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29 avril 2017 6 29 /04 /avril /2017 19:14
Nos villages ruraux ne sont pas des poubelles : manifestation contre le projet de décharge de déchets dangereux Terzeo !

 

 

Ce samedi matin, les populations des villages ruraux de Mareuil les Meaux, Villenoy, Isles les Villenoy et environs manifestaient devant la sous préfecture de Meaux contre le projet de décharge de déchets dangereux Terzeo.

 

Nous remercions les élus très attachés aux villages ruraux qui étaient venus les soutenir :

- la conseillère régionale Bénédicte de Cecco Monville avait fait le déplacement du sud de la Seine et Marne

- la conseillère départementale et maire d’Esbly Valérie Pottiez-Husson, accompagnée de son adjoint était venue également soutenir les populations

- 4 adjoints au maire de Chauconin-Neufmontiers étaient présents

- un conseiller municipal de Courtry était également présent, Courtry est la commune riveraine de la plus importante décharge de déchets dangereux de France, située à Villeparisis.

Des adhérents d’Adenca étaient également venus les soutenir.

 

Sous la surveillance des forces de police et de la DGSI (ex renseignements généraux), les manifestants se sont rendus ensuite devant la mairie de Meaux.

 

 Jean-François Copé et Jean-François Parigi les ont reçus sur le parvis de l’hôtel de ville, ils ont promis de rencontrer le collectif la semaine prochaine.

 

 

Nos villages ruraux ne sont pas des poubelles : manifestation contre le projet de décharge de déchets dangereux Terzeo !
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28 avril 2017 5 28 /04 /avril /2017 21:28

 

La préfecture a décidé d’engager il y a plusieurs années   une concertation avec des élus, des associations… pour constituer « un plan paysage et ressources » sur la forêt régionale de Montgé en Goële.

Comme d’habitude dans cette dite « démocratie à la française » c’est la préfète qui a choisi les participants et bien sûr elle a refusé que notre association y participe.

 

Pour revenir au sujet et faire court, l’industriel allemand souhaiterait raser cette forêt, située sur une butte, pour exploiter le gypse à ciel ouvert.

 

La butte initiale serait reconstituée à l’aide de déchets déversés dans les trous, et puis, on plantera  des dizaines d’années plus tard les arbres qui voudront bien pousser sur ces ordures.

 

L’industriel allemand Knauf peut tout à fait exploiter le gypse en sous- sol et laisser la forêt à la disposition des populations mais Knauf veut tout, le sol et le sous-sol.

 

Jean-Jacques Barbaux, président du Conseil Départemental semblait ne pas voir d’opposition à ce type de projet, et souhaitait faire voter aujourd’hui une délibération en ce sens, c’était sans compter sur la ténacité des deux conseillers départementaux de ce canton rural, très attachés à préserver cette forêt : Marianne Margaté et Bernard Corneille qui se sont opposés à l’extraction du gypse à ciel ouvert.

 

Bernard Corneille écrit ce jour  sur son compte facebook :

« Avec ma collègue Marianne Margaté, en séance du Conseil départemental ce vendredi 28 avril. Concernant la butte de Montgé et le sort néfaste que l'Etat lui promet, nous nous sommes opposés à une extraction du gypse à ciel ouvert et à l'éradication d'un patrimoine environnemental unique.
Après nos interventions, le mémoire a été approuvé à la condition expresse que l'extraction du gypse soit exclusivement souterraine. »

 

Nous remercions également Pascal Hiraux, maire de Montgé en Goële qui refuse le déclassement de cette forêt, classée en « espace naturel sensible ».

 

Quant à Stéphane Devaucelle, maire de St Soupplets, qui semble inquiet pour l’emploi, nous lui conseillons de se rapprocher de l’industriel Knauf pour l’inciterà se tourner vers le recyclage du plâtre, méthode très peu prisée par les carriers,  qui permettrait de préserver nos ressources de gypse et  pourrait créer de nombreux emplois.

