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11 octobre 2013 5 11 /10 /octobre /2013 16:00

 

Alors que le prix moyen de l’eau du robinet

 était en 2011 de

 5.55 € le m3

à Claye-Souilly (1) 

 

Prix supérieur de 25% à  la moyenne de Seine et Marne

4.43 € le m3 (1)

 


 

Pour la 3ème fois en septembre

 les analyses de l’eau potable distribuée

par l’usine d’Annet sur Marne

ne respectent pas les références de qualité !

 

Dans nos précédents articles du 23 et 30 septembre dernier nous indiquions :

« Nous apprenons qu’en moins de 9 mois les références de qualité de l’eau du

robinet distribuée à Claye-Souilly n’ont pas été respectées  à 10 reprises 

(dont 4 fois pour le seul mois de juin 2013) »

 
cs 23.9.2013
 

 

Aujourd’hui nous voyons apparaître sur le site du ministère de la Santé
les résultats en date du 23/9/2013


Conformité   

2 critères sur 3 ne sont pas respectés :

Conformité physico-chimique         : non

Respect des références de qualité : non 

 

 

 

 

 

1)   Calculé sur la base de 120 m3 consommés annuellement voir détail ci-dessous : http://eau.seine-et-marne.fr/analyse-departementale  

 

  Pour aller plus loin :

http://adenca.over-blog.com/article-claye-souilly-l-envers-du-decor-la-qualite-de-l-eau-du-robinet-120195662.html

http://adenca.over-blog.com/article-une-fois-de-plus-la-qualite-de-l-eau-du-robinet-distribuee-par-l-usine-d-annet-sur-marne-ne-respect-120326916.html

http://adenca.over-blog.com/article-l-eau-destinee-a-la-consommation-humaine-sur-le-reseau-des-communes-d-annet-sur-marne-claye-souil-114785473.html

 

 

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10 octobre 2013 4 10 /10 /octobre /2013 10:51

 

 

 

Deux ans après le scandale LGD de Limeil Brévannes,

la décharge illégale LGD Villeroy est toujours là :

quels risques sur nos ressources en eau ?

 


lgd villeroy 17.9.2011 6

 

Rappelez-vous le scandale de la décharge LGD de Limeil-Brévannes, de cet exploitant qui avait déposé des déchets de toutes sortes dans cette commune du Val de Marne, à la suite de l’intervention en 2011 de Madame  Nathalie Kosciusko-Morizet, Ministre de l’écologie, les déchets ont été enlevés et la décharge a disparu.

http://ile-de-france.ademe.fr/IMG/pdf/Lettre_LGD_no1_20_12_2011.pdf

 

Quand à celle de Villeroy implantée par le même exploitant LGD, ni Madame Nathalie Kosciusko-Morizet, ni même ses successeurs n'ont fait enlever les déchets  et la décharge est toujours là, cachée au fond du village de Villeroy.

 

Décharge illégale LGD Villeroy


Dans le rapport de l’inspection DRIEE 77du 27/4/2011 on peut lire, pour extrait : 

 

« entreposage anarchique de déchets réalisé  sans aucune protection des sols, des eaux superficielles et souterraines…

Absence de réseaux permettant la gestion des eaux résiduaires polluées …

Une majorité des déchets présents relevaient de la catégorie des déchets non dangereux… »

 

Les autres déchets sont-ils des déchets dangereux ? 

 

Sur le site de LGD Limeil Brévannes il a été détecté

700 tonnes de déchets amiantés (1) 

 

et à Villeroy qu’en est-il ? 

 

 

Pour rappel les jus  de cette décharge illégale se rejettent dans le ru de Courset, ce même ru se rejetant dans la Marne à Charmentray à proximité des deux captages d’eau de Charmentray  et du périmètre de protection rapprochée du captage d’eau d’Annet sur Marne.

 

 Le Courset

 

 

 

 

 

Pour tous renseignements complémentaires contactez les élus de cette commune ou les services du ministère de l’écologie ou du ministère de la santé.

