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10 juillet 2016 7 10 /07 /juillet /2016 17:58
cartographie Eau 77

cartographie Eau 77

 

 

 

Au regard des résultats présentés sur le site Eau 77, sur le bassin versant Beuvronne, pour 2014, nous nous apercevons, que sur 6 points de contrôles de la qualité physico chimique de l’eau 5 sont mauvais et un médiocre.

 

Au regard de ces résultats on ne  peut que constater que la Beuvronne est la rivière la plus polluée de Seine et Marne.

 

Il ne faut pas s’en étonner quand on voit que les préfets qui se sont succédés ont autorisé à déverser plus de polluants dans cette rivière qu’ailleurs.

 

 

Le principe dit « d’égalité à la française ».

 

A savoir :

- Aéroport de Roissy est autorisé a déversé des eaux plus polluées vers le bassin Beuvronne que vers la Seine St Denis : le ru du Sausset.

 

- L'ETAT  impose  peu de contrôles des eaux reversées dans la Beuvronne à l’exploitant de la décharge Veolia Claye-Souilly, alors qu’ils imposent des contrôles plus contraignants à celui de la décharge Sita Soignolles.

 

- Depuis des années le centre d’épuration commun à Villeparisis, Claye-Souilly et Mitry-Mory déverse presque continuellement des eaux non traitées dans le ru des Grues, c’est seulement en 2014 que l'ETAT a dressé une mise en demeure,  restée pour l’instant, à notre connaissance, sans effet.

 

- Alors qu'ils savaient que  le réseau d'assainissement, dans la ZI Mitry-Compans,était en mauvais état,  les préfets ont donné encore et encore des autorisations d'exploitation à des entreprises polluantes

 

- L'ETAT a autorisé encore et encore à implanter des décharges ISDI dans ce bassin versant, sans même imposer de contrôles des eaux reversées dans la Beuvronne.

 

- Les préfets ont autorisé 2 centrales à bitume à déverser presque le double  de polluant vers le bassin versant Beuvronne que vers la rivière de Chaintreaux au sud 77.

L’une des autorisations date  seulement d’un peu plus d’un mois.

 

 

 

 

………..

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8 juillet 2016 5 08 /07 /juillet /2016 18:19
Yprema n’installera pas de déchetterie à Mitry-Mory

Yprema zone industrielle de Mitry-Compans 

 

 

Suite à notre article du 9 mai 2016 Yprema nous dit qu’elle exerce seulement, sur le site industriel multimodal situé rue Decauville, une activité de transit et de commercialisation de matériaux recyclés, sur un espace total d’environ 4500 m2.

Que l’aire de stockage étant inférieure à 5000 m2 l’activité n’est pas soumise à déclaration auprès des services de la Préfecture.

 

Yprema nous précise :

Qu’elle ne procédera pas directement sur le site au concassage des matériaux, ni au recyclage des mâchefers ou des terres, la sté n’envisage pas non plus d’installer à terme une déchetterie.

 

Yprema souhaite également attirer notre attention sur le fait que ses activités répondent à un intérêt collectif : le recyclage des déchets.

 

 

Concentrer une masse d’activités de déchets venant pour la plupart d’autres départements (décharges, entreprises de tri et recyclage) sur une surface aussi réduite que le  bassin Beuvronne, ne répond pas au principe d’égalité inscrit dans la constitution, ni à la convention Aarhus.

 

 

Il serait souhaitable que

Mme Royal

se penche sérieusement sur ce sujet

et pense aux riverains 

 qu'on oblige

à vivre au milieu

des ordures des autres.

Paru sur le site Adenca :

9 mai 2016

Yprema veut stocker à Mitry-Mory des mâchefers de l’usine d’incinération de St Thibault des Vignes, dans quelles conditions, quels risques pour la Beuvronne ?

http://adenca.over-blog.com/2016/05/yprema-veut-stocker-a-mitry-mory-des-machefers-de-l-usine-d-incineration-de-st-thibault-des-vignes-dans-quelles-conditions-quels-ris

 

L’entreprise Yprema qui a « bénéficé » de plusieurs  mises en demeure de la DRIEE 77 pour non respect de ses arrêtés préfectoraux annonce son implantation dans la zone industrielle de Mitry-Mory.

