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19 juin 2017 1 19 /06 /juin /2017 21:36
Paru dans le Parisien 77 :
Meaux : le gérant de Wipelec en garde à vue pour des malversation financières

>Île-de-France & Oise>Seine-et-Marne|Sébastien Roselé|19 juin 2017, 20h12|0

 Le gérant de la société Wipelec a été placé en garde à vue ce lundi. Il aurait maintenu son activité industrielle alors que le préfet de Seine-et-Marne avait pris un arrêté pour la suspendre. LP/Sébastien Roselé

Sébastien Roselé

Seine-et-MarneWipelecgérantgarde à vueenvironnementproduits toxiques

Le gérant de l’entreprise meldoise Wipelec, qui fabrique des pièces mécaniques de précision, est soupçonné d’avoir continué son activité industrielle malgré une suspension préfectorale. Il serait aussi et surtout soupçonné de « malversations financières ».....

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/meaux-le-gerant-de-wipelec-en-garde-a-vue-pour-des-malversation-financieres-19-06-2017-7068570.php

 

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19 juin 2017 1 19 /06 /juin /2017 15:52

 

 

Depuis des années des industriels qui ne respectent pas la législation en vigueur et dont les agissements peuvent mettre en danger la santé des riverains  font du chantage à l’emploi, une situation intolérable, des méthodes d'un temps révolu.

 

Un cas d’école

Wipelec Meaux

 

16/6/2017 parking de l'usine Wipelec Meaux

16/6/2017 parking de l'usine Wipelec Meaux

 

Un article paru récemment dans le journal la Marne nous interpelle.

A sa lecture on semble croire que le préfet a fermé complètement l’entreprise suite aux non respects répétés de la législation par l’exploitant, mais en fait ce n’est qu’une unité de l’entreprise qui est touchée.

En effet pour nous être rendus sur site vendredi dernier, nous avons constaté la présence de plus de 20 véhicules dans l’entreprise.

 

 

Wipelec Meaux le 16/6/2017

Wipelec Meaux le 16/6/2017

Nous avons été quelque peu choqués par les panneaux affichés sur le site, dans lesquels il n’est fait à aucun moment allusion aux enfants fréquentant  la crèche riveraine.

 

Les enfants de la crèche

 ne doivent pas être, en quelque sorte,

pris en otage dans cette affaire

 

 

 

La solution c’est Guy Pelamourgue

 le dirigeant de Wipelec

qui l’a entre les mains :

 

Qu’il remette en état le site

comme la préfecture le lui demande 

et la polémique

s’arrêtera.

 

 

Pour mémoire Wipelec est une entreprise qui a déjà pollué 2 sites, l’un à Pomponne et l’autre à Romainville où des riverains vivent dans l’angoisse constante.

 

 

Paru sur le site de la fédération d’environnement du 93 :

 

 

Pollution du site Wipelec à Romainville

 

La société WIPELEC qui a exercé des activités de traitement de surface à Romainville, encadrées dans le cadre des procédures ICPE dès 1990, a cessé ces activités le 6 avril 2009, puis entamé une procédure de redressement judiciaire en août 2009.

Les dégâts et pollutions laissés sur le site par WIPELEC, ont conduit le 8 juillet 2013 à l’arrêté préfectoral N°2013_2024 pris par la préfecture de Seine-Saint-Denis reconnaissant la nécessité de « procéder à des travaux d’office, hors site, relevant d’une situation impérieuse concernant la société Wipelec-Ceres pour les anciennes activités au 21-29 rue des oseraies et au 53-55 rue des Ormes à Romainville ».

Malgré la mobilisation des riverains et les alertes répétées concernant les impacts du site abandonné, sur leur santé, aucune précaution efficace n’a été mise en œuvre par les autorités sanitaires, la préfecture, ou les élus locaux, pour mettre un terme aux conséquences de ces pollutions sur les abords du site.

