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27 décembre 2013 5 27 /12 /décembre /2013 20:13

Paru sur le site du Conseil Général de Seineet Marne :

 

Délibération du STIF du 11 décembre

·                                 12-12-2013

Pas de hausse de la TVA pour la Seine-et-Marne !

Vincent Eblé salue de « très bonnes nouvelles pour la grande couronne »

 

La grande couronne était à l’honneur du conseil d’administration du Syndicat des Transports d'Ile-de- France (STIF), où le Sénateur et Président du Conseil général, Vincent Eblé, siège en tant que Vice-président.

Ce conseil du STIF a été marqué par le vote d’un amendement du Président du Conseil régional, Jean-Paul Huchon et du vice-président de la Région chargé des transports et des mobilités, Pierre Serne, d ispensant les titulaires d’un Pass Navigo en zone 1-5 de la hausse de TVA (+3%) décidée par le gouvernement. Vincent Eblé salue une bonne nouvelle pour la Seine-et-Marne :
« Avec près de 113 euros pour un pass mensuel, et au regard des difficultés sur le RER D ou la lig
ne P, une hausse de la TVA n’avait absolument pas la même dimension pour un usager de la grande couronne que pour un usager de la petite couronne », rappelle le Président du Département.

Les difficultés récurrentes constatées sur le RER D et la Ligne P du Transilien ont également conduit la majorité du STIF à voter un voeu demandant à la SNCF de tout mettre en oeuvre pour rétablir dans les plus brefs délais des conditions de circulation conformes aux objectifs contractuels sur l’ensemble du réseau, mais également de « consentir à un geste commercial aux usagers en compensation des difficultés rencontrées ces dernières semaines. » Pour le Président du Conseil général, il y a urgence :
« la lig
ne P du Transilien souffre notamment d’un retard particulier en matière d’alimentation électrique, occasionnant de nombreuses pannes voire contraignant sur certains tronçons à l’utilisation de matériel roulant peu performant, y compris d’un point de vue environnemental. Les usagers en ont assez et ils ont raison ! »

Enfin, le STIF a voté hier une nouvelle déclinaison concrète de son plan Bus 2013-2016, approuvé le 10 juillet dernier.

http://www.seine-et-marne.fr/actualites-transport/deliberations-du-stif-du-11-decembre

 

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26 décembre 2013 4 26 /12 /décembre /2013 12:20

Paru sur le site Romandie :

Lafarge achève son désengagement dans le plâtre en Europe

Paris (awp/afp) - Le cimentier français Lafarge a annoncé jeudi la vente pour 145 millions d'euros du solde de sa participation dans le plâtre en Europe et Amérique du sud au groupe belge Etex, qui en avait déjà acquis 80% en 2011.

"Lafarge annonce la vente à Etex de sa participation de 20% dans les activités plâtre en Europe et en Amérique du Sud pour un paiement immédiat de 145 millions d'euros", a indiqué le groupe dans un communiqué, précisant que la clôture de l'opération devrait être finalisée "dans les semaines qui viennent".

La vente des activités plâtre a ainsi permis à Lafarge d'obtenir au total 1 milliard d'euros, après les 850 millions touchés lors de la vente du 80% du capital il y a deux ans.

Cette cession à Etex, qui produit des matériaux et des systèmes de construction de haute performance, s'inscrit dans le cadre de la stratégie de désendettement du cimentier français.

Son objectif est de faire passer la dette à moins de 9 milliards d'euros dès l'année prochaine. A la fin septembre, il l'avait réduite de 1,3 milliard, à 10,9 milliards, soit son plus bas niveau en cinq ans.

Lafarge Plâtre produisait des plaques de plâtre ainsi que d'autres produits à base de plâtre tels que le plâtre en poudre, les enduits à joints et les carreaux de plâtre.

afp/rp



(AWP / 26.12.2013 11h42)
http://www.romandie.com/news/n/Lafarge_acheve_son_desengagement_dans_le_platre_en_Europe41261220131142.asp

 

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24 décembre 2013 2 24 /12 /décembre /2013 12:31

                    montgé en goele 10.11.2013 2

                                               Forêt régionale de Montgé-en-Goële

 

Cette année se termine avec une petite lueur d’espoir, en effet les élus

du Conseil Général du 77, à l'unanimité,  ont autorisé en septembre

dernier  leur président à engager un recours  auprès du tribunal administratif

à l’encontre de l’arrêté signé par Madame la Préfète autorisant l’implantation d’une  décharge de près de 98 hectares à Annet sur Marne(1) sur la même

commune où est implanté le plus important captage d'eau du 77

qui fournit en eau potable près de 500 000  habitants.