 

Pour mémoire :

- à Emerainville la mise en demeure portait notamment en 2013  sur la qualité des eaux pluviales rejetées qui dépassaient les normes autorisées par l’arrêté préfectoral.

 

- à Lagny sur Marne c’est une mise en demeure qu’à reçu cette entreprise en 2014 pour non respect de l’arrêté préfectoral concernant la fourniture des analyses des rejets des eaux à la préfecture et les conditions de stockage des mâchefers en bordure de Marne.

 En novembre 2015 Yprema ne respectant toujours pas certains articles de l’arrêté préfectoral,  un arrêté de sanction a été délivré par la préfecture.

 

 

L’implantation de cette entreprise

à Mitry-Mory

a-t-elle été autorisée par les services de l’ETAT ?

 

Nous n’en savons rien

 

 

Cette entreprise a-t-elle une station d’épuration privée pour gérer ses eaux industrielles ou bénéficie-t-elle d’une autorisation de la communauté d’agglomération Roissy Pays de France pour reverser ses eaux industrielles dans le centre d’épuration de Mitry-Mory ?

 

Nous n’en savons rien

 

 

Pour toutes informations complémentaires

contactez

la mairie de Mitry-Mory

 

 

 

Paru sur le site de l’ORDIF :

 

BTP : un nouveau centre dans le 77


YPREMA ouvre un site à Mitry-Mory destiné aux professionnels du BTP.

 

L’entreprise de traitement des matériaux de déconstruction dispose aujourd’hui de sept centrales de recyclage en Ile-de-France (Gennevilliers, Trappes, Massy, Bonneuil-sur-Marne, Emerainville, Lagny-sur-Marne) et en Bretagne (Pluguffan). Le 02 mai 2016, YPREMA ouvrira une nouvelle centrale de recyclage à Mitry-Mory, en Seine-et-Marne.

YPREMA fait le choix de se positionner au plus près des chantiers de ses clients et ouvre un nouveau site de production et de vente de matériaux recyclés à Mitry-Mory. Les professionnels du BTP auront ainsi un accès à l’ensemble des produits, à proximité de leurs chantiers de Seine-et-Marne et de Seine-Saint-Denis.

 

Le site de Mitry-Mory proposera :
• Le concassage des matériaux de déconstruction
 Le recyclage des mâchefers issus de l’usine d’incinération de St Thibault
• Le recyclage de terres inertes issues des chantiers de terrassements locaux
• L’espace artisan, la déchetterie professionnelle pour déposer tous types de déchets
• Sans oublier la fabrication des matériaux utilisés en remblais et en sous-couches des routes.

 

http://www.ordif.com/public/actualite/btp-un-nouveau-centre-dans-le-77.html?id=17407&rub=8986

 

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8 juillet 2016 5 08 /07 /juillet /2016 17:03

 

Le préfet de région Jean-François Carenço développe les projets pour le Grand Paris.

 

Ne cherchez pas : aucun projet emblématique n’est prévu dans le bassin versant Beuvronne, hormis l’extension  de l’aéroport de Roissy.

 

L’extension de Roissy ce sont des nuisances supplémentaires pour les riverains :

- accroissement du bruit

- risques d’accroissement de la pollution de la Beuvronne

- risques d’inondation

- risque de rupture du barrage des Renardières......

 

Quant aux ordures du Grand Paris Monsieur le Préfet de Région  évite de dire qu'il a déposé un recours contre le PREDEC afin de permettre l'installation de nouvelles décharges ISDI en Seine et Marne, même dans le bassin Beuvronne, secteur le plus impacté par les décharges ISDI

d'Ile de France, sinon de France.

