Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
23 novembre 2015 1 23 /11 /novembre /2015 14:08
Il ne suffit de faire détruire des tours
Jean-François Copé
doit dire où iront les gravats ?
 
 
- Dans la décharge près d’un lotissement et d’une école à Isles les Villenoy ?
- Dans la décharge près d’un lotissement à Crégy les Meaux ?
- Dans la décharge près de l’école maternelle de Fresnes sur Marne ?
- Dans la décharge d’Annet sur Marne près du plus important captage d’eau de Seine et Marne ?
……

 

Paru dans le Parisien 77 :

 

VIDEO A Meaux, les habitants ont dit adieu aux tours Artois et Auvergne

Thomas Poupeau | 22 Nov. 2015, 18h52 | MAJ : 22 Nov. 2015, 18h52

 

 

Meaux, ce dimanche à 13 heures. Près d’un millier d’habitants de Meaux ont regardé ces deux bâtiments vides du quartier de Beauval, construits en 1970, être démolis, dans le cadre du programme national de renouvellement urbain (PNRU). (LP/Olivier Arandel.)

 

 

Dans un fracas épouvantable, les seize étages de la tour Auvergne s’effondrent, dans un nuage de poussière. Cinq secondes plus tard, c’est sa voisine, Artois, qui implose. Ce dimanche, à 13 heures pile, près d’un millier d’habitants de Meaux ont regardé ces deux bâtiments vides du quartier de Beauval, construits en 1970, être démolis,

« Ça fait dix-huit ans que j’habite ici. C’est triste d’assister à cette démolition… C’est un peu de notre quotidien qui s’en va », témoigne Sybille Lenin, maman de deux enfants « nés dans le quartier ». Elle ajoute : « Cela fait mal au cœur de voir partir son quartier auquel on est habitué… Mais le renouveau de la ville, c’est important. »

 

Seine-et-Marne. Spectaculaire destruction de deux tours d’habitation à Meaux

Même son de cloche chez Albert, 59 ans, locataire depuis seize ans dans le quartier : « Tous les matins, j’emmène ma femme au travail et je passe devant ces tours. Forcément, c’est impressionnant de les voir tomber ! » Pour le presque sexagénaire, ancien employé de la propreté urbaine, ces démolitions vont « changer le visage de Meaux ». Il ajoute : « On sait qu’il se passait des choses autour de ces bâtiments, du trafic, de la délinquance… C’est une bonne chose de raser cela. » Michel, 40 ans passés à Beauval, ne dit pas autre chose : « C’est mieux pour l’avenir de la ville de Meaux ! »

 

Les familles relogées à Beauval

Les 330 familles qui habitaient dans Auvergne et Artois ont toutes été relogées, pour l’immense majorité dans les nouveaux immeubles - moins hauts, plus qualitatifs - récemment construits à Beauval. Le PNRU, qui concerne 200 quartiers en France, permettra de détruire les neufs tours de Beauval encore debout.

À l’approche de la démolition, l’émotion monte parmi les Meldois. « J’ai les doigts gelés, mais pas question que j’arrête de filmer », jure Faouzi, 13 ans, qui a « appris à faire du vélo en bas d’Auvergne ». « J’ai grave peur », souffle, derrière, une ado juchée sur un muret. «Imagine la dynamite elle explose plus que prévu et on se prend des bouts d’immeuble sur la tête », renchérit sa copine, emmitouflée dans un sweat à capuche XXL.

 

 

Explosion de deux tours à Meaux : l’émotion des riverains

« La reconquête des territoires », selon Copé

 

Juste avant le décompte final, le maire (LR) Jean-François Copé rappelle le contexte des attentats de Paris. « La vie continue. Elle doit continuer. S’arrêter de vivre, cela reviendrait à envoyer un message de démission aux terroristes. Nous devons passer à l’action, à la reconquête des territoires de la République. C’est ce que nous faisons depuis des années à Meaux et aujourd’hui, à Beauval ».

Applaudissements polis, puis les haut-parleurs crachent : « Cinq, quatre, trois, deux, un… » Un blanc. Puis, plusieurs énormes détonations, qui figent l’assemblée, stupéfaite de l’onde de choc. Les deux immeubles tombent, faisant trembler les barrières en métal délimitant le périmètre de sécurité. Clap de fin. « Je vais mettre ça sur Twitter direct », conclut Faouzi, ravi de la vidéo enregistrée avec son téléphone portable.

 

2 700 charges et 30 000 t de gravats

Pour détruire Auvergne et Artois, deux « tripodes » hauts de presque 50 m chacun, l’entreprise Melchiorre a utilisé 587 kg d’explosifs, répartis en 2 700 charges. À l’issue de l’explosion, ce sont 15 000 t de gravats, sur chacun des deux sites, qu’il faudra évacuer.