 

Paru dans le Parisien 77 :
Montgé-en-Goële. L’exploitation du gypse en forêt au conseil départemental

>Île-de-France & Oise>Seine-et-Marne>Saint-Soupplets|Hendrik Delaire|27 avril 2017, 18h10|0

 

Montgé-en-Goële, mai 2015. Le conseil départemental devrait voter ce vendredi le plan de paysage et de ressources de la butte de Montgé, qui permettra à terme au plâtrier Knauf de raser la forêt de Montgé pour exploiter le gypse contenu dans son sous-sol. Adenca

Montgé-en-Goële, mai 2015. Le conseil départemental devrait voter ce vendredi le plan de paysage et de ressources de la butte de Montgé, qui permettra à terme au plâtrier Knauf de raser la forêt de Montgé pour exploiter le gypse contenu dans son sous-sol. Adenca

 

Hendrik Delaire

Saint-SouppletsButte de Montgéforêt de Montgégypse

« Cette concertation est un vrai marché de dupes ! » Didier Chevalier, président de l’Association de défense de l’environnement et de la qualité de vie en Seine-et-Marne (Adev 77) ne cache pas son opposition au plan de paysage et de ressources de la butte de Montgé, que doit voter ce vendredi le conseil départemental.

Piloté depuis 2013 par la sous-préfecture de Meaux, ce plan de concertation qui réunissait 19 acteurs autour de la table, a validé le 18 novembre dernier le scénario d’une exploitation à ciel ouvert du gisement de gypse qu’abrite le sous-sol de la forêt de Montgé-en-Goële, entre Saint-Soupplets et Dammartin-en-Goële.

Avant toute autorisation d’exploitation, ce plan acte le principe de la destruction de la forêt à compter de la période 2045-2055 pour permettre au fabricant de plâtre Knauf, dont une usine est située à Saint-Soupplets, d’extraire la quasi-totalité du gypse. Et ainsi prendre le relais de la carrière du Bois des sables, une zone de 50 ha située la partie sud de la butte de Montgé, sur les communes de Saint-Soupplets et de Cuisy. Depuis fin 2005, 420 000 t de gypse y sont extraites chaque année pour alimenter l’usine de fabrication de plaques de plâtre de Saint-Soupplets, qui fournit 20 % de la production nationale.

Mais cette démarche n’ayant aucune valeur juridique contraignante, le sous-préfet de Meaux a souhaité que les acteurs la reconnaissent formellement en signant un engagement partenarial. Après les communes de Saint-Soupplets, de Cuisy, de Montgé-en-Goële mais aussi Knauf et les différents services de l’Etat, c’est donc au tour du conseil départemental d’adopter ce plan, qui prévoit la reconstitution de la ligne de crête de la butte à l’issue de l’exploitation.

Cette délibération devait être votée le 24 mars dernier par le conseil départemental mais a été retirée au dernier moment de l’ordre du jour face à l’opposition de Pascal Hiraux (SE), maire de Montgé-en-Goële, qui refusait le retrait du statut d’espace naturel sensible. « Nous étions également opposés à l’exploitation à ciel ouvert mais finalement le conseil municipal l’a adoptée en raison de l’échéance lointaine. Les techniques d’exploitation du gypse peuvent évoluer d’ici 30 à 40 ans et le secteur du bâtiment pourra peut-être se passer de plâtre », espère l’édile.

« Nous sommes très attentifs à la défense de l’environnement mais il faut trouver un juste équilibre avec la préservation de l’activité économique. Knauf emploie près de 200 personnes qui vivent pour l’essentiel dans les communes environnantes sans compter les retombées fiscales », confie Stéphane Devauchelle (LR), maire de Saint-Soupplets.

Du côté de l’Adev 77 on s’inquiète du devenir de cette forêt, composée essentiellement de châtaigners, très prisée des promeneurs, à pied, à vélo ou à cheval, et on déplore que la solution de l’exploitation souterraine n’ait pas été privilégiée. « C’est une zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique, qui abrite des arbres bicentenaires. Plusieurs cours d’eau y prennent leur source comme la Beuvronne ou les affluents de la Thérouanne et de la Nonette », s’insurge Didier Chevalier.

