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28 mai 2012 1 28 /05 /mai /2012 18:00

 

 

Paru sur le site « Uneeau pure.com » :

 

Principales causes de l’eau polluée et de la pollution des sols

 

Depuis maintenant plusieurs années, les taux d’eau polluée et de la pollution des sols connaissent une croissance monstrueuse. Nombreux sont les facteurs qui contribuent à leurs détériorations et les principales causes demeurent l’activité humaine. La pollution de l'eau se fait de façon accidentelle, inopinée ou réfléchie. Il est important de rappeler les conséquences de la pollution de l’eau et des sols.

Causes de la pollution de l’eau

On pense peut être qu’on est un fervent de la protection environnementale. Mais, sans le vouloir, on ajoute, massivement et/ou quotidiennement, notre impact dans la liste des principales causes de l’eau polluée.

La pollution de l'eau est une dégradation engendrant ainsi une perturbation de l'écosystème aquatique. On parle ici, des eaux superficielles et des eaux souterraines.

On distingue différentes sources de pollution. La pollution chimique, par exemple, est une des origines de l’eau polluée, sont souvent visées, les stations d’épuration, et l’absence de réseaux d’assainissement. De même pour le nettoyage des sols, des chaussées ou encore l’évacuation d’effluents par les industries directement dans les fleuves (ex : pollution de la Seine). Il y a également la contamination de l’eau par les virus et les bactéries pathogènes. Ici, c’est souvent la dégradation des déchets organiques issus des excréments d’animaux et de l’homme qui en est la source.

La pollution domestique a également un impact non négligeable. L’utilisation puis le rejet de graisses, de poudres à laver, etc. On peut aussi parler de pollution par négligence ; le fait de jeter les plastiques, les bouts de papier, les batteries, …sans s’en rendre compte cela a un impact sur tout notre environnement.

La pollution agricole n’est pas en à oublier car la concentration des élevages à pour conséquences une source de pollution bactériologique de l’eau. Les engrais chimiques modifient la qualité de la nappe souterraine, sans parler des herbicides, insecticides et autres produits phytosanitaires.

Et enfin, il y a la pollution accidentelle, avec des origines multiples, telles que : la décharge des éléments polluants pendant les accidents de circulation, l’éparpillement de gaz par les usines, le mauvais entreposage des produits chimiques solubles, incendies, …

Sources de la pollution du sol

Le sujet des sols pollués est de plus en plus d’actualité. La pollution des sols ne sont pas incontestablement palpables. Leur origine peut être soit accidentelle, soit volontaire. La pollution du sol peut être produite par des emplois abusifs ou mal organisés d'insecticides ou d'engrais chimiques.

Certains produits peuvent dessécher complètement les sols, comme la simazine qui est souvent usée en grande quantité dans les pépinières. Aussi, l’utilisation massive des engrais peut lessiver et détruire un sol. Le chlorure de potassium est, par exemple, une substance très toxique. Les origines de la pollution des sols peuvent aussi provenir des mauvaises pratiques d’élimination des déchets. Il en est de même pour les dispersions ou épandages accidentels des produits chimiques, le mauvais placement des produits neufs ou usagés. L’élevage intensif est aussi un facteur de dégradation du sol car les excréments des animaux procurent au sol une quantité astronomique de nitrate dans l'eau. D’autres causes sont encore non énumérées, telles que les ordures ménagères, le site d’enfouissement, les déchets industrielles, …Généralement, les matières dangereuses arrivent dans le sol suite à des activités industrielles lourdes ou des accidents. Ceux-ci contiennent des substances polluantes qui composent une menace assez importante pour les sols.

