Les associations environnementales avaient alertées la préfecture des désordres hydrologiques créés par l’implantation de cette décharge au bord d’un affluent de la Beuvronne, mais le préfet avait refusé leur recours et autorisé l’implantation de cette décharge en 2008
Ironie du sort 5 ans plus tard en 2013 la nouvelle préfète avait même autorisé l’extension de 98 hectares de cette décharge.
Aujourd’hui les eaux de ruissellements en provenance des champs stagnent sur la route, face au monstrueux tas d’ordures, faute de pouvoir s’écouler vers la Beuvronne, privant les populations d’un accès routier.
L’intérêt du lobby industriel
privilégié par l’Etat
plutôt que l’intérêt général ?
A vous de juger