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16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 17:04

Paru sur le blog Nature Environnement 77

Stockage de CO2: les Seine et Marnais inquiets

L'inquiétude des Seine et Marnais face au projet de stockage de CO2 n'est pas vaine.

A Jurançon, un stockage souterrain de CO2 est déjà en cours de réalisation.
L'entreprise Total achète les élus. La population n'est ni écoutée ni informée correctement !
Les habitants de Claye-Souilly sont très inquiets car un site semblable est prévu dans le sous sol de leur commu
ne
.
D'après d'autres infos recueillies, le site de Grandpuits (Total, là encore) ferait lui aussi partie des lieux possibles de stockage

Plus d'informations:
- L'article du Monde du 9 décembre 2009: Première expèrience de stotckage souterrain de CO2 en France, par
Henri Pépin:
lire l'article
- Le compte rendu de la CLIS,  qui s'est déroulée avant la première injection de CO2: lire le compte rendu

 

http://nature.environnement.77.over-blog.com/

 

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13 décembre 2009 7 13 /12 /décembre /2009 18:41
LE PROJET DE STOCKAGE CO2   
DE VEOLIA
A CLAYE-SOUILLY
Sera-t-il financé par les deniers publics
au travers du Grand Emprunt ?



Paru sur le site Romandie News
Lancement d'une consultation sur les filières industrielles vertes

ORSAY (Essonne) - La secrétaire d'Etat à l'Ecologie Chantal Jouanno a annoncé vendredi le lancement d'une consultation sur les filières industrielles vertes afin de déterminer notamment les priorités dans le cadre du grand emprunt.

Il s'agit "d'identifier toutes ces filières d'avenir et toutes ces pépites qu'on a en France", a expliqué Mme Jouanno, citant l'exemple de Leosphere, entreprise de mesures atmosphériques basée à Orsay, qu'elle a visité vendredi.

"On a des talents, maintenant il ne faut pas que les talents partent à l'étranger parce qu'on arrive pas à les accompagner", a-t-elle ajouté.

Cette consultation s'appuiera sur un rapport du Commissariat général au développement durable (CGDD) qui a analysé "les forces et les faiblesses" de 17 filières et proposé pour chacune d'entre elles des objectifs de développement à moyen et long terme.

L'étude a permis d'identifier "cinq six filières (...) qui sont en croissance forte et dans lesquelles la France est bien positionnée", a souligné la secrétaire d'Etat à l'Ecologie, citant en particulier l'éolien off-shore, les bio-carburants de deuxième et troisième génération ou encore le captage et le stockage du CO2.

Le rapport sera mis en ligne prochainement et soumis à la consultation des acteurs concernés, invités à apporter d'ici au 15 janvier 2010 leur contribution.

"Cela va nous permettre très concrètement, dans le cadre du grand emprunt, de déterminer les projets prioritaires et les filières prioritaires", a expliqué Mme Jouanno.

(©AFP / 20 novembre 2009 14h33)

http://www.romandie.com/infos/news2/091120133336.w3vkg74f.asp

 

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12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 13:51

Paru sur le blog Accid :

 

Vic-de-Chassenay : Un monde de voyous enfanté dans la supercherie et le mensonge… (ASPA)

 

Au terme de cinq années d’un âpre combat qui a mobilisé toute l’énergie de l’association, ce qui crevait les yeux de tous ceux qui se sont investis dans le dossier est désormais aujourd’hui clairement mis en évidence, la méga-décharge est le produit d’un grossier mensonge :


- mensonge du pétitionnaire qui a soumis à l’enquête publique
une étude géologique erronée, allant jusqu’à falsifier certaines données comme celle de la source de Collemagne afin d’inverser les pentes et d’éclipser les problèmes de circulation des eaux, se livrant à des interprétations fantaisistes, annonçant la présence de 5 à 7 m d’argiles, assurant que tous les calcaires seraient excavés et présentant la Terre au Seigneur comme un site idéal ;


