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13 octobre 2009 2 13 /10 /octobre /2009 14:27

Paru sur le site Journal de l’environnement :

 

 

Alpes: menaces sur le «château d’eau» de l’Europe

15/09/2009 12:46

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par Sabine Casalonga
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dans le JDLE La production de neige artificielle détériorerait l’eau des Alpes

 

pour aller plus loinVers le rapport de l’AEE

 

Le changement climatique menacerait le système hydrologique alpin, affectant notamment les précipitations, la couverture neigeuse et les glaciers, selon un rapport de l’Agence européenne de l’environnement (AEE) publié le 9 septembre.

Sécheresses plus fréquentes en été, inondations et glissements de terrains en hiver et variabilité interannuelle de précipitation plus élevée… Telles devraient être les conséquences du réchauffement sur les régions situées en contrebas des Alpes, d’après les prévisions de l’AEE.

Les Alpes qui abritent les sources du Danube, du Rhin, du Rhône et du Pô, sont exposées à une demande accrue en eau pour satisfaire les besoins de l’agriculture et du tourisme, indique l’AEE. Le rapport appelle les acteurs privés et publics à mieux coordonner l’utilisation de l’eau et des terres, et à mieux partager les ressources. Comme facteurs de succès, il évoque les mesures technologiques (irrigation, réutilisation des eaux usées ou grises), la gestion de la demande en eau et l’implication des acteurs locaux. Le rapport présente 6 exemples d’adaptation régionale aux problématiques liées à la ressource en eau, notamment en France, en Italie et en Suisse

 

http://www.journaldelenvironnement.net/fr/document/detail.asp?id=1795&idThema=2&idSousThema=11&type=JDE&ctx=259

 

 

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12 octobre 2009 1 12 /10 /octobre /2009 19:37

Extrait d’un article paru sur le site : Le Journal développement durable 

9.9.2008

 

Pétrochimie : La sécurité en question chez Total

 

300 employés d’une usine de Grandpuits (Seine-et-Marne) du groupe Total ont dû être évacués le 13 août après une fuite d’ammoniac ©DR

Déboires judiciaires et accidents industriels à répétition : le groupe français Total traverse une période de crise et encaisse les coups. Après plusieurs explosions et intoxications, c’est une fuite d’ammoniac qui a entraîné l’évacuation, jeudi 13 août, de 300 employés d’une usine de Grandpuits (Seine-et-Marne). Quatre salariés sont décédés depuis le début de l’année. La politique de sécurité du groupe est remise en cause.

L’incident serait sans doute resté cantonné dans les faits divers, s’il ne s’était pas ajouté à un ensemble de difficultés auxquelles Total doit faire face depuis le début de l’année. Une fuite d’ammoniac a entraîné l’évacuation, jeudi 13 août, de 300 employés de son usine de Grandpuits en Seine-et-Marne, spécialisée dans la fabrication d’engrais azotés et classée Seveso 2. À l’origine du problème, une erreur d’un technicien qui, vers 11h00, a « oublié de passer en mode manuel une vanne de compresseur ». La surpression a alors entraîné l’ouverture d’une soupape de sécurité et l’évacuation d’ammoniac à l’extérieur du bâtiment, « sans faire de blessés », selon la gendarmerie. La préfecture a pris dès le lendemain un arrêté demandant la suspension de la production dans l’atelier incriminé, en attendant la remise en état des installations. Une fuite avait déjà eu lieu dans l’usine, le 22 juillet dernier. Du coup, une réunion est prévue cette semaine en préfecture entre le directeur de Grandpuits, les pompiers, les gendarmes et les maires des communes voisines.

Des batailles judiciaires en cours

Car Total n’en est pas à son premier problème industriel cette année. Loin de là. Jeudi 13 août, un autre accident s’est produit dans l’usine pétrochimique de Lavéra (Bouches-du-Rhône), détenu par Total et le chimiste Ineos. Deux salariés ont été brûlés au deuxième degré lors de l’allumage d’un four. Une semaine plus tôt, trois employés avaient également été blessés à Gonfreville (Seine-Maritime), à la suite du renversement d’un bac d’acide sulfurique vide. Beaucoup plus grave, l’explosion survenue en juillet sur la plate-forme pétrochimique de Carling Saint-Avold (Moselle) avait fait deux morts et six blessés. Deux autres décès avaient déjà eu lieu en janvier dans les raffineries de Flandres et de Provence, à la suite d’une intoxication à l’hydrogène sulfuré et de l’explosion d’un camion-citerne.
A toutes ses défaillances, s’ajoutent des batailles judiciaires que doit mener le groupe. À commencer par celle de l’usine A ZF qui s’est ouverte à Toulouse en février dernier. Une gigantesque explosion avait ébranlé en septembre 2001 tout un quartier de la ville, faisant 31 morts et pas moins de 2 500 blessés. Le tribunal correctionnel a placé Total et son PDG de l’époque Thierry Desmarest au rang des prévenus. Le procureur a demandé en juin dernier, à la fin du procès, trois ans de prison avec sursis contre l’ex-directeur de l’usine et une amende de 225 000 euros contre Grande Paroisse (Groupe Total), propriétaire de l’usine. Le jugement du tribunal correctionnel sera rendu le 19 novembre prochain. 

