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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 22:07

 

 

Payer toujours plus cher notre eau potable

une situation qui va devenir insoutenable

pour les habitants du nord-ouest 77qui sont raccordés

sur la station d’eau potable d’Annet sur Marne ? 

 

 

Dernière minute …..

 

Nous apprenons  qu’un autre dossier de demande d’implantation de décharge à Annet sur Marne lieudit « Les Champs pourris » est à l’étude actuellement auprès des services de la DDT, c’est la Sté DTP 8 rue Nungesser à 93100 MONTREUIL qui a déposé la demande.

 

 

annet les champes pourris

 

L’autorisation est demandée pour stocker notamment des terres provenant de sites contaminés (1).

 

Les déchets proviendront de chantiers de construction et de démolition du bâtiment et des travaux publics en Ile-de-France.

 

 

Le projet de décharge de déchets inertes ISDI se trouve cette fois-ci

 directement dans le périmètre de protection rapproché de la

station de pompage d’eau d’Annet sur Marne.

 

Les jus de décharges se rejetteraient dans ce périmètre de protection comme pour l’autre décharge de 98 hectares ECT Annet sur Marne qui vient d’être autorisée.

 

Madame la Préfète va-t-elle autoriser cette nouvelle décharge ?

 

Le dossier est consultable en mairie d’Annet sur Marne.

 

http://www.seine-et-marne.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/arrete_prolongation_delai_instruction.pdf

 

 

 

(1) après réalisation d'une procédure d'acceptation préalable.

 

 

 

Pour aller plus loin :

http://adenca.over-blog.com/article-annet-sur-marne-les-eaux-en-provenance-de-l-installation-se-rejetant-dans-le-perimetre-de-protecti-115144013.html

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 13:12

 

 

 

 

Forte inquiétude  à Villeparisis

après le refus de la SITA FD de répondre aux questions

des associations environnementales 

 

 

Une représente de NATURE ENVIRONNEMENT 77 membre de la CLIS (1) s’est rendue hier vers 15 heures à la SITA FD de Villeparisis, elle était accompagnée d’une dizaine de représentants d’associations environnementales de Seine et Marne et Seine St Denis inquiets après le grave incendie de  dimanche.

 

Etaient présents des membres des associations suivantes :

ADENCA, ENVIRONNEMENT 93, ARIVEM, Noisy-le-Sec Environnement,

 Bagnolet Ecologie, ARDE.

 

Ils ont été reçu par Monsieur Stéphane ALLASIO, Directeur Agence Nord SITA FD - S3P qui a refusé de répondre à leurs questions et leur a demandé de quitter les lieux sur le champ, ce qu’ils ont fait.

 

La multinationale SITA aurait-elle oubliée ses obligations d’information envers un membre de la CLIS après un incident ? 

 

Nous vous rappelons qu’à ce jour :

- NATURE ENVIRONNEMENT 77 n’a toujours pas obtenu les résultats des contrôles air et eau effectués dimanche.

- aucune réunion de la CLIS n’est programmée.

 

Manque de transparence ? 

A vous de juger

 

 

 

 

(1)   commission  Locale d’Information et de Surveillance)

 

pour aller plus loin :

http://www.ineris.fr/aida/consultation_document/7251

http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000025344282&dateTexte=&categorieLien=id

 http://www.cniid.org/Multinationales-du-dechet,399

 

 

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 09:09

Seulement une départementale sépare
l’ancien site du CEA
de la décharge SITA FD classée SEVESO à hauts risques
dans laquelle un grave incendie s’est déclaré ce dimanche 
Dans ce secteur de l’est parisien situé dans ces deux départements du 93 et 77
où l’espérance de vie est la plus faible d’Ile de France
ne serait-il pas plus judicieux de déplacer les habitants
et de laisser ce territoire aux multinationales
plutôt que d’obliger des populations à vivre
entre les ordures et les risques de radioactivité? 
      A vous de juger.

 


Paru sur le site du Parisien 77 :
Courtry : Placo veut creuser sous l’ancien site atomique

Pour alimenter son usine de Vaujours (93), Placo projette d’ouvrir une carrière de gypse à la place du fort de Vaujours, ex-site du CEA, à Courtry.