- mensonge de ceux de nos élus qui se sont fortement impliqués, bien avant le dépôt du dossier, pour travestir les réalités géologiques et qui ont utilisé leur mandat pour faire avancer l’abject projet auprès des entreprises et des municipalités ; si l’un d’entre eux tombait le masque en bêtifiant notre association et en montant lui-même à l’assaut de nos banderoles et de nos panneaux, un autre, arguant de sa connaissance de la terre, n’hésitait pas à affirmer mordicus, sans rien y connaître, la présence d’argiles abondantes face à l’avis pourtant très éclairé et strictement négatif de l’éminent géologue agréé du département (c’était le 14 décembre 2004, devant le préfet, lors de la commission du plan départemental d’élimination des déchets ménagers et assimilés). Demandez leur pourquoi… ;


- mensonge du sous-préfet qui, au nom de l’État, avait en charge d’instruire le dossier et qui nous avait donné sa parole que s’il n’y avait pas d’argiles, il n’y avait aucune crainte à avoir, le projet serait rejeté. Et comme les syndicats mixtes des déchets avaient fait le choix de l’incinération dans une première délibération, il déployait d’étonnants efforts pour faire passer à la trappe cette décision et pour retourner les syndicats mixtes en les pressant d’adopter dans une délibération un peu folle le mode de l’enfouissement. Parallèlement, s’imposant à la dernière minute en faisant modifier l’ordre du jour, il se transformait en VRP de la décharge en allant démarcher le Club des Entrepreneurs de l’Auxois ; de même il organisait des réunions pour galvaniser les maires. Ce sous préfet peu scrupuleux, destitué depuis, est devenu en toute impunité cadre au service des COLLARD et se retrouve chef de projet chez le pétitionnaire VILLERS SERVICES.

Contrairement à ce que ces acteurs n’ont jamais cessé de soutenir pour faire passer en force le projet et installer coûte que coûte la méga-décharge sur un site aux calcaires inexpugnables et dépourvu d’argiles, la réalité est cruelle : il n’y a pas d’argiles, les calcaires sont toujours là…
Cette fois, ce n’est plus l’ASPA qui le dit, c’est l’expert désigné par le tribunal administratif qui l’écrit dans son pré-rapport.

Il est clair aujourd’hui que si ces évidences, pourtant martelées sans relâche par l’association, avaient été reconnues dès le début, on aurait fait l’économie d’un long contentieux puisque sans cette supercherie, le dossier de demande d’autorisation d’exploiter n’avait aucune chance d’aboutir !
C’est donc le public qui a été trompé lors de l’enquête publique, mais aussi le préfet à qui on a soumis une étude d’impact erronée et travestissant les réalités géologiques. C’est très grave…

Sachez encore que, dans ce monde de voyous où tout peut s’arranger, la société exploitante a effectué plusieurs constructions en toute illégalité, sans déposer ni permis de construire ni la moindre déclaration préalable de travaux. Tout aussi illégalement, et sans même qu’une étude d’impact ait été effectuée ou qu’un avis des autorités aériennes ait été sollicité, elle a dressé des pylônes de 28 m de haut en vue de suspendre un filet. Les maires des communes de Millery et de Vic-de-Chassenay, dénonçant ces infractions au Code de l’Urbanisme auprès de la Direction de l’Équipement et déposant plainte à la Gendarmerie devant pareil flagrant délit, ont vu leurs efforts anéantis : l’administration spécialement bienveillante, invoquant le caractère « sensible » du dossier, s’est empressée d’accorder des passe-droits en régularisant la situation tandis que le procureur de la République proposait un classement de l’affaire…

par ASPA le 10/12/2009 @ 10:59
http://sos-auxois.fr/

 

Pour plus amples informations :

 

http://accid.over-blog.com/article-vic-de-chassenay-un-monde-de-voyous-enfante-dans-la-supercherie-et-le-mensonge-aspa--41005200.html

 

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11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 14:20

SEINE ET MARNE : DEPOTOIR DE LA FRANCE ?

 


Décharge de déchets dangereux SITA FD VILLEPARISIS

 

 
Quelques chiffres pour 2008

 

  Sur 189 250 tonnes de déchets dangereux  

reçus dans cette décharge

moins de 7 % proviennent de Seine et Marne


Le reste des déchets dangereux provient de Paris, des Yvelines, de l’Essonne, des Hauts de Seine, de la Seine St Denis, du Val de Marne, du Val d’Oise, de l’Aisne, de l’Aube, du Loiret, de la Marne, de l’Oise, de l’Yonne, du Nord, du Pas de Calais, et 6 % soit 11995 tonnes d’autres départements dont nous n’avons pas la liste.