 

 

Voir la liste des projets emblématiques du Grand Paris :

 

http://www.prefectures-regions.gouv.fr/ile-de-france/content/download/24003/166003/file/40%20projets%20GdP%20PHASE%202%20complet%20au%2015%20juin%202016-v2.pdf

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6 juillet 2016 3 06 /07 /juillet /2016 17:44

 

La commune de Mitry-Mory comptait déjà sur son territoire deux centrales à bitume, fait assez rare en France, le 1er juin dernier le préfet Jean-Luc Marx a autorisé l’implantation d’une 3ème centrale à bitume sur cette commune sans consulter  les élus, ni la police de l’eau… et sans enquête publique.

 

94 000 tonnes de bitume devraient être produites sur 6 mois.

 

Le site se trouve à proximité du bassin des Renardières et est destiné au goudronnage des infrastructures de l’aéroport de Roissy.

 

Pour mémoire les eaux du bassin des Renardières se rejettent dans la Reneuse, affluent de la Beuvronne.

 

 

Le 14 juin dernier le préfet Jean-Luc Marx  donne une autre autorisation de centrale à bitume dans le sud de la Seine et Marne à Chaintreaux près de Fontainebleau.

 

Production : 50 000 tonnes de bitume autorisées à l’année.

 

 

Ironie du sort le préfet  autorise  l’industriel Colas à renvoyer plus de polluant vers la Beuvronne (le double) que son homologue APRR vers la rivière de Chaintreaux.

 

Les eaux pluviales pourront  rejoindre le milieu naturel si elles ne dépassent pas 

les valeurs maximales de concentration suivantes :

 

 

Paramètres

Concentration moyenne journalière autorisée (mg/l)

Chaintreaux

Concentration moyenne journalière autorisée (mg/l)

Mitry-Mory (vers la Beuvronne)

MES

50

100

DCO

150

300

DBO5

50

100

Hydrocarbures Totaux

5

10

 

 

Quant à la pollution atmosphérique aux hydrocarbures aromatiques polycliniques, le préfet n’impose rien  à l’entreprise Colas à Mitry-Mory alors qu’il impose  une valeur de concentration maximale dans l’air à l’industriel APRR à Chaintreaux.

 

 

La santé

des  19 000 habitants de Mitry-Mory

aurait-elle moins de valeur

aux yeux de

 l’ETAT

que celle

des 783 habitants de Chaintreaux ?

 

 

La qualité des eaux de la Beuvronne

aurait-elle moins de valeur

 aux yeux de l’ETAT

que celle de la rivière

qui coule à Chaintreaux ?

 

 

A vous de juger

 

 

 

 

Paru  sur le site l’Express :

Pollution de l'air: faut-il lever le voile?

Par Franck Laval et William Grandordy, membre de la coordination nationale d'information et de défense sur la pollution par les centrales d'enrobés routiers, publié le 04/06/2014 à 15:33

 

 

Au moment où cancers et épidémies modernes touchent l'ensemble de la population, les unes des journaux alertent sur la dégradation de la qualité de l'air. Coïncidence ou résultat attendu? 

Les risques pour notre santé liés à la qualité de l'air que nous respirons chaque jour s'accroissent constamment et nos dépenses de santé vont de même.Tout aurait déjà dû s'améliorer au regard des directives et autres textes législatifs nationaux votés pour réduire les pesticides, les émissions de particules diesel, la pollution carbonée issue de feux de bois, sans oublier les émissions industrielles. 

Rappelons-nous, en janvier 2014, les médias ont relayé l'alerte aux particules pendant une semaine. Nous étions prêts à croire que nos dirigeants rentreraient dans le vif du sujet pour endiguer cette descente aux enfers. Qui le pense encore vraiment? Sans doute ont-ils encore besoin d'un peu plus de temps pour lancer le prochain PNSE "trois" du nom, ce fameux Plan National Santé Environnement qui monopolise éternellement les ressources des ministères et qui écope périodiquement d'un bulletin de notes peu reluisant en opposition aux discours de départ. 

Quelles sont les causes de la dégradation de la qualité de l'air?

En attendant, écoutons autour de nous. Ça tousse, ça siffle, ça s'essouffle et quand on n'entend rien, c'est bien là le plus inquiétant. Alors nul n'est dupe et les familles déjà touchées par l'impact sanitaire peuvent se poser les questions bien légitimes: Quelles sont les causes de cette dégradation de la qualité de l'air dont nous soignons aveuglément les conséquences? 