Marion Kremp | Publié le 21.02.2013, 04h15

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BPB Placo envisage de stocker la terre de surface, réputée contaminée, du fort de Vaujours dans la fosse d’Eguisy. Le tout à proximité de la Dhuis, la rivière qui longe le site.
| (LPI.)

 

La route stratégique enlace, sinueuse, le fort de Vaujours, à Courtry. Derrière les hauts grillages barbelés, les stores rouges des baraquements délabrés battent au vent tandis que le château d’eau surplombe toujours la forteresse abandonnée. Bientôt, les vestiges du fort souterrain construit il y a cent trente ans et qui a servi de centre de recherche au Commissariat à l’énergie atomique (CEA) pourraient bien n’être plus qu’un gigantesque trou.

MON ACTIVITÉ

Vos amis peuvent maintenant voir cette activité Supprimer X

SUR LE MÊME SUJET

La société BPB Placo, ex-Placoplâtre, filiale du géant Saint-Gobain, a acheté 33 ha du terrain et projette d’y développer une carrière de gypse à ciel ouvert. Le collectif d’associations protectrices de l’environnement Sauvons la Dhuis — du nom de la rivière qui serpente le long du site — alerte sur son site Internet sur la suspicion de contamination radioactive résiduelle et chimique due aux activités du CEA.

La Criirad, laboratoire indépendant de mesure de la radioactivité, avait relevé en 2001-2002 des contaminations en uranium 238. Le CEA s’était engagé à décontaminer. « Tout n’a pas pu être analysé et l’uranium appauvri recouvert de quelques centimètres de terre n’est pas détectable », rappelle Bruno Chareyron, responsable du laboratoire de la Criirad, qui va plus loin et souligne que « le CEA a reconnu que certains ouvrages n’ayant pu être décontaminés ont été noyés dans le béton ». A ce jour, le CEA, considérant qu’il n’est plus propriétaire, n’a pas souhaité répondre à nos questions. Christophe Nedelec, du collectif Sauvons la Dhuis, a lui-même réalisé des mesures en 2011 : « J’ai relevé 3 uSV/heures (le sievert mesure l’effet chez l’homme du rayonnement ionisant), ce qui est trente fois supérieur au niveau naturel sur un point qui est censé avoir été décontaminé. » Sauvons la Dhuis et la Criirad ont ainsi demandé à réaliser de nouvelles mesures, ce que refuserait BPB Placo.

« Comment BPB Placo va pouvoir s’assurer que les trois millions de mètres cubes de terre qui seront retirés du fort ne présentent pas de risque? C’est un travail d’analyse à la petite cuillère qu’il faut réaliser avec rigueur, pas à coup de pelle mécanique, nous ne sommes pas sûrs que, dans de telles conditions, le projet soit toujours rentable pour BPB Placo, ce qui nous laisse penser que ce ne sera pas fait correctement », impute Christophe Nedelec, qui pointe sur une carte une ancienne carrière qui jouxte le fort. « C’est la fosse d’Eguisy où BPB Placo projette de déplacer la terre, or elle ne fait pas partie du site sur lequel repose la servitude », souligne le militant.

Pourtant, à entendre le directeur des mines et carrières de BPB Placo, Philippe Cortial, le projet ne semble pas menacé, au contraire. Déclaré d’intérêt national, le gypse pourrait bien l’emporter sur le principe de précaution. « Cette carrière à elle seule pourra approvisionner notre usine de Vaujours durant quinze ans. Nous allons évidemment travailler avec l’aide d’experts et même si nous gardons à l’idée le pire scénario qui serait de trouver de la radioactivité, à ce jour nous n’avons rien qui le laisse supposer », assure le directeur qui compte déposer une demande d’autorisation d’exploitation en préfecture avant 2015.

La préfecture rappelle d’ailleurs d’elle-même que le gisement est estimé de 8 à 10 millions de tonnes de gypse. « La servitude prévoit la possibilité d’une ouverture de carrière, tous les sujets liés à l’ancienne utilisation du site et à ses conséquences figureront dans l’étude d’impact à laquelle BPB Placo procède actuelle- ment », déclarent, laconiques, les services de la préfecture.