 

Source : Sita FD


Et  peut-être bientôt  un stockage de déchets radioactifs.

Affaire à suivre.....

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10 décembre 2009 4 10 /12 /décembre /2009 10:28

Projets de stockage CO2

A Claye-Souilly comme à Jurançon/Lacq
les riverains sont-ils considérés comme des cobayes :
ces petits animaux sans défense, 
sujet d'expérience de laboratoire  ?


Si votre réponse est oui, alors le sujet est grave.


Extrait article paru sur le site LE Monde.fr

 

Point de vue

Première expérience de stockage souterrain de CO2 en France, par Henri Pépin

LEMONDE.FR | 09.12.09 | 19h17  •  Mis à jour le 10.12.09 | 07h36

A l'occasion du sommet de Copenhague sur le climat, on parle beaucoup de la technologie de captage et stockage de CO2 (CSC) pour réduire les émissions des gros pollueurs industriels. Lors d'un récent colloque organisé à Paris, le directeur de l'Agence internationale de l'énergie disait qu'avec le CSC "il fallait gagner la confiance du public". Qu'en est-il sur le terrain ?

…….

Une expérience pilote est en cours de démarrage en France même, avec le stockage de 120 000 tonnes de CO2 dans un réservoir de gaz naturel en fin d'exploitation situé sous le vignoble de la commune de Jurançon, en Béarn. A quelques semaines de la première injection, et après seize mois de débats au sein d'une commission locale d'information et de sécurité (CLIS), le groupe Total annonce qu'il a le feu vert de l'administration et qu'il n'est pas tenu d'impliquer les riverains dans les exercices de sécurité qui les concernent, ni de les prévenir avant de démarrer les injections. Comment une attitude aussi arrogante, si peu propice à gagner la confiance du public, est-elle possible ? Elle s'explique tout simplement parce que l'acceptation sociale est, dans les faits, le dernier souci de Total et de l'administration. L'association des riverains (Coteaux de Jurançon Environnement) en fait l'expérience depuis janvier 2008.

La concertation est absente ou manipulée. La concertation telle que la conçoit Total est essentiellement de la communication. Quand le président de la CLIS a proposé qu'il y ait présentation des différents points de vue et débat lors d'une réunion publique sur les lieux mêmes de l'expérience, Total n'y a pas donné suite. Il y a bien eu une enquête publique ; mais, outre le fait déplorable que les commissaires enquêteurs ont distribué des documents publicitaires de Total aux personnes venues s'informer, les conclusions de l'enquête ne reflétaient pas du tout l'opposition au projet, largement majoritaire parmi les personnes qui ont donné leur avis à Jurançon. Pour réduire cette opposition, Total tire parti de sa position de force d'employeur majeur de la région pour essayer de convaincre les riverains et n'hésite pas, aussi, à proposer un mécénat fort opportun à un maire de Jurançon au départ très réticent vis-à-vis du projet.

Les manquements à l'éthique scientifique jettent le doute sur les dispositifs de sécurité prévus, l'intérêt scientifique du projet et le devenir à long terme. Il n'y a pas d'évaluation indépendante du projet, c'est-à-dire pas d'évaluation faite par un organisme qui ne soit pas en conflit d'intérêts avec Total. L'administration fait en sorte que les avis soient donnés "en famille" et fait appel au bureau de recherche géologique et minière, qui a aidé à élaborer le projet et qui est impliqué dans son comité de suivi scientifique. Cette situation a été dénoncée en vain depuis le début. Il a été demandé par l'association des riverains que soient mis sur le site de la préfecture tous les documents scientifiques et techniques reliés au projet et pouvant être rendus publics. Il serait ainsi possible de solliciter des avis indépendants. On attend toujours de voir ces documents. L'arrêté préfectoral ne prévoit pas d'expertise indépendante obligatoire pour évaluer la sûreté du stockage à long terme avant le désengagement de Total. Dans ces conditions, il y a de quoi être inquiet sur la sûreté du site d'enfouissement et sur le dispositif de surveillance à long terme.

