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20 novembre 2013 3 20 /11 /novembre /2013 20:44

l’Etat a tenu une table ronde à la conférence environnementale sur le thème :

« Faire de la France un pays exemplaire

en matière de reconquête de la biodiversité »

Pendant qu’au nord-ouest 77 deux  projets de carrière de gypse à ciel ouvert, situés à seulement 16 kms de distance, devraient détruire la biodiversité dans le bois Gratuel à  Villevaudé et dans la forêt régionale de Montgé en Goële.

Comme le disait Edmond Rostand :

« L’obligation de subir nous donne le droit de savoir »

L’ETAT français est-il favorable aux carrières à ciel ouvert à Villevaudé et Montgé-en-Goële ?

Nous devons savoir.

 Carrière à ciel ouvert Placoplatre à Villeparisis

qui va être remblayée par des déchets "dits inertes"

 


Conférence environnementale :

Table ronde n°2 : Faire de la France un pays exemplaire en matière de reconquête de la biodiversité 

13 septembre 2012 (mis à jour le 14 septembre 2012) 



 Consulter les documents suivants :

 

·                               Résumé stratégie nationale de la biodiversité 2011-2020

  

·                               11 fiches sur  les indicateurs de l’ONB :

Biodiversité et société : des questions pour débattre
Quelle connaissance avons-nous des enjeux de biodiversité ?
Comment notre société s’implique-t-elle face aux enjeux de biodiversité ?

Comment notre société dépend-elle de la biodiversité et de son évolution ?
Comment notre gestion du territoire influe-t-elle sur la biodiversité ?
Quelles pressions majeures notre société fait-elle peser sur la biodiversité ?
Comment la biodiversité évolue-t-elle en France ?
Sur quels éléments majeurs de la biodiversité devons-nous faire porter nos efforts ?
Comment notre société préserve-t-elle la biodiversité ?
La thématique Nature
Le jeu SNB (dont outre-mer)

·                               Stratégie nationale de la biodiversité 2011 2020

·                               Pour un bon état écologique du milieu marin : La mise en oeuvre de la directive-cadre stratégie pour le milieu marin

·                               La Trame Verte et Bleue

·                               "Plans nationaux d’actions en faveur des espèces menacées : objectifs et exemples d’actions"

·                               Les oiseaux et les hommes : des zones humides en partage

·                               Ramsar et la gestion des zones humides

·                               Le génie écologique des entreprises au service de la biodiversité

·                               Le point sur « compenser les atteintes à la biodiversité : expérience internationale et enseignements pour la France »

·                               Le point sur « Le nouveau régime de responsabilité environnementale : les méthodes d’équivalence pour une réparation en nature » 
 

http://www.developpement-durable.gouv.fr/Table-ronde-no2-Faire-de-la-France,29454.html

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19 novembre 2013 2 19 /11 /novembre /2013 19:24
Paru sur le site Agoravox :
Pollution de l’eau potable en France : à la recherche de données fiables…

Que savons-nous de la qualité de notre eau ? La question est aussi brûlante que polémique, à l’heure où l’organisme chargé de collecter les données sur la pollution des eaux françaises est durement mis en cause par la Cour des Comptes.

Il ne se passe pas une semaine sans que des révélations fracassantes ou des discours anxiogènes sur la qualité de nos eaux soient relayés dans les médias : résidus médicamenteux (hormones des pilules contraceptives, antibiotiques, anxiolytiques) qui contaminent la faune aquatique, rejets industriels (perchlorates, phosphates) et agricoles (pesticides, nitrates)… Au-delà des gros titres, la question se pose de savoir si les eaux destinées à la consommation sont correctement contrôlées et si ces informations sont accessibles. Cette interrogation est plus que jamais d’actualité puisqu’un rapport de la Cour des comptes remet en cause la capacité de l’Office national des eaux et des milieux aquatiques à fournir des données fiables (Onema).

