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3 janvier 2015 6 03 /01 /janvier /2015 13:32

 montgé en goele 10.11.2013 2

Forêt régionale de Montgé en Goële

 

Pourtant cette forêt, située entre l’aéroport de Roissy et Meaux l’une des plus importantes villes du 77, présentait de forts enjeux en matière environnementale et sociale, puisque c’est l’un des seuls poumons verts du nord-ouest 77 et  la seule forêt possédant des châtaigniers, platanes, chênes,hêtres... plus que centenaires dans ce secteur.

 

C’est une forêt dont le maintien aurait dû s’imposer pour des raisons écologiques et pour le bien-être de la population du nord-ouest 77 qui vit au milieu des ordures des autres.

 

Mais dans ce dossier il semblerait que le bien-être de la population du nord-ouest 77 ne pèse pas lourd face aux intérêts de l’industriel allemand Knauf.

 

Dans la forêt de Fontainebleau il en est tout autrement : cette forêt est classée « Forêt de protection »il est interdit d’y exploiter le grès et le sable n’y est plus exploité non plus.

Voir comment cette forêt est protégée http://www.fontainebleau.fr/?foret-de-fontainebleau

Le bien-être des populations aisées
vivant
autour de Fontainebleau
 est-il plus important
que celui
des populations modestes
du nord-ouest 77 ?
Pour le savoir contactez :
- M. Stéphane Le Foll  ministre de l’agriculture
- Mme Ségolène Royal, ministre de l’écologie
Site du ministère de l’agriculture :
Forêts de protection

14/01/2013

A ce jour, 150.410 ha sont concernés par ce statut soit 1% de la surface forestière métropolitaine. Ce statut a été créé en 1922 pour lutter contre l’érosion des sols en montagne, et la défense contre les risques naturels (avalanches, glissements de terrain...) ainsi que contre l’envahissement des eaux et des sables en zone côtière. Il a été élargi en 1976, par la loi sur la protection de la nature, aux forêts dont le maintien s’impose soit pour des raisons écologiques, soit pour le bien-être de la population pour les forêts péri?urbaines.

Procédure de classement

Le classement fait l’objet d’une procédure centralisée au ministère en charge des forêts et il est prononcé par décret en Conseil d’Etat. 
Il crée u
ne servitude nationale d’urbanisme et soumet la forêt à un régime forestier spécial qui entraîne une restriction de la jouissance du droit de propriété : tout défrichement est notamment interdit ainsi que toute implantation d’infrastructure. Une gestion forestière est possible tenant compte des enjeux à protéger. 
Le régime forestier spécial permet également de contrôler la circulation du public et des véhicules motorisés. Le code forestier prévoit u
ne possibilité d’indemnisation des propriétaires qui constateraient une diminution de leur revenu due au classement.

Le classement en forêt de protection, outil juridique le plus contraignant pour la protection des forêts, est réservé aux massifs présentant de forts enjeux en matière environnementale et sociale, notamment en zone périurbaine.

Cet outil de protection contribue à la stratégie de création des aires protégées mise en place par le Grenelle de l’environnement.

Pour en savoir plus

http://agriculture.gouv.fr/Forets-de-protection

 

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3 janvier 2015 6 03 /01 /janvier /2015 09:25

 

Au vu d’un arrêté préfectoral en date du 24/11/2014 (1) nous apprenons que la Sté Capoulade a l’intention d’étendre sa décharge d’Isles les Meldeuses dans les nouvelles carrières qu’elle est entrain de creuser au lieudit « La Grande Payelle ». 

 Alors que le Plan déchets PREDMA interdit pour l’instant en Seine et Marne l’extension de décharges de déchets ultimes (ordures ménagères et déchets industriels non dangereux) il semblerait que ce ne soit qu’une situation provisoire et que notre département doive dans les années à venir recevoir encore et encore les ordures des autres.

Le Conseil Régional IDF qui décide pour nous au travers des plans déchets va-t-il modifier le plan déchets PREDMA et autoriser de nouveau  le nord  77 à recevoir encore plus d’ordures des autres ?