Une multiplication d’accidents

Début 2008, Total avait déjà été jugé par la Haute Cour de Londres (Angleterre) qui avait reconnu la responsabilité du groupe français dans l’incendie d’un dépôt de carburant de Buncefield, fin 2005. Autre polémique : une fuite de fioul dans la raffinerie Total de Donges (Loire-Atlantique) qui a pollué un estuaire de la Loire en mars 2008. Le groupe a été mis en examen dans le cadre de l’enquête.
Face à la multiplication des accidents, il devient de plus en plus difficile aux salariés du groupe - et aux victimes - de croire en la fatalité. Des voix s’élèvent pour mettre en cause la politique de sécurité. « On aurait pu croire que Total tirerait les conséquences du procès AZF, mais on continue à sacrifier les vies des salariés », commente Jean-Michel Petit, secrétaire général de la Fédération de la chimie - CGT. D’autant que le 10 mars dernier, le pétrolier français a annoncé la suppression de 555 postes d’ici à 2013 dans le cadre d’une restructuration en France de ses activités de raffinage et pétrochimie. « Les objectifs de rentabilité à deux chiffres fixés aux branches d’activité par les dirigeants du Groupe et le retour aux actionnaires conduisent, pour les atteindre, à des plans de restructuration, des plans de réduction des coûts, à reporter des opérations de maintenance et de remplacement de matériel, à démarrer des installations avant même que l’ensemble des conditions d’instrumentation ne soit rempli, à l’externalisation pour reporter le coût du travail sur la sous-traitance, à des manques d’effectifs, de formation, d’anticipation des départs et de recouvrement des postes, à des dégradations des conditions de travail, à l’accroissement du stress », s’indigne la CGT qui réclame « davantage de droits d’intervention des salariés ».
……

18 août 2009, Patrick Cros

http://www.developpementdurablelejournal.fr/spip.php?article5073

 

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11 octobre 2009 7 11 /10 /octobre /2009 11:10
Extrait article paru sur le blog  Six pieds sur terre du 18/8/2009
Parce que "l'obligation de subir nous donne le droit de savoir"
(Jean Rostand).
Laure Noualhat
Le risque industriel simplifié

Qui ne dit mot consent. C'est en substance ce que l'on pourrait conclure en lisant le nouveau régime simplifié destiné aux installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE). Le projet de décret actuellement dans les tuyaux ministériels prévoit qu'une absence de réponse de l'administration équivaudrait à un feu vert implicite à l'exploitant. Un peu comme si vous demandiez l'autorisation d'asperger le potager du voisin de Round up, et qu'après six mois de silence de sa part, vous considériez qu'il est hyper partant.

Pour créer une activité industrielle à risques, deux options: soit c'est une activité bien cracra, auquel cas il faut obtenir une autorisation après un an de procédure (cela concerne 54000 installations en France). Soit elle n'est guère dangereuse et il n'y a qu'à la déclarer en préfecture (c'est le cas pour les pressings mais aussi pour 450000 installations réparties sur le territoire). Avec le nouveau texte, une troisième voie s'offre aux industriels: la procédure d'autorisation simplifée.


Ce texte prévoit de fixer à six mois le délai d'instruction d'une demande d'autorisation simplifiée à partir de la date de dépôt du dossier. Mais, "à défaut de notification d'une décision expresse dans les délais mentionnés (...), le silence gardé par le Préfet vaut enregistrement", indique ce document. "Le fait qu'un silence de l'administration puisse valoir autorisation, c'est catastrophique pour la protection de l'environnement", estime Arnaud Gossement, porte-parole de la fédération France nature environnement qui regroupe 3000 associations. "On peut imaginer qu'une installation industrielle puisse commencer à fonctionner même si l'administration n'a pas répondu", ajoute-t-il. En droit administratif, d'ordinaire, le silence vaut un refus.