Sachez qu’un sol pollué met en danger la qualité de vie des êtres humains, des animaux et des plantes car nous vivons en contact direct avec des substances toxiques à travers l'alimentation ou les eaux souterraines. La pollution des sols impacte directement nos ressources en eau.

http://www.une-eau-pure.com/monde-de-leau/principales-causes-de-leau-polluee-et-de-la-pollution-des-sols.html

 

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27 mai 2012 7 27 /05 /mai /2012 13:46

Claye-Souilly
Implantation de près de  900 logements
à proximité d’une ancienne carrière de gypse
qui devrait être de nouveau exploitée dans les années à venir
par la multinationale St Gobain (à travers sa filiale Placoplâtre).
                               Claye-Souilly 26/5/2011 à proximité du lotissement de Maupertuis
C’est en effet derrière ce rideau d’arbres qu’une filiale de la multinationale St Gobain
achète depuis des années toutes les parcelles de terrain dans le but d’exploiter une carrière à ciel ouvert comme elle le fait déjà à proximité sur les communes de Villeparisis et Villevaudé.
Un arrêté préfectoral du 2 mai 2012 nous apprend que Claye-Souilly est concernée
par une zone de sismicité, c’est pourquoi nous sommes inquiets quand aux risques encourus par la population si des carrières devaient être exploitées sur cette commune.
En effet afin d’exploiter le gypse les carriers utilisent des explosifs, ces mêmes explosifs pourraient semble-t-il produire des mini-séismes donc ajouter un risque à cette zone concernée par la sismicité.
Afin de vous informer sur le sujet nous mettons en lien un article paru dans la revue Science et Vie de 2009.
Extrait article paru sur le site  Balades naturalistes Sorties dans la nature en Franche-Comté et ailleurs :

 

Séismes provoqués par les activités humaines

 

par Boris Bellanger (Science & Vie 2009)

 

L'Homme responsable de séismes ? Barrages, mines, forages, géothermie agressent la croûte terrestre engendrant parfois des réactions dévastatrices. Toutes ces installations peuvent déclencher des tremblements de terre. À Bâle (Suisse) en décembre 2006 une mine de charbon dans l'Utah (États-Unis) en août 2007, et un autre dans la région de Sarrebruck (Allemagne) en février 2008 ont enfanté une série de séismes. Sans oublier le dévastateur tremblement de terre survenu au Sichuan en Chine le 12 mai 2008, que certains scientifiques audacieux relient aujourd'hui à la présence du barrage voisin de Zipingpu.

Depuis des décennies, plusieurs observations ont interpellé les scientifiques qui sont à l'écoute des soubresauts de notre planète. "Le soupçon d'influence naît lorsqu'il y a coïncidence dans le temps et dans l'espace entre le tremblement de terre et la mise en activité d'une installation, par exemple lors de la mise en eau d'un barrage, explique Jean-Robert Grasso, du Laboratoire de géophysique interne et tectonophysique de l'université Joseph-Fourier (Grenoble), un des rares Français à se pencher sur ce sujet. "Si l'on observe un événement sismique, on s'interroge, mais lorsque c'est unesérie d'événements qui se produit à un endroit précis, notre certitude augmente."

Pour pouvoir incriminer une ingérence humaine dans la tectonique de la planète, il est nécessaire de connaître précisément l'activité sismique de la région avant la mise en service des installations incriminées. En France, l'historique des secousses ressenties par la population est parfaitement documenté sur les cinq derniers siècles. Ce qui a permis notamment à Jean-Robert Grasso de démontrer de manière flagrante, dès les années 1980, que les séismes enregistrés dans la région de Pau, dont certains de magnitude 4, étaient dus à l'exploitation de l'immense gisement de gaz naturel de Lacq par Elf Aquitaine. Le bassin sédimentaire aquitain était en effet connu jusque-là pour être le plus calme de France au niveau sismique. "Les tremblements de terre apparus dix ans après les premiers pompages à Lacq, en 1969, et qui perdurent depuis, ont donc été facilement repérés", explique Pascal Bernard, sismologue à l'Institut de physique du globe de Paris.

