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11 juillet 2017 2 11 /07 /juillet /2017 14:24

 

Nous apprenons par un article paru dans le Journal de l’Environnement

que deux entreprises du nord 77 viennent d’être sanctionnées par le tribunal correctionnel de Paris, en date du 4 juillet dernier, suite à un déversement illégal de mâchefers à St Cyr sur Morin.

 

Ces résidus d’incinération d’usine d’ordures ménagères qui proviendraient

pour partie du Val de Marne  ont été déversés illégalement sur un terrain du

joli village de St Cyr sur Morin, village comme son nom l’indique baigné par le Morin.

 

D’après le Journal de l’environnement les entreprises Cideme Isles les Meldeuses et Vitrans Charny ont été condamnées  chacune à une amende et à remettre en état le site dans les 6 mois.

 

 

 

Pour mémoire Vitrans Charny avait déjà été citée dans un autre dossier de décharge sauvage à Villeparisis

http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Les-decharges-sauvages-du-clan-Hornec-656349

Pour mémoire la Sté Matthieu TP de Charny dont le gérant est Laurent Auguste (gérant également de Vitrans) avait fait l’objet d’une mise en demeure de la préfecture en date du 9/3/2015 suite à une inspection de la DRIEE 77 qui avait constaté que l’entreprise exploitait une entreprise de concassage.. et transit de matériaux sans en avoir obtenu les autorisations requises par la législation en vigueur.

http://adenca.over-blog.com/2015/03/nord-ouest-77-l-entreprise-mathieu-de-charny-exploite-une-installation-de-traitement-de-dechets-illegale.html

 

 

 

Paru dans le journal de l’environnement :
Un dépôt illégal de mâchefers sanctionné en justice

Le mercredi 05 juillet 2017 à 18h 02 par Stéphanie Senet

Plusieurs sociétés ont été condamnées par le tribunal correctionnel de Paris, le 4 juillet, à des amendes allant jusqu’à 200.000 euros, pour des dépôts illégaux de mâchefers en Seine-et-Marne.

Extrait :   Au total, 31.000 tonnes de mâchefers, des résidus d’incinération d’ordures ménagères, ont été enfouis illégalement entre août et septembre 2012 sur des terrains agricoles situés à Saint-Cyr-sur-Morin, en...

http://www.journaldelenvironnement.net/article/un-depot-illegal-de-machefers-sanctionne-en-justice,84349

 

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10 juillet 2017 1 10 /07 /juillet /2017 19:20

 

Gennevilliers (92)

Une commune qui compte 5 sites Seveso

dont 2 à hauts risques.

 

 

Un important incendie s’est déclaré ce dimanche à Gennevilliers dans un entrepôt de traitement de déchets du groupe Suez.

photo France 3

photo France 3

 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/hauts-de-seine/gennevilliers-impressionnant-incendie-entrepot-dechets-maitrise-1295167.html

 

 

 

Dimanche 2/10/2016

Incendie dans un entrepôt de recyclage de déchets de Veolia à Gennevilliers

http://www.leparisien.fr/gennevilliers-92230/gennevilliers-trois-heures-pour-maitriser-l-incendie-dans-un-entrepot-02-10-2016-6169171.php

Incendie dans un hangar de stockage de déchets

Vers 5 h, dans un centre de traitement des déchets, un feu se déclare dans un hangar de 1 000 m² sur un stock de 400 m³ de déchets de construction (déchets du BTP). Des policiers patrouillant à proximité donnent l'alerte. Un périmètre de sécurité de 100 m est mis en place. Les pompiers rencontrent des difficultés d'approvisionnement en eau en raison de la rupture d'une canalisation de 250 mm. Trois engins de chantier étalent les déchets tandis que les pompiers les arrosent. L'intervention se termine vers 11 h. La vanne de confinement [...]