Tout récemment, le dispositif de surveillance du sous-sol à l'aide de sondes microsismiques – seule méthode proposée pour contrôler l'intégrité du réservoir et de la couverture rocheuse, suivre la progression du CO2 dans le réservoir et connaître les dérangements à proximité du puits – s'est révélé dégradé : l'ensemble des capteurs du fond du puits est en effet inutilisable. Et pourtant, cette situation n'apparaît pas aux yeux de Total et de l'administration de nature à remettre en question l'injection. Comme il n'y a eu aucune discussion transparente sur les performances requises pour "l'écoute microsismique", il est aisé maintenant de se contenter de conditions de surveillance dégradées.

La sécurité des riverains et de l'environnement n'est pas une priorité pour Total. Il n'y a pas de véritable plan de protection de la population adapté aux risques de fuites massives du CO2 et, ce qui est plus grave encore, Total dit ne pas être tenu d'impliquer la population dans les exercices de sécurité. Pour ce qui est des fuites en surface, sur l'étendue de la zone d'enfouissement – préoccupation majeure des riverains, pour eux-mêmes et aussi pour la faune, la flore, les cultures –, Total n'a pas fait d'étude d'impact et s'en tient à un contrôle limité, fondé sur des mesures annuelles faites en des points fixes peu nombreux. Il a pourtant été demandé que soient identifiés et utilisés des indicateurs, de préférence biologiques (espèces végétales ou animales) particulièrement sensibles au CO2 et dont le comportement sous l'effet de ce gaz est susceptible de révéler la présence de fuites de manière continue.


Voilà des faits de terrain qui concer
ne
nt la première expérience pilote de stockage de CO2 en France. On est bien loin des déclarations rassurantes des politiques, des industriels et des scientifiques promoteurs de la technologie CSC.

Henri Pépin est professeur émérite à l'Institut national de la recherche scientifique, Québec, Canada, conseiller de l'association Coteaux de Jurançon Environ
nement.

 

 

 

 

http://www.lemonde.fr/opinions/article/2009/12/09/premiere-experience-de-stockage-souterrain-de-co2-en-france-par-henri-pepin_1278341_3232.html

 

 

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6 décembre 2009 7 06 /12 /décembre /2009 20:06

VOTE DU PREDMA

PLAN REGIONAL D’ELIMINATION DES DECHETS

D’ILE DE FRANCE

 

La Seine et Marne abandonnée par ses élus ?

 

 

Alors que le projet du PREDMA  prévoyait un rééquilibrage des décharges en Ile de France : pas d’implantation de décharges  et d’extension de tonnage dans le 77 et le 95 jusqu’en 2019, nous avons appris  peu de temps avant le vote qu’un amendement très défavorable à la Seine et Marne devait être déposé par le groupe des élus Verts d’Ile de France, en effet cet amendement visait à ne plus créer de décharges en Ile de France, obligeant dans un avenir proche à augmenter les capacités de tonnage d’ordures  là où les décharges existaient en particulier en Seine et Marne.

 

Nous avons contacté tous les élus du conseil régional du 77  et bon nombre d’autres élus du nord 77, seules deux élues de proximité ont répondu à notre appel :

Madame Michèle Pélabère, conseillère générale du Canton de Claye-Souilly et Madame Geneviève Wortham, conseillère régionale (Coupvray), rejointes ensuite par une troisième élue du conseil régional (Coulommiers).

 

Ces femmes étaient bien seules pour soutenir la Seine et Marne mais le compromis qui a pu être trouvé grâce à leur intervention est un peu  moins défavorable à notre département :

Le PREDMA refuse l’implantation de 3 décharges en 78, 91 et 95.


Le temps de trouver d’autres sites d’accueil pour les décharges dans ces départements les ordures qui devaient y être enfouies  devront l'être dans d'autres départements et c’est la Sei
ne et Marne qui risque de recevoir encore des tonnages supplémentaires d’ordures.