Un état des lieux est donc inévitable. Un vrai, qui coupera ce brouillard au couteau, qui fera parler les concernés, qui ne butera pas sur des conflits d'intérêts ou ne parlera pas la langue de bois. Si on est dans un foutu brouillard, au moins qu'on sache où et comment.Mais qui va devoir faire le premier pas et organiser une approche fine de l'ensemble des causes présumées coupables ? Sans quoi l'enquête continuera à piétiner comme cela semble l'être aujourd'hui. 

 

Protection de la santé

La protection de la santé de la population passera à l'avenir par le travail des associations. Le 27 mai dernier, le Sénat a voté une proposition visant à modifier la teneur du principe de précaution. Si cette proposition est acceptée, elle marquera un net recul des alertes que produisent les associations de défense de l'environnement et les scientifiques indépendants. L'ultime rempart contre l'empoisonnement de notre air pourrait donc voler silencieusement en éclats dans l'actuel bruit médiatique. 

Prenons l'exemple du bitume. Qui aurait cru qu'il serait un jour au banc des accusés de la pollution de l'air ? Pourtant des dizaines de collectifs français interpellent depuis des années les Maires et les Préfets qui appliquent à la lettre la législation relative aux usines de bitume mais sans toutefois disposer d'informations scientifiques sérieuses. La formidable caution que nous lui apportons au travers de nos déplacements, des chantiers routiers et jusque dans nos cours d'école, place son procédé de fabrication au-dessus de tout soupçon. En décidant d'en connaître les conséquences sur la santé, les associations et collectifs de riverains ont sans doute identifié un segment aggravant de la pollution de l'air qui s'est installé insidieusement - sous les yeux des français - comme l'a été l'amiante en son temps.Soudainement, une question se pose : quels enjeux font donc baisser les yeux, les bras de tant d'élus et de responsables de la santé publique? 

Des sources de pollution multiples

 

Bien entendu les sources de pollution de l'air sont multiples, mais les risques pour la santé publique générés par les fumées ont déjà éveillé de réels soupçons."Les fumées de bitumes renferment 10 000 substances environ et les effets de ces cocktails, pour la plupart encore mal connus, ne sont pas négligeables" précise l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) dans son rapport de septembre 2013. 

Il faut remonter à la catastrophe écologique maritime de l'Erika pour donner le coup d'envoi du travail de scientifiques qui ont permis d'identifier les dangers de l'exposition aux hydrocarbures polycycliques aromatiques (HAP) et hydrocarbures hétérocycliques (HHP) de bitume pour l'homme et son environnement. Aujourd'hui, quinze ans plus tard, la modification de l'ADN en présence de HAP n'est plus à démontrer. Le temps est venu de s'en protéger. 

L'enquête "fumées de bitume et santé" : une piste concrète C'est lors de la fabrication de matériaux enrobés, en mélangeant à haute température du bitume chargé d'HAP et HHP avec du granulat, des anciens revêtements routiers et diverses charges comportant d'autres substances chimiques, que se produisent des fumées chargées de cocktails gazeux. La fumée bleue sortant des cheminées d'usines est parfois voilée par l'injection de parfums "masqueurs d'odeurs" pour permettre aux industriels de contourner la législation sur les nuisances olfactives, augmentant ainsi les risques d'absorptions d'interactions chimiques dénoncés par un corpus scientifique compétent et de plus en plus affirmatif. 

 

Ils osent lever le voile

 

Les mécanismes agissant sur la santé sont en cours d'interprétation mais participent actuellement aux développements des maladies dites "CMR" cancérogène-mutagène-reprotoxiques) c'est à dire développements de cancers, leucémies, infertilités, modifications irréversibles du génome, déficiences cardio-vasculaires, déficiences du système immunitaire, asthmes, allergies et autres maladies pandémiques de notre temps. 

