conseillers généraux : Madame Michèle Pélabère, Monsieur Jean-Pierre Bontoux, Monsieur Bernard Corneille


- Mesdames et Messieurs les Maires de Annet sur Marne,  Compans, Dammartin- en Goële, Fresnes sur Marne,  Gressy, Le Mesnil Amelot, Messy, Montgé en Goële, Moussy le Neuf, Moussy-le Vieux,  Mitry-Mory, Nantouillet, Othis, Précy sur Marne,  St Mesmes, Thieux,  Villeneuve sous Dammartin  Villevaudé, Villeparisis…

 

(1) SAGE Schéma d’aménagement et de gestion de l’eau http://www.eaurmc.fr/les-grands-dossiers-prioritaires-pour-latteinte-du-bon-etat-des-eaux/les-sage/quest-ce-quun-sage.html

 

 


 

Avancement Sage idf mars 2013 DRIEE

 

aVANCEMENT sAGE IDF MARS 2013

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17 mai 2013 5 17 /05 /mai /2013 12:27
Rivière Beuvronne :

Prévenir plutôt que de tenter de guérir 

 

Un contrôle régulier des métaux lourds tant dans les eaux et  les sédiments, que dans les terres bordant la Beuvronne semble plus que nécessaire.

 

Une étude pour connaître les pollueurs  semble également plus que nécessaire.

 

Imposer ensuite à ces pollueurs de se mettre aux normes afin de ne plus polluer cette rivière.

 

En effet il ne faut pas instaurer en quelque sorte « un droit à polluer », le versement par les pollueurs d’argent aux syndicats de rivière pour participer à l’entretien d’une rivière qu’ils polluent.

 

Depuis des dizaines années des sommes importantes versées par le contribuable ont été utilisées  pour effectuer divers travaux sans qu’une amélioration notoire de l’état de pollution de cette rivière n’ait été constatée.

 

Aujourd’hui une partie importante de nos deniers publics est utilisée pour éradiquer la Renouée du Japon,  cette plante qui colonise en particulier  les rives  des cours pollués aux métaux.


 

Nous payons l’eau potable près de 25% de plus qu’à Paris.

Nous voulons savoir pourquoi ?

Extrait article Wikipédia :
Renouée du Japon

La Renouée du Japon ou Renouée à feuilles pointues (Fallopia japonica, autrefois aussi nommée Polygonum cuspidatum ou encore Reynoutria japonica) est une espèce de plante herbacée vivace de la famille des Polygonaceae originaire d’Asie orientale, naturalisée en Europe dans une grande diversité de milieux humides1.

Cette plante herbacée très vigoureuse est originaire de Chine, de Corée, du Japon et de la Sibérie2. Elle est cultivée en Asie où elle est réputée pour ses propriétés médicinales. Naturalisée en Europe et en Amérique, elle y est devenue l'une des principales espèces invasives ; elle est d'ailleurs inscrite à la liste de l'Union internationale pour la conservation de la nature des 100 espèces les plus préoccupantes3.

Caractères indicateurs

L'envahissement par la renouée du Japon et ses hybrides indique qu'une pollution des sols en métaux, surtout l'aluminium, a peut-être eu lieu ou est en cours. Par conséquent la plante en elle-même est moins inquiétante pour la pérennité des écosystèmes locaux que la pollution qu'elle indique, dans la mesure où il est question d'une dégradation possiblement irréversible des sols. Dans les zones ainsi touchées, la renouée retrouve des conditions de toxicité édaphique similaire à celles de son aire de répartition. Il en va de même pour ses sous-espèces et la renouée des îles Sakhalines. Toutes sont capables de coloniser les coulées de lave récentes. Jusqu'à l'ère industrielle, l'activité volcanique était la seule source massive de dépôts d'éléments-traces métalliques et d'éléments acidifiants. Ce sont des conditions pour lesquelles les renouées sont déjà fortement adaptées contrairement à la flore native de nos régions. Dans leur nouvel habitat, toutes ces renouées colonisent couramment les accotements, les talus des autoroutes et des voies ferrées, les anciennes décharges, les rives des cours d'eau pollués aux métaux. Les transports de terre auxquelles ces zones sont sujettes, notamment le façonnage régulier et possiblement mal conduit des berges et des cours d'eau, finissent de disperser sur tout le territoire les graines, les racines et les tiges à partir desquelles la renouée peut se multiplier. Le caractère de plus en plus invasif des renouées indique une pollution des sols en métaux de plus en plus forte et généralisée. Autrement dit, la décrépitude des biotopes hôtes favorise l'extension de la renouée4.