En effet, en cas de force majeure Monsieur le Préfet de Seine et Marne peut prendre un arrêté autorisant l’accueil de tonnages  d’ordures supplémentaires dans les décharges existantes et même autoriser l’ouverture de nouvelles décharges dans notre département (Plan d’intérêt général).

 

Force est de constater que le secteur des  déchets en Seine et Marne est une manne pour les collectivés locales et territoriales : mairies, conseil général et conseil régional et nous comprenons mieux aujourd’hui les causes d’implantation à répétition de décharges dans notre secteur.


Quels sont les élus de Seine et Marne
qui défendent ces minorités invisibles qui souffrent :
 « les riverains des décharges » ?


Nous vous laissons le soin  répondre.

 

Nous tenons ici à rendre hommage aux élus du 91 et 78 qui soutiennent leur population, compte tenu de leur ténacité il est peu probable que des décharges puissent voir le jour dans ces départements.

 

Si les élus du 77 en avaient fait de même nous n’en serions pas arrivés à cette situation désastreuse qui va transformer notre région en un monstrueux dépôt d’ordures.

 

Au Nord 77

nous ne pourrons pas

laisser à nos enfants qu’une terre polluée par les ordures :

à qui la faute ?

 

****

 

Soutien des élus contre la décharge de Ste Escobille (91)

 

Monsieur Jean-François Copé, élu du 77 soutient l’association de Ste Escobille

alors qu’il n’a jamais accepté de recevoir notre association :

 

17 mar 04

Jean-François COPE (Candidat Région Ile-de-France)

Voir lettre du 15 mars adressé à la mairie de Saint-Escobille

(extrait) "...Pour ce qui concer
ne la création d'un Centre d'Enfouissement Technique à Saint-Escobille, je suis immédiatement intervenu auprès de Madame Roselyne BACHELOT, Ministre de l'Ecologie et du Développement Durable, en la priant de bien vouloir étudier ce projet et ses conséquences sur l'environnement, avec la plus grande attention."

 

Monsieur Jean-Paul Huchon, Président  du Conseil Régional défend

l’association de Ste Escobille :

 

15 mar 04

Jean-Paul HUCHON (Candidat Région Ile-de-France)

Voir lettre du 15 mars adressé à la mairie de Saint-Escobille

(extrait) "...Pour ce qui concer
ne les menaces qui pèsent sur votre commune et sur les communes limitrophes, j'appuie la position défendue par Joël CHARDINE et Brigitte ZINS, en m'opposant fermement à la création d'un Centre d'Enfouissement Technique à Saint-Escobille. Si je suis réélu Président de la Région Ile-de-France, vous pourrez compter sur ma solidarité totale avec votre Conseil Municipal."

 

 

http://www.adse-saintescobille.com/

 

Association de Défense contre la décharge de Groslieu (78)

 

La Région nous soutient

Le Conseil Régional a adopté un amendement au PREDMA qui a été voté par la quasi totalité des groupes.

Cinq vidéos sont sur le site de l'ORDIF, sous le nom "Adoption des plans déchets au C.Régional 26 nov 09" :

·                     La discussion du PREDMA commence à la fin de la vidéo 1/5

·                     La motion de rejet du groupe MP est présentée à la fin de la vidéo 1/5 et discutée au début de la vidéo 2/5

·                     Les amendements 15 (PS), 18 (Verts) et 22 (CACPRG) sont présentés dans la vidéo 3/5

·                     L'amendement de l'exécutif est présenté dans la vidéo 3/5, et adopté au début de la vidéo 4/5

  http://pagesperso-orange.fr/accet.groslieu/invitation/index.html

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4 décembre 2009 5 04 /12 /décembre /2009 22:46

Communiqué du CNIID et des Amis de la Terre

Semaine de la réduction des déchets : carton rouge pour le syndicat de traitement des déchets ménagers de l'agglomération parisienne

 

Paris, le 20 novembre 2009 - Durant la Semaine Européenne de la Réduction des Déchets (SERD), du 21 au 28 novembre 2009, de nombreuses collectivités mènent des actions visant à sensibiliser les citoyens à la réduction des déchets. Un des principaux freins à la réduction est le recours à l'incinération, un traitement qui nécessite des quantités importantes et constantes de déchets pendant des décennies de fonctionnement.

