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21 novembre 2009 6 21 /11 /novembre /2009 09:49

Réduction des déchets : l'urgence de passer à l'acte

Paris, le 18 novembre 2009 – A quelques jours de la Semaine européenne de la réduction des déchets, le Cniid (Centre national d'information indépendante sur les déchets) insiste sur le risque que les politiques publiques de réduction des déchets en France n'en restent au stade de simples déclarations d'intention. Pour le Cniid, cette volonté affichée, issue du Grenelle de l'environnement, doit être au plus vite traduite en actes concrets et courageux.

La campagne Modecom* atteste d'une diminution en toxicité des ordures ménagères. Si le Cniid s'en félicite, il précise qu'il ne peut pas s'agir d'une fin en soi, mais seulement de la première étape d'une démarche qui se doit d'être la plus globale possible. À titre d'exemple, la mise en place du « Point rouge » pour les produits considérés en fin d'usage comme des déchets dangereux diffus doit nécessairement s'accompagner de l'abandon des produits toxiques au profit d'alternatives moins nocives. «  Le tri à la source des produits relevant des déchets dangereux est essentiel, mais il faut toujours avoir à l'esprit que des déchets dangereux même collectés séparément, comme c'est le cas pour certaines peintures, finiront dans un incinérateur avec tout l e lot d'impacts environnementaux que cela engendre. La seule véritable solution réside donc dans le refus de ces produits, par le consommateur, ce qui fera d'ailleurs évoluer le marché  » explique Sébastien Lapeyre, directeur du Cniid.

Actuellement, le potentiel de réduction de nos ordures est de 150 kg par habitant et par an soit près de 39 % du poids de notre poubelle*.

«  Ce chiffre confirme le manque d'ambition de l'objectif de réduction des ordures ménagères et assimilées issu du Grenelle de l'environnement (- 7 % sur 5 ans). Les collectivités qui s'empareront du dossier, via notamment les programmes locaux de prévention des déchets, pourront dépasser cet objectif. Si tous ces efforts vont dans le bon sens, il est toujours indispensable d'agir en amont. Le Cniid demande à nouveau que des mesures nationales soient prises pour agir sur les producteurs et les distributeurs, en commençant par l'amélioration de la durabilité des produits ou le retour de la consigne pour réutilisation » rappelle Wiebke Winkler, chargée de mission Réduction des déchets au Cniid.

*Selon les résultats (juin 2009) de la campagne nationale de caractérisation des ordures ménagères conduite en 2007/2008 par l'Ademe.

Contacts presse :

Sébastien Lapeyre, directeur du Cniid
(01 55 78 28 65 ou sebastien@cniid.org )
http://www.cniid.org/

  Wiebke Winkler, chargée de mission Réduction des déchets au Cniid
(01 55 78 28 64 ou wiebke@cniid.org )



 http://www.cniid.org/espace_mailing/documents/20091118_Cniid_CP_Reduction_dechets.pdf

 


 

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20 novembre 2009 5 20 /11 /novembre /2009 11:17
Pays-Bas
projet de capture et stockage sous-terrain de CO2

La commune de Barendrecht,

les autorités provinciales

et les habitants,

inquiets d'éventuels risques d'explosion

ou de mouvements des sols,

se sont déclarés opposés au projet.

Extrait article paru sur le site Romandie News :

Aval des Pays-Bas à un projet de capture et stockage sous-terrain de CO2

LA HAYE - Un projet limité de capture et stockage de CO2 dans un ancien gisement de gaz situé sous une ville des Pays-Bas, fortement contesté par les habitants, a reçu l'aval du gouvernement néerlandais, a annoncé celui-ci mercredi.

Le projet de la société pétrolière Shell débutera au plus tôt en 2012, à petite échelle, dans un champ gazier d'une capacité de 0,8 mégatonne à Barendrecht (ouest), a indiqué le gouvernement dans un communiqué.

Le projet prévoyait dans sa version initiale de stocker 9,8 mégatonnes de CO2 sous cette ville.

"Une évaluation sera faite" après "quelques années", selon la même source. "Si aucun problème ne s'est produit, l'autorisation sera examinée pour un deuxième champ, plus grand", d'une capacité de 9 mégatonnes, ajoute le gouvernement.

La commune de Barendrecht, les autorités provinciales et les habitants, inquiets d'éventuels risques d'explosion ou de mouvements des sols, se sont déclarés opposés au projet.