 

Le Parisien

http://www.leparisien.fr/avon-77210/placo-veut-creuser-sous-l-ancien-site-atomique-21-02-2013-2585387.php

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 21:32
Paru sur le site Nature Environnement 77
Lundi 18 février 2013

 

D'importants moyens ont été engagés dimanche 17 février pour lutter contre l'incendie qui s'est déclaré dans la matinée dans l'enceinte de la décharge de déchets dangereux de  Villeparisis. (Voir l'article du Parisien)

 

Suite à cet incident, Nature Environnement a demandé ce jour

la réunion d'urgence de la CLIS

 

 

Concernant ce site, classé aujourd'hui SEVESO seuil haut, Nature Environnement 77 demande régulièrement, en tant que membre de la Commission Locale d'Information et de Surveillance, CLIS, des informations qu'elle peine à obtenir (résultats d'analyses air et eau).


Dès janvier 2013 nous demandions la réunion de cette commission qui n'a pas été convoquée en 2012, comme elle aurait dû l'être. Nous demandions également à Mme la Préfète de Seine-et-Marne de ne pas autoriser l'entreprise à continuer le mélange de déchets dangereux comme celle-ci le demandait (Voir notre lettre). Une demande qui n'a pas été suivie, voir l'arrêté préfectoral d'autorisation du 28.01.2013

 

Le nord-ouest de notre département est trop fortement impacté par les sites pollués et polluants.

Une fois encore nous demandons un rééquilibrage régional de ces nuissances. La Seine-et-Marne ne peut continuer à être "la poubelle de l'Ile-de-France".

 

 

http://www.environnement77.fr/article-villeparisis-incendie-dans-la-decharge-de-dechets-dangereux-sita-fd-115461009.html

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 18:55

 

 

Incident à la Sita FD Villeparisis

dimanche 17 février 2013

 

 

Des déchets à radioactivité naturelle renforcée  (DRNR) étaient-ils stockés dans l’alvéole qui a brûlé ?

 

En effet chez SITA FD Villeparisis ces déchets à radioactivité naturelle renforcée (DRNR) ne sont pas stockés dans des alvéoles spécifiques comme le demande à chaque CLIS

 (commission locale d’information et de surveillance)

une représentante de Nature Environnement 77.

 

La dispersion  des déchets à radioactivité naturelle renforcée (DRNR) dans différentes alvéoles permet-elle un contrôle vraiment sécurisé de ce type de déchets  ?

 

A vous de juger

 

 


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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 21:01

 

 

Dans ce département où l’espérance de vie

est la plus faible de l’Ile de France 

 

Airparif n’a implanté qu’un seul point fixe  de contrôle de la qualité de l’air au nord-ouest 77  à Montgé en Goële (proche d’Aéroport de Roissy) point qui ne contrôle que l’Ozone, pourquoi ce point ne contrôle-t-il pas les particules, le NO2 et le SO2 émis par les transports routiers et aériens ?

http://www.airparif.asso.fr/etat-air/air-et-climat-bilan-emissions

 

 

Pourquoi aucuns points de contrôles sur le canton de Claye-Souilly

pour connaître  l’impact de ces décharges

et de ces millions de camions diesel

qui chaque année viennent y déverser leurs ordures ? 

 

 

 

 

 

Paru sur le site Novethic :

 

 

2013, année de l'air en Europe : que fait la France ?

Planète \Environnement \Pollution

Publié le 11-02-2013

  



istockphotos

La France pourrait se voir condamner par la Cour européenne de justice pour non application des Plans de Protection de l'Atmosphère (PPA). Pour échapper aux fourches caudines européennes le gouvernement a annoncé, le 6 février dernier, 38 mesures urgentes.

La qualité de l’air intéresse-t-elle vraiment le gouvernement français ? Alors que l’exposition aux particules prive en moyenne chaque européen de 8,6 mois de sa vie, il aura fallu attendre le 6 février 2013 et la réunion du Comité interministériel sur la qualité de l’air (CIQA) pour que le sujet soit enfin abordé par le gouvernement. «Aucune information ne filtrait sur le sujet depuis novembre», avoue José Cambou de France Nature Environnement (FNE). Autre constat, le Conseil National de l’air présidé par le député UMP de Haute Savoie, Martial Saddier, ne s’est pas réuni depuis le 27 mars 2012. Enfin, Delphine Batho sollicitée par le Bureau Environnemental Européen (EEB) et la Commission européenne pour le lancement de l’«année de l’air», a boudé ces temps forts européens.