 

 

(1) http://www.journaldelenvironnement.net/article/que-sont-devenus-les-dechets-de-limeil-brevannes,28642

 

Pour aller plus loin :

http://adenca.over-blog.com/article-villeroy-apres-la-mise-en-liquidation-judiciaire-de-la-ste-lgd-developpement-que-devient-la-monta-107099605.html

  http://adenca.over-blog.com/article-les-jus-de-la-decharge-illegale-lgd-de-villeroy-se-rejettent-dans-le-perimetre-rapproche-

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10 octobre 2013 4 10 /10 /octobre /2013 08:51

Il y a t-il  

un périmètre de protection autour du captage de Charmentray

qui fournit en eau potable :

Charmentray et Précy sur Marne?

 

 

 

A la lecture de l’état des lieux joint au contrat Beuvronne signé en 2012 nous apprenons que l’alimentation en eau des communes de Charmentray et Précy sur Marne   est assurée par un forage situé sur la commune de Charmentray provenant du captage de Charmentray qui puise dans la nappe du Soissonnais à 12 m de profondeur.

Le délégataire du syndicat est la SAUR.

 

Nous apprenons  également (page 15) que la déclaration d’utilité publique était en cours en 2012.

 

Extrait Site eaufrance :
"Les périmètres de protection de captage sont établis autour des sites de captages d’eau destinée à la consommation humaine, en vue d’assurer la préservation de la ressource. L’objectif est donc de réduire les risques de pollutions ponctuelles et accidentelles de la ressource sur ces points précis."

http://www.eaufrance.fr/agir-et-participer/prevenir-les-risques/protection-des-captages

 

Pour savoir si ce captage bénéficie d'un périmètre de protection, nous vous conseillons de vous rapprocher  de vos élus municipaux.

 

 

Paru sur le site du Sénat, pour extrait :
Annexe 53 - LE RÉGIME JURIDIQUE DES PÉRIMÈTRES DE PROTECTION

Source : Service des collectivités territoriales du Sénat, OPECST

1. L'obligation de protection des captages d'eau

Les collectivités locales sont responsables de la qualité des eaux destinées à la consommation humaine, « patrimoine commun de la nation », aux termes de l'article L. 210-1 du code de l'environnement.

Aux termes de la loi du 3 janvier 1992 sur l'eau, l'institution de périmètres de protection immédiate et rapprochée est obligatoire pour tous les points de captages déclarés d'utilité publique. La seule exception vise les captages naturellement protégés, qui doivent cependant être reconnus d'utilité publique. La première loi sur l'eau du 6 décembre 1964 avait rendu l'établissement des périmètres de protection obligatoire, depuis, pour tout nouveau captage créé après la date de publication de la loi (le 12 décembre 1964, disposition reprise dans l'article L 20 du code de la santé publique) ; la seconde loi sur l'eau du 3 janvier 1992 s'appliquait cette fois à tous les captages. L'article 13-1 de la loi donnait un délai de cinq ans, soit jusqu'au 5 janvier 1997, pour la mise en place des périmètres.

L'absence de périmètres de protection peut engager la responsabilité du service de distribution d'eau potable, du maire de la commune d'implantation du captage, ou de l'Etat.

Les périmètres de protection sont au nombre de trois, selon l'article L. 1321-2 du code de la santé publique.

http://www.senat.fr/rap/l02-215-2/l02-215-247.html

 

 

 

 

 

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 14:29

 

 

 

L’eau du robinet distribuée par le SIAEP Charmentray-Précy

 sur les communes de

Charmentray-Précy

ne respectait pas les références  de qualité

les 20/2/2013, 19/7/2013


Précy sur marne 19.7.2013 

 

Depuis le 19/7/2013

nous constatons que plus aucuns contrôles

n’apparaissent sur le site du ministère de la santé pour ces communes.

 

Pourquoi ?  

http://www.sante.gouv.fr/resultats-du-controle-sanitaire-de-la-qualite-de-l-eau-potable.html

 

Pour connaître la réponse rapprochez-vous de vos élus municipaux

ou de l’ARS, ou du ministère de la santé.

