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28 mars 2010 7 28 /03 /mars /2010 12:39

Extrait article paru sur le site rue 89 :

Nucléaire : le scandale des déchets enfouis sous nos pieds

Par Augustin Scalbert | Rue89 | 27/03/2010 | 22H50

 (Du Touquet) L'ingénieur promène son compteur Geiger sur le parking du stade de Gueugnon. La machine pousse son cri strident, qui va crescendo : les tribunes et le parking sont situés sur des déchets radioactifs de l'ancienne usine de la Cogema. La moitié des régions françaises abritent ainsi 300 millions de tonnes de résidus nucléaires.

Lauréat du prix spécial du jury au Figra, le film « Mines d'uranium : le scandale de la France contaminée » est de ceux qui font peur. Peur quand les journalistes qui l'ont réalisé, Emmanuel Amara et Romain Icard, marchent avec des citoyens engagés contre ce scandale qui leur disent ne pas vouloir rester trop longtemps dans un pré ou un bois par crainte d'être contaminés.

Peur encore quand on voit que les supporters de Gueugnon, et une bonne partie des habitants de cette ville bourguignonne, ont pu être irradiés en assistant à des matchs de foot ou en faisant leur footing, puisqu'un parcours de santé avait aussi été créé sur les 30 000 tonnes de déchets nucléaires enfouis… (Voir la vidéo)

Au total, l'usine de la Cogema (aujourd'hui Areva) de Gueugnon a planqué ainsi 220 000 tonnes de déchets avant sa fermeture, en 1980. A deux pas du centre-ville. Des dizaines de cas similaires existent en France, où 210 sites ont été exploités. La plupart du temps, ces résidus sont des « stériles » (déchets radioactifs, mais modérément).

Mais dans le film d'Amara et Icard, un ingénieur de la Criirad, le seul laboratoire indépendant de mesure de la radioactivité, découvre du yellowcake (concentré d'uranium) sur le parking d'un club de ski de fond…

Les journalistes nous emmènent aussi à Saint-Pierre (Cantal), village entièrement construit sur un site d'enfouissement. Et dans un coin de la Loire où la Cogema vendait à vil prix du remblai aux habitants, ravis de l'aubaine. Aujourd'hui, ils déchantent : on s'aperçoit que même des maisons sont radioactives.

A Limoges, une partie des habitants boivent de l'eau contaminée. C'est la grande ville française la plus touchée, puisque le Limousin concentrait le plus grand nombre de mines.

L'enquête édifiante d'Amara et Icard pose beaucoup de questions. Elle a suscité quelques réponses au moment de sa diffusion dans l'émission de France 3 « Pièces à conviction », en février 2009 : tentative de censure de la part d'Areva, procès de la ville de Limoges, et engagement solennel du ministre Borloo (non respecté). (Voir la vidéo)......

Tant que les ingénieurs de la Criirad et les citoyens engagés n'auront pas fini leur travail de fourmi, on aura du mal à connaître la réalité de la contamination en France : tel qu'il est actuellement organisé, le contrôle de la radioactivité n'est pas indépendant d'Areva. Notamment parce que les ingénieurs qui l'effectuent sont presque tous issus du corps des Mines, comme les dirigeants du groupe nucléaire.

pour plus amples informations : http://www.rue89.com/tele89/2010/03/27/nucleaire-le-scandale-des-dechets-enfouis-sous-nos-pieds-144765

A lire aussi sur Rue89 et sur Eco89

·                                 Bientôt de la radioactivité dans nos objets de consommation ?

·                                 « Déchets, le cauchemar du nucléaire » jusqu'en Sibérie

·                                 Palmarès du Figra, monté en puissance cette année

Ailleurs sur le Web

·                                 D'autres extraits du film, sur Dailymotion

 

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26 mars 2010 5 26 /03 /mars /2010 11:02

 

Comment sacrifier la vie des autres

par l’accumulation  de toutes les nuisances
 dans un même secteur
 

 

 Compans ce village de Brie de plus de 700 habitants traversé par la Biberonne, affluent de la Beuvronne http://www.claye-souilly-decouverte.com/article-6356708-6.html, qui  possède un Château style Louis XIII, un ancien moulin  et une jolie église dont la façade est datée du 17ème siècle, les habitants  y coulaient autrefois  des jours heureux mais  aujourd'hui ce joli village se trouve  à proximité de :

 