Alors qu’après les premières mesures réalisées par l’ADEME, il était conseillé aux habitants du quartier
« une aération quotidienne des logements », puis « aérer le plus possible les habitations , amorcer les siphons »., le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) a donné le 11 février 2016 un avis beaucoup plus alarmant pour tous les riverains :« Des riverains du site industriel Wipelec sont soumis depuis des années à une exposition de très haut niveau, très largement au-dessus des seuils d’action rapide préconisés par le HCSP qui induit un risque sanitaire inacceptable appelant des mesures dans un délai très rapide. »

 

« S’il se confirme que cette pollution est encore présente, des mesures rapides visant à soustraire les habitants exposés à des valeurs supérieures au seuil d’action rapide4 (10 μg/m3) doivent être engagées sans délai, mesures qui pourraient conduire à court terme à un relogement temporaire des familles concernées ; »

 


Après trois ans de dérives et de laxisme, pour reconnaître enfin une situation environnementale catastrophique, il est temps aujourd’hui de prendre en compte la santé des populations de ce quartier plutôt que les projets immobiliers envisagés sur l’ancien site WIPELEC.

 

 

http://www.environnement93.fr/www.environnement93.fr/Pollution_du_site_Wipelec_a_Romainville.htm

 

 

 

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19 juin 2017 1 19 /06 /juin /2017 15:07

 

Les riverains des décharges « les oubliés de la France » ont-ils voulu sanctionner leurs députés favorables à l’apport de déchets en Seine et Marne ?

 

Nous n’en savons rien.

 

Ce que nous savons c’est qu’ils n’ont pas été réélus.

 

9ème circonscription du 77

Guy Geoffroy 68 ans

 

député de 2002 à 2017 (3 mandats)

maire de Combs la Ville depuis 1995

Officier des Palmes académiques.

Chevalier de l'ordre national du Mérite.

Chevalier de la Légion d'honneur.

 

Dans les 10 dernières années sur sa circonscription :

- 4 décharges ISDI ont été autorisées

- 1 extension de décharge d’ordures ménagères ISDND a été autorisée.

 

7ème circonscription du 77

Yves Albarello  65 ans

 

Député de 2007 à 2017 (3 mandats)

Maire de Claye-Souilly depuis 1989

Chevalier de l'ordre national du Mérite

 

Dans les 10 dernières années sur sa circonscription :

- 8 décharges ISDI ont été autorisées

- 1 extension de décharge d’ordures ménagères ISDND a été autorisée.

- 2 carrières/décharges ont été autorisées.

 

 

Souhaitons que leurs successeurs se penchent sérieusement sur le problème des ordures et entendent enfin « les oubliés de la France » que sont les riverains des décharges.

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17 juin 2017 6 17 /06 /juin /2017 20:35
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17 juin 2017 6 17 /06 /juin /2017 18:19
Destruction par Placoplatre du Bois Gratuel à Villevaudé : Nicolas Hulot n’est pas venu soutenir les populations !
Ils sont venus de toutes les communes environnantes pour soutenir les populations de Villevaudé contre la destruction du Bois Gratuel par le groupe St Gobain pour implanter une carrière/décharge remblayée par les ordures du Grand Paris.

 

 Des élus étaient également présents : Pascal Pian, maire de Villevaudé, Charlotte Blandiot-Faride, maire de Mitry-Mory, accompagnée de Marianne Margaté, adjointe ainsi que la conseillère régionale Sylvie Fuchs et des élus des communes de Villevaudé, Le Pin, Courtry, Claye-Souilly, Villeparisis…..

 

Etaient également présents Bernard Bruneau, le président de la fédération d'environnement FNE Seine et Marne, accompagné de plusieurs administratrices, les présidents de l'association des amis de Carnetin, d'Adenca et nombreux membres d'associations de défense de l'environnement du secteur dont Jacques Kalkotourian de l'association de défense de Bois Fleuri.

 

Ils avaient rêvé que Nicolas Hulot, le nouveau ministre de l’écologie viennent les soutenir, eux les petites gens du nord-ouest 77, qui se battent contre la destruction de leur bois. Si c’était la forêt de Fontainebleau ou  celle de Rambouillet que l’on voulait détruire, passe encore, le ministre se serait peut-être déplacé, mais un bois dans un secteur miné de décharges, vous voulez rire, et puis le président Macron rencontre bon nombre de dirigeants du groupe St Gobain, depuis des années, dans les réunions du club d’élites « Le Siècle », il ne va tout de même pas les contrarier.

 

Par contre le président Macron avait envoyé des membres de la DGSI (ex Renseignements

Généraux) pour surveiller ces manifestants bien pacifiques.

