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11 février 2025 2 11 /02 /février /2025 18:01

 

Nombreux sont ceux qui, depuis de nombreuses années ont eu le plaisir de visiter les usines élévatoires du canal de l’Ourcq de Trilbardou et Congis sur Thérouanne avec Jean-Louis Duffet, érudit, professeur d’histoire retraité ou l’un des bénévoles de l’association Au Fil de l’Ourcq, une association qui au long des années a fait un travail remarquable sur l’historique du Canal de l’Ourcq et risque de disparaître.https://aufildelourcq.org/

 

Difficile de comprendre pourquoi aujourd’hui La Mairie de Paris lui demande de déménager des locaux qu’elle utilisait depuis de nombreuses années, d’autant plus que pour l’instant il n’y aura plus de visites.

 

 

Pour toutes informations complémentaires

nous vous conseillons de contacter 

le service des canaux de la ville de Paris

qui est en charge de ce dossier

 

 

https://www.paris.fr/lieux/service-des-canaux-18223

 

 

Paru dans le journal La Marne

Seine-et-Marne : pourquoi la mairie de Paris suspend les visites des usines élévatoires ?

Depuis le 1er janvier 2025, la mairie de Paris a suspendu les visites des usines élévatoires de Trilbardou et Villers-lès-Rigault (Seine-et-Marne), sur le canal de l'Ourcq.

Pourquoi la Mairie de Paris oblige l’association Au Fil de l’Ourcq à libérer les locaux de ses usines élévatoires du canal de l’Ourcq ?

L’usine de Trilbardou, propriétaire de la Ville de Paris, ainsi que celle de Villers-lès-Rigault sont fermées jusqu’à nouvel ordre au public. ©Archives/Camille Chatillon

Par Laura BourvenPublié le 10 févr. 2025 à 18h10

Vous comptiez visiter l’usine élévatoire de Trilbardou ou de Villers-lès-Rigault (Congis-sur-Thérouanne) en ce début d’année ? Il va encore falloir patienter. En effet, depuis le 1er janvier 2025, la mairie de Parispropriétaire du canal de l’Ourcq et des usines élévatoires du territoire a suspendu les visites et ce, jusqu’à nouvel ordre.

C’est avec stupeur qu’Au Fil de l’Ourcq, association locale en charge des visites dans les usines élévatoires de Seine-et-Marne, l’a appris en début d’année. « On a envoyé notre calendrier avec les réservations de dates pour fixer les visites » se souvient le président Jean-Louis Duffet.

 

« Ça choque quand on se dévoue »

La raison : la convention d’occupation s’arrêtait au 31 décembre. « Plusieurs fois, nous avons relancé les services de la Ville de Paris l’année dernière pour parler de la suite. On n’a jamais été reçu. On a été surpris au 1er janvier car on n’a jamais eu de relances », poursuit Jean-Louis Duffet.

Du jour au lendemain, l’association a donc dû faire ses bagages et trouver un nouveau lieu pour se réunir. « On avait une réunion de prévue en février, j’ai demandé si on pouvait quand même rester à l’usine de façon exceptionnelle. On me l’a refusé. On a payé l’assurance, préparé l’avenir… Ça choque quand on se dévoue » souffle le président.

Un appel d’offres bientôt lancé ?

La mairie de Paris devrait prochainement lancer un appel d’offres pour élaborer une nouvelle convention d’occupation avec une association qui pourrait reprendre les visites des usines élévatoires de Trilbardou et Villers-lès-Rigault. « Les résultats prennent un certain temps, d’autant plus que l’appel n’est toujours pas lancé. Et on n’a pas de date à ce sujet. On va bien sûr candidater, mais si ce n’est pas nous, qui va prendre notre place ? Est-ce qu’il y aura une transition ? » s’interroge le président d’Au Fil de l’Ourcq qui concède toutefois avoir été « un peu faible dans le développement de projets » autour de ce patrimoine.

