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23 janvier 2014 4 23 /01 /janvier /2014 09:36

Paru sur le site Viva Presse :

Seine-St-Denis : Saint-Gobain condamné à indemniser ses salariés victimes de l'amiante

ParViva 

[17-09-2009]

Le tribunal des affaires de Sécurité sociale de Bobigny (93) a condamné la société Saint-Gobain pour avoir exposé ses salariés – dont l'un est décédé en 2007 d'un cancer broncho-pulmonaire – au risque amiante. Le jugement concerne deux ex-salariés de l'entreprise Norton de la Courneuve, filiale de Saint-Gobain.

Le tribunal a attribué 80 000 euros de préjudice à la famille de l'ouvrier décédé et 50 000 euros au salarié survivant, lui aussi atteint de pathologie liées à l'amiante.

Ces deux salariés et leurs familles étaient soutenu par l'Addeva 93, la branche locale de l'Association nationale de défense des victimes de l'amiante (Andeva).

Le site de l'Andeva :

www.andeva.fr
Contact Addeva 93 :

addeva93@wanadoo.fr

 

http://www.viva.presse.fr/Seine-St-Denis-Saint-Gobain_12519.html

 

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22 janvier 2014 3 22 /01 /janvier /2014 17:12
 

 

  CLAYE-SOUILLY

Combien paierez-vous

dans les années à venir

de redevance pour pollution de l'eau ?


Vous êtes dans la zone renforcée

qui est indiquée en rouge

Zones

Taux ( euros/m3)

2013

2014

2015

2016

2017

2018

Zone de base

0.24

0.24

0.22

0.22

0.22

0.22

Zone moyenne

0.37

0.38

0.38

0.38

0.38

0.39

Zone renforcée

0.40

0.40

0.41

0.415

0.42

0.425

 

Paru sur le site de l'Agence Seine Normandie:

http://www.eau-seine-normandie.fr/index.php?id=5144

Redevances pour pollution de l'eau d'origine domestique et modernisation des réseaux de collecte

 

 

 

La loi sur l’eau et les milieux aquatiques du 30 décembre 2006 modifie le dispositif des redevances perçues par les Agences de l’eau en application du principe de prévention et du principe de réparation des dommages à l’environnement.

La dépollution, un enjeu majeur : les redevances permettent à l’Agence de l’eau de financer des études, actions et travaux pour réduire les pollutions toxiques et physico-chimiques dans l’eau, lutter contre les pollutions microbiologiques du littoral, réduire à la source les émissions de pollution, mettre en conformité les stations d’épuration urbaines et développer l’assainissement des petites collectivités.

Cette loi a créé deux redevances nouvelles basées sur le m3 d’eau facturé à l’abonné. Ainsi, le nouveau système de redevances est beaucoup plus simple d’application.

Ces redevances représentent environ 20 % de la facture d’eau, sauf cas exceptionnel.

Qui paye ces redevances ?

  

Ces deux redevances s’adressent aux particuliers desservis en eau potable et aux activités « assimilées domestiques » dont les rejets de pollution sont inférieurs aux seuils fixés par la loi.

La redevance de pollution doit être acquitée par tout le monde. Elle est assise sur le volume d’eau facturé à toute personne abonnée à un service d’eau potable. Son taux peut être modulé en fonction des pollutions constatées dans les territoires considérés et des efforts nécessaires pour les réduire, les éliminer et atteindre le bon état écologique des eaux.

La redevance pour modernisation des réseaux de collecte est due par toute personne acquittant la redevance précédente et soumise à la taxe d’assainissement. Payée par tout abonné raccordé à un réseau d’assainissement public, elle est assise sur les m3 soumis à la taxe d’assainissement. Son taux est unique dans le bassin Seine-Normandie car cette redevance correspond dans son esprit à une mutualisation au niveau du bassin des investissements nécessaires pour maintenir et améliorer le niveau de l’assainissement des eaux usées.

Comment payer cette redevance ?

La redevance pour pollution de l’eau est perçue par l’Agence de l’eau auprès de l’exploitant du service d’eau potable (régie communale, syndicat, délégataire).