Un autre exemple ? Dans le nord-est des États-Unis, l'exploitation de mines profondes, de vastes carrières à ciel ouvert et de puits d'injection de fluide en profondeur est, d'après les chercheurs, directement à l'origine d'un séisme sur trois enregistrés depuis les années 1980 dans cette région normalement peu active d'un point de vue géologique ! Et ce n'est pas une particularité locale, comme le démontrent les travaux de Christian Kiose, géologue à l'Observatoire de la Terre Lamont-Doherty de l'université Columbia (New York).

Dans une tentative de recensement publiée en août 2007, ce scientifique a dénombré plus de 200 endroits dans le monde pour lesquels l'action humaine a été reconnue comme responsable du déclenchement de séismes. Sa conclusion ? "Si l'on regarde la distribution des séismes déclenchés par l'Homme à l'échelle du globe, il apparaît que la majorité d'entre eux est située dans les régions continentales stables, pour lesquelles le niveau de sismicité naturelle est historiquement bas."

………. 

 

UNE PETITE PERTURBATION SUFFIT À DÉCLENCHER UN SÉISME

Ce qui ressort de l'analyse des nombreux cas recensés est très étonnant : l'Homme n'a pas besoin de perturber fortement le système naturel pour réactiver une faille. "Si la faille est sur le point de rompre, il peut suffire d'un changement de contrainte en profondeur, au niveau de la faille, d'un dixième de bar (c'est-à-dire équivalent à un dixième de la pression atmosphé- rique) pour déclencher la rupture", explique Pascal Bernard. L'homme peut ainsi précipiter l'apparition d'un séisme de la même façon qu'une mouche se posant sur un château de carte en équilibre précaire sera à même, malgré sa légèreté, de le faire s'écrouler. C'est ainsi qu'il aurait déclenché un tremblement de terre à Newcastle, en Australie, en 1989…… 

"Des failles en milieu de cycle peuvent donc très bien être déclenchées par l'Homme, pour peu qu'elles soient très proches du lieu de l'installation", précise Pascal Bernard. Si l'Homme n'a qu'une pichenette à donner pour réveiller une faille endormie, il est donc à même de rivaliser avec les forces mises en œuvre par notre planète...

 

Pour en savoir plus :

Bellanger B. (2009). – Quand l'homme fait trembler la terre Science & Vie avril 2009, n° 1099, pp. 44-59

Lien vers l’article :

http://baladesnaturalistes.hautetfort.com/archive/2012/03/22/seismes-provoques-par-les-activites-humaines.html

 

Pour aller plus loin :

http://www.questmachine.org/article/les_tremblements_de_terre

http://valberange.free.fr/CSDU/tir-de-mine-et-seisme-1928.pdf

http://troglos.free.fr/dossiers_paris_ile_de_france/dossier_carrieres_paris/dossier_gypse_3.html

http://www.leparisien.fr/val-d-oise/plongee-dans-les-entrailles-des-carrieres-de-gypse-14-04-2005-2005864535.php

http://www.datacombes.com/index.php/presse/2001-2/voyage-au-pays-de-l-or-beige.html

 

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26 mai 2012 6 26 /05 /mai /2012 21:25

 

 

Pourquoi les Députés de Seine et Marne  n'ont pas  fait voter une  loi

pour interdire et taxer la mise en décharge et l'incinération

comme le font d'autres pays d'Europe

 

 

   

 

 

Combien d'emplois auraient pu être créés ?