 

 

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 08:45

Suite à notre précédent article concernant l'eau potable distribuée sur les communes  

de Gressy, Messy, Villeroy, Plessis aux-bois, Iverny

http://adenca.over-blog.com/article-l-eau-du-robinet-distribuee-sur-les-communes-de-gressy-charny-messy-ne-resoectait-pas-les-norme-120473411.html 

 

 

Il y a t-il  

un périmètre de protection autour du captage de Charmentray

qui fournit en eau potable :

Gressy,Messy, Charny, Villeroy, Iverny, Plessis-aux-bois ?

 

 

 

A la lecture de l’état des lieux joint au contrat Beuvronne signé en 2012 nous apprenons que l’alimentation en eau des communes de Charny, Gressy, Plessis-aux-Bois, Villeroy, Messy, Iverny  est assurée par un forage situé sur la commune de Charmentray, à 12 m de profondeur dans la nappe de l’Yprésien.  

«  Il n’y a pas d’unité de traitement, mais le taux de nitrate se situe près de la limite réglementaire. Un achat d’eau faible en nitrate à un autre syndicat est prévu afin d’effectuer un mélange et d’abaisser ce taux.

Le délégataire de service public est la SAUR. » (sic état des lieux Beuvronne page 18)

 

Nous apprenons  également (page 15) que la déclaration d’utilité publique était en cours en 2012.

 

Extrait Site eaufrance :
"Les périmètres de protection de captage sont établis autour des sites de captages d’eau destinée à la consommation humaine, en vue d’assurer la préservation de la ressource. L’objectif est donc de réduire les risques de pollutions ponctuelles et accidentelles de la ressource sur ces points précis."

http://www.eaufrance.fr/agir-et-participer/prevenir-les-risques/protection-des-captages

 

Pour savoir si ce captage bénéficie d'un périmètre de protection, nous vous conseillons de vous rapprocher  de vos élus municipaux.

 

 

Paru sur le site du Sénat, pour extrait :
Annexe 53 - LE RÉGIME JURIDIQUE DES PÉRIMÈTRES DE PROTECTION

Source : Service des collectivités territoriales du Sénat, OPECST

1. L'obligation de protection des captages d'eau

Les collectivités locales sont responsables de la qualité des eaux destinées à la consommation humaine, « patrimoine commun de la nation », aux termes de l'article L. 210-1 du code de l'environnement.

Aux termes de la loi du 3 janvier 1992 sur l'eau, l'institution de périmètres de protection immédiate et rapprochée est obligatoire pour tous les points de captages déclarés d'utilité publique. La seule exception vise les captages naturellement protégés, qui doivent cependant être reconnus d'utilité publique. La première loi sur l'eau du 6 décembre 1964 avait rendu l'établissement des périmètres de protection obligatoire, depuis, pour tout nouveau captage créé après la date de publication de la loi (le 12 décembre 1964, disposition reprise dans l'article L 20 du code de la santé publique) ; la seconde loi sur l'eau du 3 janvier 1992 s'appliquait cette fois à tous les captages. L'article 13-1 de la loi donnait un délai de cinq ans, soit jusqu'au 5 janvier 1997, pour la mise en place des périmètres.

L'absence de périmètres de protection peut engager la responsabilité du service de distribution d'eau potable, du maire de la commune d'implantation du captage, ou de l'Etat.

Les périmètres de protection sont au nombre de trois, selon l'article L. 1321-2 du code de la santé publique.

http://www.senat.fr/rap/l02-215-2/l02-215-247.html

 

 

 

 

 

 

 

 

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8 octobre 2013 2 08 /10 /octobre /2013 10:49

Gressy 10.4.2013

 

 

 

L’eau du robinet distribuée par le SIAEP Thérouanne 

 sur les communes de

Gressy, Charny, Messy, Villeroy, Plessis-aux-bois, Iverny

ne respectait pas les références  de qualité

les 10/4/2013

et pas même lors du prélèvement précédent  

du 8/3/2013.

Gressy 8.3.2013


 

Depuis le 10/4/2013

nous constatons que plus aucuns contrôles

n’apparaissent sur le site du ministère de la santé pour ces communes.

 

Pourquoi ? 

http://www.sante.gouv.fr/resultats-du-controle-sanitaire-de-la-qualite-de-l-eau-potable.html

 

 

 

Pour connaître la réponse rapprochez-vous de vos élus municipaux ou de l’ARS, ou du ministère de la santé.