En attendant, l’association continue ses activités parallèles aux visites de l’usine élévatoire et poursuit la rédaction de son ouvrage sur le tourisme autour de l’Ourcq. « Nous ne sommes pas simplement des guides ! »

Interrogée, la mairie de Paris n’a pas répondu à nos sollicitations.

http://actu.fr/ile-de-france/trilbardou_77474/seine-et-marne-pourquoi-la-mairie-de-paris-suspend-les-visites-des-usines-elevatoires_62235012.html

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4 novembre 2024 1 04 /11 /novembre /2024 17:55
Château de St Thibault Montgé en Goële

Château de St Thibault Montgé en Goële

Le baron André Eichthal achètera au début du 20ème siècle le château de St Thibault (disparu vers 1970), avec parc à l’anglaise, plantés de rhododendrons  et de nombreuses essences d’arbres, la propriété possédait également une chapelle où se trouvait le statue funéraire de Jean de Chabannes,comte de Dammartin.Une ferme avec ses dépendances faisait également partie du domaine, le tout situé au milieu de la forêt régionale de Montgé en Goële.

 

Son épouse y fera réaliser une allée cavalière, plantée de 252 platanes , une allée conservée encore aujourd’hui en partie.

Nord-ouest 77 Forêt régionale de Montgé en Goële :un banquier d’origine allemande la protégea, un industriel allemand voudrait la détruire

 

Le Baron était issu d’une dynastie de banquiers allemands, d’origine juive, anoblie par le roi Maximilien de Bavière.

Il était né au Château de Plaines à Pradines (Loire) le 30/3/1873.

Il est le fils d’Adolphe Eichthal et Agathe Tessier.

 

Il avait pour grand Père Adolphe Eichthal (1805-1895)

Député de la Sarthe de 1846 à 1848

Gérant de la Banque de France 1839 à 1848

Directeur de la Caisse d’Epargne de Paris

Commandeur de la Légion d’Honneur.

 

Il épousera le 21/10/1896 à Nîmes Madeleine Martin, fille de Louis, Simon MARTIN, négociant et de Marie Teissonnière, dont le grand-père Scipion Teissonnière avait été président de la cour d’appel de Nîmes.

 

2 enfants Jacqueline et Bertrand naîtront de cette union.

 

Il était  Licencié en droit et sera :

- maire de Montgé en Goële de 1919 à 1929

- délégué cantonal de Dammartin en Goële

- vice président de la Caisse d’Epargne de Paris

- délégué de la Sté de Secours aux blessés militaires pendant toute la guerre

- administrateur de l’office public des habitations à bon marché de la Seine

- vice  président du secours d’urgence

- fondateur de l’association du village reconstitué pour l’assistance aux habitants des régions sinistrés.

 

  Il décédera le 3/2/1948.(1)

 

 

Forêt régionale de Montgé en Goële

un banquier d’origine allemande

la protégea

 un industriel allemand

voudrait la détruire !

 

 

Aujourd’hui c’est l’industriel allemand Knauf qui est venu s’implanter à St Soupplets en 1990 qui voudrait détruire cette magnifique forêt pour y exploiter une carrière de gypse à ciel ouvert qui devrait être remblayée par des déchets.

 

 

 

(1)Sources :

Bibliothèque Gallica :Bulletin des études littéraires et scientifiques du Lot 1955 : le sépulcre de l’ancien prieuré de Montgé.

Geneanet  site Pierfit

Archives municipales de NÎmes

Base Léonore http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/leonore_fr?ACTION=RETOUR

http://fr.topic-topos.com/allee-des-platanes-montge-en-goele

http://www.77couleurjardin.com/pages/jardins-par-secteur/secteur-nord/montge-en-goele-domaine-de-saint-thibault.html#R5F75D6tQAmQvSII.99

 

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25 octobre 2024 5 25 /10 /octobre /2024 14:59
Histoire de la forêt de Montgé en Goële

 

Montgé-en Goële, charmant village de 700 âmes, occupé en majorité par la forêt et les espaces agricoles.

 

La forêt régionale de Montgé-en-Goële s’étend sur 960 hectares, pour majorité situés sur cette commune, la région IDF est propriétaire de 358 hectares à Montgé-en-Goële.

 

Une forêt plantée d’arbres remarquables, un boisement important de châtaigniers, des chênes, des frênes, des marronniers,  des charmes, des tulipiers de Virginie et une magnifique allée plantée de platanes (c’est la baronne d’Eichthal qui avait fait planter 252 platanes  au début du 20ème siècle).

On y trouve également de l’ail sauvage, du muguet, des jacinthes sauvages, des iris, des buissons de rhododendrons…..