 

 

 

 

Paru sur le site Europa Press releases Rapid :

 

Environnement: Les déchets valent de l'or, ou comment certains États membres transforment les déchets en ressource


Reference:  IP/12/369    Date:  16/04/2012

 

 

Commission européenne - Communiqué de presse

Environnement: Les déchets valent de l'or, ou comment certains États membres transforment les déchets en ressource

Bruxelles, le 16 avril 2012 – Les États membres les plus performants recyclent jusqu'à 70 % de leurs déchets et n'enfouissent pratiquement rien, tandis que d'autres mettent en décharge plus des trois quarts de leurs détritus. Comment les pays les plus performants ont-ils transformé les déchets, autrefois source de problèmes, en ressource ? Un nouveau rapport de la Commission européenne dévoile aujourd'hui la solution: grâce à l'effet combiné de plusieurs instruments économiques. Taxes et interdictions de mise en décharge et d'incinération, programmes de responsabilité du producteur et systèmes de tarification sont les outils les plus efficaces pour envoyer les flux de déchets sur des chemins plus durables. Si l'Union européenne veut atteindre les objectifs spécifiés dans la Feuille de route pour une Europe efficace dans l'utilisation des ressources, c'est-à-dire supprimer totalement la mise en décharge, maximiser le recyclage et la réutilisation des déchets et limiter la récupération d'énergie aux déchets non-recyclables, ces instruments économiques devront être répandus dans tous les États membres.

Janez Potočnik, membre de la Commission européenne chargé de l’environnement, a déclaré à ce propos: «Les déchets ont trop de valeur pour être uniquement éliminés. Si cela est géré correctement, cette valeur peut être réinjectée dans l'économie. Six États membres parviennent, à l'heure actuelle, à la suppression presque totale de la mise en décharge et ont un taux de recyclage élevé. Non seulement ces États exploitent la valeur des déchets, mais ils ont également créé une industrie prospère et de nombreux emplois. Ce rapport explique comment: grâce à une variété d'instruments économiques, ils ont augmenté l'attrait économique de la prévention, de la réutilisation des déchets et du recyclage. Nous avons la responsabilité, avec les États membres et les autorités locales, d'assurer l'utilisation efficace de ces instruments et leur diffusion dans toute l'Union européenne. C'est l'un des objectifs principaux de la Feuille de route pour une Europe efficace dans l'utilisation des ressources».

L'expérience des États membres a démontré que l'effet combiné des instruments suivants est le meilleur moyen d'améliorer la gestion des déchets:

·         Taxes et interdictions de mise en décharge et d'incinération – les résultats de l'étude sont sans équivoque: les taux de mise en décharge et d'incinération ont baissé dans les pays où interdictions ou taxes ont entraîné une augmentation des coûts de mise en décharge et d'incinération.

·         Les systèmes de tarification se sont révélés très efficaces pour prévenir la génération de déchets et encourager les citoyens à participer aux collectes séparées.

·         Les programmes de responsabilité des producteurs ont permis à plusieurs États membres de collecter et redistribuer les fonds nécessaires à l'amélioration des collectes séparées et du recyclage. Mais la rentabilité et la transparence varient énormément entre les États membres ainsi qu'entre les flux de déchets. Ces systèmes nécessitent donc une planification et un suivi minutieux.

Différences considérables entre États membres

Il y a des différences considérables entre les États membres en ce qui concerne la gestion des déchets. D'après un rapport publié par Eurostat le 27 mars (voir STAT/12/48), les six États membres les plus performants, c'est-à-dire la Belgique, le Danemark, l'Allemagne, l'Autriche, la Suède et les Pays-Bas mettent en décharge moins de 3 % de leurs déchets municipaux. À l'autre extrémité, neuf États membres mettent encore en décharge plus de 75 % de leurs déchets municipaux. Des statistiques récentes publiées par Eurostat soulignent les progrès constants réalisés par certains nouveaux États membres, où les taux de recyclage augmentent rapidement. La génération des déchets municipaux a également diminué dans plusieurs États membres, probablement à cause de la récession économique.