1) ZONE INDUSTRIELLE DE MITRY-COMPANS

Cette zone industrielle possède 44 installations classées (ICPE) dont :


- 6 sites classés SEVESO

      
 
Seuil haut

                GAZECHIM

             CCMP

       
 
Seuil bas

                AIR LIQUIDE

          ELASTOGRAN

           MESSER France (Air Gaz)

           UNIVAR

       http://www.senat.fr/questions/base/1993/qSEQ930501135.html

         http://www.drire.gouv.fr/ile-de-france/environnement/pprt/seineetmarne/Mitry_Compans/20090505_POA_CR.pdf

         http://www.leparisien.fr/compans-77290/les-pompiers-passent-un-examen-grandeur-nature-mitry-mory-24-10-2008-287250.php

        http://installationsclassees.ecologie.gouv.fr/rechercheIC.php? selectRegion=P&selectDept=77&champcommune=&champNomEtabl=&champActivitePrinc=-1&champListeIC=&selectPrioriteNat=-1&selectRegSeveso=-1&selectIPPC=-1

 

-1 Incinérateur de déchets dangereux GEREP

 fonctionnant depuis plus de 30 ans

        http://basol.environnement.gouv.fr/fiche.php?page=1&index_sp=77.0091

        http://www.drire.gouv.fr/ile-de-france/environnement/action_inspection/77/77_gerep.html

 

 

-         des entrepôts logistiques.

 

2) NUISANCES DE L’AEROPORT DE ROISSY-EN-FRANCE

 

Bruit , pollution…..

http://www.advocnar.fr/art_electionsregionales2010.html

 

 

3) NUISANCES AVENIR

-         Entrepôts logistiques qui pour certains devraient être classés Seveso.

       http://www.seine-et-marne-invest.com/files/docs/rapportfinal.pdf

 

-         Création du barreau RN2/RN3 qui traversera le « Marais de Compans » et longera le village de Compans

 

-         Et pourquoi pas une décharge de déchets inertes en  guise de barrière anti-bruit ?


Article paru sur le site Vivagora

 

Injustice environnementale ou comment sacrifier la vie des autres ?

vendredi 25 janvier 2008
par
Dorothée Benoit-Browaeys
Pour plus amples informations consultez :

http://www.vivagora.org/spip.php?article210

 

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21 mars 2010 7 21 /03 /mars /2010 16:42

ST THIBAULT DES VIGNES 77

 


Un triste record national :

 

Suivant une étude d’Airparif de juin 2008 (surveillance des métaux dans l’air ambiant) http://www.airparif.asso.fr/airparif/pdf/Rapmontereau_biblio.pdf, l’incinérateur  de Saint Thibault des Vignes est à l’échelle national le plus gros émetteur de cadmium avec 669 kg en 2005 ( p23)

 

Dans la rubrique : « effets sur la santé » (p28)  il est indiqué pour extrait :

« Le caractère cancérigène du cadmium est déterminé par l’UE au titre de « substances devant être assimilées à des substances cancérigènes » (catégorie 2)….

 


Toxicité aiguë
 : Par inhalation ; dans le cas d’intoxication aiguë sévère par les fumées de cadmium, la mortalité est estimée de 15 à 20% de  ceux qui développe une pneumonie chimique.

 

Toxicité chronique : L’exposition chronique au cadmium porte atteinte à l’appareil digestif et aux poumons, mais aussi et surtout aux reins. »

 

 

Après l’incinérateur d’ordures ménagères, aujourd’hui est-ce qu’un  second incinérateur pour l’incinération des boues de station d’épuration va être mis
en service à St Thibault des Vig
nes ?

 

Un projet d’arrêté préfectoral autorisant  l’exploitation  d’une installation d’incinération Syndicat Intercommunal d’Assainissement de Marne la Vallée (SIAM) http://www.siarl.fr/

va être étudié au Conseil Départemental de l'Environnement et des Risques Sanitaires et Technologiques (CoDERST)  le 1er avril 2010 :

http://nature.environnement.77.over-blog.com/article-prochain-coderst-le-1er-avril-2010-46930150.html

 

Position du Conseil municipal de Pomponne :


Extrait procès-verbal du C.M. du 25.09.2009 de la commune de Pompon<둄ӈ>ne</둄ӈ>

http://www.pomponne.org/cr/cr-2009-09-25.pdf


2.2.
- E
NQUETE PUBLIQUE SIAM – RAPPORTEUR : M. HARLE

Le Rapporteur expose :

Le SIAM (Syndicat Intercommunal d’Assainissement de Marne-la-Vallée) a présenté une

demande d'autorisation de mise en service et d'exploitation d'une unité d'incinération de boues de

stations d’épuration urbaines et industrielles à SAINT THIBAULT DES VIGNES.