L’Europe contraint, les Etats-membres défaillent 

L’écart se creuse entre une réglementation européenne de plus en plus contraignante et des Etats-membres incapables de mettre en place des plans de lutte contre la pollution de l’air. Récemment, le commissaire européen à l’environnement déclarait : «Les liens que l’OMS a établi entre la pollution atmosphérique et la santé humaine confirment la nécessité d'intensifier notre politique dans ce domaine». De nouvelles limites pourraient être fixées sur les PM10, et les PM2,5, ces dernières étant devenues valeurs seuils en 2008. En fait, « depuis une quinzaine d’années nous allons vers de nouvelles demandes de dérogation de la part des Etats-membres au lieu de mettre en œuvre les obligations réglementaires existantes », explique Louise Duprez de l’EEB.

Quel coût pour la France ? 

Lors du CIQA, Delphine Batho a évoqué une amende estimée à 11 millions d'euros, en plus d'astreintes journalières de 240.000 euros par jour, jusqu'à ce que les valeurs limites de qualité de l'air soient respectées, «soit au moins 100 millions d'euros la première année et 85 millions d'euros par la suite», selon la ministre. La Commission européenne a annoncé le 24 janvier dernier vouloir changer sa procédure en manquement. «L’objectif est à présent d’inviter instamment les Etats membres qui connaissent des problèmes persistants de qualité de l’air à prendre des mesures ambitieuses, rapides et efficaces, afin que la période d’infraction soit la plus courte possible», écrit la Commission. Jusqu’à présent les décisions prises par la Cour européennes de justice ne portaient que sur des faits passés, ce qui n’incitait guère les Etats membres à prendre des mesures contre les futurs dépassements. «Il n’est pas improbable que la France soit condamnées à verser plusieurs centaines de millions d’euros, plus des astreintes journalières», explique Sébastien Vray, président de l’association Respire.

Les 5 priorités du plan d’urgence pour la qualité de l’air

Priorité 1 : Favoriser le développement de toutes les formes de transport de mobilité propres par des mesures incitatives.

Priorité 2 : réguler le flux de véhicules dans les zones particulièrement affectées par la pollution atmosphérique.

Priorité 3 : réduire les émissions des installations de combustion industrielles et individuelles.

Priorité 4 : promouvoir fiscalement les véhicules et les solutions de mobilité plus vertueux en termes de qualité de l’air.

Priorité 5 : informer et sensibiliser nos concitoyens aux enjeux de la qualité de l’air

Le plan d’urgence du CIQA : mesures ou mesurettes ? 

Finies, les zones d'action prioritaires pour l'air (ZAPA) imaginées par le gouvernement précédent : elles sont jugées «socialement injustes et écologiquement inefficaces» par la ministre de l’Ecologie, qui a acté lors du Comité du 6 février «l’échec du dispositif». Dans son plan d’urgence en 38 points, Delphine Batho parle désormais de «repenser les moyens de transport existants, les politiques de mobilité et les moyens de chauffage domestique» et sonne le grand retour des Plans de protections de l’atmosphère (PPA) lancés par Corinne Lepage en 1996, avec sa loi sur l’air. Le ministère de l’écologie souhaite «que toutes les zones actuellement soumises au contentieux européen sur les particules PM10 disposent d’un PPA validé d’ici l’automne 2013». A ce jour, 12 PPA sont en cours de réalisation et 2 ont été adoptés (Vallée de l’Arve et Bordeaux). Les autres ont des états d’avancement divers.

La taxe sur le diesel renvoyé à la commission sur la fiscalité écologique

Sur la question ultra-sensible d'une hausse des taxes sur le diesel,  René Dutrey, élu EELV au Conseil de Paris et présent au CIQA a pu constater pendant la réunion «un front commun des collectivités contre le diesel». Il faut dire qu’il fait beaucoup parler de lui depuis que le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) de l'OMS a classé, en juin 2012, les particules diesel parmi les «cancérogènes certains pour l’homme». La ministre a néanmoins renvoyé le sujet aux résultats des travaux de la commission pour la fiscalité écologique, soit à la fin du 1er semestre 2013. « Cette idée fait son chemin, a-t-elle reconnu, tout en rappelant que le débat n'était « pas tranché ». Une étude va être lancée pour permettre une identification des véhicules les plus vertueux, globalement les plus récents, qui seront autorisés en cas de pic de pollution, a expliqué Delphine Batho. Serait-ce alors le grand retour de la pastille verte lancée en 1998 par le gouvernement Jospin ? Pas tout à fait. « Des techniques plus modernes existent, a précisé la ministre. Dès le mois de juin, nous allons préciser les technologies d’identification des véhicules les moins polluants, comme les badges ou la RFID». Autre mesure permettant d’anticiper les pics de pollution, les restrictions de circulation ne seront plus appliquées en cas de pics de pollution avérés mais dès leur prévision.