 

Un instrument de mesure imparfait

Cet établissement public, créé en 2007, sous la tutelle du Ministère de l’Ecologie a notamment pour mission de collecter toutes les informations concernant l’eau, de surveiller l’évolution de la qualité, de contrôler le respect des normes françaises et européennes. Il coordonne le service d’information sur l’eau (SIE), une base de données officielle théoriquement exhaustive et fiable. Le rapport de la Cour des comptes dénonce à la fois la désorganisation, le manque de moyens et de transparence qui empêchent l’Onema d’assumer pleinement les tâches qui lui incombent.

Ces révélations mettent la lumière sur des critiques formulées par des chercheurs, et des associations de défense de l’environnement depuis plusieurs années. Une vaste enquête publiée par le WWF en 2011 sur la qualité des eaux souterraines et de surface soulignait notamment les points suivants : les mesures effectuées sur les polluants sont inadaptées (les micro-polluants ne sont pas assez recherchés donc leur effet potentiel sur la santé à long terme n’est pas évalué, pas plus que les risques liés à des combinaisons de substances) et les analyses portent sur un trop petit nombre de produits. L’ONG considère donc que la France ne se soumet qu’a minima aux exigences de la directive-cadre européenne sur l’eau adoptée en 2000. Elle soulève enfin une question de fond : un jeune organisme, l’Onema, placé sous l’autorité du Ministère de l’Ecologie, peut-il travailler de façon indépendante sachant que ses analyses révèlent l’impact des décisions prises par sa tutelle ?

En aval, des normes plus ou moins respectées

 

Les messages officiels et les compagnies de distribution le répètent à l’envie : l’eau du robinet est l’« aliment le plus contrôlé » ! Ces contrôles permettent régulièrement d’identifier des substances potentiellement dangereuses pour la santé, les agences régionales de santé et les préfets peuvent alors avertir la population ou les personnes à risques (enfants, femmes enceintes, personnes âgées) qu’elles ne doivent pas consommer cette eau.

 

Ce fut le cas en juillet 2012 en Haute-Normandie pour une pollution aux nitrosamines, dans le Nord-Pas-Calais, après la découverte d’ions perchlorates. Mais le respect des normes légales et sanitaires est, lui aussi, mis en question par des associations. L’UFC-Que choisir et la fondation Danielle-Mitterrand France Libertés se sont penchés sur les dérogations accordées aux réseaux de distribution d’eau quand certains produits dépassent les normes de qualité sans présenter un danger pour la santé. Dans un objectif de transparence, ils publient des cartes de ces dérogations, qui peuvent concerner un ou plusieurs polluants, une ou plusieurs communes, pour 3 à 9 ans. La distribution de l’eau potable quoique très encadrée dépend de différentes normes, plus ou moins contraignantes.

 

Cette réalité ajoute à la confusion des consommateurs… Tel taux de telle substance est-il impératif ou conseillé ? A partir de quand présente-t-il un danger pour la santé ? Il existe de multiples données : des ministères de la santé et de l’écologie, du Centre d’information sur l’eau (une association de sociétés de distribution et d’exploitation) et des Agences régionales de santé etc., facilement consultables, mais difficiles à interpréter pour les non-spécialistes.

 

Enfin, la collecte de données, leur traitement, l’évaluation des risques sanitaires dépendent de divers organismes publics et autorités administratives ce qui n’aide certainement pas les citoyens, pourtant en attente d’une information claire et durablement fiable, à s’y retrouver.

 

Des réformes à venir ?

 

En réponse au rapport de la Cour des comptes, la Ministre de l’Ecologie a annoncé un renforcement du contrôle interne des services de l’Onema et souligné les progrès déjà effectués dans le fonctionnement de cet organisme.

 

Il y a 10 ans, un rapport du Sénat (« La qualité de l’eau et l’assainissement en France ») pointait déjà que : « les réglementations relatives à la protection des eaux et les actions de prévention des pollutions diffuses ont, au mieux, un bilan médiocre ».