 


 

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4 octobre 2013 5 04 /10 /octobre /2013 17:24

Pollution de l'Eau

 

Extrait du communiqué de presse FNE :

 

"Ce sont donc le contribuable et l’usager des services publics d’eau et d’assainissement qui continueront de payer la facture pour la dégradation de l’eau : qualité qui, par ailleurs, reste très médiocre dans le milieu naturel."

 

 

 

Communiqué de presse complet

France Nature Environnement

Mercredi 2 octobre 2013

 

Le gouvernement vient de publier la feuille de route issue de la conférence environnementale 2013. Après les discours décevants du président de la République et du Premier ministre, FNE attendait beaucoup de cette feuille de route. Pas d’engagements forts, pas d’objectifs clairs, pas de calendrier de mise en œuvre... La déception est encore au rendez-vous. 


 

Des mesures recyclées pour l’économie circulaire

Pour initier les premières étapes de l’économie circulaire, nous saluons l’annonce de la conférence de mise en œuvre mais beaucoup des mesures annoncées pour cette table ronde ne sont en fait que du « recyclage ». La feuille de route annonce que seuls les déchets non valorisables pourront aller en décharge. A noter que cela figure déjà dans la loi de juillet … 1992 ! Quant aux questions stratégiques d’un fonds de soutien aux entreprises pour développer l’économie de la prévention (éco-conception, réemploi, réparation, fonctionnalité, re-fabrication) et, parallèlement de la courbe de progression de la TGAP1 déchets, vrai levier en faveur de la prévention et de l’économie circulaire, elles sont encore mises sous le tapis…

Emplois : pas de passerelle 

L’enjeu principal de cette table ronde était de trouver un moyen d’inscrire un dialogue dans le temps entre les instances de l’emploi et la formation et les acteurs environnementaux. La feuille de route prévoit bien un accompagnement des emplois émergents, mais au sein de la Conférence Nationale de l’Industrie, où les associations de protection de la nature et de l’environnement ne sont pas représentées. Une fois de plus, le compte n’y est pas. 

Eau : toujours pas d’application du principe « pollueur/payeur »

Cette feuille de route ne contient aucune avancée en faveur de la fiscalité écologique qui doit favoriser une plus grande application du principe préleveur / pollueur / payeur, faisant fi des positions exprimées majoritairement en ce sens lors de la table ronde. De la même manière, la feuille de route annonce la poursuite des programmes des agences de l’eau pour lutter contre les pollutions diffuses alors que le PLF 2014 vient de couper le budget de ces mêmes agences. Avec de telles mesures, FNE ne voit pas bien comment la France va atteindre les objectifs de la Directive Cadre sur l’Eau prévus pour 2015. Ce sont donc le contribuable et l’usager des services publics d’eau et d’assainissement qui continueront de payer la facture pour la dégradation de l’eau : qualité qui, par ailleurs, reste très médiocre dans le milieu naturel. 

Mer et océans : parcs marins en rade

Nous regrettons l’absence d’annonce concernant la création dès 2014 des parcs naturels marins du Bassin d’Arcachon, et de l’estuaire de la Gironde et des Pertuis charentais. Ces deux parcs sont pourtant finalisés depuis plus d’un an et n’attendent plus que leur décret de création ! Pas d’objectif clair non plus pour la diminution des pollutions en mer, alors que la France doit parvenir au bon état de ses eaux marines en 2020 conformément à la directive européenne pour le milieu marin.

Education : comprendre le vivant n’est pas une priorité

Alors que le travail préparatoire avait été concerté et confirmé par les échanges de la table-ronde, la feuille de route contient peu de mesures concrètes, pour ne pas dire rien sur la biodiversité, alors que c’est un enjeu majeur que de rendre les citoyens sensibles à cette thématique. Rien non plus sur les coopérations et l’action des ONG, rien sur le grand public et les citoyens, rien sur le monde de l’entreprise. Beaucoup des mesures proposées sont en fait la mise en œuvre de mesures déjà prévues par ailleurs. L’urgence environnementale est là et l’EEDD est transversale à l’ensemble des problématiques.