 

 

20/7/2016 Centre de tri et transit déchets Sita (groupe Suez) Gennevilliers

http://www.hauts-de-seine.gouv.fr/content/download/8758/65368/file/SITA%20IDF%20-%20Gennevilliers%20-%20AP%202016-101%20du%2022%20juillet%202016%20-%20mesures%20conservatoires%20d'urgence.pdf

 

Feu de ballots de papier et plastique dans un centre de tri de déchets

Vers 8h15, dans un centre de tri de déchets non dangereux, un feu se déclare dans un stockage extérieur de 700 m³ de balles de papiers/cartons et plastiques. Les employés mettent en service les RIA et appellent les pompiers. Les déchets situés de part et d'autres des balles touchées par l'incendie sont isolées pour limiter les propagations. Les balles impactées sont arrosées, délitées et les déchets étalés sur le sol. Après extinction, les pompiers mettent en place une surveillance et procèdent aux déblais. [...]

 

29/6/2015 (site Aria)

N° 47128 -  29/06/2015 -  FRANCE - 92 – GENNEVILLIERS  E38.31 - Démantèlement d'épaves

 

Vers 2 h, dans un centre de regroupement de déchets métalliques, un feu se déclare sur un tas de 30 t de refus d’induction (métaux en mélange) en sortie de broyeur. Le personnel du Port Autonome de Gennevilliers, au sein duquel le site est implanté, donne l’alerte. Les pompiers éteignent l’incendie. Les eaux d’extinction sont récupérées et traitées par la station d’épuration interne. L’intervention se termine vers 5 h.

Les 30 t de déchets sont retraitées sur place par broyage. Les résidus d’incendie sont envoyés en centre d’incinération. L’incendie serait lié aux très fortes chaleurs de la journée…..

 

 

26/11/2015 (site Aria)

N°47424 - 26/11/2015 - FRANCE - 92 - GENNEVILLIERS E38.32 - Récupération de déchets triés

 

Vers 4h45, dans un centre de traitement des déchets, un feu se déclare sur un stockage extérieur de 1 200 m³ de déchets ferreux (déchets de platinage et VHU dépollués) en attente de broyage. Le gardien présent sur site donne l'alerte. Les déchets en feu sont isolés pour éviter une propagation. Le stock est déblayé avec 3 engins de chantier. Les pompiers éteignent l'incendie vers 9 h à l'aide de lances à eau et à mousse. ….

 

 

10/4/2015 (site Aria)

N°46458 - 10/04/2015 - FRANCE - 92 - GENNEVILLIERS E38.32 - Récupération de déchets triés

 

A 21h15, dans une société de recyclage de papier, un feu se déclare sur une chaîne de tri, à l'arrêt pour la nuit. L'installation contient 5 000 m³ de déchets. Un employé encore présent dans le bâtiment de bureaux donne l'alerte après avoir vu des flammes se dégager de la cabine de tri. Il attaque le feu à l'aide d'un RIA en attendant l'arrivée des pompiers. L'alimentation générale du site est coupée. La circulation sur le viaduc de l'A15 surplombant le site est interrompue. L'incendie est éteint à 1 h. …

 

 

Dimanche 5/5/2013 (site Aria)

N°43773 - 05/05/2013 - FRANCE - 92 - GENNEVILLIERS E38.32 - Récupération de déchets triés

 

Dans un établissement de tri et recyclage de déchets, le gardien découvre un départ de feu à 23h20 au niveau d'un hangar de stockage de 1 200 m² de déchets d'encombrants à trier alors que sa ronde précédente 2 h plus tôt n'avait rien révélé d'anormal. Il alerte les secours et le responsable d'exploitation qui arrivent sur place respectivement en 10 et 25 min. La tentative d'extinction du feu par le gardien avec le réseau incendie armé aérien (RIA) du site échoue car celui-ci éclate sous l'effet thermique dégagé par le foyer (RIA insuffisamment protégé par conception ?).Le site se trouvant à proximité d'établissements Seveso, les pompiers déploient un important dispositif d'intervention composé de 146 hommes, 41 engins et 11 lances. Les dépôts d'hydrocarbures voisins activent des couronnes d'arrosage pour se prémunir d'effets dominos. Les services du gaz et de l'électricité se rendent sur les lieux. Malgré des difficultés pour atteindre le foyer de l'incendie, le feu est circonscrit à 0h30 et déclaré éteint à 6h45. ….