« C’est la dernière butte naturelle du nord-ouest Seine-et-Marne et on veut nous la raser alors que nous sommes dans un secteur qui reçoit la majorité des déchets franciliens. Nous voterons donc contre cette délibération avec l’autre membre de mon groupe », affirme Marianne Margaté (PCF), conseillère départementale.

leparisien.fr

 

http://www.leparisien.fr/saint-soupplets-77165/montge-en-goele-l-exploitation-du-gypse-en-foret-au-conseil-departemental-27-04-2017-6896115.php

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28 avril 2017 5 28 /04 /avril /2017 13:10
Le canal de Chalifert qui traverse les 2 communautés d'agglo

Le canal de Chalifert qui traverse les 2 communautés d'agglo

 

Comparaison entre

les 2 communautés d'agglomération

 

Pays de Meaux

 plutôt tournée vers les industries des déchets

  

Val d'Europe

plutôt tournée vers le tourisme

 

Communauté d’Agglomération Pays de Meaux

Val d’Europe Agglomération

Président Jean François Copé

(Maire de Meaux)

Président Arnaud de Bellenet

(Maire de Bailly-Romainvilliers)

Meaux

- autrefois siège de la Chambre de Commerce et d’Industrie du nord 77

depuis 2004 transféré sur Val d’Europe Agglomération

Serris

- Siège de la Chambre de Commerce et d’Industrie du 77

1 plage en bordure de Marne Meaux

1 parc d’attraction

1 hôpital

1 hôpital

1 aérodrome Isles les Villenoy

Pas d’aérodrome

1 prison Chauconin

Pas de prison

1 incinérateur ordures ménagères Monthyon

Pas d’incinérateur

2 centrales à bitume

- Isles les Villenoy

- Monthyon

Pas de centrale à bitume

3 décharges

-Monthyon ISDND

-Crégy les Meaux ISDI

-Isles les Villenoy ISDI

Pas de décharge

Décharge illégale

- Isles les Villenoy

- Trilbardou

Décharge illégale

- Coupvray

 

Carrières/décharges

-Isles les Villenoy

-Poincy

-St Soupplets

-Trilbardou

Pas de carrières/décharges

SEVESO à Hauts risques

-Meaux BASF

 

Pas de SEVESO à Hauts risques

 

SEVESO Seuil Bas

-Poincy Daher

-Trilport Rectifel

SEVESO Seuil Bas

- Serris Auvalis

Site pollué (base BASOL)

- Meaux

Ancienne usine incinération

BASF

Centre EDF/GDF

Delachaux

JFCE

Métaux Ouvrés et Décorés

Total

Wipelec (ex Caci)

- Monthyon Sodap

- Trilport Station service Avia

- Villenoy Tereos

Pas de site pollué (base BASOL)

Site pollué PCB (base Robin des Bois)

- St Soupplets

Pas de site pollué PCB (base Robin des Bois)

Projets

 

- Décharges ISDI

Isles les Villenoy

Trilbardou

Vignely

 

- Recyclage/décharge déchets dangereux Isles les Villenoy/Villenoy

 

Projets

- Village Nature

 

- Accueil Touristes Coupvray (par canal de Chalifert)

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26 avril 2017 3 26 /04 /avril /2017 20:35
Isles les Villenoy charmante commune de 900 habitants bordée par le canal de l’Ourcq et la Marne, commune qui possédait une plage en bordure de Marne avec un restaurant où aimaient se retrouver les populations avoisinantes et les parisiens qui pour certains possédaient des petites résidences secondaires  dans le secteur.

 

En 1970 cette plage fut fermée à cause d’une forte pollution de la Marne.

 

Depuis cette date la préfecture a autorisé l’implantation d’industries polluantes sur cette commune : une centrale à bitume,  une carrière/décharge et puis fin 2014 le préfet Jean-Luc Marx y autorisera l’implantation d’une décharge ISDI sur un espace agricole, près d’une école primaire,  alors qu’il la refusera à quelques kilomètres de là à Jossigny pour ne pas porter atteinte  aux espaces agricoles et à la tranquillité publique.

 

Une sucrerie qui a fermé ses portes il y a quelques années a même laissé un site pollué, un sarcophage devait confiner la pollution mais il fuit de l’arsenic et du fer depuis plusieurs années sans que l’ETAT n’impose à l’industriel pollueur d’effectuer des travaux pour stopper la pollution.

 

Et comme cela ne suffisait pas une entreprise de recyclage/décharge de déchets dangereux pourrait également s’implanter sur cette commune.

 

Les habitants voudraient bien voir leur plage au bord de Marne rouvrir, cela créerait de l’emploi dans des activités moins polluantes, mais comment rouvrir cette plage en bordure de Marne alors que cette rivière est toujours polluée.

 

En effet en amont sur la Marne se trouve Meaux, la grande agglomération voisine, qui reverse, par moment, dans cette rivière des eaux d’assainissement  non traitées biologiquement, son système d’assainissement a été évalué non conforme en 2015, une mise en demeure a d’ailleurs été délivrée par la préfecture le 10/3/2016. Une commune sur laquelle est implantée l’entreprise Wipelec où il vient d’être découvert une pollution des eaux pluviales.