 

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/pollution-de-l-eau-potable-en-143747

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18 novembre 2013 1 18 /11 /novembre /2013 17:18

 

Réunion jeudi 14/11/2013  à Crécy la Chapelle

organisée par le Conseil Général 77 :

 

« Amélioration de la performance des réseaux d’eau potable :

les outils à disposition des élus » 

 

Les réseaux eau potable dans notre département sont pour majorité en mauvais état.

 

A plusieurs reprises les intervenants ont indiqué :

« on est sur une poudrière ».

 

Il semblerait que depuis des décennies un certain nombre d’élus n’ait pas considéré l’état de leur réseau d’eau comme prioritaire.

 

A l’heure où l’eau risque de devenir une denrée rare, une prise de conscience collective est nécessaire.

 

  A l’heure où le prix de l’eau ne cesse d’augmenter il est nécessaire que les communes luttent contre les fuites d’eau de leur réseau, qui pour certaines durent depuis plusieurs années.

 

L’un des points noirs du département est la présence de canalisations en amiante-ciment (19 %).

 

Nord-Ouest 77 : matériaux majoritaires des  réseaux AEP Amiante-ciment ,communes concernées :

 

Charny, Cuisy, Le Plessis-L’Evêque, Longperrier,  Messy, Montgé-en-Goële,  Thieux, St Mesmes, St Pathus 

 

Aucunes informations sur les communes suivantes :

Charmentray, Juilly, Nantouillet, Précy-sur Marne,Villeparisis, Vinantes.

Voir page 24 http://eau.seine-et-marne.fr/library/V3-patrimoine-AEP-seine-et-marne 

 

Le renouvellement du patrimoine enterré AEP

Le département est en retard sur ce paramètre puisque le taux de renouvellement actuel du réseau AEP sur le département est de

0,21 % ce qui signifie qu’à ce rythme, il faudrait environ 450 ans pour renouveler l’ensemble du  réseau alors que la durée de vie estimée d’un réseau type en Seine-et-Marne est de 66 ans.

Voir page 39 http://eau.seine-et-marne.fr/library/V3-patrimoine-AEP-seine-et-marne

 

 

 

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18 novembre 2013 1 18 /11 /novembre /2013 09:46

 

 

CLAYE-SOUILLY ENVIRONNEMENT,

L’ENVERS DU DECOR :

L’ETAT DE LA ROUTE QUI MENE A LA FERME BIO ! 

 


 

GUE PRIEUR 1.11.2013 3 

 

Une ferme bio s’est installée sur la commune depuis quelques années au lieudit « Gué Prieur », après le cimetière de Claye.

 

Or pour s’y rendre les habitants de notre commune doivent emprunter une route en très mauvais état où même les ornières ne sont pas rebouchées.

 

En effet nous comprenons que la commune fort endettée ne puisse souscrire un nouvel emprunt pour refaire cette route, mais à minima les ornières ne pourraient-elles pas être rebouchées ?


GUE PRIEUR 1.11.2013 2

 

Peut-être

pourrait-on réduire le budget fleurissement du centre ville

 pour permettre le comblement des ornières

au « Gué Prieur » ?

 

A vous de juger

 

 

 GUE PRIEUR 1.11.2013

 

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16 novembre 2013 6 16 /11 /novembre /2013 14:56

 

 

NE LAISSONS PAS DISPARAITRE

LE BOIS GRATUEL

QUI BORDE

L’AQUEDUC DE LA DHUIS A VILLEVAUDE !