 

Que se passe t-il derrière notre dos ?

 

Pour mémoire Mme Corinne RUFET (EELV), vice présidente du Conseil Régional d’Ile de France chargée de l'environnement,  n’invite pas ADENCA dans les réunions de concertation Plans Déchets (2), bien que cette association travaille en permanence sur le dossier des déchets et se trouve dans la région de France la plus impactée par les décharges.

 

Des méthodes d’un autre temps où une poignée d’élus décident pour nous, sans concertation avec les populations les plus concernées, comment ne pas constituer dans ces conditions des Zones à Défendre puisque que nous n’avons pas d’autre choix pour nous faire entendre ?

 

(1) http://www.seine-et-marne.gouv.fr/content/download/14335/102186/file/AP%20MeD%20DRIEE%20UT77-224%20du%2024-11-14.pdf

(2) PREDMA, PREDD, PREDEC

 

 

 

 

 

 

 

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3 janvier 2015 6 03 /01 /janvier /2015 09:21
Paru sur le site FR3 Bourgogne :
Il n’y aura pas de carrière à Courson-lès-Carrières (Yonne)

La cour administrative d'appel de Lyon vient d'annuler l'autorisation d'exploiter la carrière des bois de Rochotte à Courson-lès-Carrière dans l'Yonne, délivrée en 2008 pour extraire du carbonate de calcium.

Par Muriel Bessard

Publié le 31/12/2014 | 11:10, mis à jour le 31/12/2014 | 11:10

C’est l’aboutissement de 6 ans de combat juridique pour les membres de l'association de défense du bois des Rochottes  sur la commune de Courson-les-Carrières, dans l'Yonne. 6 ans qu’ils se battent contre ce projet de carrière de la société La Provençale qui souhaitait extraire du carbonate de calcium, un composé utilisé dans de nombreux produits chimiques. Pour les tenants du projet en revanche, dont le maire de la commune, c’est la perspective de créer une 15aine d’emplois qui s’effondre.


Le feuilleton juridique a duré 6 ans

L’autorisation d’exploitation d’une carrière avait été délivrée par la préfecture de l’Yonne en 2008. Des travaux d’aménagement du site, notamment de défrichage, ont été engagés. Mais des opposants s’étaient élevés contre ce projet.
Basé sur la défense de l’environ
nement et du site, leur combat avait enchaîné les pétitions et les recours contre la société La provençale qui souhaitait exploiter le site. En 2010, le tribunal administratif de Dijon avait donné gain de cause à l’entreprise mais en juin 2014 c’est en faveur des opposants que le Conseil d’Etat s’était prononcé.Le 16 décembre, la cour administrative d’appel de Lyon, a scellé le sort de cette carrière. Les opposants s’interrogent maintenant sur le devenir du site et pensent à sa réhabilitation. La société La provençale peut toutefois encore introduire un recours.


A quoi sert le carbonate de calcium ?

C'est un produit qui entre (parfois en remplacement de la pierre de chaux) dans la fabrication de nombreux produits : peintures, dentifrices, céramiques, mastic, insecticides, encres, adhésifs, linoléum, tiges à souder…, dans certains médicaments,  et dans la fabrication de plastiques et de caoutchouc synthétique. Il est aussi utilisé dans des produits alimentaires (pour enlever l'acidité des vins, des aliments et des préparations commerciales).

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/2014/12/31/il-n-y-aura-pas-de-carriere-courson-les-carrieres-yonne-622034.html#xtor=EPR-521-

 

 

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2 janvier 2015 5 02 /01 /janvier /2015 21:29

Quand il s’agit des permis de  recherches d’hydrocarbures

ou de l'implantation de  décharges encore et encore

en Seine et Marne

Mme Ségolène Royal n'intervient pas.


 

Mais quand il s’agit d’envoyer

les déchets dangereux de la Région Poitou Charentes

là elle se rappelle qu’il y a

une décharge à Villeparisis.