Les mesures de prévention, qui ont pour objectif la réduction des déchets, visent à préserver les ressources naturelles et réduire les pollutions, à l'opposé de l'incinération, procédé qui transforme les déchets en résidus toxiques et dangereux (mâchefers et résidus d'épuration des fumées appelés REFIOM) et les dilue sous forme de fumées polluantes dans l'air.

Le Cniid (Centre national d’information indépendante sur les déchets) et les Amis de la Terre constatent avec effarement que le Syctom, le syndicat de traitement de l'agglomération parisienne regroupant 84 communes, détourne le concept de prévention des déchets : cas unique en France, il organise des portes ouvertes à l'incinérateur de Saint Ouen pendant la semaine consacrée à la réduction des déchets.

« Prendre comme alibi la SERD pour attirer le public dans leur incinérateur est proprement scandaleux : soit le Syctom n'a rien compris à la prévention, soit il considère que tous les moyens sont bons pour promouvoir l'incinération. Cette initiative démontre malheureusement peut-être les deux. » déclare Sébastien Lapeyre, directeur du Cniid.

Claude Bascompte président des Amis de la Terre ajoute : «Cette opération de communication est un très mauvais signal envoyé par le Syctom à la population à quelques semaines de la fin du débat public organisé sur le renouvellement de l’incinérateur d’Ivry, une autre usine appartenant au syndicat ».

Contacts :

Sébastien Lapeyre
Directeur du Cniid
01 55 78 28 65
sebastien@cniid.org

http://www.cniid.org/

 Claude Bascompte
Président des Amis de la Terre
0681201235
claude.bascompte@wanadoo.fr

http://www.cniid.org/espace_mailing/cp_20091119_Cniid_AdT_carton_rouge_syctom.htm

 

 

 

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30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 20:39

DECHARGE SITA FD VILLEPARISIS

APRES
LES ORDURES MENAGERES
 LES DECHETS DANGEREUX


La série continue…..

 

 

Maintenant des déchets radioactifs ?


Après les déchets dangereux,
cendres d’incinérateur,déchets d’amiante….

La décharge de Villeparisis va-t-elle recevoir
 des déchets à radioactivité naturelle renforcée ?

 

Site de NE 77 :

Coderst du mercredi 3 Décembre 2009

La Sita FD VILLEPARISIS dépose une demande d’autorisation relative à l’acceptation de déchets à radioactivité naturelle renforcée

Pour plus amples informations :

http://www.asmsn.org/Liens/ODJcoderstDec.pdf

 

http://nature.environnement.77.over-blog.com/article-coderst-du-3-decembre-2009-40154078.html
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28 novembre 2009 6 28 /11 /novembre /2009 14:09

 

FRESNES SUR MARNE 

 

ATTENTION DANGER

RAYONNEMENTS ELECTROMAGNETIQUES ?

 

LES ELUS VONT-ILS ACCORDER

UN PERMIS DE CONTRUIRE

POUR L’IMPLANTATION PAR ORANGE

DE 2 ANTENNES RELAIS ?

 

 

S’il ne suffisait pas aux habitants de la petite commune de Fresnes sur/ marne de subir chaque jour les nuisances engendrées par la plus importante décharge de France de déchets ménagers et assimilés Rep Veolia, la Société ORANGE vient de déposer une demande de permis de construire le 4 Septembre 2009  pour la création d’un pylône de 25.20 m supportant deux antennes monobande sur un terrain sis à Fresnes sur Marne appartenant à un habitant de Charmentray.

 

Pour toutes informations complémentaires sur le danger de ces antennes consultez le site de :

http://www.robindestoits.org/

 

 

 

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25 novembre 2009 3 25 /11 /novembre /2009 22:55

 

 


RIVERAINS  INQUIETS TAISEZ-VOUS
VOS ELUS PARLENT D'ARGENT
1 500 000 € par ci, 5 000 000 € par là

 

 

 Extrait article du 24/11/2009 paru sur le blog Coteaux de Jurançon Environnement

 

Madame Lambert représentait la SEPANSO

Madame Loustalet et Monsieur Pépin représentaient l’association CJE .