 

http://www.petitionpublique.fr/?pi=dhuis2

http://www.environnement77.fr/article-la-dhuis-a-nouveau-menacee-113225256.html

 

dhuis villevaudé 2 15.10.2011

 

 

dhuis manif 19.11.2011 1

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15 novembre 2013 5 15 /11 /novembre /2013 17:17

 

Conseil Général Seine et Marne 

 

Séance du vendredi 27 septembre 2013

DÉLIBÉRATION N° CG-2013/09/27-2/02

Commission n° 2 - Administration Générale et Personnel

Rapporteur : PELABERE Michèle

Commission n° 7 - Finances

Rapporteur : BALLOT Jacques

 

Vote à l’unanimité

 

Pour autoriser le Président du Conseil général à engager un recours à l’encontre de la décision expresse de rejet de la Préfète de Seine-et-Marne de la demande du Département d’annuler l’arrêté

n° 2013/DDT/SEPR/19 en date du 29 janvier 2013 par lequel la Préfète de la Seine-et-Marne a autorisé la société ECT à exploiter une extension de l’installation de stockage de déchets inertes aux lieudits « les Culées », « les Carreaux » et « l’Orme du Bordeaux » sur le territoire de la commune d’Annet-sur-Marne, et à l’encontre de cet arrêté lui même.

 

 

http://www.seine-et-marne.fr/rapports-et-deliberations/204998?pager.total=2688&pager.search=&pager.offset=60&pager.size=20

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 20:46
Pour mémoire
la Préfecture de Seine et Marne
a  donné  à ADP deux nouvelles dérogations
de rejet des eaux pluviales
dans la Reneuse, affluent de la Beuvronne :
Du 27/12/2012 au 17/1/2013 et du 17/6/2013 au 4/7/2013 
Soit 40 jours en un peu plus de 6 mois

 


Paru sur le site Coordination eau Ile de France :
Ethylène glycol dans la Marne, les fortes recommandations de la cellule de veille sanitaire

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En relais d’associations locales et environnementales, de collectivités territoriales et de « simples » usagers citoyens, la Coordination EAU Île-de-France mène depuis le début de 2012, une action sur les terrains juridique et médiatique pour qu’ADP ne rejette plus dans la Marne des eaux pluviales contaminées par les glycols. Suite à cette action et à notre demande d’une étude indépendante, la préfète de Seine et Marne a saisi la Cellule inter-régionale d’épidémiologie (CIRE) Île-de-France—Champagne Ardenne, représentant de l’Institut national de Veille Sanitaire (InVS). L’avis de la CIRE -daté de novembre 2012, qui nous a été transmis en juin 2013 !-  a pour objectif la détection d’un glycol toxique à la prise d’eaux brutes de l’usine de potabilisation d’Annet – sur- Marne afin d’en estimer l’impact sur la santé publique.


NB : ci-dessous, les propos de la CIRE sont repris en italique.

Le contexte de détection de l’éthylène glycol toxique. 

L’alerte lancée par l’association AVRVM  le 8 février 2011 s’appuie sur une mesure  ponctuelle du glycol toxique EG réalisée en mars 2009 par l’exploitant à la prise d’eaux brutes de l’usine de potabilisation d’Annet-sur-Marne.

Selon la préfecture citée par la CIRE…ce composé hors programme de surveillance…à fait l’objet d’une dérogation accordée par la préfecture… lors d’une phase de rejets importants d’eaux de ruissellement provenant de l’aéroport Roissy CdG. 

La préfecture reconnaît ainsi l’existence et l’origine de la pollution par l’éthylène glycol  à la prise d’eau en Marne de l’usine d’Annet. 

Plus loin dans son rapport, la CIRE considère d’autres sources possibles d’éthylène glycol dans l’environnement. On lit ainsi …aucune source industrielle connue pour utiliser ou rejeter de l’éthylène glycol dans l’environnement n’est recensée sur le secteur par les services des installations classées. 

La caractérisation de la pollution 

Le signal ponctuel détecté concerne une pollution par un glycol, composé principalement utilisé par les aéroports comme produit antigel

De l’examen  des analyses  VEOLIA de 2009 pour les paramètres non imposés par la réglementation,  le Centre Anti Poison (CAPTV) estime que…le risque de confusion avec d’autres types de glycol (que le glycol EG) est  négligeable … au regard de la technique analytique spécifique utilisée par VEOLIA.