 

 

 

Paru sur le site 20 Minutes :

 

GAZ DE SCHISTE La ministre de l'Ecologie a rejeté huit nouveaux permis de recherche d'hydrocarbures dans le Gers...

 

 

Ségolène Royal met un terme à la recherche d'hydrocarbures dans le Gers

Créé le 31.12.2014 à 19:28

La ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, vient de donner un coup d'arrêt à la recherche d'hydrocarbures dans le Gers en rejetant huit nouveaux permis et le renouvellement de deux autres, a-t-on appris mercredi de sources concordantes.

Le président du conseil général Philippe Martin (PS) et prédécesseur de Ségolène Royal au ministère a indiqué dans un communiqué qu'il avait «alerté» la ministre sur «l'émotion suscitée dans le Gers par la demande de prolongation du permis dit de "Saint-Griède" susceptible de déboucher sur la recherche de gaz ou de pétrole de schiste».

Des conditions non réunies 

Le collectif départemental «Non au gaz de schiste» bataillait par ailleurs depuis deux ans et demi «contre toutes les demandes de nouveaux permis», soit huit dossiers à ce jour, a indiqué de son côté la porte-parole du collectif, Sylviane Baudois, à l'AFP.

En ce qui concerne Saint-Griède, dans l'ouest du Gers, la ministre a relevé, dans une lettre de réponse à Philippe Martin dont l'AFP a eu connaissance, que la société Gas2Grid, détentrice d'un permis de recherche d'hydrocarbures conventionnels, s'était engagée à ne pas utiliser la technique de la fracturation hydraulique interdite par la loi en juillet 2011. «Toutefois», a-t-elle ajouté, «compte tenu de la sensibilité locale de ce dossier, je considère que les conditions ne sont pas réunies pour autoriser la prolongation de ce permis».

Contre la recherche de gaz de schiste

La ministre a par ailleurs réaffirmé dans une lettre au préfet son opposition «à une quelconque autorisation de permis de recherche de gaz de schiste», indiqueSylviane Baudois. Dans cette lettre, la ministre a indiqué qu'il convenait de «répondre négativement aux demandes de permis initial comme à celle tendant à renouveler les permis en cours».

«Les groupes pétroliers savent qu'il n'y a pas ou plus de pétrole conventionnel à exploiter dans la région, il se gardent bien de déposer des demandes incluant la fracturation hydraulique, mais se positionnent pour des permis conventionnels en attendant un changement de loi après les élections de 2017», explique la porte-parole des opposants au gaz de schiste. La militante estime que la prise de position de la ministre «doit constituer une jurisprudence de fait et s'appliquer partout».

http://www.20minutes.fr/planete/1508459-20141231-segolene-royal-met-terme-recherche-hydrocarbures-gers

 

 

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2 janvier 2015 5 02 /01 /janvier /2015 09:28
        forêt de Montgé en Goële


Où partent
 les châtaigniers, hêtres, chênes plus que centenaires
coupés
dans la Forêt de Montgé-en-Goële ?
Nous n’en savons rien 
Paru sur le site Basta :

 

DÉFORESTATION

Mobilisation pour les forêts françaises convoitées par les traders du bois

Certains sont vêtus de noir, d’autres portent un cercueil orné par la gravure d’un arbre. Les militants du collectif SOS Forêts France, qui regroupe des dizaines d’associations, de syndicats forestiers et de personnalités qualifiées, sont venus enterrer symboliquement la forêt française au Panthéon le 3 avril. C’est le dernier jour de dépôt des amendements au projet de Loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt, avant son examen au Sénat à partir du 8 avril. « Nos forêts ne seront bientôt plus qu’un joli souvenir si nous ne changeons pas le projet de loi », avertit le Collectif dans une pétition qui a recueilli plus de 50 000 signatures en moins d’un mois. L’enjeu, « lancer l’alerte pour protéger nos forêts et sauvegarder les emplois de la filière bois ».