Intérêts industriels et intérêts pour la santé : tel est le sujet sur lequel travaille depuis bientôt dix ans la coordination nationale d'information et de défense sur la pollution par les centrales d'enrobés routiers.C'est pour comprendre le segment spécifique des "fumées de bitume" que le réseau de collectifs indépendants organise pour la première fois la conférence "Bitume, Fumées et Santé" ce 7 juin au cloître des Récollets à Metz. 

 

Les premières applications de goudron sur nos routes remontent à 1907 date à laquelle le premier cours de "Goudronnage et pétrolage de chaussées" a lieu en France et ce sera cent ans plus tard que la population alertée décidera de créer une coordination de collectifs pour enfin trouver les solutions concrètes respectant les intérêts de chacun en termes de santé publique et d'industrie routière. 

Un vent de conciliation soufflera-t-il enfin? 

 

 

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/environnement/pollution-de-l-air-faut-il-lever-le-voile_1548707.html

 

 

 

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5 juillet 2016 2 05 /07 /juillet /2016 18:41
La Communauté Marne et Gondoire a refusé  en 2014 l’implantation d’une décharge de gravats BTP sur son territoire  à Jossigny, mais quand il s’agit  d’envoyer ses gravats chez les autres Marne et Gondoire  ne semble pas gênée et elle est bien muette sur le lieu de leur destination.
Où iront les gravats de démolition
de l’hôpital
de Lagny sur Marne ?
Dans la décharge
- près de l’école maternelle de Fresnes sur Marne ?
- près de l’école primaire d’Isles les Villenoy ?
- près du lotissement de Crégy les Meaux ?
- près du captage d’eau d’Annet sur Marne ?

 

 

Comment

seront triés

les déchets radioactifs

où iront-ils ?

 

voir ce qu'en dit l'Agence de Sureté Nucléaire :

Les déchets radioactifs proviennent pour l'essentiel de l'industrie nucléaire. Pour le reste, ils sont issus de l'utilisation d'éléments radioactifs dans les hôpitaux, les universités, certaines industries non nucléaires, et des activités liées à la défense. Chaque type de déchets nécessite un traitement et une solution de gestion à long terme adaptés afin de maîtriser les risques présentés, notamment le risque radiologique."
Pour plus d'informations contactez :
Jean-Paul MICHEL
président de la communauté de Marne et Gondoire
Paru dans le journal la Marne :
Lagny-sur-Marne[ En photos ] Les premières images du chantier de l'ancien hôpital

Pour la première fois, nous avons pu pénétrer dans l'enceinte de l'ancien hôpital de Lagny, en chantier depuis quelques semaines.

28/06/2016 à 16:08 par Florence Mallégol

Démolition de l'hôpital de Lagny : où iront les ordures et comment seront triés les déchets radioactifs ?

 

Les travaux dans l'ancien hôpital ont débuté.

 

 

Tous les habitants de Lagny-sur-Marne et du secteur gardent un souvenir de l’ancien hôpital. Une tante y travaillait. Un proche y est né….

Depuis plusieurs semaines, les ouvriers ont pris possession des lieux. L’ancien hôpital sera transformé en un nouveau quartier : le quartier Saint-Jean. Il sera composé de 850 logements, de parkings, d’un pôle santé, d’un EHPAD.

Avant que ces logements ne soient construits, une longue période de démolition doit avoir lieu. Le premier bâtiment, une aile du service psychiatrie, a été détruit jeudi 16 juin.

Pour la première fois, nous avons pu pénétrer dans le site en travaux. Voici à quoi ressemble l’ancien hôpital aujourd’hui.