L'exemple illustré ci-dessous est typique : une locomotive, près d'anciennes voies ferrées, où l'abrasion continuelle des rails et des pièces d'usure, l'accumulation des résidus de combustion et de lubrifiants, l'usage excessif d'herbicides et bien sûr la contamination par la dégradation des structures et des machines elles-mêmes, ont déposé quantité de particules métalliques et autres polluant dans le sol. De tels endroits sont très susceptible d'être envahis par la renouée.

Les renouées pouvant produire 50 000 à 150 000 graines par an et par tige, elles ont un fort potentiel de dispersion par voie de reproduction sexuée lorsque ces graines sont viables. Les akènes ailés peuvent être dispersées par le vent, l'eau, les insectes et d'autres animaux. Grâce à cette enveloppe protectrice, les graines peuvent être très persistantes dans le sol. La levée de dormance de graines très anciennes peut être activée par une pollution contemporaine et lorsqu'un sol pollué est remué4……..

3 ·  Liste établie à partir de la Global Invasive Species Database, établie par le groupe Invasive Species Specialist Group (ISSG) de l'UICN [(en) lire en ligne [archive]]

4. ↑ a, b et c Gérard Ducerf, L'encyclopédie des plantes bio-indicatrices alimentaires et médicinales -guide de diagnostic des sols volume 2, éditions Promonature, 2008, 351 p. (ISBN 2-9519258-6-7)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Renou%C3%A9e_du_Japon

 

 

Pour tous renseignements complémentaires concernant ce dossier contactez :

 

Monsieur Jean-Pierre Dormeau, Président du syndicat de la Haute Beuvronne  en mairie de Gressy

 

Monsieur Yves Albarello, président du syndicat de la Basse Beuvronne, en mairie de Claye-Souilly

 

 


 

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 09:33

 

 

Paru sur le site LES EAUX GLACÉES DU CALCUL ÉGOÏSTE :

 

http://www.eauxglacees.com/Ile-de-France-90-des-cours-d-eau

 

REMOUS

Ile-de-France : 90 % des cours d’eau en mauvais état écologique

par Marc Laimé, 29 mars 2013

 

DEPECHE : "Malgré une nette amélioration depuis vingt ans, seuls 10 % des cours d’eau franciliens sont aujourd’hui en bon état écologique. Ce sont notamment les petites rivières qui pâtissent encore le plus des pollutions accidentelles. En 2027, 100 % des cours d’eau seront censés être en bon état selon une directive européenne."

"L’Ile-de-France a jusqu’en 2027 pour assainir la totalité de ses cours d’eau selon une directive européenne datant de 2000. "On part de loin" avoue Bernard Doroszczuk, le directeur de la DRIEE d’Ile-de-France, la direction de l’environnement et de l’énergie.

Et pour cause, seules 10 % des rivières franciliennes sont aujourd’hui en "bon état écologique" selon les normes de qualité environnementale. Une moyenne peu reluisante qui cache sur le terrain une profonde disparité selon le débit des cours d’eau.

176 pollutions accidentelles recensées depuis 10 ans

"L’amélioration des eaux de la Seine et de la Marne depuis 20 ans est incroyable, se réjouit Fabien Esculier, le chef du service de la police de l’eau. Les taux d’oxygène et de phosphate sont revenus à la normale grâce aux investissements en matière de traitement des eaux usées. Mais les petites rivières comme la Bièvre ou l’Yerres restent en mauvais état écologique, notamment à cause de leur faible débit."