 

Mais la commune de Meaux reverse également des eaux dont nous ne connaissons par l’état, en aval de sa station de pompage d’eau  de Nanteuil les Meaux, en effet cette station devrait être encadrée par un arrêté préfectoral, mais à notre connaissance, la protection de ce captage n’est toujours pas mise en place, alors que la loi l’oblige depuis 1992.
Comment dans ces conditions
pourra-t-on rouvrir un jour
 la jolie plage
d’Isles les Villenoy ?

 

Pour toutes infos complémentaires
nous vous conseillons de vous rapprocher
de
Monsieur Gérard Péhaut, sous préfet de Meaux
et de
Monsieur Jean-François Copé, Maire de Meaux.

 

Paru dans le Parisien 77 :
Esbly : ils rêvent de créer un centre culturel sur la friche de la Plage

>Île-de-France & Oise>Seine-et-Marne>Esbly|Alexandre Arlot|25 avril 2017, 17h50|0

Isles-lès-Villenoy, le 17 avril. A l’abandon depuis des années, le site de la Plage d’Esbly fait l’objet d’un projet de reconversion en centre culturel porté par un collectif d’associations, dont la Foule d’eau d’Amar Benbia (au centre, avec le foulard). LP/A.A.

Alexandre Arlot

Esblyplage d'EsblyCollectif de la Plagecentre culturelValérie Pottiez-Husson

A voir les bâtiments de béton en ruines, les murs tagués et les herbes hautes, difficile d’imaginer le site de l’ancienne piscine, la Plage, d’Esbly autrement que ce qu’il est depuis une trentaine d’années : une friche. Aidé par des associations partenaires, le Collectif de la plage pourrait bien redonner aux lieux l’attractivité qu’il mérite.

Un projet de création de centre culturel est dans les cartons. Il sera formalisé ce mardi 25 avril en mairie d’Esbly, propriétaire de ce terrain en bord de Marne pourtant situé sur le territoire d’Isles-lès-Villenoy. « Le projet nous a immédiatement séduits », confie Valérie Pottiez-Husson (LR), à la tête de la commune depuis 1993.

Le 17 avril, des membres des structures impliquées dans le projet se sont rendus sur site pour établir un « diagnostic ». « Nous allons sécuriser, déblayer puis nettoyer les lieux et voir ce dont nous aurons besoin, en matériaux et en techniques », détaille Amar Benbia, le président de la Foule d’eau.

 

Isles-lès-Villenoy, lundi 17 avril. Situé au bord de la Marne, le site de l’ancienne piscine d’Esbly est à l’abandon depuis une trentaine d’années. LP/A.A.

Intégrée au Collectif de la plage, cette association engagée pour la mobilité internationale de la jeunesse est installée sur une péniche, à Torcy. C’est au hasard d’une balade sur la Marne, il y a six ans, qu’Amar Benbia a découvert l’ancienne plage d’Esbly (lire encadré). Une friche que le quadragénaire et ses compagnons ont choisi de reconvertir en centre culturel, sur le modèle du réseau Trans Europe Halles. Les membres du collectif parcourent d’ailleurs le Vieux Continent pour présenter leur projet, lequel comprendra des performances artistiques — théâtre, danse, concerts… — ouvertes au public.

 

Isles-lès-Villenoy, lundi 17 avril. Les bâtiments en béton de la friche seront réhabilités par le collectif. Cet espace situé à l’étage pourrait accueillir des ateliers de menuiserie ou de bricolage. LP/A.A.

La réhabilitation et l’aménagement du terrain passeront par des chantiers d’insertion, gérés par l’agence départementale Initiatives 77. Les matériaux de récupération seront privilégiés. Le terrain étant situé en zone inondable, les nouveaux équipements devront être amovibles. Le bassin de la piscine pourrait ainsi être transformé en une salle de représentation recouverte d’un toit démontable. Les membres du collectif sont désormais en quête de financements. « Un projet comme celui-là dépasse les 2 M€ », estime Amar Benbia.

Plus de renseignements sur https ://www.facebook.com/lecollectifdelaplage.