La création de ce nouveau régime d'autorisation simplifiée, sans enquête publique ni étude d'impact, a fait l'objet d'une ordonnance publiée au Journal Officiel le 12 juin et un décret doit maintenant en fixer le champ d'application. "La procédure d'enregistrement est donc simplifiée par rapport à la procédure d'autorisation en ce qu'elle ne prévoit pas, en principe, la production par l'exploitant d'une étude d'impact et d'une étude de dangers, la réalisation d'une enquête publique et l'avis d'une commission départementale consultative."


Actuellement, sur 500000 installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE), 54000, les plus dangereuses, sont soumises à  une autorisation préfectorale préalable, les autres devant faire l'objet d'une simple déclaration d'activité. La création d'un troisième régime, intermédiaire, vise à accélérer les procédures pour les installations potentiellement les moins dangereuses. Mais, au fait, qu'est-ce qu'une installation industrielle moins dangereuse? Quels critères seront retenus pour que l'installation soit concernée par le nouveau régime? Le ministère ne veut pas livrer la liste mais on peut se faire une idée... Porcheries? Entrepôts? Déchetteries de transit? Unités de transformation des matériaux de construction? Stations service? Distilleries? Travail mécanique (et chimique?) du bois et des métaux? "Comme il n'existe aucun critère connu à ce jour, on peut s'interroger sur tout", conclut Arnaud Gossement. Et ce petit monde de l'industrie sait y faire pour faire passer des textes favorables à leurs multiples activités.



Petit rappel mesquin des accidents survenus au premier semestre...


5 janvier: intoxication sur le site de la Mède, 1 mort.
29 janvier: explosion dans un atelier de maintenance à Mardyck, 1 mort et 5 blessés.
15 juillet: explosion sur le site de Carling, 2 morts, 6 blessés.
16 juillet: fuite de pétrole lourd dans la raffinerie de Gonfreville l’Orcher.
22 juillet: fuite d’ammoniac à l'usine GPN Grande Paroisse du groupe Total de Grandpuits (Seine-et-Marne), 350 personnes évacuées, 31 ont reçu des secours, 12 ouvriers hospitalisés.
5 août: usine Total Petrochemicals de Gonfreville-l'Orcher: trois salariés blessés, dont deux gravement.
7 août: déversement accidentel de 4 millions de litres de pétrole dans la réserve naturelle de la Crau.
12 août: incendie à l'usine Naphtachimie, filiale de Total Petrochemicals, 2 blessés.

.......
Un post sur le sujet publié en
janvier.

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10 octobre 2009 6 10 /10 /octobre /2009 19:13

ZAC " Le Bois des Granges "

L'ENQUETE PUBLIQUE QUI AVAIT DEBUTEE le 2 SEPTEMBRE 2009  
A ETE ANNULEE

LA NOUVELLE ENQUETE PUBLIQUE DEBUTERA  LE 12 OCTOBRE 2009
avec un nouveau commissaire enquêteur
Monsieur Claude POUEY



AVIS AU PUBLIC D'ENQUETE PUBLIQUE

REVISION SIMPLIFIEE DU PLAN LOCAL D’URBANISME


valant enquête publique préalable à la déclaration d’utilité publique des acquisitions foncières et des travaux nécessaires à la réalisation de la ZAC " Le Bois des Granges "

L’arrêté n° 09.13 du 21 juillet 2009 de M. le Maire prescrivant l’enquête publique relative à la révision simplifiée du PLU de Claye-Souilly et valant enquête publique préalable à la déclaration d’utilité publique des acquisitions foncières et des travaux nécessaires à la réalisation de la ZAC " Le BOIS DES GRANGES " est rapporté.

Par ordonnance n° E09000103r/77 du 11 septembre 2009 de Monsieur le Président du Tribunal Administratif de Melun, Monsieur Claude POUEY a été désigné en qualité de Commissaire enquêteur,

Par arrêté n°.09.14 du 15 septembre 2009, le Maire de CLAYE SOUILLY a ordonné l'ouverture de l'enquête publique relative à la révision simplifiée du Plan Local d’Urbanisme de Claye-Souilly valant enquête publique préalable à la déclaration d’utilité publique des acquisitions foncières et des travaux nécessaires à la réalisation de la ZAC « Le Bois des Granges ».