 

C'est la dite "Démocratie à la française"

A partir de maintenant
ce sera comme d’habitude

 

A notre connaissance, aucun ministre de l’Ecologie, depuis des décennies, n’est venu rencontrer ou soutenir les riverains des sites polluants ou dangereux de la 7ème circonscription du 77,  le seul ministre de l’écologie qui s’est déplacé ces 10 dernières années dans cette circonscription  est Jean-Louis Borloo en 2009, il était venu soutenir le projet de l’industriel Veolia : enterrer des déchets de gaz carbonique CO2 sous nos pieds dans la décharge de Claye-Souilly.
L’ancien député Yves Albarello l’avait reçu à Claye-Souilly, en évitant, bien sûr, d’inviter
les associations de riverains, membres de la commission de suivi de site de la décharge Veolia.

 

 

Manifestation de Villevaudé 17/6/2017

Manifestation de Villevaudé 17/6/2017

Paru dans le Parisien 77 :
Jean-Louis Borloo applaudit les chantiers écolos de la ville

>Île-de-France & Oise > Seine-et-Marne > Claye-Souilly|17 février 2009, 7h00|0

Claye-Souilly

Comme à la maison, Jean-Louis Borloo ! Hier matin, le ministre d'Etat en charge de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire était l'hôte de Claye-Souilly et son maire, le député Yves Albarello (UMP). En un marathon d'une heure et demie, Borloo-xygène, comme il s'est lui-même surnommé, a fait le tour des projets et réalisations de la ville en matière de développement durable. Prétexte de la visite : l'inauguration du centre de loisirs à haute qualité environnementale (HQE), ouvert en centre-ville depuis… deux ans.
Au passage, le radical a aussi découvert (lire encadré) la décharge voisi
ne de Veolia où doit être lancé en 2012 un site pilote de stockage de CO2 sous-terre. Objectif : mettre au point la technologie qui permettra aux industries polluantes des pays émergents de réduire leurs rejets de gaz à effet de serre. L'idée séduit le patron du Grenelle : « La France a raté le marché des panneaux photovoltaïques, il ne faudrait pas qu'elle rate aussi celui du stockage de gaz ! »

« C'est exemplaire ! »

……

Le Parisien

http://www.leparisien.fr/claye-souilly-77410/jean-louis-borloo-applaudit-les-chantiers-ecolos-de-la-ville-17-02-2009-413556.php

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16 juin 2017 5 16 /06 /juin /2017 21:10
Paru dans le Parisien 77 :
Villevaudé-Le Pin : une marche pour protester contre la future destruction du Bois-Gratuel

>Île-de-France & Oise>Seine-et-Marne>Villevaudé|Hendrik Delaire|16 juin 2017, 19h42|0

 

Projet de destruction par Placoplatre du Bois Gratuel : venez nombreux demain soutenir les habitants de Villevaudé !

Villevaudé, ce vendredi. Placoplâtre a lancé les premiers travaux préalables à la construction d’un pont enjambant la D 105 pour permettre d’acheminer le gypse de la future carrière du Bois-Gratuel vers son usine de Vaujours (Seine-Saint-Denis). LP/Hendrik Delaire

Hendrik Delaire

Villevaudé

Le collectif « Sauvons la Dhuis » organise ce samedi une marche contre la destruction du Bois-Gratuel les Mazarins, où la société prévoit d’exploiter une carrière de gypse à ciel ouvert.

« Lors de notre marche pour sauver la Dhuis il y a plusieurs années nous attendions 100 à 150 personnes et finalement 900 personnes sont venues protester ». Présidente de l’association Villevaudé demain, Marie-Françoise Pian espère une forte mobilisation ce samedi après-midi lors de la marche organisée par le collectif « Sauvons la Dhuis » contre la destruction annoncée du Bois Gratuel Les Mazarins.

C’est ici que la société Placoplâtre prévoit d’exploiter une carrière de gypse à ciel ouvert au plus tôt en 2020 afin d’assurer l’approvisionnement de son usine de Vaujours (Seine-Saint-Denis), la plus grande au monde, où le gypse est transformé en plâtre.