Depuis 2004, en comptant Auvergne et Artois, treize immeubles ont été détruits à Meaux, soit 2 910 logements reconstruits sur l’ensemble de la ville. Sur les cendres de ces tripodes émergeront des résidences de quelques étages, mêlant logements sociaux, intermédiaires et accession à la propriété.

 

http://www.leparisien.fr/meaux-77100/video-a-meaux-les-habitants-ont-dit-adieu-aux-tours-de-beauval-22-11-2015-5301911.php

Partager cet article
Repost0
22 novembre 2015 7 22 /11 /novembre /2015 18:27

 

 

Les services dirigés par Corinne RUFET   (EELV) vice présidente, chargée de l’environnement, au Conseil Régional IDF, doivent présenter mardi prochain  à la commission consultative déchets le projet de rapport de suivi plan déchets ménagers et assimilés PREDMA 2014-2015.

 

A la page 70 on peut lire :

http://espaceprojets.iledefrance.fr/jahia/Jahia/planification_dechets/site/projets/pid/6558

http://espaceprojets.iledefrance.fr/jahia/Jahia/planification_dechets/site/projets/pid/6558

 

Corinne Rufet aurait-elle oublié que le déséquilibre se creuse toujours du côté des Yvelines, en effet depuis quelques années deux décharges ont fermé dans ce département Arnouville les Mantes et Brueil en Vexin.

 

En 8 ans ce département a réduit ses capacités de stockage de déchets de 21 %, rien qu’entre 2014 et 2015, les capacités se sont réduites de 12 %.

Mais ironie du sort Corinne Rufet n’en parle pas dans son rapport, elle ne dit pas non plus que depuis la fermeture de la décharge de Brueil en Vexin en 2014 une partie des déchets sont renvoyés vers Soignolles en Brie en Seine et Marne.

 

Quand à la demande de prolongation de la durée d’exploitation de la décharge de Soignolles en Brie 77, Corinne Rufet ne semble pas s’y opposer, aurait-elle oublié que le PREDMA  prévoit qu’aucun projet d’extension ou de création de capacités ne devra être prévu en Seine et Marne jusqu’en 2019, alors que cette extension de durée d’exploitation permettrait à l’exploitant de déverser près de 200 000 tonnes supplémentaires d’ordures dans notre département.

 

Pour ADENCA le compte n’y ait pas, le Conseil Régional IDF doit revoir sa copie et s’opposer à la prolongation de la durée d’exploitation de la décharge de Soignolles en Brie.

 

Comme d'habitude Adenca n'est pas invitée par le Conseil Régional à la commission consultative de mardi prochain et ne pourra donc pas vous défendre populations du nord-ouest 77 qui vivez au milieu des ordures des autres .

 

Pour mémoire, bien que le nord-ouest 77  soit le secteur qui reçoive le plus de déchets d'Ile de France  les 2 vice présidentes du Conseil Régional IDF, chargées de l’environnement,  Hélène Gassin et Corinne Rufet n’ont jamais invité  ADENCA ni aucunes associations du nord-ouest 77 à la commission consultative PREDMA  alors que certains industriels du déchet y étaient  invités.

 

 

 

 

Pour aller plus loin :

PREDMA 2009

Soutien du groupe des verts contre l’implantation d’une décharge dans l’Essonne à Ste Escobille

http://www.adse-saintescobille.com/wordpress/wp-content/uploads/20091127-Communiqu%C3%A9VertsEssonne.pdf

 

Amendement de l’exécutif qui émet un avis négatif contre  l’implantation d’une décharge dans les Yvelines à Groslieu/Allainville et dans l’Essonne à Ste Escobille et demande à ce que ne soit pas accordée l’autorisation d’exploitation dans le Val d’Oise à Epinay Champlâtreux.

http://accet.groslieu.pagesperso-orange.fr/evenements/predma09-117-1-.pdf

Partager cet article
Repost0
20 novembre 2015 5 20 /11 /novembre /2015 18:00

 

 

Dans ce département de Seine et Marne où l’espérance de vie est la plus faible de l’Ile de France, la pollution de l’air et les risques sur la santé ne semblent pas être les préoccupations principales de Jean –Jacques Barbaux, président du conseil départemental du 77.

 

Jean-Jacques Barbaux  ne trouve pas l’argent pour subventionner Airparif mais trouve 3.4 M€ pour financer entre autre la démolition  d’une piscine qui engendrera des tonnes de gravats qui seront déversés dans nos villages ruraux.