L'enquête se déroulera à la mairie de CLAYE SOUILLY
(Service urbanisme)
du 12 octobre au 14 novembre 2009 aux jours et heures habituels d'ouverture : du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h30, 17h le vendredi et le samedi de 9h à 12 heures.


Monsieur Claude POUEY, Commissaire enquêteur, recevra en Mairie :
 le lundi 12 octobre de 14 h à 17 heures,
 le mercredi 21 octobre de 14 h à 17 heures,
le samedi 14 novembre 9h à 12h.

Pendant la durée de l'enquête publique relative à la révision simplifiée du Plan Local d’Urbanisme de Claye-Souilly valant enquête publique préalable à la déclaration d’utilité publique des acquisitions foncières et des travaux nécessaires à la réalisation de la ZAC "Le Bois des Granges", les observations du public sur le projet pourront être consignées sur les registres d'enquête déposé en mairie. Elles peuvent également être adressées par écrit au commissaire enquêteur en Mairie de Claye-Souilly 1 allée André Benoist 77414 CLAYE SOUILLY CEDEX à l’attention personnelle de Monsieur Claude POUEY.

A l’issue de l’enquête et pendant un délai d’un an, le public pourra consulter le rapport et les conclusions du commissaire enquêteur à la mairie.

 

 

 

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9 octobre 2009 5 09 /10 /octobre /2009 14:51

Répression des fraudes 

  la DGCCRF demande aux collectivités locales
de mettre leur contrat
de fourniture d'eau en conformité

 

D’importantes anomalies ont été trouvées  dans les règlements des services de l’eau ……Versement d’un dépôt de garantie expressément interdit par la loi  du 30.12.2006 engagement de l’abonné à accepter d’avance les modifications décidées unilatéralement par le prestataire, responsabilité du prestataire écartée en cas d’incident, augmentation injustifiée des charges de l’abonné…

 

 


Site de la DGCCRF  25/08/09

La direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes DGCCRF demande aux collectivités locales de mettre leur contrat de fourniture d'eau en conformité.

Consulter le communiqué de presse

 

http://www.dgccrf.bercy.gouv.fr/presse/communique/2009/factures_eau.pdf

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8 octobre 2009 4 08 /10 /octobre /2009 19:30
Paru dans le journal de l'environnement :



L’Europe gaspille la moitié de ses matériaux recyclables

07/10/2009 12:21

par Victor Roux-Goeken


dans le JDLE Ressources naturelles: l’Europe est le plus grand importateur

 

pour aller plus loinCommuniqué et rapport des Amis de la terre Europe (en anglais)

 

L’UE réduit chaque année à l’état de déchets des ressources recyclables dont la valeur s’élève à 5,25 milliards d’euros en les enfouissant ou les incinérant, selon un rapport des Amis de la terre Europe publié mercredi 7 octobre.

Ce nouveau rapport (1) est publié quelques jours après une étude de l’ONG sur la quantité croissante de ressources naturelles importées par le continent (2).

Si ces matériaux étaient recyclés, l’émission de plus de 148 millions de tonnes équivalent CO2 pourrait être évitée, ce qui correspond à 47 millions de véhicules de moins sur les routes.

Près de la moitié de matériaux recyclables produits en Europe –papier, carton, verre, plastique, aluminium et acier– sont mis au rebut et non recyclés.

(1) «Jetées à la poubelle: les ressources précieuses que les pays européens enterrent et brûlent»
(2) Dans le JDLE «Ressources naturelles: l’Europe est le plus grand importateur»


pour plus amples informations : 

http://www.journaldelenvironnement.net/fr/document/detail.asp?id=1946&idThema=4&idSousThema=20&type=JDE&ctx=259

 

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7 octobre 2009 3 07 /10 /octobre /2009 13:35

Paru sur le journal de l’environnement :

 

Le Cniid veut une taxe carbone sur l’incinération

01/10/2009 12:08

Maîtriser

par Sonia Pignet

dans le JDLE Projet de loi de finances 2010: «le verdissement s’intensifie»

 

pour aller plus loinDossier du Cniid

 

Alors que la taxe carbone était présentée hier en Conseil des ministres dans le cadre du projet de loi de finances pour 2010 (1), l’association de protection de l’environnement Cniid (Centre national d’information indépendante sur les déchets) demande l’inclusion de l’incinération dans les activités soumises à la contribution climat énergie. «L'Hexagone, qui va instaurer une taxe carbone, ne doit pas passer à côté de l'opportunité d'agir sur la gestion de ses déchets», estime-t-elle.