Instruments économiques nécessaires pour atteindre les objectifs de l'UE

Il faudra nécessairement reproduire ces instruments dans tous les États membres si l'UE veut atteindre les objectifs visés dans sa législation en matière de déchets et ses objectifs en matière d'efficacité des ressources. C'est la raison pour laquelle la possibilité de rendre leur utilisation juridiquement contraignante sera évaluée en 2014, lors d'un réexamen des objectifs de l'UE en matière de déchets. La Commission a également inclus la gestion rationnelle des déchets dans les conditions d'octroi de certains fonds européens (voir IP/11/1159 et MEMO/11/663)

Le déchet, un secteur prometteur

Entre-temps, la Commission encourage les États membres à mettre en œuvre de façon plus efficace la législation en vigueur en matière de déchets. La gestion des déchets et l'industrie du recyclage au sein de l'Union européenne ont réalisé un chiffre d'affaires de 145 milliards d'euros en 2008 et représentaient environ 2 millions d'emplois. L'application intégrale de la politique de l'UE en matière de déchets permettrait la création de 400.000 emplois supplémentaires au sein de l'Union et augmenterait de 42 milliards d'euros le chiffre d'affaires annuel du secteur (voir IP/12/18).L'amélioration de la gestion des déchets permettrait d'atteindre plusieurs objectifs généraux et spécifiques d'Europe 2020, une stratégie pour une croissance intelligente, durable et inclusive.

Pour plus d’informations

Le rapport et les résultats détaillés par État membre:

http://ec.europa.eu/environment/waste/use.htm

Rapport ESTAT sur la gestion des déchets municipaux:

STAT/12/48

Étude sur la modélisation macroéconomique du développement durable et des liens entre l’économie et l’environnement:

http://ec.europa.eu/environment/enveco/studies_modelling/index.htm#macro

Voir également:

http://ec.europa.eu/environment/waste/index.htm

Contacts :

Joe Hennon (+32 2 295 35 93)  

Monica Westeren (+32 2 299 18 30)

 


http://europa.eu/rapid/pressReleasesAction.do?reference=IP/12/369&format=HTML&aged=0&language=FR&guiLanguage=en

 

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25 mai 2012 5 25 /05 /mai /2012 20:17

1 GVTP cOUPVRAY 6.9.2011

Décharge illégale Coupvray

 

 

TRAVAUX GRAND PARIS

 

 

43 Millions de tonnes de déchets par an ?

C’est ce qu’on nous annonce. 

 

 

Pas de problème

ceux qu’on méprise,

les laissés pour compte,   

« les bouseux du nord-ouest Seine et Marne »  

 vont les supporter. 

 

 

Rappelez- vous  le 19 novembre dernier, pour « Sauver l’Aqueduc de la Dhuis » ces mêmes bouseux ont organisé une manifestation de près de 900 personnes, ont fait signé une pétition  de près de 5000 signatures et ont fait renoncer la Mairie de Paris.

 

 

Ce n’était qu’un début, puisque dans ce pays il semble qu'il faille sortir dans la rue pour faire respecter ses droits, ils le feront.

 

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24 mai 2012 4 24 /05 /mai /2012 17:12

 

 

 

La pollution de la rivière Beuvronne :

une injustice environnementale ? 

 

 

 

Pourquoi un arrêté interpréfectoral autorise Aéroport de Paris à déverser plus de polluants (MES, DBO5, DCO.. ) dans la rivière Beuvronne  en Seine et Marne (ADP Roissy en France), que dans la rivière Orge en Essonne (ADP Orly) ?

 

 

 

Pourquoi Aéroport de Paris annonce dans son rapport d’activité  sociétale d’entreprise 2011

des travaux sur Aéroport d’Orly à savoir  :

- amélioration du rendement de la station de traitement des eaux pluviales

- création d’un bassin de rétention de 2000 m2 dans la zone nord

- un système de marais filtrant devrait être mis en œuvre en 2012.

 

Pourquoi aucuns travaux ne sont-ils annoncés sur Aéroport de Roissy en France ?

 

 

Pourquoi cette différence de traitement entre les deux aéroports ?