Jusque dans les années 1970, elle était prisée des Parisiens

 

Esbly, début du XXe siècle. Avant que la baignade dans la Marne ne soit interdite dans les années 1970, la plage d’Esbly attirait aussi bien les Parisiens que les habitants des environs. LP/A.A.

A proximité de la gare de l’Est, le café « A la ville d’Esbly » témoigne de l’importance passée de la commune seine-et-marnaise. De l’époque des premiers congés payés aux années 1970, décennie lors de laquelle la baignade dans la Marne fut interdite, les Parisiens se pressaient à la plage de sable d’Esbly, où se trouvaient aussi une piscine et un restaurant.

« A l’époque, on pouvait acheter des billets groupés pour le train et le restaurant », rappelle la maire (LR) Valérie Pottiez-Husson. Après la fermeture de la plage pour cause de pollution, la fréquentation du site diminue au fil des ans, jusqu’à être abandonné dans les années 1980 après une série d’inondations. « Ce sont toute une histoire et tout un site que nous avons à cœur de faire revivre », confie Valérie Pottiez-Husson.

A.A.

http://www.leparisien.fr/esbly-77450/esbly-ils-revent-de-creer-un-centre-culturel-sur-la-friche-de-la-plage-25-04-2017-6888858.php

 

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25 avril 2017 2 25 /04 /avril /2017 13:51
Valérie Pécresse a-t-elle vraiment déposé un recours contre l’annulation du PREDEC ?

 

Le PREDEC qui devait interdire l’implantation de décharge ISDI en Seine et Marne jusqu’à Juin 2018 a été annulé par le tribunal administratif en date du 9/3/2017.

 

La présidente du Conseil Régional, a grand renfort de médias, avait indiqué vouloir déposer un recours contre l’annulation  par le tribunal administratif du PREDEC, mais à ce jour nous n’en savons pas plus.

 

 

Etait-ce un effet d’annonce

ou

Valérie Pécresse

déposera-t-elle vraiment ce recours ?

 

Nous n’en savons rien

 

 

Ce que nous savons c’est qu’elle n’a plus que quelques jours pour le faire, la date butoir étant le 9/5/2017.

 

Ce que nous savons c’est que Chantal Jouanno, vice présidente du CR IDF chargée de l’environnement, n’a toujours pas souhaité nous recevoir pour nous fournir des informations sur ce dossier.

 

Une situation plutôt inquiétante.

 

 

Nous vous conseillons de contacter

vos conseillers régionaux

pour plus d’informations.

 

 

 

Il s’agit de :

Mme Anne CHAIN-LARCHÉ (LR)

Maire St Denis les Rebais, vice présidente du Conseil Régional chargée  de la ruralité et de l’agriculture

Mme Marie-Pierre Badré (LR) Adjointe au Maire de Couilly Pont aux Dames

M. Gilles Battail (LR) Maire deDammarie les Lys

M. Joffrey BOLLÉE (FN)

M. Pierre CHERRIER (FN) de la Celle St Cloud (92)

M. James CHERON (UDI) Adjoint au maire de Montereau Fault Yonne

Mme Aurélie COURNET (FN) de Paris

M. Gilbert CUZOU   (PS) de Paris

M. Benoît CHEVRON (LR) de Villiers St Georges, Président de la Fédération Départementale des Chasseurs

M. Bertrand DUTHEIL DE LA ROCHERE (FN)

Mme Sylvie FUCHS (FDG) Conseillère municipale  de Roissy en Brie

M. François Kalfon (PS ) Conseiller municipal Melun

M. Éric Jeunemaître (LR) Adjoint au maire de Provins

Mme Sylvie MONCHECOURT (UDI) Maire de Montigny sur Loing

Mme Laure-Agnès MOLLARD-CADIX (UDI) Conseillère municipale de Combs la Ville       

Mme Bénédicte MONVILLE de CECCO Conseillère municipale de Melun

M. Jean-Paul Planchou (PS ) Ancien maire de Chelles

M. Julien PROFFIT (LR) Conseiller Municipal de Claye-Souilly

Mme Hamida Rezeg (LR) Adjointe au maire de Meaux

 

MmeRoseline Sarkissian (PS) Conseillère municipale de Fontainebleau

Membre de la commission Environnement, aménagement du territoire

 

Mme Claudine Thomas (LR) Adjointe au maire de Chelles

Mme Béatrice TROUSSARD (FN) conseillère municipale de Chelles

M. Frédéric Valletoux (LR) Maire de Fontainebleau 

Mme Thi Hong Chau VAN (CD) Adjointe au maire de Bussy Saint Georges

 