……

(©AFP / 18 novembre 2009 17h07)


Article complet :
http://www.romandie.com/infos/news2/091118160747.3m0rx19f.asp 

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19 novembre 2009 4 19 /11 /novembre /2009 19:28

Extrait article paru sur le site « Le Monde.fr »


Le captage-stockage du CO2 vise la maturité en 2020

LE MONDE | 06.11.09 | 15h13  •  Mis à jour le 06.11.09 | 15h13

"La prochaine décennie sera celle où ça passe ou ça casse" : tel est le pronostic du Japonais Nobuo Tanaka, directeur de l'Agence internationale de l'énergie (IEA), qui ouvrait le 3e colloque international sur le captage et le stockage du CO2 organisé, jeudi 5 et vendredi 6 novembre à Paris, par l'Institut français du pétrole (IFP), l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) et le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM).

Plusieurs options techniques à l'étude

Trois procédés existent pour capter le CO2 : extraction dans les fumées de combustion, dans le combustible initial, ou après concentration par la présence d'oxygène. Son transport vers un site de stockage peut s'effectuer par gazoduc terrestre ou sous-marin, ou par bateau. Son enfouissement est envisagé dans des aquifères salins, des gisements de pétrole et de gaz, ou des veines de charbon inexploitées.

Le captage et stockage du CO2 (CSC) est "la technologie dont nous avons besoin pour atténuer les effets du changement climatique", affirme M. Tanaka. Selon le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), entre 20 % et 40 % des émissions mondiales de gaz carbonique d'origine humaine pourraient être neutralisées de la sorte à l'horizon 2050.

Mais, ajoute le patron de l'IEA, "il faudra gagner la confiance du public". "Les gouvernements devront prendre position et clairement indiquer qu'il s'agit d'une technologie fiable", dit-il. De fait, la démonstration de la sûreté de cette filière - gage de son acceptabilité sociale - apparaît comme la clé de son développement

….

"Nouvelle usine à gaz"

…..

La première incertitude qui pèse sur ce scénario est financière. Avec les techniques actuelles, la séquestration d'une tonne de CO2 sur les sites des centrales électriques au charbon, au gaz ou au fioul, ou ceux des cimenteries, des raffineries et des usines sidérurgiques, puis son transport, enfin son enfouissement dans le sous-sol, reviennent à près de 100 euros. Un coût dissuasif, quand les droits d'émission se négocient, sur le marché du CO2 à moins de 20 euros la tonne. D'autant que le captage est une opération gourmande en énergie, qui peut réduire de plus d'un quart le rendement d'une centrale au charbon.

La donne pourrait changer si, comme le prévoient des experts, le cours de la tonne de CO2 grimpe à 100 euros en 2030, et si celui du captage-stockage tombe à 30 euros la tonne, grâce à une standardisation des procédés.

La seconde incertitude est environnementale. Les méthodes de capture et d'acheminement du dioxyde de carbone sont maîtrisées par l'industrie pétrolière. Mais des recherches restent à mener pour garantir la sécurité, sur une période d'un ou plusieurs millénaires, d'un enfouissement dans une formation géologique profonde, telle qu'un aquifère salin. Les risques potentiels étant une acidification du milieu, une remontée gazeuse vers une nappe d'eau potable, voire un dégazage brutal dans une zone où, à forte concentration, le CO2 pourrait avoir des effets délétères.

C'est ce qui fait dire au réseau associatif France nature environnement que le CSC est "une nouvelle usine à gaz". Et qu'il vaut mieux miser sur la préservation - et la restauration - de la capacité naturelle des océans, de la végétation et des sols à absorber le carbone.

Pierre Le Hir

 

 

Article complet :

http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/11/06/le-captage-stockage-du-co2-vise-la-maturite-en-2020_1263650_3244.html

 

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19 novembre 2009 4 19 /11 /novembre /2009 19:27

Paru sur le site du CNIDD :

 

Incinérateur de Dunkerque : rejet illégal en dioxines caché à la population

 

 

Fin octobre, la fédération d'associations locales Adelfa, membre de la Clis (Commission locale d'information et de surveillance) de l'usine d'incinération de Dunkerque apprenait un dépassement en dioxines dans les fumées datant du mois de juillet.


Cette dissimulation de l'exploitant et de l'administration confirme, s'il en était besoin, que l'industrie de l'incinération ne joue toujours pas le jeu de la « transparence », si souvent mise en avant dans ses campagnes de communication.