 

Une fois de plus l’ Ouest de l’Ile de France semble plus favorisé que l’Est.

 

 

Nous attendons sur ce dossier
les propositions des candidats aux élections législatives
de la 7ème circonscription de Seine et Marne ? 

 

 

 

 

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21 mai 2012 1 21 /05 /mai /2012 20:41

dhuis villevaudé 2 15.10.2011

Aqueduc de la Dhuis à Villevaudé

 

 

Une première victoire pour les défenseurs de l'Aqueduc de la Dhuis 

 

 

 

La Mairie de Paris abandonne le  projet de cession

de 4,7 km de l'Aqueduc de la Dhuis sur la butte d'Aulnay

à la société Placoplâtre

 

 

 

 

Attendons maintenant la concertation avec les acteurs locaux..........

 

 

 

 

 

mairie paris

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21 mai 2012 1 21 /05 /mai /2012 12:02

 

Favoriser le frêt aérien n’est-ce pas favoriser

les délocalisations de nos entreprises vers l’étranger ? 

 

Pour prendre  l’exemple d’une entreprise de notre secteur :

Le cas de Wabco Claye-Souilly propriété de l’un des plus des plus grands équipementiers mondiaux de systèmes de freinage électronique….

 

600 employés en 2000, moins de 400 en 2009.

 

Entre temps Wabco a ouvert des usines  en 2001 en Pologne et Corée, en 2002 et 2011en Chine, en 2005 et 2008 en Inde.

 

Les populations  préfèrent-elles que ces pièces détachées soient fabriquées à Claye-Souilly par nos ouvriers qualifiés ou préfèrent-elles que la fabrication de ces pièces soient délocalisées vers des pays étrangers et reviennent en France par frêt aérien de nuit pour être stockées dans des entrepôts qui remplacent nos champs de blé ?

 

 

 

Le Grand Roissy n’est ce pas créer des emplois précaires sous qualifiés   ?

 

Le Grand Roissy n’est ce pas, en favorisant le frêt aérien, favoriser les délocalisations de nos entreprises vers l’étranger, favoriser la perte de nos emplois qualifiés ?

 

 

                                   Les candidats aux élections de la 7ème circonscription

doivent s’engager

                 à organiser un référendum sur ce sujet sensible

 

 

Pour aller plus loin :

http://www.leparisien.fr/claye-souilly-77410/84-licenciements-programmes-chez-wabco-17-12-2008-344685.php

http://www.atome77.com/breves/628/pourquoi-le-chomage-explose.htm

http://www.wabco-auto.com/fr/about_us/dates_cle

http://www.senat.fr/questions/base/2009/qSEQ09020446S.html

 

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19 mai 2012 6 19 /05 /mai /2012 15:18
Les travaux du Grand Paris vont initier des millions de tonnes de déchets ?
Où seront stockés ces déchets ?
En Seine et Marne ?
Est-ce possible
 de faire supporter encore et encore
à ces populations une telle injustice environnementale ?
Un vrai casse-tête pour les nouveaux ministres.
Paru sur le site Grand Paris et petits détours :
Gouvernement Ayrault: pour qui le Grand Paris?

Qui, de Cécile Duflot, nouvelle ministre de l'Egalité des territoires et du Logement  ou de François Lamy, ministre délégué à la Ville, sera en charge du Grand Paris? Pour Cécile Duflot, c'est clair et c'est elle. Evoquant la ville durable dans son discours lors de la passation de pouvoirs aujourd'hui, elle a fait cette précision: "C'est dans cet esprit que j'aborde les enjeux du Grand Paris dont l'animation m'incombe désormais et dont j'entends bien qu'il soit relancé en harmonie avec les principes du développement de la ville durable". Voilà, c'est à moi.