« Les premiers arbres seront abattus dès le 1er août malgré l’opposition de nombreux habitants lors des réunions publiques sur le sujet », assure Marie-Françoise Pian. La présidente de l’association Villevaudé demain redoute que la destruction du bois ne soit qu’une première étape avant une future exploitation du gypse de la butte de l’Aulnay. « Le secteur du Bois Gratuel Les Mazarins n’est que la partie émergée de l’iceberg, Placoplâtre lorgne sur un gisement qui s’étend jusqu’à Thorigny-sur-Marne » ;

« Nous ne toucherons pas à la promenade de la Dhuis qui sera préservée grâce à un merlon paysager et au renforcement du tissu végétal. De plus nous ne détruirons que 19 ha d’un massif forestier de plus 300 ha sur une période de vingt ans, et qui sera reboisé au fur et à mesure », rétorque Gilles Bouchet, responsable Carrière chez Placoplâtre.

Ce samedi à 14 h 30 à l’angle de la rue du Lavoir et de la rue Charles-de-Gaulle à Villevaudé.

leparisien.fr

 

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16 juin 2017 5 16 /06 /juin /2017 20:46
Cette fois c’est l’imprimerie
« Le Menu Dubreuil »
qui a pris feu.
Dans quel état
étaient les installations ?
Nous n’avons
aucunes informations à ce sujet.
Quant il s’agit d’autoriser l’implantation d’installations dangereuses ou polluantes, en Seine et Marne, l’ETAT ne se prive pas, mais quand il s’agit de donner les moyens aux inspecteurs de la DRIEE de les contrôler, l’ETAT est aux abonnés absents.
Déjà il y a près de 20 ans, la députée de la 6ème circonscription, Nicole Bricq le signalait, mais depuis la situation n’a fait que se dégrader.
Certains industriels font parfois  du chantage à l’emploi pour ne pas effectuer les travaux imposés par la DRIEE et mettent en danger leurs salariés et les riverains (crèche, écoles, centre aéré, habitations….), une population complètement oubliée des pouvoirs publics.
Nicolas Hulot
va-t-il se pencher sur le lourd dossier
de la Seine et Marne ?
Nous n’en savons rien
Ce que nous savons c'est que des tas de conseillers payés par nos impôts viennent d'être nommés au ministère de l'Ecologie.

http://www.lagazettedescommunes.com/510736/ministere-de-la-transition-ecologique-lequipe-de-nicolas-hulot-au-complet/

 

 

 

Paru dans le Parisien 77 :
Ozoir-la-Ferrière. L’imprimerie ravagée par un spectaculaire incendie

>Île-de-France & Oise>Seine-et-Marne>Ozoir-la-Ferrière|Pascale De Souza|16 juin 2017, 10h24 | MAJ : 16 juin 2017, 19h01|2

 

 

 

Ozoir-la Ferrière : 2ème incendie, en quelques jours, dans une imprimerie du Nord-ouest 77

Ozoir-la-Ferrière, dans la nuit de jeudi à vendredi. Un incendie a totalement détruit le site de fabrication de l’imprimerie Le Menu Dubreuil, rue Louis-Armand. Gaël Declercq - SDIS77

Pascale De Souza

 

 

Ozoir-la-Ferrière

Imprimerie Le Menu Dubreuil 

incendieSdis 77

Ozoir-la-Ferrière, dans la nuit de jeudi à vendredi. Un incendie a totalement détruit le site de fabrication de l’imprimerie Le Menu Dubreuil, rue Louis-Armand. Gaël Declercq - SDIS77

Pascale De Souza

Ozoir-la-FerrièreImprimerie Le Menu DubreuilincendieSdis 77

Quelque 2 200 m² sont partis en fumée dans la nuit de jeudi à vendredi, rue Louis-Armand. L’incendie d'origine accidentelle, qui a détruit l’usine d'impression de Le Menu Dubreuil, n’a heureusement fait aucune victime.

 

« Il y a des sacrés dégâts ! », s’exclamait un riverain, ce vendredi matin, en passant devant l’imprimerie Le Menu Dubreuil, à Ozoir-la-Ferrière. Un incendie d’origine accidentelle a totalement détruit l’usine d’impression de nappes et serviettes industrielles pour hôtellerie et restauration, située rue Louis-Armand. Une fuite d’encre sur un point chaud, alors que deux employés se trouvaient sur place, serait à l’origine du sinistre.