 

 

Voir notre article

http://adenca.over-blog.com/2015/11/le-cd-77-va-financer-la-demolition-d-une-piscine-a-meaux.html

 

 

 

 

Paru dans Actu Environnement :

Pollution de l'air : la Seine-et-Marne et les Yvelines désengagées d'Airparif

 

Jeudi 19 novembre, Airparif a annoncé que les départements de Seine-et-Marne et des Yvelines ne participaient plus à l'association agréée de surveillance de la qualité de l'air (AASQA) officiellement chargée de la mesure de la pollution atmosphérique en Ile-de-France. Airparif a pris acte de ces désengagements lors de son assemblée générale, tenue le jour même. Ces deux retraits font suite à celui des Hauts-de-Seine en 2013. Aujourd'hui, cinq départements continuent à financer l'association : l'Essonne, Paris, Seine-Saint-Denis, le Val-de-Marne et le Val d'Oise.

Airparif ne peut s'opposer à ces retraits, son financement dépendant pour partie du bon vouloir des collectivités concernées. Pourtant, "ces décisions sont doublement problématiques", déplore Airparif.

 

Les trois quarts de l'Ile-de-France concernés

Tout d'abord, "elles ont un impact direct sur le financement de l'associationqui devra être compensé par les autres membres, notamment pour maintenir une surveillance et une information dans ces départements, alors que d'autres collectivités ont aussi souligné leurs difficultés". Dans un contexte de multiplication des missions confiées aux AASQA, leur situation financière a fait l'objet d'alertes répétées émises par Atmo France, leur fédération.

 

Par ailleurs, "elles sont surtout en contradiction avec les principes de la loi sur l'airqui appelle l'ensemble des collectivités à concourir à une politique dont l'objectif est le droit reconnu à chacun de respirer un air qui ne nuise pas à sa santé, et qui prévoit un financement mutualisé de la surveillance et de l'information". Et Airparif d'alerter sur l'absence de ces acteurs majeurs du territoire, qui "représentent pourtant 4 millions de Franciliens et près des trois quarts de la superficie d'une région largement concernée par la pollution de l'air".

 

http://www.actu-environnement.com/ae/news/airparif-retrait-seine-et-marne-yvelines-25694.php

 

Partager cet article
Repost0
20 novembre 2015 5 20 /11 /novembre /2015 10:20

 

Rectifel Proseat

Trilport

parmi les plus importants émetteurs de

COVnM dans l’air

de Seine et Marne en 2013.(1)

 

 

A l’approche de la COP 21

quelles mesures compte prendre

Rectifel Proseat

Trilport

pour réduire ses émissions de polluants dans l'air ?

 

Nous n’en savons rien.

 

Paru sur Atmo :
Effets sur la santé

La toxicité des COVNM est due d’une part à la toxicité directe de certains COV, mais également à la formation de composés secondaires. Différents troubles liés aux COV ont été identifiés. Les fréquences et délais d’apparition de ces troubles varient en fonction de la durée d’exposition, du type de polluant, de la sensibilité du sujet et de nombreux facteurs plus ou moins identifiés.

  • Irritations cutanées : hydrocarbures halogénés ou aromatiques
  • Irritation des yeux : hydrocarbures aromatiques non substitués comme les BTEX (Benzène, Toulène, Xylènes), noyaux benzéniques substitués
  • Irritation des organes respiratoires : hydrocarbures aromatiques, diisocyanates
  • Troubles cardiaques : toluène, chloroforme, méthylchloroforme
  • Troubles digestifs : benzène toluène, hydrocarbures halogénés (CH3Cl), CCl4...)
  • Troubles reinaux, hépatiques : les BTEX, cumène, hydrocarbures halogénés haliphatiques
  • Maux de tête : la plupart des COV
  • Troubles du système nerveux : hydrocarbures aromatiques et halogénés, dichlorométhane, chloroforme, toluène, benzène , 1,1,1,-trichloroéthane
  • Action cancérogène et mutagène : benzène, hydrocarbures insaturés (alcènes, oléfines...) qui peuvent être transformés en composés toxiques, certains hydrocarbures halogénés aliphatiques (dérivés chlorés de l’éthylène, du butène et du butadiène), certains composés aromatiques (styrène)

http://www.atmo-poitou-charentes.org/Effets-sur-la-sante-et-sur-l,48.html

 

 

 

(1) site IREP registre des émissions polluantes http://www.irep.ecologie.gouv.fr/IREP/index.php

La Direction Générale de la Prévention des Risques du Ministère de l’Ecologie, du Développement Durable, et de l’Energie recense les principaux rejets et transferts de polluants dans l’eau, l’air, les déchets déclarés par certains établissements; à savoir:

  • les principales installations industrielles,
  • les stations d'épuration urbaines de plus de 100 000 équivalents habitants,

certains élevages

Partager cet article
Repost0
19 novembre 2015 4 19 /11 /novembre /2015 18:28

 

 

En effet nous apprenons que suite à la demande de la Chambre d’Agriculture des cours d’eau pourraient être déclassés dans notre département.

 

Mais ironie du sort à ce jour la préfecture n'a pas consulté les associations de défense de l’environnement  :

pourquoi ?