La redevance pour modernisation des réseaux de collecte est également perçue par l’Agence de l’eau auprès de l’exploitant du service assurant la facturation de la redevance d’assainissement (régie communale, syndicat, délégataire).

Dans la majorité des communes ou des syndicats de communes c’est le même exploitant qui assure ces deux tâches.

Trois zones correspondant à trois taux différents sont définies en fonction de l'état écologique des rivières de chacune des 77 unités hydrographiques (UH) définis dans le SDAGE et le programme de mesure (PDM).

Ces zones sont les suivantes :

  • Zone de base
  • Zone moyenne
  • Zone renforcée

Les zones des redevances pour pollution de l'eau domestique et non domestiques sont délimitée sur la carte suivante. Chaque zone est définie par les territoires des communes listées en annexe 2.

Concernant la redevance pour pollution de l'eau domestique, un dispositif d'écrêtement est mis en place si l'évolution due au changement du zonage, entre 2012 et 2013 est supérieure à 20% à assiette constante.

Redevance pour pollution domestique

Zones

Taux ( euros/m3)

2013

2014

2015

2016

2017

2018

Zone de base

0.24

0.24

0.22

0.22

0.22

0.22

Zone moyenne 

0.37

0.38

0.38

0.38

0.38

0.39

Zone renforcée

0.40

0.40

0.41

0.415

0.42

0.425


Pour savoir dans quelle zone vous vous trouvez :

http://www.eau-seine-normandie.fr/fileadmin/mediatheque/Dossier_partage/INSTITUTIONNEL/10_eme_programme/Liste_Com_Redev10emeP.pdf

 

 

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22 janvier 2014 3 22 /01 /janvier /2014 13:41
Le scandale de l'amiante  
Everite Dammarie les Lys

Groupe St Gobain

 

 

Paru dans le Parisien 77 :
Hommage poignant aux victimes de l'amiante de l'usine Everite

Publié le 09.11.2009

Grande émotion samedi à Dammarie-les-Lys pour l'inauguration d'une stèle en hommage aux employés de la société Everite, victimes de l'amiante. Depuis 1996, l'amicale des anciens d'Everite et l'Association régionale pour la défense des victimes de l'amiante se battent pour faire reconnaître les torts de cette entreprise, filiale de Saint-Gobain. La manipulation de l'amiante, nécessaire à la fabrication de plaques de fibrociment, a provoqué des maladies graves touchant notamment les poumons. 

Des centaines de cas ont été recensés. L'usine, située en bord de Seine, a fonctionné entre 1917 et 1994.

« Le scandale, c'est que person
ne ne nous avait prévenus »

Samedi, beaucoup d'anciens employés ont pleuré devant la stèle où l'on pouvait lire: « Nous avons travaillé pour gag
ner notre vie, pas pour la perdre. » Bernard Rouget, 79 ans, qui a passé trente ans à Everite, a souffert de l'amiante. « En 2002, on m'a découvert une tumeur due aux fibres d'amiante. On a dû m'enlever un poumon. Moi qui jouais du clairon au sein de la batterie-fanfare de Sénart, j'ai dû abandonner. Le scandale, c'est que personne ne nous avait prévenus que c'était vraiment dangereux de travailler dans cette usine. Dans mon malheur, j'ai eu de la chance de m'en sortir. Mais sur 1000 personnes qui bossaient dans les années 1950 à Dammarie, combien sont mortes? On ne le sait même pas. » Marcel Gorge-Bernard, président de l'amicale des anciens d'Everite, parle de « plus d'une centaine ».
Elsa Colladon, veuve d'un employé d'Everite, et Jean Consigni, qui a travaillé quarante ans dans l'entreprise, ont dévoilé la stèle. « Cette stèle, c'est u
ne reconnaissance. Mais ce n'est pas cela qui ramènera les morts », soupire Elsa. Madeleine Savarys, présidente de l'Association régionale pour la défense des victimes, explique que le combat de l'amiante n'est pas terminé. « Après que le tribunal des affaires sanitaires et sociales a permis de verser des indemnités à plus de 300 salariés, nous accumulons les plaintes au pénal, pour faute inexcusable de l'employeur. Nous espérons que ce dossier, instruit par la juge Bertella-Geoffroy, aboutira dans un an, avec une vraie reconnaissance de cette maladie professionnelle. »
 