Globalement, les cours d’eau en Ile-de-France souffrent tous d’un trop plein de polluants chimiques. "On nous a signalé, entre 2001 et 2010, 176 pollutions accidentelles dont la moitié provenaient de rejets d’hydrocarbures, explique Bernard Doroszczuk. Il ne s’agit pas forcément d’actes délibérés, les orages amènent aussi beaucoup de polluants dans les rivières à cause du ruissellement. Le moindre papier qu’on jette dans la rue peut se retrouver à l’eau."

Depuis l’été dernier, la préfecture de police refuse d’accorder des autorisations de baignade dans la Seine en vertu d’une qualité jugée "insuffisante". Une politique qui a sonné le glas cette année du Triathlon de Paris."

 

Note : cette dépêche en apparence anodine est formidable. Le responsable de la DRIEE d’Ile-de-France avance sans barguigner que nous avons "jusqu’à 2027" pour rétablir un bon état écologique et chimique des eaux, au titre de la DCE. Oubliant (à dessein ?) de s’appesantir sur le fait que cet objectif avait été fixé (en 2000), à 2015... Et que la France devra justifier auprès de Bruxelles, sauf à encourir une nouvelle condamnation, de ces reports successifs de 2015 à 2021, puis 2027...

Lire aussi :

- Premier bilan de la police de l’eau à Paris et en proche couronne : un territoire sous forte pression

Localtis, 3 avril 2013

- L’action de la police de l’eau à Paris et en IDF

DRIEE Ile-de-France

 

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15 mai 2013 3 15 /05 /mai /2013 18:07

 

 

 

Notre eau : notre or (13)

 

 

Pourquoi autant de décharges

autour du

plus important captage d’eau de Seine et Marne ? ?

 

Dans le périmètre de protection rapproché du plus important captage d’eau d’Annet sur Marne, usine qui fournit près de 500 000 habitants en eau potable se rejettent :

 

--- Les eaux de ruissellements de Veolia Claye-Souilly la plus importante décharge d’ordures ménagères et déchets ultimes de France

 

http://adenca.over-blog.com/article-protection-de-la-ressource-en-eau-des-seine-et-marnais-pourquoi-paris-envoie-t-elle-ses-machefers-116956931.html

 

-Les jus de deux décharges de déchets "dits inertes" Veolia Fresnes sur Marne et ECT Annet sur Marne 

http://adenca.over-blog.com/article-fresnes-sur-marne-les-jus-d-une-decharge-de-dechets-inertes-isdi-se-deversent-dans-le-perimetre-de-115644487.html

 

http://adenca.over-blog.com/article-decharge-ect-annet-sur-marne-et-risques-de-pollution-de-la-beuvronne-115803673.html

 

http://adenca.over-blog.com/article-extension-decharge-ect-a-annet-sur-marne-adenca-demande-a-mme-la-prefete-de-suspendre-l-arrete-d-a-115806873.html

 

- Les jus de la décharge illégale DTM de Précy sur Marne

http://adenca.over-blog.com/article-inquietude-a-precy-sur-marne-les-jus-d-une-decharge-illegale-se-deverse-dans-le-perimetre-rapproch-115643407.html

 

- Les jus de la carrière Veolia de Précy sur Marne remblayée par des déchets "dits inertes"

http://adenca.over-blog.com/article-les-jus-des-materiaux-inertes-servant-au-remblaiement-de-la-carriere-rep-veolia-de-precy-sur-mar-115952582.html

 

Et bientôt peut-être :

- les jus de la future décharge  de déchets "dits inertes" DTP d’Annet sur Marne (en étude par les services de l’Etat)

http://adenca.over-blog.com/article-payer-toujours-plus-cher-l-eau-potable-au-nord-ouest-77-115595805.html

 

 

A proximité du périmètre de  protection rapproché du plus important captage d’eau d’Annet sur Marne, usine qui fournit près de 500 000 habitants en eau potable se rejette :

 

- Les jus de la décharge illégale LGD de Villeroy

http://adenca.over-blog.com/article-les-jus-de-la-decharge-illegale-lgd-de-villeroy-se-rejettent-dans-le-perimetre-rapproche-du-captage-116273654.html

 

 

Et bientôt peut-être :


- les jus de la future décharge de déchets inertes Vitrans de Trilbardou (en étude par les services de l’Etat)

http://adenca.over-blog.com/article-trilbardou-77-un-projet-de-decharge-a-proximite-d-un-espace-naturel-sensible-92439343.html

 

Pourquoi les collectivités  

ont laissé les exploitants de décharges et carrières acheter les terrains

autour du plus important captage de Seine et Marne 

au lieu d’acquérir ces terres

pour protéger  notre ressource en eau comme le fait Paris ?