 

Une réunion devrait se tenir en décembre prochain,à laquelle  les associations n’ont  pas été invitées, associations qui n’ont aucunes informations quand à la liste des cours d’eau que le préfet prévoit de déclasser.

 

Il est vrai que Mme Royal ne semble préconiser un consensus qu’entre la Chambre d’Agriculture, un agent de l'Onema, un représentant de la fédération de pêche et un élu local.

 

Extrait article paru dans actu environnement  :
Les préfets établissent la cartographie des cours d'eau sur fond de contestation

 

Les services de l'Etat doivent cartographier les cours d'eau d'ici le 15 décembre 2015 avec pour enjeu une obligation d'entretien et l'application de la police de l'eau. Agriculteurs et propriétaires s'opposent aux critères retenus par le ministère.

 

Eau | 16 juin 2015 | Laurent Radisson

 

Ségolène Royal a adressé le 3 juin aux préfets une instruction relative à la cartographie et l'identification des cours d'eau et à leur entretien. Une circulaire qui vient mettre en œuvre les annonces faites par la ministre en avril dernier à l'issue de la dernière réunion du groupe de travail mis en place pour résoudre les conflits rencontrés sur le terrain.

De nombreux agriculteurs, propriétaires fonciers et collectivités locales contestent en effet le classement en "cours d'eau" de ce qu'ils considèrent comme de simples fossés. Classement qui induit une obligation d'entretien régulier et des procédures administratives au titre de la police de l'eau en cas d'aménagement. L'origine de la fronde ? Le zèle des agents de l'Office national de l'eau et des milieux aquatiques (Onema) chargés de faire respecter cette réglementation. Ainsi, lors de son congrès national de mars 2014, la FNSEA adoptait-elle une motion qui demandait de "désarmer d'urgence les contrôleurs de l'Onema".....

 

 

Cartographier deux tiers du territoire avant le 15 décembre

Ségolène Royal demande aux préfets de procéder à la cartographie avant le 15 décembre 2015 dans les départements où celle-ci est possible sans difficulté majeure. Il s'agit des cas "où les référentiels disponibles, et notamment les cartographies au 1/25.000e de l'IGN, sont assez complets pour servir de base à une cartographie fiable", ainsi que des départements où "une démarche partenariale a permis de définir des bases consensuelles pour une telle cartographie".

Pour les autres territoires, elle demande de recourir à une méthode d'identification basée sur "la contextualisation des critères jurisprudentiels et des indices complémentaires aux conditions géographiques et climatiques", à laquelle doit s'ajouter une analyse complémentaire fondée sur "un faisceau d'indices, tenant compte des usages locaux et, en cas de besoin, d'une expertise sur le terrain". Par exemple, indique la circulaire "si les critères d'un écoulement permanent une majeure partie de l'année et de l'alimentation par une source ne peuvent être tranchés, la présence de berges et d'un substrat de fond de lit différencié et la présence de traces de vie aquatique pourront constituer un faisceau d'indices probant pour caractériser un cours d'eau". Indices auxquels il faut ajouter celui de la "continuité amont-aval", ajoute-t-elle.

"J'attends que deux tiers du territoire métropolitain soient couverts par une cartographie complète des cours d'eau", avant l'échéance du 15 décembre, indique Ségolène Royal, qui annonce une évaluation nationale de la mise en œuvre de la démarche pour le premier trimestre 2016.

 

Menaces contentieuses

Les organisations agricoles et de propriétaires contestent l'interprétation faite par le ministère des trois critères jurisprudentiels. C'est le cas de la notion de "débit suffisant". Ainsi, le ministère propose-t-il un critère de présence d'écoulement après une période où la pluviosité a été non significative. "On considère généralement des précipitations significatives au-delà de 10 mm", précise-t-il. "Etant donné que le cours d'eau ne dépend pas exclusivement des épisodes pluvieux, alors il est bon de ne pas faire entrer en ligne de compte un niveau de précipitations quel qu'il soit", estime de son côté la Coordination rurale.

"Le ministère essaie de rajouter d'autres critères", dénonce en outre Florence Caillens. En particulier, la présence de poissons, d'invertébrés et de certaines plantes en s'appuyant sur des guides méthodologiques des agences de l'eau ou de l'Onema. "Ces guides sont sans valeur juridique", dénonce Marie de Kerpoisson, juriste à la Fédération nationale de la propriété privée rurale, dont le combat rejoint, sur ce point, celui des organisations agricoles.....

 

Une contestation que le ministère de l'Ecologie anticipe malgré tout. Ségolène Royal demande en effet aux préfets de signaler à la direction de l'eau "les cas dans lesquels la démarche adoptée ne fait pas l'objet d'un consensus local" et propose la mise en place, localement, d'une commission "cours d'eau" associant a minima un représentant de la chambre d'agriculture, un agent de l'Onema, un représentant de la fédération de pêche et un élu local.