Grande fidèle du RER dont elle twitte régulièrement les dysfonctionnements, cette native ( et longtemps élue) de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) par ailleurs présidente du groupe EELV au conseil régional d'Ile-de-France, ne manque pas de légitimité sur le dossier. D'autant plus qu'elle en a été partie prenante: au moment où l'Etat et la région allaient signer (enfin) un accord sur les transports en Ile-de-France en janvier 2011, elle a refusé la signature de son groupe. Dans l'explication qu'elle donnait alors, et que l'on peut lire ici, elle mettait en particulier en avant la question de la desserte du plateau de Saclay. Les écologistes ne voulaient pas d'un éventuel passage du métro en surface et ils eurent temporairement gain de cause: la question de Sacalay ne figura pas dans l'accord du 26 janvier 2011. Il fallut encore des mois pour trouver un accord ultérieur.

Or, malgré ces faits d'armes, Cécile Duflot n'est pas la seule dans ce nouveau gouvernement à pouvoir revendiquer une expertise Grand Paris. François Lamy, maire de Palaiseau et président de la communauté d'agglomération de Paris-Saclay, s'y connaît également, c'est le moins que l'on puisse dire. Jusqu'à peu, il boycottait le conseil d'administration de l'établissement public de Saclay. Là encore, un accord a fini par être trouvé.  Et François Lamy a laissé entendre aujourd'hui que les jeux ne sont pas faits côté  pilotage du dossier.

Mais au delà du titulaire, où sera le centre de gravité du Grand Paris? L'accord transports est une petite affaire à 32 milliards d'euros sur dix ans minimum. François Hollande, alors candidat, avait assuré, dans une lettre au président de l'association des maires d'Ile-de-France (Amif) qu'il ne serait pas remis en cause. Mais qu'il faudrait remettre à plat le financement. Le futur président précisait aussi que le Grand Paris était, à ses yeux d'abord l'affaire des élus, avec toutefois "une feuille de route" côté solidarité financière. Une prise de position qui renforcera Paris Métropole, présidée en ce moment par le volontaire Patrick Braouezec.

Bref, le Grand Paris ne manquera pas de spécialistes. L'absence de Claude Bartolone au gouvernement semble confirmer en revanche que la fusion des quatre départements centraux de l'Ile-de-France, qu'il préconise,  n'est pas à l'ordre du jour. Mais c'était déjà dans la lettre de François Hollande.

 

http://grandparis.blogs.liberation.fr/vincendon/2012/05/gouvernement-ayrault-pour-qui-le-grand-paris.html

 

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17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 19:30

 

 

Une sénatrice de Seine et Marne nommée Ministre de l’Ecologie 

 

Est-ce un message fort envoyé à ce département  

considéré

 comme la poubelle de l’Ile de France ? 

 

 

Mme Bricq va-t-elle travailler en priorité sur le dossier du

rééquilibrage national des décharges

afin que jamais plus on ne fasse subir à d’autres

ce que les populations du nord-ouest Seine et Marne 

 subissent depuis tant de décennies ?

 

Attendons………

 

 

 

Paru dans le Parisien 77 :

Nicole Bricq nommée ministre de l’Ecologie

On attendait cette spécialiste de la fiscalité au Budget, voire à l’Economie. La parlementaire a hérité de l’Ecologie, un domaine qui ne lui est pas inconnu. A commencer par le dossier du pétrole de schiste.

faustine Léo | Publié le 17.05.2012, 07h09

 

 

MEAUX, le 16 AVRIL 2011. Nicole Bricq, encadrée par Eva Joly et Vincent Eblé, s’adressait ce jour-là à plus de 1500 manifestants contre l’extraction des pétroles et gaz de schiste en Seine-et-Marne. | (LP/Christel BRIGAUDEAU.)

 

Son nom circulait depuis plusieurs mois pour occuper un ministère. C’est presque sans surprise que Nicole Bricq, sénatrice (PS) de Seine-et-Marne, a fait hier soir son entrée au gouvernement. Mais à l’Ecologie, au Développement durable et à l’Energie, et non au Bugdet comme cela était attendu, elle qui est une spécialiste des finances publiques.