Elus divisés

Si René Dutrey salue enfin «la montée en puissance des solutions alternatives  dans ce plan d’urgence», avec l’incitation au covoiturage, le développement des véhicules électriques en ville, mais aussi des initiatives pour réduire les émissions industrielles, le président de Plaine Commune, Patrick Braouezec, reste pour sa part très critique. « Ce plan semble être plus une réponse aux injonctions de l’Union Européenne face au non-respect de la France sur les seuils de qualité de l’air, sans être à la hauteur de l’enjeu sanitaire», conclut l’ancien maire communiste de Saint-Denis.

Geneviève de Lacour
© 2013 Novethic - Tous droits réservés

 

Lien vers l’article :

http://www.novethic.fr/novethic/ecologie,environnement,pollution,2013_annee_air_en_europe_mais_que_fait_france,139219.jsp

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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 15:37

 

 

30.1.2009 décharges sita villeparisis028

Décharge Sita Fd Villeparisis

 

 

 

 

Villeparisis 

Incendie dans la décharge de déchets dangereux

SITA FD

 classée SEVESO à hauts risques 

 

 

 

 

Nature Environnement 77 demande

à la préfecture une réunion en urgence de la CLIS

Commission Locale d’Information et de Surveillance 

 

 

Nature Environnement 77 demande

les résultats des analyses air et eau qui ont été réalisées

 

Pour une parfaite transparence il serait souhaitable que SITA FD

fasse paraître ces analyses sur son site.

 

 

 

C                 

 

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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 14:56

 

Clamens Villeparisis : 

une société qui dit vouloir réduire son empreinte écologique ? 

A vous de juger

 

 

  Bassins de rétention, saturés de boues de béton, situés de part et d'autre de la 104 près de la jardinerie

http://www.citizenside.com/fr/photos/faits-divers/2013-02-18/75145/pollution-a-villeparisis-des-etangs-remplis-par-des-boues-de-beton.html#comments=&f=0/664815


 

 

 

 

Quelques images de l’état des lieux des milieux humides

après la pollution  en provenance de l'entreprise Clamens

 

 

villeparisis marais proche rue des grues 17.2.2013 1

17/2/2013 Villeparisis Lieudit Les Grands Marais (à proximité du ru des Grues)

 

villeparisis fossé qui borde la francilienne 17.2.2013

17/2/2013 Villeparisis fossé qui borde la Francilienne

 

villeparisis ru des grues 17.2.2013

17/2/2013 Villeparisis le ru des grues près des grands marais

 

villeparisis ru derrière morfondé 17.2.2013

17/2/2013 Villeparisis ru non atteint par la pollution (derrière le château de Morfondé)

 

Pour aller plus loin :

http://www.leparisien.fr/abo-seine-et-marne-sud/a-villeparisis-clamens-recycle-les-boues-de-beton-19-05-2009-517895.php

 

 

http://www.cleantechrepublic.com/2010/11/10/clamens-etiquettes-energie-materiaux-btp/

http://www.grandroissyeconomique.fr/clamens-s-a/

http://www.francebtp.com/batiment/article/2012/09/07/76980/clamens-rachete-toupie-clean.php

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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 21:08
Villeparisis
Incendie dans la décharge de déchets dangereux Sita FD  
Alors que cette décharge vient d’être classée Seveso à hauts risques, la sous préfecture de Torcy n’a pas réuni en 2012 la Commission Locale de Suivi (CLIS) bien que la législation l’impose : pourquoi ?
Le 25/6/2012 la Sita Fd a envoyé un courrier à la préfecture sollicitant l’autorisation de poursuivre des activités de mélange de déchets dangereux, sans prévenir les membres de la CLIS : pourquoi ?
Un membre de la CLIS a demandé voici plus d’un mois des informations complémentaires concernant notamment des données sur la qualité des eaux souterraines, à ce jour la Sita Fd ne lui a pas fourni ces informations : pourquoi ?
Manque de transparence ?
A vous de juger