Laurent Radisson,

journaliste
Rédacteur en Chef délégué aux marchés HS
E

http://www.actu-environnement.com/ae/news/cours-eau-fosses-cartographie-prefets-contestation-agriculteurs-proprietaires-fonciers-24745.php4

 

Partager cet article
Repost0
19 novembre 2015 4 19 /11 /novembre /2015 17:07

 

MOTION
PROPOSÉE PAR LES ÉLUS DU GROUPE DE LA
GAUCHE RÉPUBLICAINE ET COMMUNISTE
Conseil départemental de Seine-et-Marne
Séance publique du 20 Novembre 2015


FORT DE VAUJOURS : DE LA TRANSPARENCE À LA DÉPOLLUTION

 


Le Fort de Vaujours est un site de 45 hectares, comprenant un ancien fort militaire,
situé à cheval sur le département de la Seine-Saint-Denis et sur notre département.
Il fut utilisé de 1955 à 1997 par le Commissariat à l’Energie Atomique qui y réalisa
des tirs à l’uranium à l’air libre. Le site demeure aujourd’hui encore classé « secretdéfense
».
En 2010, le site est devenu propriété de BP Placo pour 30 hectares et de la
Communauté d’agglomération Marne-et-Chantereine pour 15 hectares.
PlacoPlatre entend y réaliser une carrière à ciel ouvert pour exploiter le gypse. Cela
signifie la destruction des bâtiments, le déplacement sur plusieurs dizaines
d’hectares et sur vingt mètres d’épaisseur des strates géologiques supérieures du
site, puis l’éclatement des masses de gypses avec des explosifs.
Le site présente une contamination résiduelle par des substances radioactives et
pyrotechniques.
A la pollution à l’uranium 238 s’ajoute d’autres risques liés à la présence d’explosifs
en surface, risques de pollution aux métaux lourds ainsi que des pollutions
chimiques.
Malgré ces risques, en mai 2015, les Préfets de Seine-Saint-Denis et de Seine-et-
Marne ont annoncé la reprise des démolitions de bâtiments, préalables à
l’exploitation des carrières de gypse.
En septembre 2015, la communauté d’agglomération Marne-et-Chantereine
annonçait par voie de presse son intention de céder la parcelle dont elle est
propriétaire à Placoplatre.

 

 

LE CONSEIL DÉPARTEMENTAL DE SEINE-ET-MARNE

 

RAPPELLE que l’arrêté inter-préfectoral du 22 septembre 2005 précise que « les
terres issues des travaux de terrassement, construction ou modification du terrain
doivent être stockées sur le site même » et qu’« un usage résidentiel, des activités
agricoles, des activités entrainant la présence régulière d’enfants, les établissements
recevant du public et les lieux de rassemblement de personnes sont proscrits » ;

 

RÉCLAME l’application immédiate du principe de précaution prévu par l’article 5 de
la Charte de l’environnement de 2004 de valeur constitutionnelle :
- l’arrêt immédiat des démolitions
- l’interdiction d’exploitation des sols et des sous-sols
- l’interdiction de toutes activités économiques impliquant une présence
régulière de travailleurs ;

 

EXIGE une étude complète, indépendante et exhaustive sur l’ensemble du site ;

 

APPELLE à ce que toutes les études, les décisions et les activités conduites soient
réalisées en toute transparence. L’Etat est responsable de la pollution. C’est
pourquoi, la population, les élus et les associations doivent avoir un rôle
d’observateur officiel pour garantir le respect de l’intérêt général ;

 

DEMANDE que les conseillers départementaux, la CRIIRAD et le collectif « Sauvons
la Dhuis » soient associés à l’ensemble des travaux de la commission de suivi du site
du Fort de Vaujours ;

 

SOLLICITE la levée du « secret-défense » ;

 

DEMANDE la dépollution du site à la charge du pollueur selon le principe de pollueur
payeur prévu par l’article L110-1, II,3° du Code de l’environnement ;

 

DÉNONCE que la société PlacoPlatre et l’Etat fassent prévaloir leurs intérêts
économiques sur la santé publique et la protection de l’environnement ;

 

DEMANDE que toutes les garanties soient apportées quant à la préservation des
300 emplois de la société Placoplatre, et de ceux des entreprises sous-traitantes,
dans le cadre de l’arrêt des travaux ;

 

DEMANDE qu’une analyse sanitaire et épidémiologique soit menée par l’Agence
Régionale de Santé afin d’identifier d’éventuelles pathologies imputables aux
activités du CEA.

Partager cet article
Repost0
19 novembre 2015 4 19 /11 /novembre /2015 07:07
Paru dans le Parisien de l’Oise :
Didier Malé, un lanceur d’alertes écolo sur tous les fronts

Farida Chadri | 07 Nov. 2015, 16h24 | MAJ : 07 Nov. 2015, 16h24

 

 

La dernière victoire judiciaire remonte à fin octobre. Le Roso, le Regroupement des organismes de sauvegarde de l’Oise, a obtenu la condamnation d’un gérant d’une société francilienne à six mois de prison ferme. Son premier tort fut d’avoir entreposé dans le département des déchets amiantés.