 

Nos voeux pour 2014 :

Que tous  les élus de Seine et Marne se mobilisent au côté des populations:

- pour réhabiliter le nord-ouest Seine et Marne en favorisant la création

de centaines d’emplois pour nos jeunes dans l’agriculture bio

ou l’agroforesterie (2) 

- pour protéger notre ressource en eau, éviter la destruction de nos terres agricoles, de nos espaces boisés en refusant  l’implantation de décharges et de carrières à ciel ouvert….

 

(1) http://adenca.over-blog.com/article-conseil-general-seine-et-marne-vote-a-l-unanimite-pour-engager-un-recours-contre-l-arrete-prefec-120956336.html

(2) http://fr.wikipedia.org/wiki/Agroforesterie

 

 

 

Bonnes Fêtes de fin d’année 

Meilleurs vœux pour l’année 2014

 

dhuis villevaudé 2 15.10.2011 

Aqueduc de la Dhuis bordé par le Bois GratueL

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23 décembre 2013 1 23 /12 /décembre /2013 09:00

Etat des lieux alimentation eau potable idf version V3 08.2

Source Agence de l’Eau SeineNormandie  Etat des lieux alimentation eau potable IDF version V3 08/2012 page 4 (1)

 

 

La commune d’Annet sur Marne se trouve dans la zone rouge de forte tension quantitative (limitation des prélèvements Alimentation eau potable) et qualitative (nitrates et pesticides)

 

Pour mémoire c’est sur cette commune que se trouve le plus important captage d’eau de Seine et Marne qui fournit en eau potable près de 500 000 habitants.

 

Les habitants reliés à ce captage vont-ils devoir  réduire leur consommation en eau potable ?.

 

Pour  plusieurs raisons :

- captage se trouvant en zone rouge de forte tension quantitative

- construction intensive de logements sur ce secteur (exemple Claye-Souilly 900 logements)

- projet d’extension d’Aéroport de Roissy( aéroport qui est déjà le plus important client de la multinationale gérant ce captage)

- projet de logements Grand Paris.

 

 

(1) http://www.eau-seine-normandie.fr/fileadmin/mediatheque/rivieres-ile_de_france/Etudes_diverses/11NHU075-Etat%20des%20lieux%20AEP%20en%20Ile%20de%20France-AESN_Rapport-final.pdf

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21 décembre 2013 6 21 /12 /décembre /2013 18:58

 

 

paru sur le site Localtis Info:

 

Surveillance des ondes électromagnétiques : un décret précise le dispositif

 

Santé / Environ 

nementPublié le mercredi 18 décembre 2013 

 

Un décret, publié au Journal officiel du 18 décembre 2013, confie officiellement à l'Agence nationale des fréquences (ANFR) la gestion du dispositif de surveillance des ondes électromagnétiques et du fonds de financement associé. Il s'agit de concrétiser la rénovation du dispositif initiée par la loi Grenelle I (art. 42). Ce texte est en effet venu renforcer la surveillance de l'exposition de la population aux radiofréquences émises en particulier par les antennes relais de téléphonie mobile. Pour ce faire, il a prévu la mise en place, par l'Etat, d'un dispositif de mesures des ondes électromagnétiques effectuées par des organismes accrédités et diligentées par des personnes morales dans des conditions définies par décret. Afin d'en assurer le financement, via un fonds public indépendant, une taxe additionnelle à l'imposition forfaitaire sur les entreprises de réseau (Ifer) applicable aux stations radioélectriques a été votée dans la loi de finances pour 2011.