Production de 20 000 tonnes de boues/an.

Le SIAM mène une politique de valorisation.

Une enquête publique est prévue du 21.09. au 21.10.2009.

_______________________________________________________________________________________

Le dossier d’enquête publique présenté n’est pas complet, ni approfondi et les études d’impact ne

sont pas mentionnées. Pomponne est fortement impactée et le rapport du SIAM est clair sur les

impacts.

VOTE : DONNE, à l’unanimité, un avis DEFAVORABLE à la demande du SIAM.

Avis motivé :

La commune de Pomponne n’est pas favorable à la mise en service de l'incinérateur du SIAM.

Certes, nous devons nous préoccuper de l'élimination de nos déchets et la volonté de pérenniser la

filière d'élimination des boues est louable. Mais cela ne doit pas se faire à n'importe quel prix

humain et environnemental.

Dans le dossier d'étude, il est fait référence au Plan Départemental d'Elimination des Déchets

Ménagers et Assimilés (PDEDMA) pour justifier le projet. Or précisément, ce plan stipule que "le

plan révisé privilégie le retour au sol (agricole ou non agricole) des boues et incite les collectivités à se donner les moyens nécessaires pour pérenniser cette filière en la rendant irréprochable". La filière d'incinération ne devant être proposée que comme une alternative pour les boues impropres à la valorisation agronomique et à condition de les valoriser énergétiquement.

L'ADEME va également dans ce sens:

L'incinération, voire le dépôt en centre de stockage, sont des alternatives pour des boues de

mauvaise qualité ne pouvant être épandues, ou s’imposent dans certaines situations aux contraintes urbaines, naturelles ou agricoles particulières.

Outre son intérêt environnemental, les études économiques montrent que l'épandage est souvent le

mode d'utilisation des boues le plus avantageux.

Ce choix diminue le coût pour l'usager qui finance l'élimination des boues à travers la part «

assainissement » de sa facture d'eau (http://www.ademe.fr/partenaires/boues/).

Choisir d'emblée la filière incinération aujourd'hui, alors que le problème actuel du SIAM ne

concerne que 0 à 4% de ses boues, c'est se priver de probables évolutions technologiques. En raison de l'enjeu économique et environnemental, la recherche est très active dans ce domaine.

Rappelons que le SIAM a constamment investi avec succès depuis près de 20 ans dans la filière de valorisation agronomique. Le fait qu'un four, construit en 1991 et qui n'a jamais obtenu

l'autorisation de mise en service, existe sur le site ne parait pas suffisant pour justifier l'opération,

même si cela doit représenter une économie (non prouvée) en terme d'infrastructure. Les temps ont changé et les préoccupations environnementales ne sont plus les mêmes. Nous savons aujourd'huique nos décisions doivent s'inscrire dans une perspective de développement durable.

La vocation du SIAM est de fournir aux habitants de son périmètre des solutions de qualité pour

épurer leurs eaux usées, et non de se positionner comme prestataire de service commercial pour

incinérer les déchets industriels et urbains de toute la région.

La réalisation de ce projet ne semble justifiée ni techniquement, ni économiquement, ni

humainement.


Vous pouvez consulter également le site ATMO :

http://www.atmo-france.org/fr/index.php/Les-industries/Respire-t-on-des-metaux-a-proximite-des-sites-industriels-/id-menu-121.html

 

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18 mars 2010 4 18 /03 /mars /2010 19:09


Article paru dans la revue  Nature Actualités de mars 2010
  éditée par la fédération d'associations environnementales de Seine et Marne
Nature Environnement 77 :

Halte à la capture et à la séquestration du CO2
Nature Environnement 77 dit non !


 
ne77

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17 mars 2010 3 17 /03 /mars /2010 10:58

Article paru dans le journal liaison n° 123 de mars 2010
d’IDFE la fédération d’associations environnementales de l’Ile de France :

 


DU CO2 SOUS NOS PIEDS

idfe mars 2010 001

Consultez le site d'IDFE : http://www.idfe.eu/

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16 mars 2010 2 16 /03 /mars /2010 18:33

Extrait article paru sur Sud-Ouest. Com


Jeudi 11 Mars 2010

CAMPUS
FAC EXPRESS
LES MOMENTS FORTS DE LA SEMAINE, INITIATIVE.
Du 13 au 19 mars, l'association Aspe organise sa 6e Semaine de l'environnement. Des animations prévues en ville et sur le campus

Les étudiants se mettent au vert

 

Les membres de l'Aspe se mobilisent, ces jours-ci, pour attirer encore plus d'étudiants à la manifestation écologique. (photo g. e.)