>Découvrez les images de l’incendie dans notre diaporama

« C’était impressionnant, témoigne la femme du directeur du site, revenue voir l’étendue des dégâts en fin de matinée. Il y avait de la fumée noire partout, d’autant qu’il y avait beaucoup de vent. »

Au point que des relevés ont été faits pour évaluer les risques sur les établissements scolaires voisins. « Nous n’avons relevé aucune toxicité mais nous leur avons quand même demandé de ne pas ouvrir les fenêtres », précise le capitaine Gilles Perrot.

Jusqu’à 60 pompiers et 4 000 litres d’eau par minute

L’officier du centre de secours de Lagny-sur-Marne a pris la relève ce vendredi matin, alors que les premiers secours sont arrivés sur place aux alentours de 3 heures. Au plus fort du sinistre, une soixantaine de pompiers de 16 casernes du département ont été mobilisés, tandis que le débit de l’eau des tuyaux est monté jusqu’à 4 000 litres d’eau par minute. Un engagement, qui a permis d’empêcher le feu de s’étendre aux entreprises voisines de la zone industrielle.

Les pompiers jugeaient avoir circonscrit l’incendie aux alentours de 11 heures. Une quarantaine de soldats du feu étaient cependant toujours sur place à l’heure méridienne, pour éteindre les petits foyers persistant à l’intérieur des locaux.

Des solutions recherchées pour la quinzaine de salariés

L’usine incendiée emploie de 12 à 15 personnes, selon les périodes, l’été constituant plutôt une saison forte. Ce vendredi après-midi, une réunion de crise était prévue dans un second bâtiment de l’imprimeur, à Ozoir-la-Ferrière, qui accueille la partie administrative. Le groupe industriel y a dépêché plusieurs cadres. « Nous allons faire le maximum pour trouver une solution pour les salariés, qui pourraient peut-être être réaffectés dans d’autres sites du groupe », indique Eric Chartier, le directeur des entreprises d’Ozoir.

« Le fonds de commerce » était aussi à l’ordre du jour des cadres du groupe. « On va également réfléchir à un plan de reconstruction dans les meilleurs délais », ajoute le patron.

 

http://www.leparisien.fr/ozoir-la-ferriere-77330/ozoir-la-ferriere-spectaculaire-incendie-dans-une-imprimerie-16-06-2017-7056768.php

 

 

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15 juin 2017 4 15 /06 /juin /2017 18:22
Paru dans Actu-Environnement :
Coût de la pollution de l'air : un des médecins auditionnés jugé pour témoignage mensonger

Un des pneumologues auditionnés par la commission sénatoriale sur le coût de la pollution de l'air n'a pas indiqué qu'il travaillait également pour Total. Il comparaissait ce mercredi 14 juin devant le tribunal correctionnel de Paris.

Risques | | Dorothée Laperche

Michel Aubier, un des médecins auditionnés par la commission sénatoriale sur le coût de la pollution de l'air, comparaissait ce 14 juin devant le tribunal correctionnel de Paris. Le pneumologue risque jusqu'à cinq ans de prison et 75.000 euros d'amende. Il est en effet soupçonné d'avoir réalisé un témoignage mensonger sous serment.

 

C'est un symbole et nous souhaitons qu'il y ait des peines exemplaires

Nadir Saïfi, Ecologie sans frontière

 

La commission d'enquête du Sénat a été créée en février 2015 pour dresser un constat de l'impact économique et financier de la pollution de l'air. En juillet 2015, après quatre mois d'enquête, elle avait évalué à 101,3 milliards d'euros par an le coût de la pollution atmosphérique en France dont 97 milliards pour les effets sanitaires et économiques.

Une activité de médecin-conseil pour Total

Parmi les personnes auditionnées figurait Michel Aubier, alors chef du service de pneumologie à l'hôpital Bichat (Paris). Ce dernier avait assuré en préambule de son exposé n'avoir aucun lien avec des acteurs économiques. Pourtant, ce dernier assurait à l'époque en parallèle une activité de médecin-conseil pour le groupe Total.

Son exposé avait en outre laissé perplexe ses auditeurs. "Je suis quelque peu étonnée par votre exposé, avait alors réagi Leila Aïchi, la rapporteure, sénatrice Europe-Ecologie les Verts. Vous indiquez, dans un premier temps, que les résultats fluctuent en même temps que les modèles et affirmez que 80% des pathologies respiratoires sont dues au tabac. C'est là ma première interrogation. En outre, je ne peux que vous exprimer ma consternation puisque vous dîtes que la pollution n'a pas d'impact sur le cancer. Sauf erreur de ma part, l'Organisation mondiale de la santé considère le diesel comme un facteur cancérigène".