A la diligence des collectivités locales

La nouveauté du dispositif réside dans l'habilitation de certaines personnes morales, dont le présent décret fournit la liste, à solliciter des mesures des ondes électromagnétiques. Outre l'ANFR, y figurent l'Etat, les collectivités territoriales et leurs groupements, l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses), les agences régionales de santé, les associations agréées de protection de l'environnement et les fédérations d'associations familiales. Le décret précise par ailleurs la nature des locaux pouvant faire l'objet d'une mesure des ondes électromagnétiques. Sont ainsi éligibles au dispositif les locaux d'habitation, les lieux ouverts au public et les lieux accessibles au public au sein des établissements recevant du public (ERP). Un arrêté interministériel, publié le même jour, précise ce volet du dispositif, qui entrera en vigueur le 1er janvier prochain. Il fournit notamment le modèle du formulaire Cerfa à la disposition des personnes morales pour solliciter les mesures.

Communication des résultats

Le résultat des mesures est transmis par les laboratoires accrédités à l'ANFR ainsi qu'à l'Anses, qui en assurent la mise à disposition au public. Selon les cas, une fiche de synthèse sera communiquée à l'occupant et au propriétaire des locaux d'habitation ou au responsable de l'ERP concerné. La commune sur le territoire de laquelle la mesure a été effectuée en sera systématiquement destinataire. Les occupants des locaux d'habitation pourront quant à eux s'opposer à la mise à disposition des résultats au public. 
Le nouveau régime de financement prévoit par ailleurs de tenir informés les ministres chargés de l'Environ
nement, de la Santé et des Communications électroniques de l'état des dépenses à travers un rapport annuel de l'ANFR. Ce document devra également mentionner le taux de demandes n'ayant pu être traitées, le délai moyen de traitement, le taux de refus, ou encore la répartition des demandes selon les personnes morales éligibles. A la fin de chaque semestre, il appartiendra également à l'Agence d'informer les ministres "du niveau et du rythme de consommation" du fonds de financement du dispositif, précise l'arrêté.

Philie Marcangelo-Leos / Victoires-Editions

Référence : décret n° 2013-1162 du 14 décembre 2013 relatif au dispositif de surveillance et de mesure des ondes électromagnétiques et arrêté du 14 décembre 2013 pris en application du décret n° 2013-1162 du 14 décembre 2013 relatif au dispositif de surveillance et de mesure des ondes électromagnétiques, JO du 18 décembre 2013, p. 20521et 20523.

http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&cid=1250266375450&np=in2901311

 

Lien vers le décret :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000028336119&dateTexte=&categorieLien=id

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19 décembre 2013 4 19 /12 /décembre /2013 16:47

COMMISSION DE SUIVI DE SITE

DE LA DECHARGE VEOLIA

Claye-Souilly

du  18/12/2013

 

Monsieur Jean-Noël HUMBERT, sous préfet de Meaux  a réuni le 18/12/2013  la Commission de Suivie de Site de la décharge Veolia Claye-Souilly.

 

Elus présents

Mme Michèle Pélabère, conseillère générale du canton de Claye-Souilly

M. Jean Lefort, maire de Fresnes sur Marne

M. Michel Lefebvre, conseiller municipal de Fresnes sur Marne

M. Edouard Proffit, conseiller municipal de Charny.

 

Elu absent

M. Yves Albarello, député-maire de Claye-Souilly (qui n’est jamais venu à aucunes commissions de suivi de cette décharge depuis sa création, ni même son suppléant Monsieur Jean Luc Servières, adjoint à l’environnement)

 

Résumé :

Les services de l’ETAT ont pour mission  d’envoyer les documents présentés par l’exploitant  aux membres de tous les collèges, au moins 14 jours avant la réunion. Or nous avons le regret de constater que les membres du collège « Riverains ou associations de protection de l’environnement » n’ont pas reçu ces documents.

Seule Mme Pélabère représentant le Conseil Général de Seine et Marne a reçu ces documents avant la réunion de la commission de suivi de site.

 

En 2012 :   plus de 71 %  des déchets provenaient d’ailleurs (hors Seine et Marne).

Les ordures ménagères ne représentent que 15.3 %, les déchets industriels représentent la majorité des déchets enterrés dans cette décharge.

 

   

 AIR

 

Pas de points de contrôles de la qualité de l’air implanté par Airparif à proximité de cette décharge.