 

 

Pour plus d’informations contactez :

- Les maires des communes d’Annet sur Marne, Claye-Souilly, Fresnes sur Marne, Précy-sur Marne

- le Conseil Général de Seine et Marne

- le Conseil Régional d’Ile de France.

 

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15 mai 2013 3 15 /05 /mai /2013 10:41

 

Une page complète consacrée

au pollueur "Clamens"

dans la revue du Conseil Général 77 de Mai 2013

 

"toujours à la pointe en matière de développement durable.." 

                                                        comme le précise l'article du Conseil Général 77

 

A vous de juger

 


 

ru des grues 16202013 3

 

Pollution du ru des Grues par l'industriel Clamens 16/2/2013

 

 

Pollution Villeparisis

http://adenca.over-blog.com/article-villeparisis-le-pollueur-clamens-un-recidiviste-117144288.html

http://adenca.over-blog.com/article-le-pollueur-clamens-verse-de-l-argent-au-syndicat-de-la-basse-beuvronne-117012058.html

http://adenca.over-blog.com/article-apres-la-pollution-du-ru-des-grues-par-l-industriel-clamens-des-questions-restent-a-ce-jour-sans-re-116272780.html

http://adenca.over-blog.com/article-clamens-villeparisis-une-societe-qui-dit-vouloir-reduire-son-empreinte-ecologique-a-vous-de-jug-115433563.html

http://adenca.over-blog.com/article-villeparisis-pollution-du-ru-des-grues-affluent-de-la-beuvronne-ne-vous-faites-pas-de-soucis-il-115409165.html

Trocy en Multien
http://www.leparisien.fr/lizy-sur-ourcq-77440/les-habitants-barrent-la-route-aux-camions-demain-08-06-2011-1484956.php

 

 

 

  Cette page est financée par qui ?

L'industriel Clamens ou grâce à nos deniers publics ?

 Pour plus d'informations contactez le Conseil Général de Seine et Marne.


clamens-copie-1

 

 

 

 

 


http://www.citizenside.com/fr/photos/faits-divers/2013-02-18/75145/pollution-a-villeparisis-des-etangs-remplis-par-des-boues-de-beton.html#comments=&f=0/664815

 

Villeparisis 18/2/2013 Pollution Clamens

Bassins de rétention, saturés de boues de béton, situés de part et d'autre de la 104 près de la jardinerie

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8 mai 2013 3 08 /05 /mai /2013 10:09

Paru sur le site : Les eaux glacées du calcul égoïste :

 

REMOUS

Qualité de l’eau potable : le scandale sans fin d’Eurofins

par Marc Laimé, 25 mars 2013

L’une des deux multinationales qui trustent désormais le colossal marché des analyses de la qualité de l’eau potable effectuées en France pour le compte du ministère de la Santé, à raison de 7 millions d’analyses par an, voit enfin ses pratiques dénoncées par l’Etat qui a trop longtemps fermé les yeux sur le véritable dévoiement d’une mission de sécurité sanitaire primordiale, désormais allotie… aux appétits des actionnaires d’Eurofins, qui vient de surcroît de s’installer il y a six mois au Luxembourg à des fins d’optimisation fiscale. Le récent scandale des « lasagnes de cheval roumain » vient aussi d’apporter de nouveaux éclairages sur le scandale Eurofins…

Le rapport de la DGS qui est à l’origine de l’affaire renvoyait à un audit conduit par le COFRAC l’éventuel renouvellement de l’accréditation du laboratoire de Maxéville, au sein duquel de très nombreux dysfonctionnements avaient été identifiés.