Pour la première fois, le Sénat a donc décidé de se porter partie civile. Deux associations, Ecologie sans frontière et Générations futures, ont également décidé de se constituer comme telle et plus récemment l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP).

"C'est le procès d'un mensonge, a indiqué Nadir Saïfi, vice-président d'Ecologie sans frontière. Des perquisitions ont eu lieu, il était payé plus de 100.000 euros par an par Total et avait des avantages comme des voitures de fonction". Le verdict du procès devrait être rendu d'ici un à deux mois.

"C'est un symbole et nous souhaitons qu'il y ait des peines exemplaires", a souligné Nadir Saïfi.

Dorothée Laperche, journaliste
Rédactrice spécialisée

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14 juin 2017 3 14 /06 /juin /2017 20:35

 

 

Yves Albarello (LR), 65ans  député sortant de la 7ème circonscription, depuis 10 ans, n’a recueilli que 16.13 % des voix et ne sera pas au 2ème tour des législatives. Il va pouvoir prendre une retraite bien méritée.

 

Nous le remercions pour avoir été plutôt favorable à l’envoi des ordures du Grand Paris vers la Seine et Marne.

 

Nous le remercions pour avoir donné des avis favorables à  l’implantation ou extension de décharges à Claye-Souilly, Annet sur Marne, Villevaudé.

 

Nous le remercions pour avoir été favorable à l’implantation d’une entreprise de traitement de déchets dangereux à Villeparisis.

 

Nous le remercions pour son absence dans les manifestations contre l’implantation de carrières/décharges sur le fort de Courtry/Vaujours et à Villevaudé.

 

Nous le remercions pour ses absences régulières dans les commissions de suivi de site carrières/décharges Placoplatre Fort de Courtry/Vaujours, décharges Villeparisis et Claye-Souilly.

 

Nous le remercions pour son intervention en faveur de l’implantation du CDG Express à Roissy, pour favoriser l’accueil des voyageurs à Roissy, oubliant quelque peu  les conditions de transports des voyageurs de sa circonscription sur la ligne RER B.

 

Nous le remercions  enfin pour n’avoir jamais accepté de recevoir les membres de notre association.

 

 

 

Paru sur le site 20 minutes :

Législatives: Quels avantages pour les anciens députés ?

POLITIQUE Près de 60 % des sièges de la nouvelle Assemblée seront occupés par un député débutant…

Martin Guimier

      • Publié le
      • Mis à jour le
    • De nombreux députés vont quitter l'Assemblée Nationale
    • Les anciens députés ont droit à certains avantages
    • Les avantages dépendent de leur statut

Ils n’étaient que 345 sur 577 députés à se représenter. Parmi eux, 120 ont été éliminés dès le premier tour, dont des figures comme Jean-Christophe Cambadélis ou Henri Guaino. D’autres le seront sûrement au second. Des députés sortants qui se retrouveront donc, pour certains, au chômage. Ils conserveront néanmoins quelques avantages, relatifs à leur ancien statut.

 

§ Indemnité de chômage spécifique

Les députés sortants, qu’ils soient battus dans les urnes ou qu’ils ne se représentaient pas, profiteront d’une indemnité de chômage spécifique, « l’allocation d’assurance mutuelle différentielle et dégressive de retour à l’emploi des députés ». Une indemnité qui peut durer jusqu’à trois ans au maximum, et qui diminue donc dans le temps. Au premier semestre, le député sortant touche 100 % de son indemnité mensuelle (5599,80 euros brut), puis 70 % au deuxième, jusqu’à 20 % pour le 6ème semestre. En 2012, 44 députés sortants sur les 233 non-réélus avaient bénéficié de cette indemnité.

 

Réintégration professionnelle

Pour les anciens salariés du privé avec au moins un an d’ancienneté, il existe une garantie de réintégration professionnelle, dans le même emploi ou un emploi analogue, mais seulement à l’issue d’un premier mandat. Après plusieurs mandats, ils bénéficient d’une priorité d’embauche.