Sa seconde erreur fut d’avoir croisé le chemin de Didier Malé.

Depuis 2008, ce quinquagénaire préside le Roso, une fédération qui réunit plus de 70 associations de défense de l’environnement. Habitant Le Mesnil-en-Thelle, il s’était fixé pour mission à son arrivée de moderniser le Roso. Sa première arme : la communication. « J’ai fait entrer le Roso dans une autre dimension », résume-t-il. Il a en effet créé un site Internet pour gagner en audience. Surtout, Didier Malé médiatise les dossiers qu’il a dans le viseur. Il communique à la presse aussi bien les mauvais résultats sur la qualité de l’eau potable que ses batailles contre les bruits des aérodromes. Et il n’hésite pas à entrer dans la mêlée judiciaire quand il est question d’épandages illégaux d’herbicides, de casse automobile indélicate, de projets de centrale nucléaire, de plan local d’urbanisme non conforme. En fait, Didier Malé est sur tous les fronts.

Ses grands combats

Le Roso a connu victoires comme défaites judiciaires. Exemples.

1994-1999. Victoire au Conseil d’Etat contre le plan d’occupation des sols sur un projet de lotissement à Fosseuse.

2012. Le Roso réussit à annuler du plan local d’urbanisme (PLU) de Verberie qui aurait permis un projet de centrale à gaz sur un corridor écologique.

2013 -2014. Jugements défavorables pour les PLU de Dieudonné et Amblainville.

2015. La Cour d’appel d’Amiens confirme la condamnation de la société Méru Auto pièces pour non-respect de la législation sur les « installations classées pour la protection de l’environnement ».

2015. Jugement défavorable pour le Roso au tribunal administratif d’Amiens sur le plan local d’urbanisme de Péroy-les-Gombries. Il a fait appel.

« Il fait un travail magnifique, s’enthousiasme Sylvie Vezier, de l’association de défense de l’environnement à Plailly, adhérente au Roso. Il a un suivi de tous les dossiers. Il a une connaissance juridique, chimique, il va sur le terrain. » Cadre-dirigeant d’une société privée de contrôle et d’inspection, Didier Malé maîtrise sur le bout des doigts la réglementation sur les bâtiments, la sécurité des biens et des personnes… Ses connaissances en toxicologie et en biologie acquises lors de ses études en Génie de l’environnement, lui permettent « de connaître les dossiers et d’avancer des arguments », dit-il. C’est sa deuxième arme.

Outre ses victoires dans des grands dossiers, ce père de deux enfants est fier d’avoir su imposer son association comme un interlocuteur crédible auprès de l’administration : « On a une oreille attentive de la préfecture », glisse-t-il.

Infatigable, Didier Malé se définit comme un écologiste convaincu. Un pragmatique aussi : « Le Roso pratique une écologie ouverte à tous. On n’est ni pour, ni contre les éoliennes. On n’est ni pour, ni contre le nucléaire. On regarde projet par projet. » Philippe Enjolras, le président de la chambre de commerce et d’industrie ne partage pas vraiment ce point de vue : « Ce que je reproche à l’association, et non pas à Didier Malé en tant que personne, c’est d’avoir des positions sectaires et jusqu’au-boutistes ».

« Je ne suis pas un écolo borné », se défend l’intéressé. « Il n’a pas du tout d’ego. Il est d’une extrême simplicité et il est à l’écoute des autres », renchérit Sylvie Vezier.

Bref, il est vraiment sur tous les fronts, tout le temps. La troisième et dernière arme du président du Roso reste l’indépendance financière et politique. Le Roso ne perçoit aucune subvention. « Je n’ai pas d’élus copains et je n’en veux pas ». En dehors de l’association et de son activité professionnelle, Didier Malé marche en famille, ramasse des champignons ou pratique le VTT. Et même dans ces moments-là, il lui arrive « d’attraper des gens qui veulent déverser des m… dans la forêt ».

 

 

http://www.leparisien.fr/le-mesnil-en-thelle-60530/didier-male-un-lanceur-d-alertes-ecolo-sur-tous-les-fronts-07-11-2015-5257103.php

 

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 12:03

 

Amcor Coulommiers

parmi les plus importants émetteurs

 de COVnM dans l’air  

 de Seine et Marne en 2013.(1)

 

 

A l’approche de la COP 21

 quelles mesures compte prendre

Rectifel Proseat

Trilport

pour réduire ses émissions de polluants dans l'air ?

 

Nous n’en savons rien.