 

24/7/2012 (site Aria)

N°42492 - 24/07/2012 - FRANCE - 92 - GENNEVILLIERS E38.32 - Récupération de déchets triés

 

Lors d'une période de forte chaleur (28-30 °C), un feu se déclare vers 15h15 sur une benne extérieure stockant des balles de plastiques et des matelas usagés dans une entreprise de valorisation de déchets non dangereux (DIB) issus d'encombrants ménagers. Le feu se propage à un stockage de pneus usagés en vrac à proximité. Après une tentative d'extinction, le personnel alerte les secours vers 15h20 et l'exploitant déclenche son POI ; 2 entreprises voisines sont évacuées. L'incendie dégage une épaisse fumée noire et menace un bâtiment de 4 500 m². En raison de la proximité des bacs de stockage d'un dépôt pétrolier adjacent, les pompiers interviennent à 15h25 avec 166 hommes et 50 engins et maîtrisent le sinistre au bout de 1 h à l'aide de 7 lances dont 1 de grande puissance et 1 à mousse. La police établit un périmètre de sécurité, bloque les voies d'accès à la zone industrielle et évacue 150 salariés des entreprises riveraines. La sortie de l'autoroute voisine est fermée jusqu'à 17 h, ce qui perturbe fortement le trafic de cette voie urbaine. Le POI de l'entrepôt pétrolier, classé Seveso seuil haut, est déclenché. …..

 

 

 

 

 

 

 

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8 juillet 2017 6 08 /07 /juillet /2017 13:25

Paru dans Claye-Souilly découverte :

HISTOIRE CLAYE-SOUILLY : LA BEUVRONNE

  La Beuvronne à Vinantes

  La Beuvronne à Vinantes

 

       

                                           

Au début du 19ème siècle si l’on se réfère à différentes cartographies le cours d’eau qui traverse Vinantes jusqu’à Compans se nommait « La petite Beuvronne » (aujourd’hui La Beuvronne) et celui qui prenait sa source à Moussy-le-Neuf « La Beuvronne » (aujourd’hui La Biberonne).

 De nos jours il en a été décidé autrement, la rivière qui prend sa source au delà de Vinantes est considérée comme le cours d’eau principal dénommé « La Beuvronne », son affluent est « La Biberonne » qu’elle reçoit sur la droite entre St Mesmes et Compans.

 

 Compte tenu de l’étymologie proche de Beuvronne et Biberonne, il est probable que ces deux rivières étaient colonisées par de nombreux castors.

 Parlons de la source de « La Beuvronne »,  ce sont plusieurs rus qui descendent de la forêt de Montgé au niveau des villages de Cuisy et Montgé-en-Goële qui forment un ruisseau  à Vinantes et  l’origine de la rivière.

 

 

 

  « La Beuvronne » traverse les villages de Vinantes, Nantouillet, St Mesmes, Messy, Gressy, Souilly, Claye, Annet s/Marne, Fresnes s/Marne et se jette dans « La Marne » entre Fresnes s/ Marne  et Annet s/Marne.

 « La Biberonne » passe à Moussy-le-Neuf, Moussy-le-Vieux, Villeneuve-sous-Dammartin, Thieux, Compans et se jette dans la Beuvronne entre Compans et St Mesmes.

 

Citons quelques moulins (disparus aujourd’hui pour certains) sur « La Beuvronne » :

-         « Moulin de Vinantes »,

-         « Moulin de la Haize » et « Moulin, chemin de St Mesmes à Nantouillet »,

-         « Moulin de  Tussac » à St Mesmes, 

-         « Moulin de Moulignon » à Messy (deux moulins dans la même cage),

-         « Moulin Rouge » à Gressy,

-         « Moulin de Souilly»,

-         « Moulin de Claye » (deux moulins dans la même cage),

-         « Moulin de Vilaine » à Claye,

-         « Le vieux Moulin »  à Fresnes s/Marne,

-         « Le Moulin de Fresnes s/Marne ».