 

Cette butte est un réservoir hydrologique, ses sources alimentent plusieurs rivières  la Beuvronne, La Thérouanne, La Nonette qui baigne le château de Chantilly.

 

Au 12ème siècle un prieuré s’y implanta, qui aurait été fondé par Thibault, comte de Champagne et Roi de Navarre, qui sera  donné  aux chanoines réguliers du St Sépulcre d’Allemagne,  dépendant de la congrégation bénédictine  fondée en 1105 par Bernard d'Abbeville, abbé de Saint Cyprien de Poitiers (abbaye dépendant de la Chaise-Dieu).

 

Ce prieuré comprenait une chapelle et une ferme.

 

Au 16ème siècle le prieuré aurait été dévasté en partie par les protestants, des religieuses s’y installèrent ensuite.

 

Au 18ème siècle les religieux n’occupent plus les lieux et les locaux sont loués à un particulier jusque vers 1792 où les biens furent vendus aux enchères publiques, suite à la dissolution de toutes les communautés religieuses par l’Assemblée législative.

 

Le prieuré devenu une propriété particulière passa entre les mains de divers propriétaires, à  M. Paultre de la Motte, puis au général de Montigny Turpin qui le transforma en rendez-vous de chasse et restaurera la chapelle.

 

C’est M. Marouzi qui y construisit vers  1840 le château de St Thibault, qui fut vendu à plusieurs reprises, en 1852 à M. de Thurneyssen, puis quelques années plus tard à M. Lainé qui fit terminer le château et le meubla, agrandit la ferme et les dépendances.

 

Il fit reconstruire la chapelle fit remettre le monument funéraire de Jean de Chabannes, comte de Dammartin, accompagné d'une mise au tombeau du Christ, sculpté vers le 16ème siècle.. (aujourd’hui au château de Bourdeilles en Dordogne)

 

Pendant quelques années cette chapelle redevint un lieu de pèlerinage, jusqu’à ce que M.Perret, nouveau propriétaire en interdise l’entrée au public.

 

Au début du 20ème le banquier d’origine allemande, le baron André d’Eitchthal, achète la propriété, son épouse y fera planter une allée cavalière de 252 platanes.

Le baron d’Eitchthal sera maire de Montgé en Goële entre 1919 et 1929.

 

Le château disparaîtra dans les années 1970.

 

Sources :

- Site de l’AEV

http://www.aev-iledefrance.fr/loisirs-nature/nos-parcours-en-foret/parcours-la-promenade-du-bois-montge

- Bibliothèque Gallica :

Bulletin des études littéraires et scientifiques du Lot  octobre/décembre 1955 (imprimerie coueslant1955) : le sépulcre de l’ancien prieuré de Montgé.

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k97706364.r=s%C3%A9pulcre%20montg%C3%A9%20en%20go%C3%ABle?rk=21459;2

 - Geneanet : Site Pierfit

- Archives municipales de Nîmes : Etat civil

- Base Léonore

http://www.culture.gouv.fr/LH/LH340/PG/FRDAFAN84_O19800035v2660478.htm

- Couleur Jardin http://www.77couleurjardin.com/pages/jardins-par-secteur/secteur-nord/montge-en-goele-domaine-de-saint-thibault.html#R5F75D6tQAmQvSII.99

- AD 77 :

Monographie de l’instituteur Baudequin 14/12/1888 (30Z272)

http://archives.archinoe.com/cg77/index.php/docnumViewer/calculHierarchieDocNum/153084/621:812184:153084/864/1152

- Wikipedia :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Montg%C3%A9-en-Go%C3%ABle

- Le patrimoine des communes de la Seine et Marne Flohic Editions

 

 

 

Histoire de la forêt de Montgé en Goële
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2 avril 2024 2 02 /04 /avril /2024 13:58
Le Cercle de Généalogie de la Brie a édité un numéro exceptionnel :  « Sportifs Olympiques nés en Seine-et-Marne »   

Le Cercle de Généalogie de la Brie a édité un numéro exceptionnel :

« Sportifs Olympiques nés en Seine-et-Marne »

 

Vous pouvez vous procurer ce numéro au 5 cour de l’Abbaye à Lagny sur Marne

Pour connaître les horaires d’ouverture téléphonez au 01 64 12 29 29

Sinon vous pouvez vous le faire expédier par courrier.

https://www.cgbrie.org/

 

Sont cités dans ce numéro 2 sportifs nés à Claye-Souilly, des tireurs à l’arc :

 

Charles Gustave Cabaret, brossier puis fabricant d’arcs (JO de Londres 1908)

Il remporte une médaille de bronze

 

-  François, Arthur Mabillon , bûcheron, (JO d’Anvers 1920)

Il remporte 2 médailles d’argent au tir au Beursault à 33 mètres et 50 mètres et une médaille de bronze au 28 mètres.