Rappelons que ce dépassement de normes a été constaté lors d'un contrôle inopiné alors que l'usine n'est soumise réglementairement qu'à deux contrôles par an, autrement dit, 16 heures d'analyse sur un total de près de 8000 heures de fonctionnement !

On peut ainsi facilement imaginer que l'usine a pu fonctionner, ni vu ni connu, pendant plusieurs semaines avec des dépassements des émissions en dioxines ou d'autres polluants (métaux lourds).


Dans un rapport de 2004 (1), le CPP (Comité de la prévention et de la précaution) précisait que les contrôles réglementaires, en trop faible nombre, avaient peu de chance d'être représentatifs de la réalité.
Le registre français des émissions polluantes montre que seules 3 usines d'incinération sur les 130 implantées en France ont rendu compte publiquement de leurs émissions de dioxines et furanes sur l'année 2007.
Les contrôles inopinés des inspections des installations classées, les mieux à même de réveler des irrégularités, restent très rares. Rien d'étonnant quand on compte un inspecteur pour 500 installations en France !

 Contact : Sébastien Lapeyre 

 (1)Télécharger le rapport de la CPP (pdf)

 

 

Pour plus amples informations :

http://www.cniid.org/index.php?option=com_content&view=article&id=71&catid=3&itemid=20

 

 

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18 novembre 2009 3 18 /11 /novembre /2009 18:45

« La Seine-et-Marne ne peut pas accueillir
 tous les hangars et les déchets
dont le reste de l’Ile-de-France ne veut pas »…




Extrait article paru dans le Parisien de Seine et Marne :

 Roissy

Les élus ont leur plan pour profiter de l’aéroport
Stéphanie Auguy | 18.11.2009, 07h00

 

  «LONGTEMPS, nous avons été l’arrière-boutique de l’aéroport de Roissy. Aujourd’hui, nous aspirons a en être la vitrine. » Voilà en substance le message délivré par une délégation d’élus, de tous bords politiques, reçue le 27 octobre par Christian Blanc, secrétaire d’Etat chargé du Développement de la région capitale. Dans le cadre de la réflexion sur le Grand Paris, l’Etat avait jusqu’à présent oublié de consulter les élus des cantons voisins de l’aéroport : Mitry-Mory, Dammartin-en-Goële et Claye-Souilly.

 

……..

Renforcer l’offre de transport. Avec des routes surchargées et des transports en commun insuffisants, difficile de circuler dans le nord-ouest de la Seine-et-Marne.
Les élus réclament le prolongement du RER B jusqu’à Saint-Mard et le bouclage de la Francilienne à l’est de l’aéroport. Un dossier routier bloqué, l’Etat ne disposant pas des fonds nécessaires.

Stopper le « tout-logistique ». « La Seine-et-Marne ne peut pas accueillir tous les hangars et les déchets dont le reste de l’Ile-de-France ne veut pas », prévient Bernard Corneille. Le département veut attirer « des filières diversifiées », valorisantes, créatrices d’emplois et de richesse. Enfin, pour permettre aux jeunes d’accéder aux emplois générés par la plate-forme, les élus plaident pour l’implantation dans le Nord-Seine-et-Marne d’un institut technologique de l’aérien. « C’est un projet phare, souligne Bernard Corneille. Nous l’accorder serait déjà un signe positif venant de l’Etat. »

 

Limiter les nuisances pour les populations. Pour protéger les riverains de Roissy, le Grand Paris n’envisage pour l’instant que la plantation d’un million d’arbres dans le cône de bruit des avions. « Insuffisant ! » s’insurgent les populations survolées……

 

 Article complet :

http://www.leparisien.fr/avon-77210/les-elus-ont-leur-plan-pour-profiter-de-l-aeroport-18-11-2009-715154.php

 

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18 novembre 2009 3 18 /11 /novembre /2009 12:45
Extrait de l’article paru sur le site Clean Tech Republic
L’Ecole des Mines donne chaire au captage et au stockage de CO2

par Cécile Castellan | Cleantech Republic | 22.09.09

Première rentrée pour la nouvelle chaire d’enseignement et de recherche, consacrée au captage, au transport et au stockage du CO2, dans la très prestigieuse Ecole des Mines Paristech. Industriels, politiques et universitaires… tous les partenaires de la chaire industrielle s’étaient donné rendez-vous le 30 juin dernier au Havre pour son inauguration. Ils l’ont cosignée pour une durée de cinq ans. Le temps dont disposeront les chercheurs pour convaincre de l’utilité de leurs travaux sur la question sensible des émissions de CO2, de son captage et son stockage.