Afin de permettre à Airparif de pouvoir faire plus de contrôle de la qualité de l’air en Ile de France les associations environnementales demandent que Veolia Claye-Souilly verse la TGAP Taxe sur les activités polluantes à cet organisme,

en effet nous avons constaté que des établissements du groupe Veolia versaient cette

taxe à Airparif dans d’autres départements d’Ile de France mais pas en Seine et Marne.

http://www.douane.gouv.fr/data/dab/pdf/00-233.pdf

 

Nous n’avons obtenu aucune réponse à ce sujet.

 

BIOGAZ

 

Le Biogaz utilisé comme carburant pour les véhicules situés sur le site Veolia et le véhicule de la mairie de Claye-Souilly est stocké dans des petites bouteilles (genre bouteille de plongée).

Le véhicule de la mairie de Claye-Souilly est alimenté suivant les possibilités de Veolia

 

Actuellement l’installation ne fonctionne pas.

 

EAU

 

Le piézomètre PZ8 (le plus proche de l’école maternelle de Fresnes sur Marne) fait ressortir  des concentrations arsenic en mg/l au dessus des normes eau resssource. 

L’arrêté préfectoral ne prescrit pas de valeur maximale de concentration de l’Arsenic dans les eaux souterraines.

 

Les piézomètres PZ5 et PZ9 font ressortir des concentration en sulfates  en mg/l au dessus des normes eaux ressource, notamment des dépassements importants  PZ5.

L’arrêté préfectoral ne prescrit pas de valeur maximale de concentration en Sulfates dans les eaux souterraines.

 

Bien que les associations environnementales le demandent depuis plusieurs années

à la DRIEE n’a imposé aucuns contrôles financés par Veolia  des métaux lourds dans 

l'eau des puits des particuliers  en aval de la décharge (commune de Fresnes sur Marne en particulier) et des forages agricoles et autres.

 

L’arrêté préfectoral n’impose pas à l’exploitant d’envoyer les résultats des analyses des

eaux à la police de l’eau.

 

 

MACHEFERS

 

L’arrêté préfectoral n’impose pas une couverture pour l’installation de mâchefers.

 

La majorité des mâchefers après maturation sont réutilisés sur le site

Un arrêté ministériel du 18/11/2011 réglemente le recyclage des mâchefers d’incinération de déchets dangereux en technique routière.

Nous demandons à la DRIEE divers informations complémentaires concernant notamment la vérification du respect des conditions : valeurs limites de lixivation des lots de mâchefers utilisés.

 

MOUETTES

Madame Pélabère a fait part de son inquiétude concernant le nombre important de mouettes survolant le site et a rappelé ls problème de salmonelles découvert en juillet 2006 dans la

base de loisirs de Jablines

http://adenca.over-blog.com/article-28447167.html

 

ODEURS

 

Les élus des communes de Fresnes sur Marne et Charny ainsi que les associations environnementales ont attiré l’attention sur les odeurs que doivent supporter les habitants

de Fresnes sur Marne, Charny et Claye-Souilly et ne constatent aucune amélioration

depuis toutes ces années.

Des produits sont diffusés dans l’air pour atténuer les odeurs dont nous n’avons pas pu connaître la composition.

Un numéro vert est à la disposition des populations 08 00 14 99 27.

Il est demandé à toutes les communes de le répercuter sur leur site internet.

 

PROJETS  

 

Madame Pélabère a demandé où en était le projet de captage de CO2 mais n’a pas

obtenu de réponse.

 

Les associations environnementales ont demandé  des informations concernant le méga projet de méthanisation, elles n’ont pu obtenir aucunes informations ni de l’exploitant, ni des services de la DRIEE qui ont simplement indiqué que  le dossier était  en cours d’instruction.

 http://adenca.over-blog.com/article-la-decharge-veolia-de-claye-souilly-fresnes-sur-marne-charny-va-t-elle-accueillir-une-des-plus-i-121312150.html

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19 décembre 2013 4 19 /12 /décembre /2013 09:28

 

 

COMMISSION DE SUIVI DE SITE

DE LA DECHARGE VEOLIA

du  18/12/2013

A CLAYE-SOUILLY

COMME AILLEURS

LA LOI

DOIT ETRE RESPECTEE 

 

 

L’arrêté préfectoral concernant la commission de suivi de site de la décharge Veolia de Claye-Souilly  N° 13 DSCE IC 094 du 30/9/2013 prévoit que : « les documents de séance sont transmis quatorze jours avant la date à laquelle se réunit la commission de suivi de site »

 

Les services de l’ETAT ont pour mission  d’envoyer ces documents aux membres de tous les collèges.