 

sur «  la Biberonne » :

-         « Grand Moulin Dongé » à Thieux, 

-         « Moulin d’Ouacre » à Compans,

-         « Moulin de Condé » à Compans.

 

 A dater du 15/8/1813 les eaux de la Beuvronne sont introduites dans le canal de l’Ourcq et les moulins situés en aval : Souilly, Claye, Vilaine et Fresnes ne recevront plus que le trop plein de la Beuvronne, le ru des Grues et L’Arneuse ou Reyneuse et disparaîtront progressivement.

 

Sources :

Carte IGN 2413 OT.

AN : -F20/293,  ET/XCVII/741 .

 Médiathèque de Meaux :

 - Sté d’Histoire et d’Archéologie de la Goële 1991.92.

 - Carte topographie arrondissement de Meaux dressée par Bonnet 1822.

 - Carte topographique par L. Denis Géographe 1778.

 - Claye-Souilly et le pays de la Beuvronne, Claude Cajat, Presses du Village,

 Médiathèque Claye-Souilly :

 - Si Gressy m’était conté Raymond Selleret.

http://claye-souilly-decouverte.over-blog.com/article-6356708.html

 

 

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7 juillet 2017 5 07 /07 /juillet /2017 10:13

 

Pendant ses 10 ans de mandat le député Yves Albarello n’a jamais accepté de nous recevoir.
Adenca vient de demander un rendez-vous à son successeur Rodrigue Kokouendo, souhaitons qu’il accepte de nous recevoir afin d’aborder tous les problèmes de santé et environnement sur la 7ème circonscription du 77, ce secteur bien martyrisé.

 

En effet depuis des décennies les services de la DRIEE 77 qui contrôlent les industriels  dans le secteur Mitry-Torcy sont en sous effectifs, Nicole Bricq, députée de ce secteur de 1997 à 2002, le signalait déjà.

 

Aujourd’hui ce sont les salariés de Prodène Klint qui appellent au secours,
Rodrigue Kokouendo va-t-il les entendre et obtenir les effectifs nécessaires pour permettre au service de la DRIEE 77 de pouvoir contrôler dans les meilleurs délais cette entreprise et les autres entreprises polluantes du secteur ?

 

 

 

Affaire à suivre.......

Paru dans le Parisien 77 :
Mitry-Mory : grève des salariés de Prodène Klint pour des meilleures conditions

>Île-de-France & Oise>Seine-et-Marne>Mitry-Mory|Hendrik Delaire|05 juillet 2017, 19h24|0 

Hendrik Delaire

 

Mitry-MoryProdène KlintCGT

 

Une trentaine de salariés du site Prodene Klint, qui produit des détergents et des savons, ont fait grève ce mercredi pour demander de leurs conditions de travail et de leurs salaires.

«Nous voulons une amélioration de nos conditions de travail et une revalorisation salariale. » Le ras-le-bol des salariés était palpable ce mercredi matin devant le site de l’entreprise Prodene Klint à Mitry-Mory, qui fabrique des détergents et du savon pour les hôpitaux et le secteur de l’automobile.

Sur la soixantaine de salariés qui travaillent sur le site de l’entreprise également présente à Croissy-Beaubourg, près d’une trentaine ont fait grève ce mercredi à l’appel de la CGT pour demander une amélioration de leurs conditions de travail, ainsi que des conditions de sécurité.

 

«Nous demandons que la prime de risque ainsi que les primes de douche et d’habillement prévues dans la convention collective de la chimie nous soient versées », assène Yacine Ketani, membre du comité d’hygiène et de sécurité des conditions de travail (CHST) et adhérent à la CGT.

 

«Nous manipulons des produits corrosifs, explosifs et potentiellement cancérigènes. Il faudrait investir pour rénover le système d’aération pour nous éviter d’inhaler ces produits toxiques », dénonce Omar Achi, salarié et syndicaliste à la CGT. Certains salariés racontent avoir pour seule protection des maques anti-poussière et manipuler des produits dans des cuves rouillées.

