Commune martyre de
Villeparisis
la décharge illégale BMR est toujours là
deux ans après
les mises en demeure des services de la préfecture du 77
BMR
une société en règlement judiciaire depuis le 7/10/2013
L'ETAT
a consigné une somme de 20 000 € à l'exploitant en 2011
Pourquoi l'ETAT
n'utilise pas cette somme pour faire enlever les déchets
et mettre les scellés sur le site comme dans le 93 ?
Pour mémoire les eaux de ruissellements de cette décharge se rejettent dans le ru des Grues, affluent de la Beuvronne, rivière qui se rejette dans la Marne en amont proche du captage d'Annet sur Marne qui fournit en eau potable près de 500 000 habitants.
BMR Villeparisis le 10.3.2013
La même société avait sévi dans le département 93
mais là
les déchets avaient été évacués.
Pourquoi en Seine et Marne
en est-il autrement ?
Que font
les services de la préfecture du 77 ?
Pour plus d'informations sur ce dossier nous vous conseillons de vous rapprocher des services de la préfecture du 77 ou de la mairie de Villeparisis.
Article du journal le Parisien :
Publié le 27.08.2008
LA FIN de treize ans de calvaire pour les habitants du quartier des Murs-à-Pêches et notamment les riverains de la rue Saint-Antoine à Montreuil. La société BMR, spécialisée dans le transit et le tri des déchets de chantier, a définitivement fermé ses portes fin juillet.
Il aura fallu un arrêté préfectoral et l'apposition de scellés pour que le patron de l'entreprise, qui exerçait « sans autorisation » alors que son installation aurait dû être classée, se décide enfin à jeter l'éponge après avoir été mis en demeure à plusieurs reprises de respecter la loi.
Encore des gros camions dans le quartier
Pour Isabelle, membre de l'Association de défense des habitants de Montreuil (ADHM), qui a fait de la fermeture de BMR son cheval de bataille, c'est « un soulagement et une véritable victoire », applaudit la riveraine, qui souligne « l'action de la nouvelle municipalité » dans ce dossier.
Un bémol toutefois puisqu'il reste encore dans le quartier une société jugée nuisible par ses voisins. En cause, SBR, qui transporte des blocs de béton séparateurs de voies sur autoroute. « Leurs camions sont trop gros et continuent de circuler malgré l'interdiction de nos rues aux plus de 3,5 t », déplore Isabelle, qui avec l'ADHM entend « poursuivre l'action » pour un quartier sans nuisances.
Le Parisien
Pour aller plus loin :