Les orientations actuelles du projet gouvernemental favorisent, selon le Collectif, « la concentration économique de la filière autour de méga-scieries ou de méga projets bois biomasse », qui auront pour conséquence « des volumes de coupe gigantesque » dans les forêts du Morvan, des Landes ou d’Alsace. Il deviendrait impossible pour les petites et moyennes entreprises de faire le poids face aux « traders du bois » (voir notre enquête : Les forêts françaises, nouvel eldorado industriel ?). Le Collectif préconise une gestion nationale des projets en concertation avec les territoires, et exige des plans d’approvisionnements précis, locaux et durables. SOS Forêts France demande également la suppression de l’alinéa 65 de l’article 30 qui autorise pour la première fois depuis 1349, une régression de la surface forestière.

Le Parti de Gauche s’associe au mouvement et propose plusieurs amendements visant notamment à maintenir les personnels de l’Office national des forêts dans leurs missions de service public (lire à ce sujet notre article : La France veut-elle privatiser ses forêts et se débarrasser de l’ONF ?). Dans une lettre ouverte aux Sénateurs, SOS Forêts France réaffirme son refus d’ « une industrialisation intensive des forêts basée sur une rentabilité maximale à court terme » et « la mise en place d’une politique de gestion des forêts favorisant partout la monoculture de résineux, l’utilisation abondante de pesticides, les coupes rases… ». Des choix qui ne sont pas sans rappeler ceux faits en agriculture avec des conséquences parfois désastreuses. Pour SOS Forêts France, d’autres pistes de développement économique existent :« La relocalisation dans les territoires et le développement de petites unités de production d’énergie, prioritairement orientées vers la production de chaleur, proches de la ressource, est l’alternative principale à promouvoir. » Qu’en disent Stéphane Le Foll et Ségolène Royal ?

 

http://www.bastamag.net/Mobilisation-pour-les-forets

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2 janvier 2015 5 02 /01 /janvier /2015 09:27

 

ZI MITRY INCINERATEUR 8122009

ZI de mitry-compans (7 sites SEVESO) vue sur l'incinérateur de déchets dangereux Seveso à hauts risques

 

 

La circulaire du 15/11/12 permet d’ouvrir les commissions de suivi de site

au public sur décision du bureau (1).

 

Une législation qui semblait favorable aux riverains des décharges, incinérateurs, sites SEVESO à hauts risques, qui leur permettait de pouvoir assister aux réunions de ces sites dangereux ou polluants, mais c’était sans compter au nord-ouest 77 sur l’opposition des industriels, soutenus par les services de l’ETAT et  la majorité des élus.

 

En effet sur 4 commissions où les associations environnementales et de riverains ont demandé l’ouverture au public aucune n’a été accepté :

 

- BASF Meaux site SEVESO à hauts risques

c’est Mme Colette JACQUET, conseillère municipale de Meaux, représentante des élus qui a refusé.

 

- SITA Villeparisis décharge de déchets dangereux SEVESO à hauts risques

c’est M. Patrick MAURY, adjoint au maire de Villeparisis, représentant des élus qui a refusé.

 

- ZI de Mitry-Compans 7 sites SEVESO dont 3 à hauts risques

M. Frank SUREAU, adjoint au maire de Mitry, représentant des élus, avait donné un avis favorable, mais hier lors de la CSS de Mitr-Compans nous avons appris qu’il avait démissionné de son poste de représentant du bureau de la CSS.


- REP VEOLIA Claye-Souilly la plus importante décharge de déchets ultimes d’Europe

la représentante de Nature Environnement 77(2) et membre du bureau de la CSS demandait qu’une réunion de bureau soit organisée pour statuer sur l’ouverture de la CSS, le représentant de M. Jean-Luc MARX, préfet du 77, refuse.

Rappelons que depuis la mise en place de cette CSS, le bureau ne s’est jamais réuni.

 

Pour mémoire c’est dans ce même département de Seine et Marne que les comptes-rendus du Coderst ne sont pas mis en ligne, alors que M. le Préfet du 93 les met en ligne.

 

 

Un manque de transparence 

en

 Seine et Marne?