 

http://www.journallamarne.fr/2016/06/30/en-photos-les-premieres-images-du-chantier-de-l-ancien-hopital/

 

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4 juillet 2016 1 04 /07 /juillet /2016 21:07
Alors que 150 000 véhicules circulent journellement entre Collégien et Mitry-Mory aucuns points de contrôles fixes de la qualité de l’air n’ont jamais été implantés sur cette portion de route.
Pourquoi ?
Nous n’en savons rien
Ce que nous savons c’est que l’ETAT depuis des décennies a autorisé au nord-ouest 77 l’implantation du plus important aéroport de France, du plus important nombre de décharges de France, de carrières remblayées par des déchets, de 10  sites Seveso....
Les riverains de ce secteur
une population considérée
comme
d’aucun intérêt ?
A vous de juger
Paru dans le Parisien 77 :
Collégien-Mitry-Mory : dès ce lundi, la vitesse baisse de 20 km/h sur la A104

|03 juillet 2016, 19h56|

 

Vaires-sur-Marne, le 17 juin. La vitesse sur cette portion de l’A104, entre Collégien et Mitry-Mory, passe de 110 km/h à 90 km/h à partir de ce lundi. (LP/Gilles Cordillot.)

 

Conducteurs franciliens, pensez à surveiller votre compteur et à lever le pied. A partir de ce lundi, la vitesse va baisser de 20 km/h sur plusieurs portions de nationales et d’autoroutes, empruntées quotidiennement par près de 400 000 véhicules (voir infographie). En Seine-et-Marne, c’est le tronçon de l’A 104 reliant l’A 4 à la Nationale 2 qui passe de 110 km/h à 90 km/h sur les 19 km qui séparent Collégien au sud de Mitry-Mory au nord. Un secteur fréquenté chaque jour par 150 000 véhicules.

 

L’objectif affiché de cette mesure décidée par Manuel Valls est simple : réduire les embouteillages, le bruit et la pollution dans les zones concernées. Rien que sur la portion Seine-et-Marnaise, il y a eu 43 accidents corporels entre 2011 et 2015, provoquant 4 morts et 59 blessés.

 

« Pendant un an, nous observerons les effets de cette mesure et dresserons un bilan », indiquait dans nos colonnes Eric Tanays, le directeur des routes d’Ile-de-France, qui expliquait que le choix des secteurs avait été réalisé en concertation avec les élus locaux et les associations de riverains. Les automobilistes qui empruntent qui circulent régulièrement sur l’A104 sont circonspects, mettant plutôt en cause le rôle des camions dans l’accidentologie sur cette autoroute, très fréquentée par les poids-lourds. Enfin, précisons qu’aucun radar fixe supplémentaire ne sera installé sur les axes visés par cette réduction de vitesse de 20 km/h.

 

 

leparisien.fr

http://www.leparisien.fr/mitry-mory-77290/collegien-mitry-mory-des-ce-lundi-la-vitesse-baisse-de-20-km-h-sur-la-a104-03-07-2016-5936763.php

 

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4 juillet 2016 1 04 /07 /juillet /2016 16:06

 

Dans un article intitulé « AIRPARIF en difficulté » écrit par le fédération d’Ile de France FNE IDF nous apprenons  que TOTAL s’est éclipsé.

 

 

Vous avez bien lu

TOTAL

ne finance plus AIRPARIF.

 

 

 

AIRPARIF

 un organisme qui gêne la multinationale ?

 

 

En 2014 la raffinerie TOTAL de Grandpuits était  pour l’Ile de France (1) :

- 1er émetteur de COVNM dans l’air

- 1er émetteur de Benzène dans l’air

- 2ème émetteur d’Oxyde d’Azote NO2 dans l’air

- 2ème émetteur d’Oxyde de soufre dans l’air SO2 ( 1er en Seine et Marne)

- 4ème émetteur de Protoxyde d’Azote dans l’air

 

En 2013 la raffinerie TOTAL de Grandpuits était  pour l’Ile de France (1) :

- 2ème émetteur de CO2 dans l’air.

 

 

 

(1) site IREP

 

 

 

Paru sur le site FNE IDF :

 Publication : 23 novembre 2015

 

Airparif en difficulté : le point de vue de Yorghos REMVIKOS, chargé de mission santé et environnement FNE Ile-de-France

 

Qualité de l’air : La surveillance en péril ou quand le massacre va-t-il s’arrêter ?