Le Cniid, qui indique que l’incinération rejette en France annuellement l’équivalent des émissions en CO2 de 2,3 millions de voitures, réclame la suppression des avantages alloués à l’incinération, comme les tarifs de rachat préférentiels ou l’exonération de la taxe carbone. «Sur le principe du pollueur-payeur, il est nécessaire de taxer l'incinération pour sa part de responsabilité dans les changements climatiques», martèle-t-il. Il souhaite également que la contribution climat énergie soit à terme étendue aux émissions de méthane des centres de stockage des déchets.

Pour plus amples informations :

http://www.journaldelenvironnement.net/fr/document/detail.asp?id=1905&idThema=4&idSousThema=21&type=JDE&ctx=259

 

 

Paru sur le site du CNIID :

 

L'incinération réchauffe notre climat

Jeudi 1er octobre - Le Cniid lance une cyber@ction pour demander aux parlementaires de supprimer les aides financières actuelles à l'incinération et de la soumettre à une contribution climat énergie.

Lire la suite

http://www.cniid.org/index.php?option=com_content&view=article&id=51&Itemid=19

 

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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 17:03


Paru sur le   Paru sur le site de l'ADEME :                               

 

 

dossier n° 28 - septembre 2009

.

 

http://www.ademe.fr/htdocs/publications/dossier/av28/p2_txt.htm

 

 

 

 

 


« Passer du stade labo à l’utilisation industrielle »


3 questions à Nathalie Thybaud, ingénieur au département des Procédés industriels et agricoles de l’ADEME.


Quels sont les objectifs du Fonds démonstrateurs de recherche ?

Il s’agit de soutenir des projets innovants dans le domaine des nouvelles technologies de l’énergie, parmi lesquelles le captage et le stockage de CO2. La réalisation de démonstrateurs, phase intermédiaire entre l’expérimentation et le développement commercial, permet de valider des technologies et les faire passer du stade laboratoire à un niveau qui soit représentatif d’une utilisation industrielle.
Pour cela, il est nécessaire de lever des verrous technologiques, liés à la taille d’un système.


Un appel à manifestation d’intérêt a été lancé en septembre 2008. Quels en sont les résultats ?

Nous avons reçu cinq projets : deux pour le captage, un sur le stockage et deux portant sur des systèmes intégrant le captage, le transport et le stockage.
Les expertises des projets ont été menées par des experts de l’ADEME et des spécialistes extérieurs. Des représentants des ministères de tutelle, réunis au sein d’un comité de pilotage, ont déjà validé deux projets.


Quels sont les moyens de financement ?

L’ADEME dispose du Fonds démonstrateurs de recherche (400 millions d’euros) pour financer les projets de technologies en rupture. Les démonstrateurs de captage et stockage de CO2 en France seront financés par une partie de ce fonds. Par la suite, pour la mise en œuvre de démonstrateurs de taille industrielle, un programme de financement et un appel à projet pourrait être proposé par la Commission européenne en 2010.


Contact : nathalie.thybaud@ademe.fr


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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 15:32
Paru sur le site la tribune FR 23.9.2009
Nouvel incident sur un site Total, pas de victime

PARIS (Reuters) - Un incident a eu lieu mercredi dans une unité pétrochimique de Total à Gonfreville-l'Orcher (Seine-Maritime) sans faire de victime, apprend-on auprès de l'entreprise.

"Ce jour, à 14 heures, un feu s'est déclaré sur l'unité polyéthylène basse densité dans un blockhaus entourant le réacteur de polymérisation", peut-on lire dans un communiqué de Total, qui précise que tout danger d'extension a été écarté 58 minutes plus tard.

Selon Daniel Bachelet, représentant CGT sur le site, une fuite de gaz a généré des flammes "de plusieurs dizaines de mètres" au-dessus du réacteur. Elles ont été complètement éteintes par les services de sécurité une heure plus tard.

"L'explosion d'un joint de rupture a libéré du polyéthylène à l'intérieur d'un blockhaus qui est surveillé depuis l'extérieur", a-t-il expliqué.

Face à la multiplication des incidents dans ses usines, Total a entamé ce mercredi l'inspection de ses sites classés Seveso 2, commençant par celui de Donges, en Loire-Atlantique.

Selon la CGT, la fréquence de ces incidents est dû à la réduction des effectifs.