Conférences, films, forum associatif, débats, expositions, concert... Cette année encore, l'Association de sensibilisation aux problèmes environnementaux (Aspe) propose un riche programme pour la sixième édition de la Semaine de l'environnement. « Notre idée, c'est de proposer, à travers diverses manifestations, une information sur l'environnement, alternative à celle proposée par les médias de masse, annonce clairement Thomas Contamine, en troisième année d'histoire à l'UPPA et président de l'association étudiante. Nous voulons aller plus loin sur la qualité et la quantité de l'information par rapport aux enjeux écologiques. »

Pour mettre les Palois directement dans le bain, dès le samedi, une « vélorution » est proposée dans les rues de la ville. Une petite balade où tous les transports non motorisés sont les bienvenus : le vélo bien sûr, mais aussi le roller, le skateboard ou encore le pousse-pousse. Une sortie au grand air avant de faire fonctionner les méninges avec la première soirée débat autour de l'écologie politique.

……À noter déjà, un débat qui risque d'intéresser les habitants de l'agglomération : celui prévu en clôture, le vendredi 17 mars. Il est, en effet, consacré au captage et au stockage géologique du CO2 et sera animé par Marie-Laure Lambert, spécialiste en droit de l'environnement, et Daniel Broseta, professeur de physique à l'UPPA.

…….

Tout le programme sur le site : www.asso-aspe.com

 

 - Contacts : 06 74 39 14 22 ou 06 89 52 59 77.

Auteur : Guillemette Échalier

Pour plus amples informations :

http://www.sudouest.com/bearn/actualite/pau/article/891945/mil/5805383.html

 

 

 

 

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13 mars 2010 6 13 /03 /mars /2010 21:08

PNR DES DEUX MORINS 

Un Parc naturel régional est-il compatible
avec l'activité d'u
ne
décharge de déchets au sens élargi ?
En principe, non !

 



Voir l’exemple de l’Aube

 

 

 

Article paru sur le blog Accid :

 

Montreuil sur Barse (PNRFO) : protéger le territoire de nouvelles décharges (Est Eclair)

 

Un Parc naturel régional est-il compatible avec l'activité d'une décharge de déchets au sens élargi ? En principe, non ! Entre les lignes et en tournant autour du pot, oui ! Dans l'Aube, par exemple, où on palabre depuis six ans pour donner un sens à la nouvelle charte du Parc naturel régional de la forêt d'Orient (PNRFO), toujours bloquée au ministère du Développement durable, les décharges semblent promises à un bel avenir (en termes policés, on parle de centre d'enfouissement technique).

« Malgré l'opposition de l'association de défense des habitants, l'avis défavorable du Parc, de plusieurs conseils municipaux et de notre modeste association, le préfet a signé l'arrêté autorisant la totalité des activités demandées (et même au-delà) par l'exploitant du centre de Montreuil », s'étrangle Armande Spilmann, présidente des Amis du Parc, lors de l'assemblée générale de l'association qui s'est tenue vendredi, à Mesnil-Saint-Père. Et de montrer du doigt la création de nouvelles activités sur le site Valest (Veolia) telles que le « traitement de terres polluées aux hydrocarbures, pour 30 000 t/an ; l'installation de stockage de déchets industriels non dangereux en provenance d'installations classées, pour 110 000 t ; l'accueil de déchets industriels banals et i
nertes provenant d'installations nucléaires de base., pour une capacité maximale annuelle de 1 500 t… »


Recours gracieux

Bref, c'est contraire à l'esprit de l'article 49 de cette charte « Objectif 2020 » stipulant que « l'État et les signataires s'engagent à
ne pas implanter sur le territoire du Parc de nouveaux centres d'enfouissement technique, ni aucun incinérateur, ni centre de stockage de déchets nucléaires ».