L’audit COFRAC s’est tellement mal déroulé que l’accréditation sur la chimie organique demeure suspendue… dans l’attente d’un nouvel audit…

Une information confirmée par Libération dans une brève en date du 20 mars 2013 :

« Le site de Maxéville (Meurthe-et-Moselle) du leader mondial de la bioanalyse n’est plus en mesure de conduire des tests de pesticides ou de rechercher les composés organiques présents dans l’eau, selon le Cofrac, organisme chargé de l’accréditation des laboratoires français, qui a mené un audit à la demande de la Direction générale de la santé. (…) Un nouvel audit devrait être conduit dans les prochaines semaines. »

Dans une autre enquête, titrée « Agroalimentaire, l’analyse fait recette », publiée par le même quotidien Libération, dans son supplément Ecofutur, daté du lundi 18 mars 2013, enquête malheureusement réservée aux abonnés, la problématique de fond que nous avons déjà développée à maintes reprises trouve un nouvel écho :

Vers un oligopole de l’analyse ?

(…)

« Les questions portent plutôt sur la grande responsabilité laissée aux entreprises via les autocontrôles. Personne ne les conteste en soi - Findus a montré leur efficacité -, mais certains demandent un renforcement des contrôles officiels, tel le président (PS) du Conseil général de Loire-Atlantique, Philippe Grosvalet. Il entend surtout sauver « l’expertise publique et indépendante » des 75 laboratoires départementaux, menacée selon lui par le dumping des grands labos privés.

Sans le collimateur, Eurofins, success story nantaise : créée en 1987, cotée en bourse en 1997, la multinationale est désormais basée au Luxembourg, compte 13 000 salariés et 170 labos dans 34 pays, et pèse plus d’un milliard d’euros de chiffre d’affaires (qu’elle prévoit de doubler à l’horizon 2017), dont 40% dans l’analyse alimentaire.

En France, le groupe a profité en 2006 – tout comme un autre acteur de l’analyse, Carso -, de l’ouverture à la concurrence de l’analyse de la qualité de l’eau pour attaquer ce marché avec des prix agressifs, mettant à genoux certains labos départementaux (dont l’eau était auparavant une prérogative).

« Les tarifs de 2013 sont au moins de 50% moins élevés que ceux de 1992 », affirme Bruno Caroff, directeur de l’Idac à Nantes (un des plus grands laboratoires départementaux), qui, pour résister, réfléchit à des groupements avec ses pairs des départements voisins.

Philippe Grosvalet en appelle donc au gouvernement, craignant de voir se renforcer un oligopole non seulement dans l’eau (avec Eurofins et Carso), mais aussi dans l’analyse alimentaire (avec Eurofins et Silliker), voire bientôt dans la santé animale. Au détriment, estime-t-il, de la qualité (…), et surtout au risque de voir certaines analyses de santé animale peu rentables (petits volumes, autopsies) abandonnées dans certaines zones, faut(e de laboratoires publics de proximité. »

La sécurité sanitaire indexée aux cours de Bourse ?

Dans un encadré d’un article titré « la Dépression des fraudes » que le Canard enchaîné a dédié dans son édition du mercredi 20 mars 2013 au véritable démantèlement de la répression des fraudes mis en œuvre ces dernières années via la RGPP, nous retrouvons… Eurofins !

« Miser sur le bon cheval :

Début février, alors que la France est saisie de tremblante devant ses lasagnes au canasson, Eurofins Scientific, leader mondial, coté en Bourse, de l’analyse agroalimentaire, cravache sec.

Le 13 février, surfant sur l’actualité, le laboratoire déclare « intensifier les tests sur la viande » ? Riche idée ! De nombreuses sociétés alimentaires affirment qu’elles vont volontairement multiplier les contrôles. Résultat immédiat, l’action Eurofins frétille. Le 18, le groupe annonce le lancement d’un test spécifique de détection de viande de cheval. Bien joué ! L’action grimpe encore. Près de 10% en une semaine.