 

Paru sur Atmo :
Effets sur la santé

 

La toxicité des COVNM est due d’une part à la toxicité directe de certains COV, mais également à la formation de composés secondaires. Différents troubles liés aux COV ont été identifiés. Les fréquences et délais d’apparition de ces troubles varient en fonction de la durée d’exposition, du type de polluant, de la sensibilité du sujet et de nombreux facteurs plus ou moins identifiés.

  • Irritations cutanées : hydrocarbures halogénés ou aromatiques
  • Irritation des yeux : hydrocarbures aromatiques non substitués comme les BTEX (Benzène, Toulène, Xylènes), noyaux benzéniques substitués
  • Irritation des organes respiratoires : hydrocarbures aromatiques, diisocyanates
  • Troubles cardiaques : toluène, chloroforme, méthylchloroforme
  • Troubles digestifs : benzène toluène, hydrocarbures halogénés (CH3Cl), CCl4...)
  • Troubles reinaux, hépatiques : les BTEX, cumène, hydrocarbures halogénés haliphatiques
  • Maux de tête : la plupart des COV
  • Troubles du système nerveux : hydrocarbures aromatiques et halogénés, dichlorométhane, chloroforme, toluène, benzène , 1,1,1,-trichloroéthane
  • Action cancérogène et mutagène : benzène, hydrocarbures insaturés (alcènes, oléfines...) qui peuvent être transformés en composés toxiques, certains hydrocarbures halogénés aliphatiques (dérivés chlorés de l’éthylène, du butène et du butadiène), certains composés aromatiques (styrène)

http://www.atmo-poitou-charentes.org/Effets-sur-la-sante-et-sur-l,48.html

(1) l'environnement industriel en idf édition 2015  DRIEE IDF page 70/71

Partager cet article
Repost0
17 novembre 2015 2 17 /11 /novembre /2015 22:00

 

 

Le Conseil Régional IDF a approuvé en novembre 2009 un Plan Régional d’Elimination des Déchets Dangereux qui permet à l’Ile de France de recevoir des déchets dangereux de toute la France

 

Oui vous avez bien lu la surface de l’Ile de France représentant moins de 2 % de la surface de la France et l'IDF peut recevoir sur son territoire des déchets dangereux de toute la France.

 

Il est vrai que ce ne sont pas les quartiers chics de la capitale ou de l’Ouest de l’Ile de France qui reçoivent ces déchets dangereux, c’est, entre autres, chez « le petit peuple » du nord-ouest 77 qu’on les envoie, vous savez dans la décharge située à côté du fort de Courtry/Vaujours, site pollué utilisé au 20ème siècle par le CEA pour y faire des essais atomiques où Placoplatre veut exploiter du gypse.

 

 La décharge Sita FD Villeparisis se trouve de l'autre côté de la route, elle est classée SEVESO à hauts risques, en particulier parce qu’on y stocke les REFIOM, par stabilisation/solidification, procédé développé voici seulement une vingtaine d’années dont on ne connaît pas la viabilité dans le temps et notamment les risques de relargage des polluants dans les eaux souterraines.

 

 

Mais qu’est-ce que les REFIOM ?

Ce sont les résidus les plus dangereux de fumées d’incinérateurs, chargés en dioxines et furanes,  métaux lourds (arsenic, plomb, mercure, cadmium, nickel….)  déchets considérés comme très toxiques pour l’environnement

 

 

D’où viennent ces REFIOM ?

Une partie provient des incinérateurs d’ordures ménagères de la région parisienne 

comme le précise SITA sur son site :

 

« SITA FD, filiale de SITA SPE, assure le transport et le traitement des cendres et des boues des trois incinérateurs …du Syctom, l’agence métropolitaine des déchets ménagers (Issy les Moulineaux, Ivry/Paris XIII et Saint-Ouen). Les REFIOM et les boues des 84 communes adhérentes au Syctom sont pris en charge et traités sur l’Installation de Stockage de Déchets Dangereux de SITA FD à Villeparisis (77). » http://www.sita.fr/refiom/

 

Mais pas seulement, en effet, Villeparisis reçoit également des REFIOM d’autres départements.

 

Car il faut savoir qu’un certain nombre de régions en France ne possèdent pas de décharges de déchets dangereux et comme le conseil régional IDF favorise «l’accueil » de ces déchets sur son territoire :

Pourquoi s’en priver.

 

La Picardie, le Nord Pas de Calais, le Centre Val de Loire, la Champagne Ardennes…. ne possèdent pas de décharges de déchets dangereux et se font un plaisir de venir les déverser à Villeparisis.

 

Pour mémoire les 2 décharges de déchets dangereux d’Ile de France dont Villeparisis ont reçu près de 170 000 tonnes de REFIOM en 5 ans (entre 2009 et 2013) en provenance d'autres régions.