 

  

Autre revendication des grévistes : le respect des statuts des salariés et de leur ancienneté. « J’ai un bac + 3 et j’ai été embauchée comme technicienne de laboratoire. Pourtant j’ai longtemps été rémunérée avec un statut correspondant à un BEP-CAP et depuis ma dernière revalorisation comme si je n’avais que le Bac », s’insurge Marjorie, une salariée.

 

Les grévistes se sont dit prêts à reconduire le mouvement s’ils n’obtiennent pas gain de cause. Contactée la direction de l’entreprise n’a pas souhaité réagir à nos sollicitations.

  leparisien.fr

 

http://www.leparisien.fr/mitry-mory-77290/mitry-mory-greve-des-salaries-de-prodene-klint-pour-des-meilleures-conditions-05-07-2017-7113510.php

 

 

 

 

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6 juillet 2017 4 06 /07 /juillet /2017 15:32
Placoplatre fort de Vaujours 5/7/2017 : Une commission de suivi de site assez décevante !

 

 

Hier a eu lieu la 2ème commission de suivi de site de 2017 Placoplatre Fort de Vaujours.

Une commission à laquelle vous riverains vous n’avez pas le droit d’assister.

L’association FNE Seine et Marne l’avait demandé, mais l’industriel ne le souhaitait pas et la préfecture non plus.

 

 

Dépollution chimique du site :

Un sujet qui fâche ?

 

Il faut savoir  que l’ETAT a nommé l’Agence de Sureté Nucléaire pour superviser les travaux de dépollution radioactive du site.

 

Mais l’ETAT n’a pas souhaité nommer un organisme indépendant pour superviser les travaux de dépollution chimique du site : métaux lourds (arsenic, mercure, cadmium, nickel…), hydrocarbures, PCB, dioxynes et furanes….

 

Ségolène Royal l’avait envisagé un temps mais n’a pas donné suite, quant au nouveau ministre de l’écologie, Nicolas Hulot, il n’a pas toujours pas accepter de recevoir le sénateur Roger qui l’a sollicité à ce sujet par courrier en date du 30 mai 2017.

 

 

Pour en revenir à la commission de suivi de site d’hier.

 

Ludovic Toro, médecin, maire de Coubron, conseiller régional et président de l’Office Régional de Santé, qui avait claqué la porte de la CSS l’année dernière, a réintégré cette commission  et nous nous en félicitons.

 

Lors de la commission de suivi de site du 5/5/2015, il avait demandé au représentant du ministère de la Santé que lui soit fourni l’étude sur  l’état de santé de la population à Coubron et à Vaujours, or cette étude ne lui a jamais été fournie, ni celle demandée par la représentante de FNE Seine et Marne pour Villeparisis.

Les deux participants ont réitéré leur demande.

 

Depuis de nombreux mois les associations environnementales avait demandé à  Placoplatre d’effectuer des analyses de métaux lourds dans les eaux souterraines, nous avons appris que Placoplatre les avait fait effectuer mais l’industriel n’a pas souhaité les présenter aux participants lors de la CSS.

 

Que nous cache-t-on ?

 

 

Les associations avaient demandé qu’un hydrogéologue agréé soit nommé, elles auraient aimé que ce soit l’ETAT qui le nomme mais c’est Placoplatre qui l’a choisi et qui le rémunère.

Un hydrogéologue qui a fait une compilation des différents rapports financés par le CEA et Placoplatre, documents que les associations connaissaient déjà.

 

Un plan des captages d’eau potable environnants  a été présenté, mais ironie du sort les 3 captages  d’eau en aval du site se trouvant à Torcy avaient été oubliés.

 

Quand aux eaux pluviales du Fort qui partent vers le milieu naturel côté Vaujours et côté Courtry nous ne savons toujours pas où elles se reversent.

 

Les associations n'ont  pu obtenir aucunes informations quant aux contrôles de la pollution effectués dans le ru de Chantereine et la rivière Morée

 

 

Une étude hydrogéologique

à approfondir !