 

A vous de juger

 

 

 

 

(1) http://www.ineris.fr/aida/consultation_document/22379

 

(2) http://www.environnement77.fr/

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31 décembre 2014 3 31 /12 /décembre /2014 11:12

 

 

La rubrique d'Alain

 

J'aimerais souhaiter une bonne et surtout meilleure année à notre terre, notre air, nos rivières, à nos forêts et à vous tous lecteurs de ce blog.

Une année pleine d'honnêteté et de réflexion, une année sans Année Internationale de je ne sais plus quoi (*note1)

Une année dont nos enfants et petits enfants nés pendant ces douze prochains mois pourraient être fiers et de nous par la même occasion…

Une année pendant laquelle nous ne serions pas obligés de nous révolter pour nous faire entendre.

 

Allez… même bio n'abusez pas trop du champagne et du chocolat……

 


Champ

 

 

  Et un peu de lecture pour ces soirées d'hiver :

- L'âge de Faire Janvier 2015 : le jeu de dupes des enquêtes publiques (p5)

- Causette : "Le bal des faux semblants" (Décembre 2014 p56)

- Fabrice Nicolino "Qui a tué l'écologie"

 

 

 

Note1: en fait je le sais très bien mais qui s'en soucie et s'en souvient.

 

2014…. C'était selon l'Unesco "the International Year of Family Farming", oui oui l'année de l'agriculture familiale….. vous en avez entendu parler vous….

 


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31 décembre 2014 3 31 /12 /décembre /2014 09:32

L’INERIS vient de produire des  cartes des inégalités environnementales en France , cartes qui devraient être évolutives  suivant les spécificités des régions.

Lien vers la carte pour l’Ile de France

http://www.ineris.fr/centredoc/carte-iledefrance-1412325556.pdf

 

 

Vous trouverez ci-dessous la contribution d’ADENCA adressée à l’INERIS.

  

La création de cette carte est un pas en avant mais nous regrettons que les données date de 10 ans, en effet en 10 ans la situation s’est profondément dégradée dans certaines régions comme le nord-ouest 77.

 

1° air : la carte se base sur des modélisations qui peuvent être très éloignées de la réalité dans des secteurs où il n’y a jamais eu de points de contrôles fixes de la qualité sur lesquels on a accumulé

des aéroports internationaux, des décharges, des carrières remblayées par des déchets, des mégas zones industrielles avec des entreprises qui rejettent des polluants dans l’air, polluant qui ne sont comptabilisés nulle part (exemple de fabrication de bitume), le nord-ouest 77 est l’une de ces zones.

 

3° sol : il serait souhaitable que la carte tienne compte des épandages sur les sols agricoles.

 

4° eau potable : 

La Seine et Marne est constituée majoritairement de petites communes qui ne sont contrôlées qu'une fois tous les 5 ans (comme l'indique votre graphique) alors que les grandes communes le sont 4 fois par an et Paris et la Petite Couronne peut-être parfois plus.

Comment pensez-vous faire évoluer la carte pour permettre une comparaison plus égalitaire entre le 77 et Paris petite couronne ?

 

 

Propositions pour  l'Ile de France

- Croisement  des données avec le registre des cancers des enfants

- Intégrer des données supplémentaires spécifiques à cette région

  Pollution eau potable par les pesticides (en mars 2014, NE77 relevait que dans 30 communes du 77 l'eau ne devait pas être consommée par les femmes enceintes et les nourrissons)

- Intégrer les pollutions aéroportuaires autour de Roissy en France, Orly, Le Bourget et des dizaines d'aérodromes d'Ile de France

- Intégrer les données bruit et pollution des axes routiers.

 

 

 

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30 décembre 2014 2 30 /12 /décembre /2014 18:06

 

 

Quand il s’agit du Lubéron ou du Var où vivent les populations aisées Mme Ségolène Royal s’exprime de suite mais quand il s’agit de site dangereux découvert en Seine et Marne, on ne l’entend pas !

 

Elle a pourtant été alertée par une lettre préfectorale du 15/10/2014, voici plus de 2 mois.