Aucun maire n’était présent

 

 ORDRE DU JOUR

 

  

Aspects législatifs et techniques des informations/publications.

Le Président, Monsieur Miqueu, lit le mail que lui a envoyé une riveraine du puits, Mme Razavet reprochant à l’exercice de sécurité du 22 octobre dernier d’être passé inaperçu .

Mr.Miqueu lui répondra personnellement.

 

    CJE regrette que les habitants n’aient pas été informés de cet exercice sur leur sécurité ce qui lui enlève tout intérêt. Il y avait des journalistes sur le site, mais les gendarmes convoqués ne sont pas venus, obligeant les techniciens de Total à régler la circulation des voitures sur la route. Les riverains s‘inquiètent  qu‘il y ait des dysfonctionnements pour un simple exercice, qu‘en sera-t-il en cas d’accident réel ?

Un syndicaliste observe que le PIOS adapté au CSC ne protège pas les sauveteurs  ni les agents de Total .

Pour Mr.Pépin tout cela prouve que Total a présenté des scénarios RASSURANTS inadaptés à la réalité. Aussi, les plaquettes « d’information du public » distribuées par Total ont-elles été sévèrement critiquées par les associations et le « retour d’expérience de l’exercice PIOS du 22  octobre dernier »  reconnu comme nul.

 

Mr Miqueu annonce qu’il en réfèrera au Préfet.

  

…. 

CJE fait remarquer l’absence du maire de Jurançon dont, depuis 3 réunions, nous réclamions la présence pour des explications sur le partenariat avec Total.

Une heure après, Mr.Bernos faisait son entrée :il a pris la parole pour dénoncer, dans le jargon des juristes, le contentieux existant entre des parties de la CLIS et se manifestant par un recours contre l’arrêté préfectoral, donnant son avis de magistrat…

La représentante de la SEPANSO, professeur de Droit, lui a rappelé qu’il participait à la CLIS en tant que maire de Jurançon et qu’à ce titre il n’avait pas de leçon de Droit à donner, d’autant plus que notre seul interlocuteur autorisé était l’avocat de Total.

Mr.Bernos a expliqué qu’il avait été opposé au projet-pilote parce qu’il manquait d’informations, mais que, depuis, Total l’avait rassuré. D’ailleurs le prochain budget comprendra une ligne sur la « participation «  de Total en réparation du PREJUDICE moral (!!)subi par la Commune , soit la somme de 1.500.000 euros .En réponse à une critique du maire de Jurançon sur ses adversaires politiques, la représentante de la C.C.Lacq révèle que celle-ci a reçu de Total, 5 Millions d’euros !


Actualité du pilote
:

 

Nous assistons à un cours de Géographie sur les séismes, à l’issue duquel, Total déclare que tous les tests sont satisfaisants, que les risques sont maîtrisés, que les plans de secours sont mis à jour, et que le dossier sera remis à l’Administration ..

Enfin, Total reconnaît qu’une SONDE SISMIQUE NE REPOND PAS !

Mr.Pépin demande que l’injection du CO2 ne débute pas avant que la panne ne soit réparée, et il réclame l’accès aux documents du dossier afin de les faire examiner par des experts indépendants de Total. On le lui accorde sauf pour les documents relevant du secret industriel !

A la question de la présidente de CJE : que devient le CO2 capturé à Lacq en attente d’injection? Il est répondu que les 25% de gaz produit en plus, sont envoyés dans l’atmosphère !

Mme Lambert demande que le bilan énergétique fasse l’objet d’une tierce expertise par un laboratoire indépendant de Total. Ces bilans seront présentés devant la CLIS.

 

Le président de la CLIS, Mr.Miqueu, constate la persistance du désaccord .

 

La date de. l’injection est prévue pour fin novembre-début décembre 2009, sans que les riverains soient avertis ( La République du 12 novembre 2009)

 

 

Prochaine réunion de la CLIS :Mai-Juin 2010.

 

 

POUR PLUS AMPLES INFORMATIONS :

 http://asso-cje.over-blog.com/article-compte-rendu-de-la-clis-du-10-novembre-2009-39992578.html

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