 

 

 

Contrôle de l’air : les associations attendent toujours la 3ème implantation de balise qui devait se faire sur Courtry, mais il faut que les élus de Courtry et Placoplatre trouvent un accord.

 

L’ASN a mené une inspection  le 20/4/2017 et a indiqué ses remarques auxquelles Placoplatre devraient répondre pour la mi-juillet.

 

Pour ce qui est de la CRIIAD, divers dossiers sont parvenus trop tard aux associations et l’organisme n’a pas eu le temps matériel de les étudier avant la CSS, nous vous tiendrons au courant du résultat de son analyse.

 

 

 

 

 

 

 

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6 juillet 2017 4 06 /07 /juillet /2017 10:56
Réunions « dites de concertation » plan déchets IDF : les riverains des décharges du 77 considérés comme « des gens qui ne sont rien » ?

 

 

 

Les riverains des décharges :

« des gens qui ne sont rien » ?

 

 

Valérie Pécresse et Chantal Jouanno ont lancé des réunions « dites de concertation » concernant le futur Plan Déchets IDF.

 

Aujourd’hui une réunion a lieu concernant les déchets BTP, vous savez ceux que l’on  déverse près de vos écoles, vos lotissements ou vos rivières, mais vous n’êtes pas invités à vous exprimer.

 

 

C’est Valérie Pécresse qui a choisi ceux qui pourront se mettre autour de la table pour décider pour vous : les exploitants de décharges, les démolisseurs, les promoteurs immobiliers, les élus… et des associations qui pour certaines perçoivent des subventions du Conseil Régional et ne pourront pas, en quelque sorte, « mordre la main qui les nourrit ».

 

 

Concernant les élus de Seine et Marne qui sont nommés dans ces commissions, voici leurs noms :

 

- Roseline Sarkissian, conseillère régionale

- Sylvie Fuchs, conseillère régionale

 

- Isoline Millot, vice présidente du conseil départemental, chargée de l’environnement

 

 pour le nord 77 :

 

- Alfred Stadler, maire de St Mesmes

- Xavier Vanderbise, maire de Courtry

- Jean-François Copé, maire de Meaux

- Jean-François Parigi, président du Smitom nord 77 et député

- Ugo Pezetta, maire de la Ferté sous Jouarre

- Pierre Eelbode, maire de Cocherel

 

 

 

 Nous vous conseillons

de faire remonter vos demandes

auprès de ces élus

 

 

 

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4 juillet 2017 2 04 /07 /juillet /2017 22:22
http://musee-peintres-barbizon.fr/library/ete-aux-musees-2017

http://musee-peintres-barbizon.fr/library/ete-aux-musees-2017

 

 

 

L’argent encaissé au nord 77

 pour financer

les musées départementaux  du sud 77 ?

 

 

 

 

Au regard de la carte de Seine et Marne on s’aperçoit que 80 % des musées départementaux de Seine et Marne sont concentrés au sud du département.

 

Ne cherchez pas, vous ne trouverez aucuns musées départementaux au nord-ouest 77.

 

On  ne va tout de même  pas implanter un musée départemental pour ces gens si peu cultivés qui ne pourraient pas l’apprécier à sa juste valeur.

 

Pour eux ce sera les ordures et pour leurs enfants des emplois de bas niveau dans le tri les déchets par exemple.

 

 

 

Pour tous renseignements complémentaires

contactez :

 

Jean-Jacques Barbaux

président

du Conseil Départemental

en charge

de ces musées

 

 

 

 

http://musee-peintres-barbizon.fr/library/ete-aux-musees-2017

 

 

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3 juillet 2017 1 03 /07 /juillet /2017 11:41
Mouettes et Goëlands près de la décharge Veolia

Mouettes et Goëlands près de la décharge Veolia

 

 

 

 

Ils n’en peuvent plus les riverains de la décharge Veolia de Claye-Souilly, en plus de devoir supporter les odeurs que l’industriel tente de dissimuler en pulvérisant dans l’air des produits chimiques dont on ne connaît pas la composition, aujourd’hui ce sont les mouettes et goélands, en nombre croissant, qui viennent déverser leurs fientes jusque dans leur jardin.