 

Or nous avons le regret de constater que les membres du collège « Riverains ou associations de protection de l’environnement » n’ont pas reçu ces documents.

Seule l’élue représentant le Conseil Général de Seine et Marne avait reçu ces documents avant la réunion de la commission de suivi de site.

Pourquoi ? 

 

 

Pour mémoire : il y a quelques mois la commission de suivi de site Veolia Fouju a été ajournée parce que ces documents n’étaient pas parvenus à plusieurs collèges.

 

 

A noter que les membres des collèges siégeant

dans les décharges

Sita Soignolles et Sita Villeparisis

ont reçu les dossiers

dans les délais impartis par l’arrêté préfectoral.

 

 

 

Pour tous renseignements complémentaires contactez les services de la sous préfecture de Meaux ou Madame la Préfète de Seine et Marne.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 20:01

VERS LA DESTRUCTION 

 

PROGRAMMEE DE 

 

LA FORET DE MONTGE 

 

EN GOELE ? 

 


montgé en goele 10.11.2013 2
 forêt de Montgé-en-Goële
Paru sur le site de l'association ADEV 77 :
DERNIERE MINUTE : 
 
      Vous pouvez lire ICI  le procès verbal de la dernière réunion du comité de pilotage du 22 octobre.
      La date du prochain comité de pilotage est  fixé au 4 février 2014, à 14h30 en sous-préfecture de Meaux.
 
      Pour préparer ce comité de pilotage, QUI CLOTURERA ET VALIDERA LE DIAGNOSTIC DE CE PLAN DE PAYSAGE, une réunion à caractère technique à laquelle nous sommes également conviés aura lieu le 10 janvier, 9h30, en Driee, 17,  Bd Morland à Paris, salle Emilie du Châtelet - n°9083, 9éme étage.
 
     Préalablement à cette réunion, une observation commentée du site de la butte de Montgé nous a été proposée...
 
     Vous pouvez également consulter ICI l'édition du 27 novembre 2013 de l'hebdomadaire LA MARNE traitant de ce sujet. Ensuite, vous pourrez découvrir ICI, dans l'édition du 12 décembre la "riposte" de KNAUF...
 
    Selon le carrier, il n'y a pas lieu de s'inquiéter, Montgé en Goële ne serait concerné qu'au delà de 2100 !!! Je voudrais préciser qu'à aucun moment, dans les documents présentés ou lors des réunions du comité de pilotage cette date éloignée n'a été évoquée. En effet, il nous a toujours été indiqué que l'exploitation débuterait fin 2014-début 2015.
    
     Lors de la réunion du 22 octobre 2013, nous avons à nouveau fait part de nos fortes réserves à l'égard de ce projet qui défigurerait d'une part la forêt de Montgé en Goële durant de très nombreuses années et de plus mettrait fortement à mal le capital faunistique et floristique de ce site. Lors de cette réunion nous sommes intervenus pour évoquer le rapport d'enquête publique du SDRIF 2030 indiquant qu'il fallait prendre en compte le schéma départemental des carrières qui prescrit la limitation de l'ouverture de nouvelles carrières et la promotion de l'utilisation de matériaux bio-sourcés ou issus du recyclage. Nous avons ajouté que 50 000 tonnes de plâtre avaient été recyclés en 2012 mais que, contrairement à d'autres pays européens, les tonnages recyclés en France ne représentaient que 14 % du gisement issu des rebuts de plâtre !!!
 
     En ce qui concerne les modes de remblaiement, la société KNAUF emploie le terme de matériaux inertes. Le terme est impropre, ne sont matériaux inertes que des déchets qui ont subi une transformation suffisante pour devenir un nouveau matériau. Or force est de constater qu’en matière de recyclage les sociétés extractives de gypse ne se sont pas dotées des meilleurs outils de recyclage, et sûrement pas sur les déchets de déconstructions qui sont impropres à toutes réutilisations. Ces sociétés n’ont, jusqu’à présent, développé aucune stratégie vers une économie circulaire.
 