« Bonne orientation du titre », relèvent pudiquement les marchés. D’autant que, répondant à l’opinion publique, qui redoute la présence de médicaments dans les steaks, le laboratoire déclare être « le seul » à pouvoir fournir une analyse couplée viande de cheval/anti-inflammatoires.

Le 25 février, des rumeurs courent sur la nourriture donnée aux poissons. Qu’à cela ne tienne ! Trois jours plus tard, Eurofins annonce toute une gamme d’analyses qui leur seront spécialement consacrées.

Depuis janvier, le titre Eurofins a bondi de 19%, et le groupe envisage tranquillement de « doubler sa taille en cinq ans ». De quoi réjouir ses actionnaires, qui ont rendez-vous, le 16 avril, au Luxembourg pour leur première assemblée générale depuis le déménagement de leur siège social nantais dans le Grand-Duché.

Ils vont analyser la traçabilité du secret bancaire ? »

http://www.eauxglacees.com/Qualite-de-l-eau-potable-le

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7 mai 2013 2 07 /05 /mai /2013 20:14

Extrait article paru sur le site Association Santé Environnement France :

 

L’aluminium, ce métal qui nous empoisonne : La synthèse de l’ASEF

 

Écrit par J.Maherou, S. Norest & L.Ferrer Créé le jeudi 11 octobre 2012 14:47

L’aluminium est un métal naturellement présent dans la croûte terrestre. C’est l’élément le plus abondant après l’oxygène et le silicium mais il n’existe pas à l’état pur. Il est obtenu à partir de la bauxite, une roche sédimentaire. On le retrouve dans l’air, l’eau, la terre et les roches, nous y sommes donc naturellement exposés. Mais l’aluminium est également utilisé industriellement et se retrouve ainsi dans nos aliments, nos cosmétiques, nos médicaments, et même plus surprenant, dans nos vaccins ! Pourtant l’aluminium n’apporte rien à notre organisme, bien au contraire… Il s’accumule dans notre cerveau et certains scientifiques le mettent en cause dans certaines pathologies, notamment dans la maladie d’Alzheimer. Alors que sait-on exactement de la toxicité de l’aluminium et où se cache-il ? L’ASEF vous dit tout sur ce polluant omniprésent dans notre quotidien.

 

Où se cache-t-il ?

….

L’eau du robinet

Si l’ingestion d’aliments représente 95% des apports quotidiens d’aluminium, le reste est en partie apporté par l’eau du robinet. En effet, l’aluminium provient du ruissellement des sols mais pas seulement… Lors du traitement des eaux, des agents floculants à base de sels d’aluminium sont ajoutés pour éliminer les particules organiques dans l’eau. Par ses propriétés chimiques, l’aluminium se lie aux particules organiques en suspension et forme des flocons qui s’agglomèrent et se déposent sous l’effet de la gravité. La grande majorité des sels d’aluminium utilisés se retrouvent dans les boues ou terres de décantation, mais il peut en rester dans l’eau du robinet. Le sulfate d’aluminium Al2(SO4)3 et le chlorure d'aluminium AlCl3 sont les floculants les plus répandus parce qu’ils sont efficaces, relativement peu coûteux et que l’on peut se les procurer facilement.

Cependant, toutes les communes n’utilisent pas ce type de traitement. Par exemple, la ville de Paris a substitué l’aluminium par du chlorure ferrique.

La valeur réglementaire de la concentration de l’aluminium dans l’eau est fixée à 0,2 mg/l par la DCE (Directive Cadre Eau) et l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), mais l’eau de certaines communes dépasse parfois cette limite….

Quels sont les risques pour la santé ?

Contrairement au fer ou au zinc,l’aluminium n’a aucunefonction biologique. Il parvient à traverser la peau et le tube digestif, et une fois dans le sang, il est filtré par les reins et éliminé par les urines. Mais 20% échappent à ce filtrage et se logent dans les os, les poumons, le foie et le cerveau où il s’y accumule, et pour longtemps. Il a même été démontré que ce métal passait la barrière placentaire et pouvait atteindre le fœtus. Mais quels sont les impacts de cette accumulation sur notre santé ?