C'est tellement paradoxal que, vendredi, Christian Branle, président du PNRFO et vice-président de la commission perma
nente du conseil général de l'Aube, a annoncé avoir déposé un « recours gracieux auprès du préfet de région, pour retirer cet arrêté », en arguant de « carences sur le fond et la forme ». Christian Branle n'écarte pas, d'ailleurs, d'engager « d'autres recours juridiques ».

Reste qu'au-delà du label charte, les Amis du Parc s'attendent à u
ne année 2010 chargée en événements. Avec un paquet d'animations nature, découverte, culture, musique ou patrimoine. Et des rendez-vous attendus : les 40 ans des Amis du Parc (et du Parc) et les 20 ans de Port Dienville ; l'évolution du circuit équestre, avec l'espoir d'une
fonctionnalité dès cet été ; un progrès dans le chantier de la vélovoie Lusigny-Mesnil, dont l'inauguration est espérée pour 2011 ; et un avancement dans la réflexion du déplacement de la Maison du Parc.

L'Est Eclair - 10/03/2010

 pour plus amples informations :

http://accid.over-blog.com/article-montreuil-sur-barse-pnrfo-proteger-le-territoire-de-nouvelles-decharges-est-eclair-46452817.html

 

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11 mars 2010 4 11 /03 /mars /2010 09:36
Extrait article paru sur le site Yonne Lautre :
Refusons l’ajout de substances radioactives dans les biens de consommation et les matériaux de construction Brèves Agir avec la CRIIRAD Voir le reportage au journal de 20h00 sur TF1

lundi 8 mars 2010 par Administrateurs du site

En diffusant autour de vous des modèles de lettres à signer et envoyer aux ministres : vous pouvez les imprimer à partir du pdf « MODELE DE LETTRES » ou en demander des exemplaires papier à la CRIIRAD

....Voir en ligne : La CRIIRAD demande l’abrogation de l’arrêté du 5 mai 2009

 

………

Pour plus amples informations :

http://yonne.lautre.net/spip.php?article3713

 

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11 mars 2010 4 11 /03 /mars /2010 09:11

Paru sur le site Yonne Lautre :

Coût & Gaspillage de l’eau Brèves Cyber action N° 345 : Faisons cesser le scandale du tarif de l’eau en Ile-de-France !


8 mars 2010, par Administrateurs du site

Le 11 décembre 2008, M. Santini, président du Syndicat des eaux d’Île-de-France (SEDIF), annonçait une baisse du tarif de l’eau pour faire voter la reconduction de la délégation au privé.

C’est que les audits officiels avouaient « des possibilités d’économie » de 40 à 45 millions d’euros sur un contrat annuel de 375 millions d’euros ! De son côté, après plusieurs études et une rencontre avec le SEDIF, l’UFC Que choisir ? évoquait une « surfacturation » de 85 millions d’euros, soit plus de 22% ! En 2010, M. Santini consent à baisser le tarif de l’eau (HT) de 1,76 € / m3 à 1,73 € / m3 soit 1,7% ! Que sont devenus les dizaines de millions perçus en trop par Véolia en 2009 ? Et en 2008 ? Et en 2007 ?

 La « grande compagnie aux profits insolents » doit nous rembourser !

http://www.cyberacteurs.org/actions...



Pour plus amples informations :

http://yonne.lautre.net/spip.php?article3688

 

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9 mars 2010 2 09 /03 /mars /2010 11:22

Depuis plusieurs mois la commune de Claye-Souilly procède à l’abattage d’arbres dans tous les quartiers de notre commune, certains sont replantés, d’autres pas.

 

Aujourd’hui c’est le hameau de Souilly qui voit disparaître 10 arbres.

 

Pourquoi ?

 

Certains parlent du partage du trottoir entre piétons et cyclistes (installation d’une piste cyclable) ?

Si c’était le cas le problème d’insécurité des piétons pourrait se poser, en effet ce trottoir est emprunté chaque jour par bon nombre de piétons (personnes âgées, femmes avec des poussettes et notamment enfants de moins de 12 ans qui descendent du car scolaire à proximité et retournent à leur domicile).

 

La population de Souilly n’ayant pas été consultée sur ce sujet, nous n’en savons pas plus.

 

Attendons la suite ……….

 

 

Afin de réduire l’impact du CO2 dans l’atmosphère certaines communes plantent des arbres en quantité, il ne semble pas que ce soit le cas à Claye-Souilly.

 

  arbres abat 9.3.2010a
AVANT




arbres abat 9.3.2010


AVANT
arbres aba 9.3.2010.

APRES

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