 

 

Pour savoir si le futur Conseil Régional d’IDF

souhaite continuer

à « accueillir » à Villeparisis

les déchets dangereux de la France entière

nous vous conseillons

de vous rapprocher des candidats aux élections régionales

 

 

 

Liste des principaux candidats

 

LR-UDI-MoDem : Valerie Pécresse, tête de liste régionale

Anne Chain-Larché, Gilles Battail, Hamida Rezeg, Eric Jeunemaître, Claudine Thomas, James Chéron, Marie-Pierre Badré, Julien Proffit, Thi Hong Chau Van, Frédéric Valletoux, Laure-Agnès Mollard-Cadix, Benoît Chevron, Sylvie Monchecourt, Michel Fouchault, Valérie Epikmen, Vincent Paul-Petit, Nathalie Tortrat, Christian Robache, Patricia Astruc-Gavalda, Cédric Brottier, Martine Andrieu, Hervé Kiteba Simo, Sophie Deloisy, Michel Papin, Valérie Lacroute.

 

 

 

Parti socialiste : Claude Bartolone, tête de liste régionale

Roseline Sarkissian, François Kalfon, Liliane Vessah, Jean-Paul Planchou, Geneviève Wortham, Jérôme Impellizzieri, Brigitte Eude, Dominique Carotine, Liliane Pays, Mohommed Yenbou, Isabelle Cros, Gilles Bord, Lina Jali, Hadrien Ghomi, Sylvie Meriaux, Joël Lopes, Nathalie Moine, Bastien Marguerite, Nadine Seymour-Galou, Bastien Gibaut, Nathalie Pierre, Patrick Ratouchniak, Marie Erline Randon, Thomas Petit, Dorine Parravano.

 

Europe-Ecologie- les-Verts : Emmanuelle Cosse, tête de liste régionale

Bénédicte Monville de Cecco, Jean-Marc Pasquet, Rose de la Fuente, Benoît Penez, Fatna Lazreg ,Franck Rolland, Estelle Mazzega-Sbovata, Jacques Huleux, Isabelle Garassino, Paulin Roy, Niki Kanpur-Paraschos, Daniel Badiata-Kanza, Meriem Chebab, Farid Djabali, Brigitte Maisonneuve, Renaud Hée, Lydia Labertrandie, Cuong Pham-Phu, Houda Tahami-Bouallaga, Hocine Oumari, Filoména Berwick, Nicolas Lavallée, Karine Merel, Philippe Cluzeau, Odile Montagne.

 

Front de gauche : Pierre Laurent, tête de liste régionale

Jean-François Pellissier, Sylvie Fuchs, Franck Sureau, Françoise Godin, Alain Briard, Marina Galli-Decostes, Sylvain Pichard, Khadidja Bertino, Patrick Mavré, Heger Habert, Alexis Martinez, Stéphanie Treillet, Gérald Sutrooghen, Maud Tallet, Michel Bachman, Sarah Machrou, Maxime Laisney, Anouk Guezet, David Allaert, Chantal Thomas, Florent Demont, Dany Marguerite, Bruno Isselin, Elsa Martin, Guillaume Sprang.

 

Pour consulter la liste complète :

Voir le Parisien 77 : http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/regionales-la-liste-des-candidats-en-seine-et-marne-10-11-2015-5264599.php

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
17 novembre 2015 2 17 /11 /novembre /2015 18:19

 

L’imprimeur H2D Didier Mary

de Mary sur Marne

3ème plus important émetteur

dans l’air

de

gaz à effet de serre

protoxyde d’azote

de

Seine et Marne

en 2013.(1)

 

A l’approche de la COP 21

quelles mesures compte prendre

l’imprimeur H2D Didier Mary

pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre

 dans l'air ?

 

Nous n’en savons rien.

 

Paru sur Airbreitz :

Le protoxyde d’azote (N2O)

Ses effets sur la santé


Le protoxyde d’azote est utilisé en médecine pour ses propriétés anesthésiques .Le protoxyde d'azote est aussi un gaz hilarant. A forte dose, il entraîne l’euphorie, et des troubles de la perception visuelle et auditive. Il possède un effet sédatif, et provoque également vertiges, angoisse, troubles digestifs (nausées, vomissements). Enfin, il peut entraîner des troubles neurologiques (tremblements, coordination des mouvements).

 

http://www.airbreizh.asso.fr/polluants/le-protoxyde-dazote/

 

 

 

(1) site IREP registre des émissions polluantes http://www.irep.ecologie.gouv.fr/IREP/index.php

La Direction Générale de la Prévention des Risques du Ministère de l’Ecologie, du Développement Durable, et de l’Energie recense les principaux rejets et transferts de polluants dans l’eau, l’air, les déchets déclarés par certains établissements; à savoir:

  • les principales installations industrielles,
  • les stations d'épuration urbaines de plus de 100 000 équivalents habitants,
  • certains élevages.

 

 

 

Partager cet article
Repost0

Recherche