.........
pour plus amples inforamtions :

http://www.latribune.fr/depeches/reuters/nouvel-incident-sur-un-site-total-pas-de-victime.html

 

Paru sur le site usine nouvelle

Nouvel incident chez Total Petrochemicals France à Gonfreville-l’Orcher

Le 24 septembre 2009

Mots clés :  Quotidien des Usines, Haute-Normandie

Le jour même où le groupe pétrolier Total lançait sa tournée d’inspection de ses sites, suite à de nombreux accidents survenus depuis le début de l’année, un incendie s’est déclaré le 23 septembre à 14 heures dans un blockhaus entourant le réacteur de polymérisation sur l’unité polyéthylène basse densité de l’usine Total Petrochemicals France à Gonfreville-l’Orcher (Seine-Maritime).

Si, selon la direction, le feu a été circonscrit en un peu moins d’une heure par les équipes d’intervention internes, l’inquiétude grandit sur le site et chez les élus locaux. Cet incident, qui n’a pas fait de blessés, survient en effet après un précédent sur le site normand, le 4 août, où trois salariés, dont deux d’entreprises sous-traitantes, avait été blessés lors d’une intervention.

Outre les syndicats, le maire de Gonfreville-l’Orcher, Jean-Paul Lecoq, est monté au créneau. « Il faut peut-être arrêter de confier la sous-traitance aux entreprises les moins chères et se pencher sur plusieurs problèmes. La formation des personnels intervenants, les moyens techniques dont ils disposent et l’apprentissage des procédures spécifiques liées à ce type de site ».

..........
De notre correspondant en Normandie, Patrick Bottois

pour plus amples informations :

http://www.usinenouvelle.com/article/nouvel-incident-chez-total-petrochemicals-france-a-gonfreville-l-orcher.N118064

 

 

 

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2 octobre 2009 5 02 /10 /octobre /2009 20:36

EXPERIMENTATION  DU
  CAPTAGE ET STOCKAGE DU CO2

d'après le Larousse
 expérimentation : essai d'application, expérience
cobaye : sujet d'expérience (fam.)

Les riverains de la décharge Rep Veolia Claye-Souilly, Fresnes sur Marne, Charny vont-ils servir de cobayes contre leur gré  ?

********

UN CADRE JURIDIQUE ADOPTE AU SENAT TEL QUEL ET SANS DEBAT

QUI PAIERA LA SURVEILLANCE DES SITES APRES LA FIN DES INJECTIONS :
 
LE CONTRIBUABLE ?

*********

Paru dans le Journal de l'environnement :

Grenelle II: l’énergie et le climat examinés au Sénat

02/10/2009 11:58

par Victor Roux-Goeken

dans le JDLE Grenelle II: le Sénat veut expérimenter le péage urbain
Grenelle II: bâtiment, publicité extérieure et urbanisme au Sénat

 

pour aller plus loinDossier législatif du «Grenelle II»

 

Les sénateurs ont presque achevé mardi 29 septembre l’examen de la partie Energie et climat du projet de loi portant engagement national pour l’environnement, dit Grenelle II. Ils ont notamment validé la création d’un cadre juridique pour l’expérimentation du captage et stockage du CO2.

Captage et stockage du CO2
Les sénateurs ont adopté tel quel et sans débat le cadre juridique pour l’expérimentation du captage et stockage du CO2 (CSC) souhaité par le gouvernement. Seul bémol: le sénateur Jacques Muller (Alsace, Verts) s’est étonné qu’un article consacré à la recherche et développement sur le CSC figure «au sein d'un texte censé fonder la lutte contre le changement climatique». Cette technologie –très contestée par les associations environnementales du fait de son coût énergétique et de la non-remise en cause de la consommation d’énergies fossiles qu’elle implique– fait donc l’objet d’une nouvelle section dans le Code de l’environnement.

La durée des essais et la masse maximale de CO2 injectée en sous-sol ne pourront dépasser respectivement 5 ans et 500.000 tonnes. L’exploitation sera soumise à autorisation, accordée après réalisation d’une étude de danger et d’une enquête publique. L’exploitant devra constituer des garanties financières afin d’assurer la surveillance du site, le maintien en sécurité de l'installation, les interventions éventuelles en cas d'accident avant ou après la fermeture, et la remise en état après fermeture.

A la fin des essais d’injection et de stockage, c’est l’Etat qui pourra avoir la responsabilité de la surveillance des installations et de prévention des risques, dans des conditions à définir par décret.

…….

 

  Pour plus amples informations :

http://www.journaldelenvironnement.net/fr/document/detail.asp?id=1914&idThema=6&idSousThema=32&type=JDE&ctx=259

 

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