 « Je suis un peu étonnée, avoue celle qui a rendu un rapport sur la fiscalité environnementale en 1998, lorsqu’elle était députée, juste après avoir battu Jean-François Copé. Mais je suis un soldat. »

Et surtout pas une tête brûlée qui court derrière les honneurs, puisqu’elle a demandé cinq minutes de réflexion et des précisions avant d’accepter. Il y a quelques jours, elle redoutait « que les postes importants soient trustés par les hommes ». Elle a désormais sous sa responsabilité le ministre délégué aux Transports.

Nicole Bricq était jusqu’à maintenant rapporteur général du budget au Sénat. Un poste clé, où jamais une femme n’avait été désignée avant elle. Si le fait qu’elle soit une femme a pu influencer un président de la République en quête de parité, ses compétences sont reconnues, à gauche comme à droite. Elle a d’ailleurs été élue meilleure sénatrice de l’année 2011. Proche de François Hollande depuis 2009, bien avant qu’il soit sous les projecteurs de la présidentielle, femme de poigne, sèche mais bosseuse et intègre, elle a mené le combat contre le dernier projet de budget de Nicolas Sarkozy. Le contre-budget qu’elle a fait adopter au Sénat déroule le programme de François Hollande.

Née en Charente de parents bouchers, mariée au maire (PS) de Chelles, Jean-Paul Planchou, Nicole Bricq a été conseillère régionale dans les années 1980, puis directrice du Syndicat d’agglomération nouvelle du Val Maubuée, à Marne-la-Vallée. Elle reprend la politique en devenant la première femme députée du département en juin 1997, face à Jean-François Copé, à la faveur de la dissolution de l’Assemblée nationale. En 2004, elle accède au Sénat.

Inscrite au pôle écologique lors du dernier congrès socialiste, Nicole Bricq est devenue une ardente opposante aux compagnies pétrolières prêtes à tout pour extraire du pétrole de schiste dans le département. Elle a déposé une proposition de loi (non adoptée) demandant l’abrogation des permis et interdisant l’exploitation du pétrole de schiste. Les anti-pétrole de schiste pourraient trouver avec la ministre un relais à leur combat. « C’est dans mon portefeuille, concédait hier soir Nicole Bricq. Je dois aussi m’occuper du développement durable, du nucléaire, etc. » Elle ira ce matin « récupérer les clés du ministère ». « Comme NKM avait démissionné, j’espère qu’il y aura quelqu’un », s’amuse la sexagénaire, qui a aussi le sens de l’humour.

Le Parisien

 

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14 mai 2012 1 14 /05 /mai /2012 14:22

 

rep-01.2008.jpg

 

Décharge Rep Veolia Claye-Souilly 01/2008


 

La 7ème circonscription de Seine et Marne

 va-t-elle sombrer sous les ordures?

 

 

En effet c’est sur ce territoire représentant moins de 5% de la surface de la Seine et Marne que l’Ile de France envoie une bonne partie de ses ordures : ordures ménagères, déchets industriels, déchets dangereux et même déchets radioactifs (DRNR) mais également gravats de bâtiment.

 

Ce territoire compte : 3 incinérateurs, 8 décharges, 3 carrières remblayées par des déchets, 2 décharges illégales.

 

On nous annonce 4 décharges en projet ?

 

 

 

Nous attendons les propositions sur ce dossier 

des candidats aux élections législatives

de la 7ème circonscription de Seine et Marne ?

 


 

Vont-ils s'engager à déposer un projet de loi

imposant un rééquilibrage national des décharges

pour éviter à cette circonscription

de sombrer sous les ordures ? 


 

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Décharge ECT Annet sur Marne

au fond de l'image c'est l'autre décharge Rep Veolia Claye-Souilly qui apparaît sur la photo


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