 

 

Sont cités d’autres athlètes nés à Meaux, Melun, Montereau-Fault-Yonne, Ferrière-en-Brie, Fouju, Fontainebleau, Thorigny-sur-Marne, Chevrainvilliers, ST Fargeau, Congis-sur-Thérouanne, Coulommiers, Lagny-sur-Marne, Esbly, Moret sur Loing, Villeparisis, Tournan-en-Brie, Champagne-sur-Seine.

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3 janvier 2023 2 03 /01 /janvier /2023 15:05

 

Paru sur le site Claye-Souilly Découverte :

 

«  Quand Paris s’empara des cours d’eau de Champagne »

Auguste MATHIEU

Histoire de l'Aqueduc de la Dhuis : « Quand Paris s’empara des cours d’eau de Champagne »

 

Née le 24/11/1814 à Avize (Marne)

 

Fils d’Auguste François Médard MATHIEU, Bouilleur d’eau de vie, et de Marie Jeanne PLOIX.

 

Il épouse le 17/2/1845 à Paris 2ème Jeanne, Antoinette José LACOSTE (1820-1903)

Dont il aura 3 enfants :

- Claude, Joseph, Albert né à Paris en 1846 qui sera Avocat à la Cour d’Appel de Paris

- Emmanuel né à Paris en 1852 qui sera Avocat attaché au ministère des Affaires Etrangères

- Louis Maxime né en 1856 à Paris qui sera Avocat à la Cour d’Appel de Paris.

 

Il avait fait ses études à Epernay et son droit à Paris, puis se perfectionna dans la jurisprudence et la procédure chez un avoué d'Epernay.

 

Il sera  inscrit au barreau de Paris en 1837

Avocat à la Cour d’Appel de Paris

 

Officier de la Légion d’Honneur 14/8/1866

Grande Croix d’Isabelle la Catholique

 

Candidat républicain en Seine-et-Marne (avril 1848), lors des élections à l'Assemblée constituante, il ne fut pas élu.

 Député de Corrèze Majorité dynastique 31/05/1863 - 27/04/1869 et 23/05/1869- 04/09/1870

C’est en sa qualité de Conseiller Général de la Marne qu’il combattit le projet d’alimentation de la ville de Paris par des eaux empruntées à  la Somme-Soude, à la Dhuis, au  Sourdon et au Surmelin.

 

Il écrivit un livre dans lequel il indiquait que Paris dépossédait 54 communes et une population de plus de 26 000 habitants de l’eau nécessaire à sa prospérité, de l’irrigation de 1362 hectares de la rivière Somme-Soude qui permettaient également à 65 établissements industriels moulins, papeteries et autres de fonctionner.

 

Pour Paris cette eau était un luxe mais pour les populations dépossédées cette eau était une nécessité.

 

Il estimait que l’argent ne pouvait pas compenser la souffrance des populations.

 

Il décèdera à Paris le 4/1/1878 à Paris et sera inhumé au Père Lachaise

 

Sources :

Bibliothèque Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k840185j.r=dhuis.langFR

L’expropriation pour cause d’utilité publique des eaux de la Somme-Soude, de la Dhuis, du Sourdon et du Surmelin, A. Mathieu,  Epernay 1862 , Typographie Noël Boucart

Base Léonore

AD Marne : Etat Civil

http://www.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche.asp?num_dept=9082

 

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30 octobre 2021 6 30 /10 /octobre /2021 12:11
Le moulin Menier de Noisiel
Le moulin Menier de Noisiel
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3 janvier 2020 5 03 /01 /janvier /2020 13:50

 

L’un des premiers maires de Marchemoret fut un agriculteur Jean Baptiste LHOSTE en 1804, lui succéda :

- en 1816 jusqu’en 1827 son beau frère André PATRIAT

- puis de 1828 à 1884, ce sera le tour à Martin Théophile LHOSTE le neveu du précédent et le fils de Jean Baptiste

- de 1900 à 1908 c’est Ferdinand Mercier

tous agriculteurs.