Bruno Genty, président de FNE, conclut : « Sur la grande majorité des sujets, la rédaction ne dépasse pas les bonnes intentions déjà maintes fois affichées. FNE demande, avec d’autres acteurs de rediscuter la feuille de route et de sa mise en oeuvre. Plus globalement FNE demande avec force une nouvelle méthode permettant un véritable dialogue entre les parties prenantes. »

1Taxe Générale sur les Activités Polluantes

 


http://www.fne.asso.fr/fr/conference-environnementale-une-feuille-de-route-transparente.html?cmp_id=33&news_id=13410&v

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3 octobre 2013 4 03 /10 /octobre /2013 07:47

 

 

 

 

Annet sur Marne 

Protection du captage d’eau  qui fournit

près de 500 000 habitants en eau potable


 annet 1.10.2013

 

Au bord de la départemental 418 menant à Lagny, à proximité de l’usine de traitement des eaux d’Annet sur Marne  s’étend depuis plusieurs mois une décharge illégale qui s’étale de plus en plus.

 

Les jus de cette décharge illégale se dirigent vers le périmètre de protection rapproché du captage d’eau d’Annet sur Marne.

 

 

 

 

 


 annet sur marne 1.10.2013....

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 09:49

 

 

Une  fois de plus l’eau du robinet distribuée

par l’usine d’Annet sur Marne

ne respecte pas les références de qualité !

 

 

Dans notre précédent article du 23 septembre dernier nous indiquions :

 

« Nous apprenons qu’en moins de 9 mois les références de qualité de l’eau du

robinet distribuée à Claye-Souilly n’ont pas été respectées  à 10 reprises 

(dont 4 fois pour le seul mois de juin 2013) »

 

« Depuis le 4/9/2013 nous constatons que plus aucuns contrôles ne figurent sur le site du Ministère de la Santé alors qu’en  septembre 2012 des contrôles apparaissaient

les 7, 10, 14, 18, 21

Pourquoi aucunes informations entre le 4 et le 21 septembre 2013 ? »


 

Aujourd’hui nous voyons apparaître

sur le site du ministère de la Santé

avec plus de 10 jours de retard les résultats en date du 18/9/2013

qui ne respectent pas

une fois de plus  les références de qualité.


eau résultats 18.92013

 

 

Pourquoi aucuns résultats affichés sur le site du Ministère de la Santé

 entre le 4 et le 18/9/2013

 

Pourquoi aucuns résultats affichés depuis le 18/9/2013 ?

 

Que nous cache t-on ? 

 

 

 

 

Pour plus d’informations contactez les services de Madame Marisol Touraine Ministre de la Santé ou de L’Agence Régional de Santé

 

 

 

Afin de permettre aux générations futures

 de pouvoir continuer à disposer

d’une eau potable

 

A l’heure où le Conseil Régional Ile de France projette de voter un plan qui permettra  grâce à diverses dérogations de continuer à implanter des décharges ISDI dans le Bassin versant de la Beuvronne.

 

 

Contactez vos élus de Seine et Marne :

maires, conseillers municipaux, députés, sénateurs,

conseillers généraux, conseillers régionaux

afin  que tous ensemble  ils fassent rapidement avancer ce dossier. 

 

  Pour aller plus loin :

http://adenca.over-blog.com/article-claye-souilly-l-envers-du-decor-la-qualite-de-l-eau-du-robinet-120195662.html

 

http://adenca.over-blog.com/article-l-eau-destinee-a-la-consommation-humaine-sur-le-reseau-des-communes-d-annet-sur-marne-claye-souil-114785473.html

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28 septembre 2013 6 28 /09 /septembre /2013 21:06

 

 

Paru sur le site les eaux glacées d'un calcul égoïste :

 