 

 

Leurs jolies maisons qui voudra les acheter

dans cet environnement

qui se dégrade d'années en années ?

 

 

 

Que font les élus des 5 communes riveraines

de cette décharge

 pour tenter de réduire ces nuisances ?

 

Nous n’en savons rien.

 

 

 

 

Pour plus le savoir

 nous vous conseillons de contacter :

 

Yves Albarello, maire de Claye-Souilly

Xavier Ferreira, maire de Charny

Jean Lefort, maire de Fresnes sur Marne

Christian Marchandeau, maire d’Annet sur Marne

Jean-Lou Szyszka, maire de Messy.

 

Envolée d'oiseaux près de la décharge Veolia

Envolée d'oiseaux près de la décharge Veolia

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3 juillet 2017 1 03 /07 /juillet /2017 11:15

 

 

 

 

Riverains de décharges et sites polluants

 êtes-vous

des gens qui ne sont rien ?

 

 

Pour que les « élites » qui votent les lois :

 

- autorisent l’implantation de sites qui polluent votre air, votre sol et votre eau :

 décharges, incinérateurs et industries  polluantes au bord de vos écoles maternelles, de vos crèches, de vos terrains de sport, de vos immeubles et lotissements….

 

- autorisent l’implantation de sites de loisirs sur d’anciennes décharges……

 

 

 

Riverains de décharges et sites polluants

 êtes-vous

des gens qui ne sont rien ?

 

 

Pour que les « élites » qui votent les lois oublient que ces sites polluants ou dangereux, détruisent votre environnement, vont font prendre des risques

sur votre santé et dévalorisent votre patrimoine immobilier.

 

 

 

 

Il est vrai que ces mêmes « élites » protègent leur famille et leur choisissent, en général, un environnement privilégié sans industries polluantes, sans décharges ou incinérateurs puisque leurs ordures elles les  envoient chez les autres.

 

 

 

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2 juillet 2017 7 02 /07 /juillet /2017 19:13

 

Paru dans le Journal le Parisien :
Un enfant souffre d'une leucémie, des parents demandent la fermeture d'une usine en Seine-Saint-Denis

>Île-de-France & Oise>Seine-Saint-Denis>Montreuil|Thomas Poupeau|02 juillet 2017, 16h54 | MAJ : 02 juillet 2017, 17h54|0

 

 

 

Un enfant habitant près d’une usine de produits chimiques de Montreuil (Seine-Saint-Denis) vient de contracter une leucémie. Les riverains demandent la fermeture du site. 

 

 

 

L’usine a-t-elle empoisonné les enfants de la rue des Messiers, à Montreuil (Seine-Saint-Denis) ? C’est la crainte de beaucoup de voisins de la Snem, société de traitement chimique des pièces aéronautiques. D’autant qu’un enfant, habitant en face de l’entreprise, vient de contracter une leucémie.

 

Suspectant un lien avec les activités de l’usine, l’association de quartier la Butte à Morel envoie, ce lundi, un courrier à la préfecture, à la mairie ainsi qu’aux clients de la Snem (Airbus, notamment). Objectif : réclamer la fermeture du site «au vu de tous les éléments prouvant [son] caractère polluant […]». S’appuyant sur une étude qu’ils ont eux-mêmes commandée et qui révèle des taux élevés de produits toxiques aux alentours de l’usine, les riverains craignent que les émanations n’empoisonnent toute la rue, l’école située à une centaine de mètres et un centre d’hébergement pour autistes.

 

Depuis quelques jours, tout le quartier ne parle que de ça. Ainsi, pour Pascal, un père de famille de 54 ans habitant la rue depuis 1966, ce cas de leucémie fait écho à la maladie de son fils, en 2005. «Mon fils a attrapé cette leucémie quand il avait 8 ans. Il a été hospitalisé un an et demi à l’hôpital Robert-Debré. Les médecins n’ont jamais su nous dire quelles étaient les causes de sa maladie.»