     La disparition par tranches extractives de la butte aura donc un fort impact sur la ressource en eau tant par son mode extractif que par les déchets inertes qui serviront au réaménagement.
 
     Nous avons assisté à la première réunion au cours de laquelle a été installé ce comité. D'ores et déjà nous avons manifesté notre totale opposition à ce projet qui défigurerait durablement (pour plusieurs dizaines d'années au minimum) le dernier massif forestier du Nord Seine et Marne. 
 
     D'ores et déjà, l'option d'exploitation de carrières en sous-sol (moins préjudiciables à l'environnement) a été écartée d'office par les Ets KNAUF, ce carrier ne retenant que la carrière à ciel ouvert. Vous pouvez consulter ICI le compte rendu de la première réunion du 5 septembre 2013 qui ne tient malheureusement pas compte de toutes nos interventions, loin s'en faut !!!
 
 
montgé en goele 10.11.2013 6
forêt de Montgé-en-Goële
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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 14:16

 

 

 

 

Pourquoi les  conseillers régionaux de Seine et Marne

ont-ils voté un plan qui permet la maturation de mâchefers

venant d’autres départements

dans la décharge Veolia de Claye-Souilly 

en amont proche de la plus importante station de captage d’eau de Seine et Marne 

située à Annet sur Marne ?

 

 

Pourquoi le Syctom envoie ses mâchefers chez Veolia Claye-Souilly

dans cette décharge

située en amont proche  de cette station de captage d’eau ?

 

 

Rappelons que Monsieur Dagnaud,

président du Syctom est un élu de Paris.

Paris

la ville qui prend des mesures

pour préserver ses ressources en eau potable

mais qui envoie ses mâchefers à proximité du plus important  

captage d’eau de Seine et Marne.

Rappelons que Monsieur Dagnaud n’a toujours pas répondu

à notre courrier du 16 avril 2013.

 

 

Devons-nous considérer cette non réponse de Monsieur Dagnaud

 comme un  message envoyé

aux populations du nord-ouest 77 du genre : 

 

« Circulez, il n’y a rien à voir » ? 

 

A vous de juger

 

syctom 001

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 13:39

 

Où en est le projet

de stockage des déchets de gaz carbonique CO2 

sous la décharge Veolia Claye-Souilly ?

 

Lors de la Commission de suivie de site

de cette décharge

qui s'est réuni ce jour

nous n’avons pu obtenir aucunes informations

 de la part des représentants de Veolia.

 

Un manque de transparence ?

A vous de juger

 

 

 

 

Ce qui se passe ailleurs :

  

 

Paru sur le site Maghreb Emergent :

·                                 Rabah Saïd  

·                                 mercredi 18 décembre 2013 00:07

Doutes sur la viabilité technique et financière de la séquestration de carbone à In Salah

 Depuis 2004, la joint-venture BP, Sonatrach et Statoil qui exploite le gisement gazier d’In Salah mène une expérience d’avant-garde et très suivie en matière de séquestration de carbone.  Plus de 3 millions de tonnes de CO2 ont été séquestrés en « toute sécurité », affirme la joint-venture. Un constat qui date. Des doutes restent de mises sur la fiabilité du procédé et son coût. 