2013-09-19

FLUX 

65 PARLEMENTAIRES DEMANDENT UNE RÉFORME AMBITIEUSE DE LA POLITIQUE DE L’EAU

PAR MARC LAIMÉ, JEUDI 19 SEPTEMBRE 2013 @ 20:12

A la veille de la Conférence environnementale, 65 parlementaires de gauche (députés nationaux et européens, sénateurs, socialistes, écologistes et communistes) appellent, dans une Tribune rendue publique le 19 septembre et transmise aux medias, à une réforme ambitieuse de la politique de l’eau. Pour Michel Lesage, à l’initiative de la démarche, député (PS) des Côtes d’Armor, auteur d’un rapport sur le politique de l’eau que lui avait commandé le Premier ministre, et remis à Jean-Marc Ayrault le 4 juillet dernier, « cette expression commune veut interpeller et alimenter les débats à la table ronde consacrée à l’eau de la conférence environnementale. Elle permettra de définir les grands axes de la politique de l’eau à venir. »

Une réforme indispensable de la politique de l’eau

« Mobiliser les territoires pour inventer le nouveau service public de l’eau et atteindre nos objectifs de qualité » 

« Le constat est désormais partagé par tous (*) : le « modèle » de l’eau français inventé à l’orée des années 60 a permis d’importantes avancées, mais il est aujourd’hui arrivé au terme d’un cycle historique : la qualité de l’eau et des milieux aquatiques se dégrade, les pollutions se multiplient, les usages évoluent et les conflits qui s’y rattachent s’exacerbent. De nouveaux enjeux apparaissent : réchauffement climatique, risques émergents pour la santé, sécheresse, inondations, accès à l’eau pour tous…

Le XXème siècle fut celui des infrastructures et des réseaux. Le défi du XXIème siècle est celui de la protection de la ressource en qualité et en quantité. « L’eau facile est devenue fragile ».

Pour faire face à ces multiples enjeux, l’implication forte de la puissance publique, de l’Etat aux collectivités territoriales, en passant par le Parlement, est fondamentale. Elle doit assurer la gouvernance et la régulation nécessaires afin d’apporter des réponses efficaces à la fragmentation territoriale et institutionnelle, ainsi qu’à la multiplication des acteurs et des compétences qui obèrent l’efficacité des politiques publiques de l’eau.

L’Etat doit être le véritable pilote de la politique de l’eau. Un Etat qui pilote, c’est un Etat qui assure sa fonction d’anticipation, qui organise le débat démocratique, fixe les objectifs et qui est le garant de la mise en œuvre des moyens pour les atteindre. C’est aussi un Etat qui assure ses missions régaliennes de police de l’eau, et qui donne à la puissance publique les moyens de la connaissance, de l’expertise, de la recherche et de l’ingénierie pour agir. Le cadre communautaire européen, très contraint, qui détermine l’essentiel des orientations des politiques publiques dans le domaine de l’eau, justifie cette implication renouvelée de l’Etat.

La réussite d’une politique de l’eau passe aussi par une forte mobilisation des territoires et des acteurs de terrain, dans le cadre d’une nouvelle étape de la décentralisation. 

Les collectivités territoriales, en premier lieu les communes et leurs groupements, en lien avec les régions et les départements, sont les échelons pertinents pour structurer une nouvelle gouvernance de l’eau. Elle permettra de prendre en compte l’interdépendance des politiques publiques d’aménagement du territoire et de développement économique, pour rapprocher et rendre plus cohérents les outils des politiques de l’eau, pour apporter plus de lisibilité, de cohérence, de réactivité et de responsabilité, mais aussi plus de souplesse afin de tenir compte de l’histoire et de l’hétérogénéité des situations locales.

Demain, ce sont les communes et leurs groupements, en lien avec l’ensemble des acteurs des politiques de l’eau, qui vont impulser des politiques novatrices afin de protéger les milieux aquatiques, les zones humides, préserver la biodiversité, déployer les trames verte et bleue, protéger les captages d’eau potable, promouvoir des modèles agricoles respectueux de l’environnement, et déployer ces politiques au plus près du terrain et de nos concitoyens, qui doivent y être associés à tous les échelons de décision.

Cette mobilisation des territoires doit pouvoir s’engager avec la nouvelle étape de la décentralisation par l’affectation d’une nouvelle compétence de gestion de l’eau et des milieux aquatiques au bloc communal, et par le déploiement d’outils de planification, de maitrise d’ouvrage, d’ingénierie publique et de financements adaptés.