 

«Il mangeait les cerises qui venaient de la cour de l’entreprise»

 

Aujourd’hui, Adam a 20 ans et est hors de danger. «Mais il est toujours suivi», précise son père. Qui se souvient : «Gamin, il jouait souvent près de l’usine, il mangeait les cerises qui venaient de la cour de l’entreprise, sans compter qu’il était scolarisé à Jules-Ferry, à quelques mètres de l’usine !» Mais aucun lien formel n’a été établi entre la leucémie de son fils et les activités de la Snem. «Aucune preuve du contraire non plus», rétorque Pascal.

 

Pascal, 54 ans. Son fils a contracté une leucémie en 2005. Il craint que ce ne soit à cause de l’usine de la Snem (LP/T.P.)

 

A la préfecture de Seine-Saint-Denis, on assure que le site a fait l’objet de plusieurs inspections, notamment en 2010, 2014, 2015 et 2016. A chaque fois, «l’exploitant a répondu aux demandes formulées à l’issue de chaque visite», précise la préfecture. Plus récemment, alors que des riverains ont constaté l’ouverture des trappes de désenfumage de l’usine, les services de l’Etat ont réalisé une «inspection inopinée» et sommé la Snem de «mettre en place des actions correctives».

 

La Direction régionale de l’environnement (DRIEE) indique également que le site fera «l’objet d’une visite approfondie en 2017», qui pourrait avoir lieu ce mois-ci. Objectif : «Vérifier en détail si l’exploitant respecte bien son arrêté d’autorisation, qui li impose des normes de rejet dans le domaine de l’eau, de l’air, la présence de dispositifs de sécurité, etc.» L’entreprise Snem était injoignable ce week-end.

 

 

 

 

 

«A la rentrée, on fera la grève de l’école si l’usine est ouverte»

Nicolas Barrot, riverain de l’usine

 

LP/T.P.

Nicolas Barrot est le président de l’association de quartier la Butte à Morel, qui regroupe les habitants des alentours de l’usine Snem.

 

Depuis combien de temps soupçonnez-vous cette usine d’être polluante ? 
«Depuis que je suis arrivé dans la rue, avec ma femme et mes deux enfants, en 2005 ! Chaque semaine, je voyais un camion Chimirec (NDLR : une société de collecte de déchets industriels) venir se raccorder à une trappe pour évacuer les acides usagés. Cela coulait partout, donc les employés venaient nettoyer en nous disant Ce n’est pas dangereux… sauf qu’ils portaient des combinaisons de protection !»

 

Avez-vous sollicité les autorités ? 
En 2007, j’ai demandé la liste des produits utilisés ici, sans réponse. Alors, en 2011, on a payé nous-mêmes une analyse des émissions de l’usine et le résultat est alarmant, avec des taux élevés de perchloréthylène, un solvant très dangereux. Depuis, j’ai des échanges avec les autorités mais rien ne se passe. Il y a quelques semaines, quand on a appris qu’un enfant de 11 ans était atteint d’une leucémie, on s’est dit qu’il fallait agir. D’autant qu’en 2010, un habitant était décédé d’une leucémie, et cinq ans plus tôt, c’est un enfant qui était touché, mais il s’en est sorti. Cela fait beaucoup dans un rayon de 100 mètres.

 

Quelles actions comptez-vous mener ?
Nous venons d’organiser une réunion avec cinquante habitants. Nous ne sommes pas des gens violents mais il en va de notre santé, et surtout celle de nos enfants. Alors, on a voté à l’unanimité que si, à la rentrée, l’usine était encore ouverte et qu’on ne nous avait pas prouvé qu’il n’y a pas de danger, on ne mettrait pas nos enfants à l’école. Quitte à s’organiser entre parents pour les garder à la maison à tour de rôle. Après, individuellement, certains réfléchissent aussi à bloquer l’usine

 

http://www.leparisien.fr/montreuil-93100/montreuil-les-parents-reclament-la-fermeture-de-l-usine-de-produits-chimiques-02-07-2017-7104927.php

 

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