§ Pour les fonctionnaires

Les fonctionnaires de moins de 60 ans se voient immédiatement réattribuer un emploi. Ils repassent alors en situation de disponibilité, après avoir été en détachement pendant leur mandat. 19,4 % des députés étaient des fonctionnaires en 2012, selon l’Institut Diderot.

§ Pour les plus de 60 ans

Ils peuvent bénéficier d’une retraite provenant de la caisse des pensions des députés. La pension moyenne se chiffre à 2.675 euros net par mois, d’après le site de l’Assemblée nationale. Selon ce dernier, les députés font valoir en moyenne leur droit à la retraite à l’âge de 64 ans.

§ Les autres avantages

Les députés perdent les nombreux avantages en nature dont ils profitent durant leur mandat (carte les autorisant à voyager gratuitement en première classe sur toutes les lignes SNCF, trajets entre Paris et leur circonscription en avion, à raison de 80 passages par an…). Pour ceux qui retrouvent immédiatement du travail, « ils ne coûteront rien à l’Etat », comme le rappelle Laurent Granguillaume, le désormais ex-député PS qui vient d’être nommé directeur du développement de Missioneo Group, leader national des nouvelles formes d’emploi.

Ils conservent cependant un accès régulier à l’Assemblée nationale : « un ancien parlementaire à accès à presque tous les services de l’institution, dans les mêmes conditions qu’un député en fonction », rappelle René Dosière, élu de l’Aisne pendant vingt ans et connaisseur des arcanes du Parlement, à BFMTV. com. Les députés ayant plus de 18 ans d’ancienneté bénéficieront également de la gratuité sur l’ensemble du réseau SNCF, et pourront obtenir le remboursement de 50 % des dépenses relatives à six voyages aériens aller-retour par an en métropole. En tant que « membres honoraires du Parlement », ils pourront aussi continuer de profiter du restaurant de l’Assemblée, où l’on trouve par exemple la bière à 80 centimes d’euros, la « moins chère de Paris », selon Franceinfo. Le président de l’Assemblée nationale n’a en revanche plus le droit à sa voiture avec chauffeur à vie, ainsi qu’à un bureau dans le palais Bourbon depuis 2007.

 

http://www.20minutes.fr/elections/2085647-20170613-legislatives-avantages-anciens-deputes

 

Pour aller plus loin :

 

Détail de la rémunération d’un député : http://www2.assemblee-nationale.fr/decouvrir-l-assemblee/role-et-pouvoirs-de-l-assemblee-nationale/le-depute/la-situation-materielle-du-depute

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14 juin 2017 3 14 /06 /juin /2017 11:33
Village martyr de Fresnes sur Marne : comment les élus peuvent-ils laisser brûler des matériaux, en infraction avec la législation, près de l’école maternelle, depuis des années ?

 

Difficile à comprendre que dans cette commune de 750 âmes les élus laissent un particulier brûler, depuis des années, presque journellement, des matériaux près de l’école maternelle et du centre aéré.

 

Pourtant une fumée âcre se dégage du site et pollue l’environnement, les associations environnementales ont alerté Jean Lefort, le maire de cette commune, depuis bien longtemps sans que cette situation ne s’arrête.

 

Difficile à comprendre alors que certains conseillers municipaux  habitent à proximité de  cette école et ce centre aéré.

 

 

Quant aux associations de parents d’élèves

que font-elles dans ce dossier ?

 

Nous n’en savons rien

 

 

Pour mémoire c’est près de cette école et de ce centre aéré que se situe une décharge ISDI et la plus importante décharge d’ordures ménagères (ISDND) d’Europe.

 

Pour mémoire c’est près de cette école qu’une habitante a fait un signalement à l’Institut de Veille Sanitaire d’un nombre de cas de cancers importants dans sa rue.

 

 

ADENCA

se sent bien seule dans ce dossier

et nous le déplorons.

 

 

La santé des plus petits doit être la préoccupation principale de tous et pas seulement de quelques lanceurs d’alerte.

 

Pour tous renseignements complémentaires, nous vous conseillons de contacteur les élus

de Fresnes sur Marne :

 

 

 

Village martyr de Fresnes sur Marne : comment les élus peuvent-ils laisser brûler des matériaux, en infraction avec la législation, près de l’école maternelle, depuis des années ?
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