Tout a commencé en 1976 lorsqu’on a découvert que l’aluminium pouvait entrainer une forme de maladie neurologique chez certains insuffisants rénaux effectuant régulièrement des dialyses. L’eau de dialyse contenait une grande quantité d’aluminium et passait directement dans le sang puis dans le cerveau et, du fait de l'insuffisance rénale, n'était pas éliminé. Les patients dialysés souffraient alors de troubles du langage, de troubles moteurs, d’encéphalopathies, d’anémies et d’ostéomalacies (décalcification osseuse)[5]. Depuis, en utilisant des solutions de dialyse à très faibles teneurs en aluminium, ces intoxications ont disparu et les scientifiques se sont intéressés à d’autres voies d’exposition à l’aluminium.

 

Les risques d’exposition par ingestion (aliments, eau, médicaments)

Qu’il s’agissent d’eau, d’aliments ou de médicaments, l’ingestion constitue la principale voie d’exposition d’aluminium. Ce métal est reconnu comme neurotoxine. Il inhibe plus de 200 fonctions biologiques et cause de nombreux effets indésirables pour les plantes, les animaux et les êtres humains. Plus concrètement, une absorption pendant une longue période peut entraîner de sérieux problèmes osseux ou neurologiques, tels quela démence, la perte de mémoire (maladie Alzheimer), l’apathie ou des tremblements.

La maladie d’Alzheimer est une maladie incurable et mortelle. Elle commence par un déficit de la mémoire d’apprentissage et, en progressant, atteint toutes les fonctions intellectuelles notamment celles du jugement, du calcul mental et du langage. Elle se caractérise par la présence en grand nombre de deux types de lésions dans le cerveau : les plaques séniles et les dégénérescences neurofribrillaires dans lesquelles le taux d’aluminium est élevé par rapport à des tissus cérébraux sains.

Néanmoins, il existe un doute : la présence de l’aluminium est-elle la cause ou la conséquence de ces lésions ? En effet, l’aluminium pourrait venir s’accrocher sur elles.

En 1999, des chercheurs ont réussi à mettre en évidence le lien entre l’aluminium dans l’eau et les risques de déclenchement de la maladie. Pendant huit ans, une équipe de scientifiques a suivi l’état de santé de près de 4 000 personnes. Cette étude les a menés à la conclusion que le risque de développer la maladie était multiplié par 2 dans les communes où les concentrations d’aluminium étaient supérieures à 100 µg/l, soit deux fois moins que la norme qui est de 200µg/l.

Face à ce constat, les toxicologues ont demandé la baisse de cette valeur limite à 50 µg/l.

Mais ce point de vue a été contesté par l’Afssa affirmant qu’actuellement, il n’est pas possible de considérer que l’aluminium joue un rôle dans la maladie d’Alzheimer.

Cependant, l’aluminium n’est pas le seul métal accusé de déclencher cette maladie. Le manganèse, le mercure et le plomb sont aussi suspectés…..

 http://www.asef-asso.fr/problematiques-emergentes/nos-syntheses/1494-l-aluminium-ce-metal-qui-nous-empoisonne-la-synthese-de-l-asef

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 15:20

 

 

Nous nous félicitons qu’enfin les travaux de mise aux normes du réseau d’assainissement  de la résidence « La Concorde » soient  en cours de réalisation.

 

En effet, par courrier en date du 19 août 2011 nous avions alerté  la police  de l’eau (DDT) suite au déversement dans la Beuvronne , en période de fortes pluies, des eaux du réseau unitaire eaux pluviales/eaux usées en provenance de résidence « la Concorde ».

 

A la suite de notre courrier la police de l’eau (DDT) avait réalisé un contrôle en date du 29 septembre 2011, à la suite de ce contrôle la mairie de Claye-Souilly avait informé la police de l’eau (DDT) le 7 décembre 2011 qu’elle allait mettre en séparatif le réseau d’assainissement du secteur de la Concorde.

 

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29 avril 2013 1 29 /04 /avril /2013 11:04
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