 Le carboneest séquestré dans le cadre de l’exploitation du champ gazier situé dans le bassin central de l’Ahnet-Timimoun renfermant 160 milliards de mètres cubes de gaz et devant être exploiter sur 20 ans. Le gaz contient jusqu'à à 10 % de CO2 et il doit être réduit à 0,3% avant la vente. Cela donne uneproduction d’un millions de tonnés de CO2 par an et un objectif de séquestration de 17 millions de tonnes. Le procédé est nouveau et la surveillance de l’évolution du site est un élément majeur dans la stratégie globale de gestion des risques posés par le stockage géologique. Le GIEC (Groupe Intergouvernemental pour l’Evaluation du Climat relève dans un rapport qu’il n’existe pas de « procédures ou de protocoles normalisés » et qu’ils doivent être élaborés « au fur et à mesure du perfectionnement de la technologie, en fonction des dangers présents et des règlements locaux ».  Après l’attaque terroriste du 16 janvier 2013 contre la base gazière de Tiguentourine qui a entrainé l’évacuation des personnels des entreprises étrangères a tenu à souligner que "rien ne change vraiment" en termes de projet de surveillance du CO2 à In Salah. Et de fait, la surveillance des quelques 3,8 millions de tonnes de CO2 capturés et injectés dans le site d’In Salah (réservoir de Krechba) entre 2004 et 2011 nedevait pas souffrir d’interruption au risque d’unecatastrophe. Mais les opérations de stockage ont été suspendues en 2011 en raison, selon l'Institut de Massachusetts dédié aux études sur les technologies CCS, du recueil de données préoccupantes sur l’intégrité d’un joint du dispositif de stockage. Ces soucis de sécurité sont confirmés par un rapport daté 30 mai 2013 de l’institut français Ineris (Institut national de l’environnement industriel et des risques) qui pointe des fuites et des fuites et des soulèvements de terrain dans le site de stockage de CO2 à In Salah.  A In Salah, indique-t-il, « un soulèvement progressif des terrains (surrection) et une fuite a été constatée le long d’un puits et a fait l’objet de mesures correctives ». L’Ineris publie une liste de 80 sites de stockage de CO2 ou assimilés (dans le monde) où des accidents ont été constatés (fuites, surrections, effondrements….), la plupart (près d’un cas sur deux) sont des fuites ou éruptions massives, ajoute la publication. Selon le document, ces problèmes sont dus à la non-maturité du procédé. L’étude s’interroge aussi sur les risques sismiques dans les réservoirs géologiques qui servent au stockage du carbone.

Une technologie au stade de l’expérimentation 

In Salah est l'un des projets pionniers dans le monde dont on attend un retour d’expérience dans la surveillance du CO2 géologiquement stocké. Il devrait, à ce titre, aider à l’élaboration de protocoles de surveillance et de vérification du stockage du CO2 dans le sous-sol. Outre cet aspect de sécurité industrielle, la question du coût est posée.  Le cout du stockage dans des formations salines et des gisements de pétrole et de gaz naturel épuisés (comme In Salah) peut atteindre 8 dollars/tCO2 injectée. Il faut y faut ajouter entre 0,1 à 0,3 dollar /tCO2 pour la surveillance du site. Dans le cas de la capture de CO2 dans des installations industrielles les couts sont démultipliés. Dans une centrale de production d’électricité l’opération de captage du carbone nécessite, selon la technologie, de 10 et 35% de la production totale de l’installation. Conséquence en termes de coût : il faudra construire plus de centrales pour compenser la perte d’énergie utilisée pour piéger les fumées. Selon le ministre américain de l’énergie, cela entrainerait une hausse des prix de l’électricité pouvant aller de 21 à 91%. L’Agence française de l’environnement et de maitrise de l’énergie (Ademe) parle de « coûts élevés et des perspectives de baisse incertaines ». L’Union Européennequi a lancé en mars 2013 une communication consultative sur l'avenir du captage et du stockage du carbone en Europe table sur 2035 pour voir le CCS commencer « à contribuer dans une plus large mesure à la réduction des émissions de CO2 des installations industrielles de l’UE ».

Des sources de réduction plus économiques existent

Une utilisation massive des technologies CCS dans le court et le moyen terme parait donc problématique. Sans compter qu’il n’existe pas de mécanisme permettant de monétiser la réduction des émissions de CO2 à l’aide de la technologie CCS. Le site de démonstration d’In Salah est entrepris sur une base unilatérale, l’Algérie n’ayant pas sollicité des financements internationaux qui sont tout à fait possibles. Un mauvais choix selon un spécialiste : « Pour une entreprise vendant un produit de base (par exemple électricité, énergie, pétrole, gaz, produits raffinés, ciment ou acier), entreprendre une CCS sur une base unilatérale est un non-sens commercial. Tant que le CO2 stocké n'aura aucune valeur commerciale, il y a peu de chance que ceci change ». D’autres experts soulignent qu’il existe des sources de réduction de CO2 plus économiques que ces techniques de transition (curatives) encore au stade expérimental.

http://www.maghrebemergent.info/energie/hydrocarbures/item/32850-doutes-sur-la-viabilite-technique-et-financiere-de-la-sequestration-de-carbone-a-in-salah.html

 

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