 

Il semblerait que ce soit un article paru de le Parisien 77 d’hier qui ait accéléré ce dossier.

 

En effet M. le préfet du 77 a ordonné l’évacuation de 3000 m3 de déchets dangereux de ce site hier.

Aujourd’hui il a pris 2 nouveaux arrêtés préfectoraux (1)  pour saisir l’Ademe, faire mettre le site en sécurité et évacuer les déchets vers les bonnes filières d’élimination.

 

 

Mais qui va payer ?

 

C’est vous comme d’habitude

 En effet l’ADEME est un organisme financé par vos deniers publics.

 

 

Pourtant si la Sté SIADIS est défaillante et non solvable l’ETAT peut se retourner contre le producteur des déchets qu’il doit connaître puisqu’il est en possession de bordereaux de transports de la Sté Lucas Lefèvre d’Aulnay.

http://www.entreprises.cci-paris-idf.fr/web/environnement/dechets/tout-savoir-dechets/obligations-producteur-dechets

 

Pourtant l’ETAT peut également se retourner contre le propriétaire du hangar où sont entreposés les déchets dangereux et qu’il connaît également.

http://www.actu-environnement.com/ae/news/sites-pollues-dechets-responsabilite-proprietaires-23162.php4

 

 

 Affaire à suivre........

 

(1) http://www.seine-et-marne.gouv.fr/content/download/14479/103302/file/AP%2030%20dec14%20DCSE%20Vaudoy.pdf

http://www.seine-et-marne.gouv.fr/content/download/14481/103318/file/AP%2014%20DCSE%20IC%2079%20travaux%20d%20office%20ademe.pdf

 

 

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30 décembre 2014 2 30 /12 /décembre /2014 10:06
Paru sur le site la République de Seine et Marne :
Vaudoy-en-Brie Le préfet fait évacuer 3 tonnes d'ammonitrate d'un hangar agricole

Après la découverte de produits dangereux dans un hangar agricole du Vaudoy-en-Brie, le préfet de Seine-et-Marne a fait évacuer 3 tonnes d'ammonitrate.

Dernière mise à jour : 29/12/2014 à 19:25

 

Le préfet de Seine-et-Marnea confirmé ce lundi 29 décembre, en conférence de presse, la présence d'ammonitrate dans un hangar du Vaudoy-en-Brie” L’inspection des installations classées a mis la main sur un trafic de déchets dans un hangar du Vaudoy-en-Brie ! ” C’est ce qu’a confirmé en conférence de presse, ce lundi 29 décembre, le préfet de Seine-et-Marne, Jean-Luc Marx.

Ammonitrate

La société exploitante spécialisée dans le recyclage des déchets industriels dangereux, Siadis, entreposait chez un agriculteur local 3 tonnes d’ammonitrate (un engrais azoté à base de nitrate d’ammonium) ainsi que de la paille. ” L’ammonitrate explose, comme ce fut le cas pourl’usine AZF de Toulouse, et la paille ça brûle, précise le représentant de l’État. Le risque le plus évident était celui de l’incendie “.

Évacuation

L’ammonitrate vient d’êtré évacué par mesure de précaution. Ainsi, les habitants du Vaudoy-en-Brie, un village situé dans le canton de Rozay-en-Brie, ont peut être échappé au pire. Même si le hangar est situé à 700 mètres du premier hameau d’habitation, le long de la D 609.
” L’Etat va prendre charge l’état des lieux, puisque malgré deux arrêtés de mise en demeure pour procéder à la mise à l’abri des stocks, rien n’a été fait, poursuit le préfet, qui avait entamé cette procédure le 8 décembre dernier. Chaque récipient devra être analysé. Nous allons ensuite nous retour
ner contre l’exploitant qui aurait dû déclarer ces déchets à recycler “.

Une enquête de gendarmerie est en cours.

Agnès GAUDICHON-BRAÏK

http://www.larepublique77.fr/2014/12/29/le-prefet-fait-evacuer-3-tonnes-dammonitrate-dun-hangar-agricole/

 

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