 

 


Par arrêté préfectoral du 28/1/2013 Madame la Préfète vient d’autoriser cette entreprise à poursuivre ses activités de mélanges de déchets dangereux contre l’avis de la fédération d’environnement Nature Environnement 77 qui pas courrier du 16 janvier 2013 lui  avait demandé de donner un avis défavorable à la demande de la SITA FD. 
Hier c’était la pollution des eaux par l’entreprise Clamens
Aujourd’hui c’est la pollution de l’air par l’entreprise Sita FD 
La législation française qui permet d’accumuler autant de sites polluants sur une même commune doit être revue.
La France doit respectée la convention Aarhus et permettre aux habitants de Villeparisis de vivre dans un environnement propre à assurer leur santé et leur bien être. http://www.unece.org/fileadmin/DAM/env/pp/documents/cep43f.pdf
Rappelons que cette commune compte plus de 4000 enfants scolarisés, population  fragile qui doit être protégée.
Paru dans le Parisien 77 :
Villeparisis : incendie dans un site de stockage de déchets dangereux

Gilles Cordillot | Publié le 17.02.2013, 18h02 | Mise à jour : 18h38

 

Les pompiers de Seine-et-Marne ont déployé d’importants moyens sur le site de Sita, à Villeparisis. | CORDILLOT GILLES

Depuis ce dimanche matin, les pompiers de Seine-et-Marne ont déployé d’importants moyens sur le site de Sita, à Villeparisis. Vers 8 heures, un incendie d’origine indéterminé s’est déclenché dans l’enceinte de cette usine de stockage de déchets dangereux, classée Seveso. Selon les premiers éléments de l’enquête, ce sont des palettes avec des sacs contenant de l’amiante, entreposés à l’extérieur des bâtiments, qui ont brûlé sur plus de 1000 m2.

Le feu a été maîtrisé mais les pompiers continuent à déverser de la mousse et vont rester en surveillance sur place. A priori, aucune pollution n’a été constatée pour le moment, selon la préfecture.

LeParisien.fr

 

 

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/villeparisis-incendie-dans-un-site-de-stockage-de-dechets-dangereux-17-02-2013-2574939.php

 

 

 

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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 11:14

 

ru des grues 16202013 3

16/2/2013

Villeparisis

Pollution du ru des grues, affluent de la Beuvronne 

ne vous faites pas de soucis, il n’y a pas de données pour cet affluent !

 

ru des grues 1622013

        16/2/2013

 

Nous apprenons que la Société Clamens de Villeparisis a pollué le ru des Grues, affluent de la Beuvronne.

 

Mais comme le dit Monsieur Guillaume Bailly, représentant des services de l’Etat (DRIEE) :

« Clamens a été très réactif  et nous a fourni un rapport très fourni sur l'incident et s’est engagé à nettoyer la pollution »

 

La date du nettoyage n’est pas précisée !

 

Comme vous pourrez le constater au vu des photos prises hier,

  le nettoyage n'a pas été effectué aux abords du ru des grues.

 

ru des grus 16.2.2013 1


 


 

 

 

Ce  ru rejette ses eaux dans la Beuvronne à hauteur de Souilly, eaux qui vont se déverser dans la Marne en amont proche de la station de pompage d’eau d’Annet sur Marne qui fournit en eau potable près de 500 000 habitants.

 

Le prix de l’eau dans ce secteur est aux environs de 4€ le m3

(1/4 de plus qu’à Paris ).

http://www.tarifdeleau.fr/

http://www.tarifdeleau.fr/http://www.tarhttp://www.tarifdeleau.fr/ifdeleau.fr/

Qui va payer les conséquences de cette  pollution :

La Sté Clamens ou le contribuable ?

 

 

 

Pour toute information complémentaire contacter le syndicat Basse Beuvronne SIAERBB en Mairie de Claye-Souilly, président Monsieur Yves Albarello.

 

      Parisien 1622013     

 

http://www.tarifdeleau.fr/

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