 

- de 1919 jusque vers 1945 c’est Marcel Boisseau qui fut à la tête de la commune, il exploitait une ferme à Marchemoret, 250 hectares d’un seul tenant dont 150 en herbages où il élevait des moutons et le reste était exploité en terres de labour.

 

(Il était le fils de Lucien Boisseau, adjoint au maire de Lagny le Sec (60), nommé en 1920 chevalier de la légion d’honneur à la demande du ministre de l’Agriculture, Lucien Boisseau avait exploité jusqu’en 1928 la ferme de Chantemerle à Lagny le Sec (60), près du hameau de Lessart, sur environ 330 hectares, où il oeuvrait à l’amélioration de la culture intensive (céréales, betteraves..) et élevait des moutons.)

 

-son frère Gustave Boisseau lui succéda à la mairie de Marchemoret jusqu’en 1953,

 

(son père Lucien lui avait cédé en 1928 la ferme de Chantemerle à Lagny le Sec (60), près du hameau de Lessart.)

 

- de 1959 à 2001 ce fut le tour d’Alain Belloy, le gendre du maire Gustave Boisseau, il avait épousé sa fille Nicole Boisseau et exploitait la ferme de Marchemoret.

 

Alain Belloy était issue d’une famille d’agriculteur de La Neuville Roy (Oise).

Son père Charles Antoine avait épousé Madeleine Marie de Mulatier fille de Joseph de Mulatier, Industriel à Lyon, dont la famille exploitait plusieurs usines de tissage métallique en France, Charles Antoine était également administrateur de nombreuses sociétés dont :

- le sanatorium du Mont Blanc à Passy en Haute Savoie

- la tunisienne de cultures

- la sté coloniale de Bambao (Iles Comores)

- les Bois du Cameroun à Douala

- les Ets Porcher

............

(Charles Antoine Belloy avait été nommé Chevalier de la Légion d’honneur à la demande du ministre de la santé publique.)

 

- aujourd’hui Laurent Belloy, fils d’Alain, est le 1er adjoint de la commune de Marchemoret.

 

 

 

Sources :

-site Leonore

Belloy http://www2.culture.gouv.fr/LH/LH236/PG/FRDAFAN84_O19800035v1458050.htm

Boisseau  http://www2.culture.gouv.fr/LH/LH201/PG/FRDAFAN84_O19800035v0898915.htm

- Geneanet

- Genea77-shage- info communes

- Gallica

Journal Agric. Pratique Jardinage et Economie Domestique 1837-1908

Compte-rendus des séances académie d’agriculture de France 1915-1986

 

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3 avril 2019 3 03 /04 /avril /2019 14:42

 

L’affaire avait fait grand bruit au début des années 2000 lorsque Nicole Charpentier, maire sur le départ, avait décidé de faire détruire l’école communale où avait enseigné Edouard Bled, auteur d’un précis de grammaire, très utilisé dans les écoles  dans les années 50, près de 20 millions d’exemplaires seront vendus.

 

Mais bien qu’une association se soit battue, soutenue par Jean-Paul le fils de l’enseignant, lui-même historien, rien n’y fera, Nicole Charpentier ne cédera pas et l’école sera détruite.

 

Ironie du sort, aujourd’hui Mouroux a besoin d’une nouvelle école et cela va coûter près de 3 millions d’euros, la commune vient d’obtenir une aide de 800 000 € de la région mais les contribuables vont devoir tout de même mettre la main à la poche.

 

Pour aller plus loin :
Le fils d'Edouard Bled au secours de l'école

 

 

Paru dans le Parisien 77 :
Mouroux : la Région verse 800 000 euros pour la création d’un groupe scolaire

>Île-de-France & Oise>Seine-et-Marne|A.A.|01 avril 2019, 17h08|

 

 

 

Comment on utilise les impôts, Mouroux, un exemple à ne pas suivre : la maire Nicole Charpentier, fait détruire une école en 2007, la nouvelle maire Sylvie Tournoux doit en faire reconstruire un autre en 2019 !

Mouroux. La signature du contrat d’aménagement régional entre la mairie de Mouroux et le conseil régional d’Ile-de-France s’est tenue ce lundi à l’hôtel de ville.LP/Alexandre Arlot

Cette subvention du conseil régional s’inscrit dans le cadre du contrat d’aménagement régional signé ce lundi avec la municipalité.