Un budget annuel de 700 000 euros

La chaire est subventionnée par des partenaires industriels (EDF, Lafarge, Air Liquide, Total, GDF-Suez) grands émetteurs de CO2, la Communauté d’agglomération havraise et son Grand Port Autonome, et des laboratoires universitaires (Mines Paristech, Ecole des Ponts Paristech, l’université du Havre réputée pour sa culture « logistique » et ses sciences sociales, et le BRGM « bureau de recherche géologique et minière »). Elle disposera d’un budget annuel de 700 000 euros.

Cette enveloppe devrait permettre l’élaboration de 12 thèses sur cinq ans et l’organisation de séminaires croisés dans le but de confronter les travaux de recherche français avec ceux d’autres pays, comme l’explique Denis Clodic, titulaire de la chaire (Mines Paristech) : « le travail de mise en réseau à l’étranger, avec des pays comme la Chine, l’Australie ou la Suède, qui travaillent déjà beaucoup sur le sujet, sera très important. » Les thèses, quant à elles, porteront sur les sciences sociales, les risques, le stockage et la logistique. Toute la chaîne du CO2 (de la production au stockage artificiel, en passant par les problématiques d’un transport risqué), va être passée au crible et évaluée dans le but de retenir des solutions les plus écologiques et économiques.

…….. Et bien que les chercheurs aient fort à faire, ils regardent encore un peu plus loin puisque selon Denis Clodic, « certains commencent à se poser la question du recyclage du CO2 et ils y travaillent ». Et si la recherche nous offrait la possibilité de rentabiliser ce que l’on a eu tant de mal à stocker ?

 

Article complet :

http://www.cleantechrepublic.com/2009/09/22/l%E2%80%99ecole-des-mines-donne-chaire-au-captage-et-au-stockage-de-co2/

 

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16 novembre 2009 1 16 /11 /novembre /2009 17:13



A Tanlay dans l’Yon
ne

les travaux d’abattage des Tilleuls

sont suspendus

 

Extrait Communiqué de France Nature Environnement du 13 Novembre 2009

 

La fédération France Nature Environnement, l'OPIE, Yonne Nature Environnement et la LPO Yonne viennent d'apprendre que les travaux d'abattage des arbres d'alignement du Château de Tanlay abritant du Pique-prune et des chauves-souris prévus ce lundi 16 novembre sont suspendus.


U
ne intervention ministérielle

La fédération France Nature Environ
nement, l'OPIE, Yonne Nature Environnement et la LPO Yonne se félicitent de cette décision obtenue grâce à l'intervention de Mme Chantal Jouanno, Secrétaire d'Etat chargée de l'Écologie.

…..

Communiqué complet :

http://www.fne.asso.fr/fr/pique-prune-dans-lyonne--les-travaux-sont-suspendus-.html?cmp_id=33&news_id=1329&vID=1

 

 

Qu’en sera-t-il à Claye-Souilly ?

 

 

Extrait article paru sur le blog Claye-Souilly Découverte :


CLAYE-SOUILLY :

ABATTAGE DE TILLEULS PLACE DE SOUILLY ?


       

 Depuis le rattachement de Souilly à Claye, comme le disaient les anciens,
Souilly a perdu : sa mairie, son école, son église

 

Il lui restait encore sa jolie place de village entourée de tilleuls plus que centenaires.

 

Celle-ci va-t-elle disparaître aussi ?

 

Combien de tilleuls seront abattus ? Pourquoi ?

 

En effet, nous venons d’apprendre dans le bulletin municipal n° 77 d’octobre 2009 p 18 que dans quelques mois, place de Souilly, le service des espaces verts interviendra pour l’abattage de tilleuls et la plantation de nouveaux arbres suite à un réaménagement de la place de Souilly.

 

Comme notre commune ne possède pas de réunion de quartier, aucune concertation avec les habitants de Souilly n’a été mise en place.

…….

Article complet :

 http://www.claye-souilly-decouverte.com/article-claye-souilly-abattage-de-tilleuls-place-de-souilly-38695937.html

 

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15 novembre 2009 7 15 /11 /novembre /2009 21:11

 

Le gypse sera-t-il de nouveau exploité
sur le site

de l’ancien  CEA de VAUJOURS ?