 

En plus de 5 ans de participation au CA, puis au bureau d’Airparif, je peux témoigner que le sujet de la pérennité du financement n’a cessé de revenir, réunion après réunion. Chaque exercice budgétaire a nécessité une montée au créneau de notre part (nous n’étions fort heureusement pas les seuls), pour alerter sur la contradiction entre des priorités politiques affichées et la pression sur le budget d’Airparif, dont l’expertise bénéficie d’une reconnaissance internationale.

Les discordances trouvent leur origine sur la superposition de textes législatifs incohérents et sur la pression exercée sur les collectivités qui voient leur dotation réduite. Ainsi, usant de ce prétexte, le département des Hauts de Seine s’est retiré, laissant un premier trou de 120 000€ sur le budget de fonctionnement. Le Val d’Oise est resté fidèle, mais a réduit sa participation de 2/3.

 

Plus récemment, le conseil départemental de Seine et Marne a annoncé son retrait (pas de cotisation pour 2015) et celui des Yvelines suivra à partir de janvier 2016. D’autres membres comme TOTAL se sont également éclipsés, créant un trou que les économies déjà poussées à l’extrême par Airparif ne pourraient plus combler.


Les efforts du groupe des industriels, autour d’Airparif, qui ont réussi à récolter plus de TGAP, malgré la réduction continue des émissions industrielles, n’apportera qu’un bol d’air éphémère. Pendant ce temps, les transports routiers sont toujours exonérés de toute contribution.

 

Notons enfin, le fâcheux épisode concernant le budget de fonctionnement de 2015, pour lequel la réduction de la dotation par le Ministère en charge de l’Ecologie (qui a particulièrement frappé Airparif, par rapport à la moyenne nationale), n’a été compensé in extremis, que grâce à l’intervention de la DRIEE, par la fongibilité avec les investissements. Soyons clairs, ces quelques 100 000€ injectés dans le fonctionnement, étaient retirés du budget investissement. A terme et si une autre garantie de pérennisation du budget n’est apportée, la qualité du système de surveillance en sera irrémédiablement affectée.

 

Allons-nous rester passifs devant cette dégradation, pendant que des épisodes de pollution marquants continuent à frapper l’Ile-de-France ? Le retrait des départements, dont la contribution à la surveillance est bien inscrite dans la LAURE1 - mais qui s’en souvient - va-t-elle continuer ? La redistribution des compétences avec la réforme territoriale offre un très bon prétexte pour réaliser des économies sur le dos du thermomètre, mais c’est bien la santé des franciliens qui est en cause et, en tant que représentants de la société civile, nous ne pouvons accepter que la surveillance de la qualité de l’air soit sacrifiée dans de simples calculs politiques.

 

Yorghos Remvikos, chargé de mission santé et environnement de FNE IdF, administrateur et membre du bureau d’Airparif

 

1.Loi sur l’Air et l’Utilisation Rationnelle de l’Energie

 

2. Faits générateurs : [123] Le fait générateur de la TGAP est l’émission de la substance taxable dans l’atmosphère par une installation assujettie. L’exigibilité de la taxe est concomitante au fait générateur. Le fait générateur de la taxe est constitué par l'émission dans l'atmosphère :

1- d’oxydes de soufre et autres composés soufrés ;

2- de protoxyde d’azote ;

 3- d'oxydes d'azote et autres composés oxygénés de l'azote, à l’exception du protoxyde d’azote ; 4 - d'acide chlorhydrique ;

 5- d'hydrocarbures non méthaniques, sovants et autres composés organiques volatils ;

 6- de poussières totales en suspension (PTS),

7- d'arsenic ;

8- de sélénium ;

9- de mercure ; 10- de benzène ;

11- d'hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) ;

12-de plomb ;

13-de zinc ;

14-de chrome ;

15-de cuivre ;

16-de nickel ;

17-de cadmium ;

 18-et de vanadium

 

p122 http://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2015/04/cir_39446.pdf

 

http://fne-idf.fr/2-non-categorise/675-airparif-en-difficulte-le-point-de-vue-de-yorghos-remvikos-charge-de-mission-sante-et-environnement-fne-idf

 

http://www.airparif.asso.fr/_pdf/liste-industriels-airasif.pdf

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3 juillet 2016 7 03 /07 /juillet /2016 14:59

 

 

 

Lors de la fermeture du CEA de Courtry/Vaujours c’est la Sté Navarra frères qui a été chargée du déminage, désobusage du site ou « dépollution pyrotechnique » pour employer les mots utilisés par l’élite.