Que Sylvie Tournoux (SE) se rassure, la subvention de 800 000 euros versée par la Région à sa commune et officialisée ce lundi n’a rien d’un poisson d’avril….

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/mouroux-la-region-verse-800-000-euros-pour-la-creation-d-un-groupe-scolaire-01-04-2019-8044197.php

 

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29 décembre 2017 5 29 /12 /décembre /2017 19:11

Paru sur le site La Marne :

Montry. Le Sophora japonica arbre de l’année 2017

Le jury a délibéré au sujet de l'arbre de l'année, concours organisé par l'office national des forêts et le magazine Terre Sauvage. La Sophora de Montry a remporté le concours.

 

Le sophora de L’Epide a remporté le premier prix. (©La Marne)

Le jury professionnel du concours de l’arbre de l’année qui s’est réuni le 19 décembre à Paris, a sacré le Sophora Japonica du parc du château de la Haute-Maison, arbre de l’année 2017, parmi les 14 finalistes représentant les régions françaises.

2017 a été l’année du Sophora ! Labellisé arbre remarquable de France en juin, vedette des Journées du patrimoine en septembre, désigné pour représenter l’Île-de-France et enfinvainqueur de ce concours prestigieux, organisé par l’Office National des Forêts (ONF) et le magazine Terre Sauvage, un sans-faute pour ce monument végétal âgé de plus de deux siècles.

Le totem vivant de l’Epide

C’est à Éric Defer, formateur-historien à l’Epide, actuel propriétaire du château de Montry, venu avec trois volontaires de l’établissement, que Christian Dubreuil, directeur de l’ONF, a remis le prix lors d’une cérémonie animée par Denis Cheissoux, journaliste à France Inter.

La beauté du Japonica vient de ce qu’il s’est couché en 1930 puis que ses branches tombées au sol ont marcotté pour faire resurgir des troncs lui donnant cette majestueuse emprise de 1 000 m2 au sol, explique Éric. On ne pouvait rêver mieux comme symbole et exemple pour nos volontaires qui sont venus à l’Epide pour se relever après des débuts difficiles dans la vie. Le Sophora est devenu notre totem vivant, comme une bénédiction après la malédiction qui, selon la légende, frappa ceux qui voulurent le débiter après sa chute, empêchant ainsi sa destruction.

https://actu.fr/ile-de-france/montry_77315/montry-sophora-japonica-arbre-annee-2017-concours-foret_14657616.html

 

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15 septembre 2017 5 15 /09 /septembre /2017 18:33
Cité ouvrière Menier Noisiel (77)

  image: http://www.guide-tourisme-france.com/IMAGES/IMG2939.jpg


Les anciens réfectoires en cité Menier 

Les anciens réfectoires en cité Menier (doc. mairie Noisiel)

Au programme pour ces Journées du Patrimoine 2017

Laissez-vous conter la cité ouvrière Menier : visite commentée par un guide conférencier régional

 

Plongez-vous dans l'histoire sociale et l'originalité de la cité conçue par les Menier à la fin du XIXe siècle pour loger les ouvriers de leur chocolaterie.

Ce qu'il faut savoir :

 

Projet social novateur d'Emile-Justin Menier, la cité ouvrière a été bâtie entre 1874 et 1911. Elle comprend près de 300 logements individuels et plusieurs équipements collectifs. Sa modernité architecturale, urbaine et sociale, lui a valu de nombreuses récompenses aux Expositions Universelles. Plusieurs monuments sont inscrits au titre des monuments historiques.

Distinctions, labels :

Ville d'art et d'histoire

Accès :

Autoroute A4 et ou Francilienne, sortie Val Maubuée/Noisiel centre RER A, direction Marne-la-Vallée-Chessy, arrêt Noisiel Luzard, puis bus 211

Journées du Patrimoine 2017 - horaires :

16 septembre, 11h00, 14h30, 15h30, 16h30

Cité ouvrière Menier

Place Emile-Menier 
77186 Noisiel 
 


En savoir plus sur http://www.journees-du-patrimoine.com/SITE/cite-ouvriere-menier--noisiel-157528.htm#fWvVKrTAldWBJbjv.99

 



 

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