 

Quels seront risques pour la santé des  riverains

quels seront les contrôles effectués

 sur une radioactivité éventuelle du gypse extrait ?

Alors qu’un arrêté interpréfectoral en date du 22 septembre 2005 prescrit des servitudes d’utilité publique (source basol), pour extrait :

La dépollution du site des pollutions pyrotechniques a été réalisée en juin et juillet 1998 jusqu’à une profondeur de 0,50 mètre sur des zones ne comportant pas de bâtiments et de routes goudronnées. En conséquence, tous les travaux de terrassement effectués sur ce site doit se faire en prenant les précautions prises habituellement lors de chantiers dans des zones susceptibles d’être contaminées par des munitions.

Document complet :
http://basol.environnement.gouv.fr/fiche.php?page=1&index_sp=77.0029

 L’annonce de cession immobilière ne fait pas état de cet arrêté préfectoral et précise même que le site renferme un gisement de gypse exploitable.

 

****

Pour extrait annonce immobilière paru sur le site du Ministère du budget :

Cessions immobilières de l'Etat

Rec

·                                 Mots

Ce site propose une sélection régulièrement actualisée de biens présentés à la vente à Paris et en province. Par ailleurs, il vous informe sur la nouvelle politique immobilière de l'Etat.

 Ensemble immobilier, Fort de Vaujours - 77181 COURTRY / 93410 VAUJOURS

A 25 km de Paris et à 15 km de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, sur un terrain
de 227 051 m²
renfermant un gisement de gypse exploitable, fraction d'un
ancien centre de recherche comportant
divers bâtiments dont un fort du XIXème siècle.

 http://www.budget.gouv.fr/cessions/

*****

 

Pour plus amples informations consultez notre article :

C.E.A. COURTRY-VAUJOURS : RISQUES SUR LA SANTE HUMAINE ?

 

http://adenca.over-blog.com/article-26533019.html

 

 

 

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14 novembre 2009 6 14 /11 /novembre /2009 16:38

Suite à la pollution de la Beuvronne,
 notre article du 2 octobre 2/10/2009

http://adenca.over-blog.com/article-36799700.html


La police de l’eau adresse une lettre  de rappel à

Monsieur Le Député Maire de Claye-Souilly

Yves ALBARELLO

Membre de la commission de l’environnement

à l’Assemblée Nationale




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12 novembre 2009 4 12 /11 /novembre /2009 18:49

Le grand emprunt
servira-t-il  à financer
 le projet de captage et stockage
des déchets de gaz carbonique CO2
sur le site Veolia de Claye-Souilly ?


 Extrait article paru sur le site du journal de l’environnement :
 Le grand emprunt devrait faire la part belle à l’environnement 12/11/2009 13:55 par Sabine Casalonga

La «bioéconomie», les énergies renouvelables, la «ville de demain» et la «mobilité du futur» devraient constituer 4 des 7 priorités du grand emprunt, selon la commission qui y est consacrée, co-présidée par le maire de Bordeaux UMP Alain Juppé et l’ancien Premier ministre socialiste Michel Rocard, indique «Les Echos» dans son édition du 12 novembre. Il pourrait permettre de mobiliser 50 milliards d’euros d’investissements, dont 35 milliards d’euros d’effort public. L’effort public inclut les 13 milliards d'euros remboursés par les banques à l’Etat. Le terme «bioéconomie» recouvre la recherche en matière de santé (médicaments, biomédecine) et la chimie verte (biomasse et matériaux remplaçant le pétrole). Côté ENR, il s’agit de développer le nucléaire de quatrième génération ainsi que d’aider à la création d’un campus d'innovation recherche-industrie pour le solaire et le captage et stockage du carbone (CSC). …..
Ils proposaient de développer de nouveaux matériaux (agro-ressources, nanotechnologies), mais aussi de «réduire drastiquement la consommation d’énergie d’origine fossile» par l’amélioration technologique et l’utilisation d’autres sources d’énergie, le véhicule électrique étant identifié comme une priorité. Le développement des éco-industries, en particulier des ENR, ainsi que de l’écologie urbaine ou du CSC avait donc été préconisé

 article complet :  http://www.journaldelenvironnement.net/fr/document/detail.asp?id=2130&idThema=7&idSousThema=0&type=JDE&ctx=259

 

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