 

 

 

 

 

 

 

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24 avril 2017 1 24 /04 /avril /2017 16:00
Manifestation à Meaux samedi 29 avril 2017 à 10 heures contre le projet de décharge de déchets dangereux Terzeo
Manifestation à Meaux samedi 29 avril 2017 à 10 heures contre le projet de décharge de déchets dangereux Terzeo
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24 avril 2017 1 24 /04 /avril /2017 11:01

 

Pourquoi

depuis toutes ces années

les députés de ce département

n’ont pas fait modifier la loi.

 

Une loi cousue mains pour les exploitants de déchets, de carrières et de sites polluants et dangereux.

 

Une loi qui permet d’accumuler une majorité de sites polluants et dangereux sur une même commune sans imposer un plafond à ne pas dépasser.

 

Combien peut-on implanter de décharges sur une même commune ?

A notre connaissance il n’y a pas de plafond.

 

Combien peut-on implanter de carrières/décharges sur une même commune ?

A notre connaissance il n’y a pas de plafond.

 

 

Combien peut-on implanter d’entreprises de recyclage de déchets

sur une même commune ?

A notre connaissance il n’y a pas de plafond.

 

 

Combien peut-on implanter de sites Seveso sur une même commune ?

A notre connaissance il n’y a pas de plafond.

 

 

Combien peut-on implanter de sites polluants sur une même commune ?

A notre connaissance il n’y a pas de plafond.

 

 

Voilà comment on en est arrivé là

en Seine et Marne

On détruit certains secteurs, pendant qu’on en protège d’autres.

La carte qui suit est édifiante.

 

 

 

 

 

Nord-ouest 77 accumulation des ordures, des sites polluants et dangereux : devons-nous accepter l’inacceptable ?
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21 avril 2017 5 21 /04 /avril /2017 15:31
Dessin humoristique de l'un de nos adhérents
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20 avril 2017 4 20 /04 /avril /2017 09:59

 

Pour protéger la population des risques d’inondation l’ETAT a prévu de réserver des zones à l’expansion des crues, ce sont des espaces naturels où les eaux de débordement peuvent se répandre lors d'un épisode de forte crue.

Ces zones assurent un stockage transitoire de l'eau et retardent son écoulement lorsque les débits sont les plus importants, protégeant ainsi les populations situées en aval, ici Fresnes sur Marne, Annet sur Marne, Thorigny sur Marne…..

 

Pour ce faire l’ETAT avait autorisé, sous conditions, la multinationale Veolia à exploiter une carrière de sables et graviers à Fresnes sur Marne et Précy sur Marne aux lieudit les Sables, la Henrée, le Pré des joncs, les Ajoux de la remise.

Cette carrière devait être remblayée par des déchets « dits inertes », au terme de laquelle  Veolia devait respecter le plan de réaménagement du terrain prévu dans son arrêté d’autorisation.

 

 

Mais qu’à cela ne tienne, la multinationale demandera en 2011 un délai supplémentaire de 5 ans  pour remettre en état le site, pour en fin de compte ne pas respecter l’arrêté préfectoral.

 

La préfecture constatera des dépassements généralisés non conformes au plan de réaménagement qui pourraient porter préjudice au régime d’écoulement de la Marne en cas de crue.

 

Une mise en demeure a été délivrée à Veolia en date du 1/3/2017, la multinationale a 3 mois pour remettre en état le site, conformément à l’arrêté préfectoral de 2012.

 

 

 

Concernant la mise en demeure Veolia Trilbardou, voir notre article :

 

http://adenca.over-blog.com/2016/12/bientot-une-nouvelle-decharge-de-dechets-inertes-a-route-de-lesches-a-trilbardou.html

 

 

 

 

 

 

 

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19 avril 2017 3 19 /04 /avril /2017 20:43

 

 

Une fois de plus

une eau non conforme

aux références de qualité

le 29 mars dernier

 

Payer très chère une eau de bonne qualité, passe encore, mais payer très chère une eau de mauvaise qualité ce n'est pas acceptable.

 

 

Les élus doivent rendre des comptes aux habitants

 

 

Claye-Souilly 29.3.2017 : une eau "dite potable" non conforme aux références de qualité  et que l'on paye très chère !
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