 

La Sté Navarra frères est une filiale du groupe GTM et Vinci.

C’est en 1891 qu’est créée la Sté des Grands Travaux de Marseille GTM, par les milieux d’affaires marseillais, pour construire un réseau moderne d’égouts à Marseille.

En 1998 le groupe GTM rachètera la Sté Navarra frères (1) spécialisée dans la dépollution pyrotechnique (Sté créée en 1976)

En 2000 Vinci fusionne avec GTM.

 

 

A la lecture du rapport d’activité de juillet 1998 de Navarra Frères, on apprend que le déminage a été réalisé  seulement à une profondeur de 50 cm.

 

Il a été découvert :

- près de 90 obus dont 51 obus actifs

- 1 bombe papillon

- des grenades

- des fusées

- des détonateurs

- empennages de bombes

….

Les destructions des munitions ont eu lieu sur le site du Fort de Vaujours, dans la batterie nord, le 29 juillet 1998.

 

 

 

Dans le but d’exploiter une carrière de gypse à ciel ouvert, Placoplatre, présente depuis 2015 lors des CSS quelques informations concernant les opérations de déminage effectuées sur le site, informations difficiles à décrypter, très embrouillées.

De ce qui ressort de ces informations, il semblerait que Placoplatre est déminé une partie du site à  un mètre et parfois à 2 mètres de profondeur…..

 

 Lors de la dernière commission de suivi de site, Placoplatre a indiqué  avoir détruit des munitions à plusieurs reprises le 16/12/2015, le 4/2/2016 et le 9/6/2016 :

- près de 90 obus explosifs

- des fusées d’obus

- des grenades

 

 

 

Combien de munitions

dorment encore

dans les entrailles du Fort de Vaujours ?

 

Personne ne peut le dire

 

 

 

 

L’ETAT dit :

Que le gypse est une ressource d’intérêt  national et européen

 

 

L’ETAT ne dit pas :

De quel intérêt

est

 la vie des ouvriers

qui devront extraire le gypse sur ce site dangereux  ?

 

 

 

Plutôt que de faire prendre des risques

à ces ouvriers

ne pourrait-on pas plutôt les employer

 à  recycler le plâtre

que l’on déverse

par milliers de tonnes

dans la décharge de Claye-Souilly ?

 

 

A vous de juger

 

 

 

 


 

 

(1) http://www.navarrats.fr/france/navarra-ts.nsf/web/historique.htm

 

 

 

 

 

 

 

 

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3 juillet 2016 7 03 /07 /juillet /2016 14:26
Les rhododendrons dans la forêt de Montgé en Goële

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Forêt de Montgé en Goële

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2 juillet 2016 6 02 /07 /juillet /2016 17:44
Fresnes-sur-Marne : une bombe de la Seconde Guerre mondiale suspend le trafic

|02 juillet 2016, 11h04|0

 

 

 

L’histoire nous rattrappe quelquefois. Vendredi, vers 15 h 20, une bombe datant de la Seconde gurerre mondiale a été retrouvée dans un site de traitements de gravats à Fresnes-sur-Marne, transportée par un camion-benne en provenance de Brou-sur-Chantereine. L’engin d’origine anglaise pesait 250 kilos. Les démineurs dépêchés sur place n’ont pu réussir à la désamorcer. Ils ont dû faire exploser cette bombe vers minuit. Une intervention qui a eu des conséquences pour les automobilistes circulant dans le secteur car la RN3 a été coupée de 21 h 45 à une heure du matin. Même chose pour la ligne LGV, interrompue durant cette même période.

 

 

http://www.leparisien.fr/fresnes-sur-marne-77410/fresnes-sur-marne-une-bombe-de-la-seconde-guerre-mondiale-suspend-le-trafic-02-07-2016-5934261.php

 

 

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