La corrélation entre la contamination par l’éthylène glycol observée dans les eaux de la Marne devant l’usine d’Annet et la pollution de la Reneuse (mesurée par le carbone organique total) peut laisser penser que la présence d’éthylène glycol  dans les eaux de la Reneuse est quasi permanente.

La chronicité de la contamination à la prise d’eau de l’usine d’Annet sur Marne ne peut donc être écartée....

 

Article complet :

http://eau-iledefrance.fr/ethylene-glycol-dans-la-marne-les-fortes-recommandations-de-la-cellule-de-veille-sanitaire/

 

 

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 14:57

 

 

Projets de carrière à ciel ouvert

à Villevaudé

et Montgé-en-Goële


Dépréciation et mévente des biens immobiliers ?

l’exemple de Saint Laurent la Vernède 

 

 

Paru dans le Midi Libre :

 

 

Saint-Laurent-la-Vernède : la carrière fait échouer la vente de leur maison

LÉNAËLLE SIMON

19/01/2013, 06 h 00

 

Patricia et Marc Offredi essaient de vendre leur maison depuis trois ans. (MiKAEL ANISSET)

Le projet de carrière de calcaire à Saint-Laurent-la-Vernède n'a pas fini de faire des vagues. Des propriétaires de la commune redoutent des nuisances, qui pourraient bloquer la vente de leur bien. 

" Cher Monsieur, je fais suite à ma visite de votre bien avec nos clients. Ces clients étaient très intéressés par votre maison. Mais après une visite sur internet, ils ont découvert la possibilité de mise en œuvre d’une carrière. Cette découverte fut fatale, la confiance était perdue." C’est le mail de leur agent immobilier, que Patricia et Marc Offredi ont eu la désagréable surprise de recevoir hier. Ces deux habitants de Saint-Laurent-la-Vernède, installés rue de l’Église, dans le centre du village, ont mis leur bien en vente dans trois agences d’Uzès. Et pas n’importe quel bien : une bâtisse en pierre du XVIIIe siècle, entièrement rénovée, 250 m² habitables, neuf pièces et un terrain de 400 m² en bordure de la rivière. Le tout pour 295 000 €. 

"Les acheteurs étaient pourtant chauds bouillants"

Patricia et Marc Offredi Un package qui a séduit un couple de Parisiens, venu prospecter cette semaine pour une résidence secondaire dans le Gard. "Ils cherchaient un endroit calme pour leur future retraite, ils ont visité la maison et le terrain plusieurs fois, elle correspondait à ce qu’ils cherchaient. Le soir même, l’agence nous a appelés en nous disant qu’ils étaient chauds bouillants", raconte Patricia Offredi. Mais c’était sans compter sur la curiosité des potentiels acquéreurs, qui ont découvert en quelques clics sur leur ordinateur, l’existence du projet d’implantation d’une carrière de calcaire. "Le notaire a eu beau leur dire que le projet était loin d’aboutir, ça n’a rien changé à leur décision. Je leur ai même transmis le numéro du maire et j’ai dit au premier magistrat qu’il avait la vente de notre maison entre ses mains. Mais c’était trop tard, les acheteurs avaient déjà déguerpi." Voilà qui risque bien de donner encore du grain à moudre au couple Offredi.

"Ça fait trois ans que nous cherchons à vendre, assure Marc, décorateur de profession. Notre maison est devenue trop grande, en revanche, mon atelier de travail est désormais trop petit." Ils cherchent donc un nouveau point de chute, "mais surtout pas à Saint-Laurent, ni à Saint-Marcel ou encore Cavillargues . On ne veut pas subir les nuisances de la carrière, des camions tout le temps, de la poussière et des problèmes d’eau. On nous dit que les camions passeront uniquement sur la départementale entre Bagnols et Alès. Mais bon, c’est comme le nuage de Tchernobyl, il paraît qu’il s’est arrêté à la France", poursuivent les habitants.