Cette nouvelle responsabilité prolongera l’action que les collectivités locales mènent depuis plus d’un siècle en matière d’eau potable et d’assainissement, et nous permettra de réconcilier nos territoires avec leurs fleuves, leurs rivières, ce formidable patrimoine aquatique, puissant vecteur trop souvent méconnu d’activité économique et d’emploi, dans les secteurs de l’énergie, de l’industrie, de l’agriculture comme du tourisme et des loisirs.

Ainsi demain, une Autorité nationale de l’eau constituera un véritable outil de régulation et permettra d’assurer la transparence de la gouvernance de l’eau et de ses flux financiers, de renforcer le dialogue démocratique, et d’éviter les conflits d’intérêts.

Ainsi demain, dans une démarche forte et volontariste, l’Etat sera davantage présent au niveau de l’Europe, et donnera aux collectivités de véritables outils d’expertise et de connaissance.

Ainsi demain, au plus proche du terrain, les élus disposeront sur tout le territoire national d’outils efficaces (Sage, CLE, Syndicat mixtes, EPTB, contrats territoriaux, etc.) pour améliorer la qualité de l’eau, protéger la ressource, les zones humides, ou encore la biodiversité.

Ainsi demain, parce que l’eau est l’affaire de tous et toutes, les citoyens, la société civile et les consommateurs seront associés aux commissions locales de l’eau et pourront participer aux décisions de toutes les instances de gestion de l’eau.

Indispensable à la vie, l’eau figure au rang des plus précieux héritages que nous léguerons aux générations futures. Pour nous hisser à la hauteur d’enjeux majeurs pour l’avenir de la planète et de nos enfants, nous appelons à une réforme ambitieuse des politiques publiques de l’eau, que des millions de nos concitoyens appellent de leurs vœux, comme en témoigne leur engagement croissant en faveur d’une gestion soutenable et équitable de ce bien commun qui nous rassemble. »

(*) Après les rapports alarmants du Conseil d’état et de la Cour des comptes publiés en 2010, la politique de l’eau est l’une des 40 politiques publiques prioritaires que le gouvernement a décidé de réformer lors du Comité interministériel pour la modernisation de l’action publique du 18 décembre 2012. Les pistes de réflexion issues des travaux d’une dizaine de groupes de travail mobilisés à cet effet seront débattues lors d’une Table ronde dédiée à la politique de l’eau qui se tiendra lors de la Deuxième conférence environnementale des 20 et 21 septembre prochains.

Cosignataires de la tribune de Michel Lesage

Alain Calmette, Alexis Bachelay, Annick Le Loch, Armand Jung, Arnaud Leroy, Bernadette Laclais, Brigitte Bourguignon, Carole Delga, Catherine Quéré, Chantal Berthelot, Christian Assaf, Christophe Bouillon, Denis Baupin, Dominique Potier, Ericka Bareigts, Fanny Dombre-Coste, Florence Delaunay, Franck Montaugé, Françoise Dubois, François-Michel Lambert, Gabriel Serville, Geneviève Gaillard, Gérard Bapt, Gilbert Sauvan, Gilles Savary, Guy Delcourt, Hélène Vainqueur-Christophe, Hervé Pellois, Hervé Poher, Jean-Jacob Bicep, Jean-Jacques Cottel, Jean-Jacques Vlody, Jean-Louis Bricout, Jean-Michel Clément, Jean-Paul Chanteguet, Jean-Paul Dupre, Jean-René Marsac, Laurence Rossignol, Laurent Baumel, Laurent Grandguillaume, Lucette Lousteau, Marcel Rogemont, Marie-Hélène Fabre, Marie-Line Reynaud, Michel Ménard, Michel Pajon, Patrick Bloche, Paul Molac, Philippe Bies, Philippe Doucet, Philippe Kaltenbach, Philippe Noguès, Philippe Plisson, Ronan Dantec, Sabine Buis, Serge Bardy, Sergio Coronado, Sophie Errante, Suzanne Tallard, Sylviane Alaux, Vincent Burroni, Vincent Feltesse, Viviane Le Dissez, William Dumas, Yann Capet, Yves Cochet, Yves Daniel.

 

http://www.eauxglacees.com/65-parlementaires-demandent-une

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