Leur mésaventure immobilière n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd. À vingt mètres de là, Grégory Prybys est installé dans une vieille demeure en pierre de 400 ans, retapée avec charme. "La dépréciation des biens pourrait atteindre 25 %, car les gens viennent ici pour le cadre de vie. Si la vente devait avorter à cause de ce projet, j’enverrais une lettre recommandée au maire pour le mettre face à ses responsabilités, je lui demanderais une compensation", prévient-il. La carrière n’a donc pas fini de mobiliser.

http://www.midilibre.fr/2013/01/18/la-carriere-fait-echouer-la-vente-de-leur-maison,629050.php

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 14:56

Conseil Général 77

Observatoire de l’eau

Analyses des performances

des réseaux d’eau potable en Seine et Marne 2011

http://eau.seine-et-marne.fr/library/Observatoire-2011---Performances-des-reseaux-AEP

 

 

 

Extrait page 38 :

CG77 performances eau potable 2011

 

 

 

NANTOUILLET

Analyses des performances des réseaux d’eau potable 

 

Rendement primaire :   mauvais

ILP Indice Linéaire de pertes des réseaux : mauvais

Performance globale réseau : mauvaise

Réseau vis-à-vis des exigence loi Grenelle II : exigences non respectées

Rendement vis-à-vis des critères d’éco conditionnement des aides

du Conseil Général dans le domaine de l’eau : Eco condition non respectée

 

 

Page 41

 Nantouillet 00

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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 18:04

 

 

Avant projet PREDEC

Protection de la ressource en eau

du captage d’Annet sur Marne 

 

 

 

Pourquoi les conseillers régionaux de Seine et Marne ont-ils voté à l’unanimité

 pour un avant projet qui permettra de continuer à implanter des décharges ISDI en Seine et Marne et notamment dans le bassin versant de la Beuvronne, rivière qui se rejette dans la Marne en amont proche du captage d’Annet sur Marne qui fournit en eau potable près de 500 000 habitants  ?

 

 

 

avant projet PREDEC page 12rapport 65-13 CR IDF

Avant-projet PREDEC rapport 65-13 septembre 2013 (page 12)

 

 

Pourtant le tableau ci-dessus montrait bien que la Seine et Marne était le département qui avait reçu en 2012  dans ses décharges ISDI  92 % des déchets inertes stockés en Ile de France dans ce type d'installation.

 

A noter que le département des Yvelines n’a pas reçu de déchets inertes dans des décharges ISDI en 2009, 2011 et 2012.

 


 

 


Liste des conseillers régionaux de Sei ne et Marne

ayant voté à l’unanimité cet avant-projet : 

 

Mme Hamida Rezeg (UMP)

M. Éric Jeu nemaître (UMP)

Mme Chantal Brunel (UMP)

M. Gilles Battail (UMP)

Mme Claudine Thomas (UMP-PR)

M. Frédéric Valletoux (UMP)

Mme Marie-Pierre Badré (UMP)

M. Gérard Ruffin (Nouveau Centre)  

M. Jean-Marc Brulé (Europe Écologie)

Mme Marie Richard (PS et app.)

M. Jean-Paul Planchou (PS et app.)

Mme Geneviève Wortham (PS et app.)

M. Jean-François Pellissier (FG)

Mme Liliane Pays (Europe Écologie)

M. Pascal Marotte (Europe Ecologie)

Mme Brigitte Eude (PS et app.)

M. François Kalfon (PS et app.)

Mme Fatna Lazreg (Europe Écologie)

M. Philippe Sainsard (PS et app.)

Mme Julie Nouvion (Europe Écologie)

M. Philippe Camo (FG)

Mme Josette Mollet-Lidy (PRG)

M. Thibaud Guillemet (Europe Écologie)

Mme Roseline Sarkissian (PS et app.)

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