Le Parisien

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21 janvier 2014 2 21 /01 /janvier /2014 08:18

Paru sur le site AFNOR :

 

 

19/12/2013 ,en

Eau potable : une norme AFNOR relative à la sécurité de l’alimentation en eau et à la gestion des risques

Pour les fournisseurs d’eau, veiller à un système d’alimentation fiable en eau potable est indispensable pour protéger les consommateurs. Afin de les seconder, AFNOR publie la norme NF EN 15975-2 délivrant des principes d’une approche de gestion des risques pour améliorer ces systèmes.

 

La norme NF EN 15975-2 « Sécurité de l’alimentation en eau potable – Lignes directrices pour la gestion des risques et des crises – Partie 2 : gestion des risques » cible les objectifs et les responsabilités des parties prenantes et donne une approche de gestion des risques.

 

Identification des dangers et des évènements dangereux, appréciation des risques, contrôle des risques, vérification de l’approche de gestion des risques… toutes les étapes d’une gestion des risques sont délivrées pour améliorer un système d’alimentation en eau potable et permettre un approvisionnement en eau potable sûre tout au long de la chaîne d’alimentation en eau, depuis la source jusqu’au lieu d’utilisation.

 

La norme a pour but d’amener les fournisseurs d’eau à s’occuper activement des questions de sûreté dans le cadre des opérations et de la gestion de routine de l’alimentation en eau. Elle contient par ailleurs des éléments fondamentaux de l’approche utilisée pour le plan de sûreté sanitaire des eaux de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé).

 

 

http://www.afnor.org/profils/activite/eau-et-assainissement/eau-potable-une-norme-afnor-relative-a-la-securite-de-l-alimentation-en-eau-et-a-la-gestion-des-risques

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19 janvier 2014 7 19 /01 /janvier /2014 20:59
Projet de carrière à ciel ouvert
sur l’ancien site du CEA de Courtry-Vaujours 
Peut-on faire confiance à une entreprise condamnée pour faute inexcusable dans le scandale de l’amiante ?
A vous de juger
Pour tous renseignements complémentaires sur ce dossier contactez :
ADDEVA 93
Association de défense des victimes de l’amiante
26. avenue Gabriel Péri
93120 LA Courneuve
01 48 37 34 64
Extrait article paru dans le Parisien 93 :
Amiante : Placoplatre condamné pour faute inexcusable

Alain Martin | Publié le 18.06.2007

 

UN JUGEMENT lourd de conséquences. 


Le tribunal des affaires de Sécurité sociale de Bobigny (Tass) vient de reconnaître « la faute inexcusable de la SA Placoplatre » dans la maladie professionnelle d'un de ses anciens salariés.
U
ne première pour cette filiale de Saint-Gobain, installée à Vaujours, spécialisée dans la fabricationdes plaques de plâtre.   

« Une telle décision pour une grosse boîte de Seine-Saint-Denis comme Placoplatre, c'est énorme », se félicite

Alain Bobbio, responsable de l'Association départementale de défense des victimes de l'amiante (Addeva 93) ajoutant que cette reconnaissance permet «de porter la rente au taux maximum ».
C'est en avril 2006 que Jean-Paul Mercier a saisi le Tass de Bobigny. Cet ancien ouvrier d'entretien entré chez Placoplatre comme graisseur en 1972 demandait que soit reconnue la faute de son employeur dans sa maladie profession
nelle officiellement déclarée en mars 2002. Le certificat médical établi par un praticien de l'hôpital Robert-Ballanger d'Aulnay-sous-Bois mentionnait un carcinome broncho-pulmonaire « à grandes
cellules ». Maladie prise en charge à compter d'août 2002 par la caisse primaire d'assurance maladie du 93.
Pas de protection contre les poussières dangereuses

Jean-Paul Mercier, dont le travail consistait à assurer le
nettoyage et le dépannage de toutes les machines du site

de Vaujours, en particulier des fours et des sécheurs, s'appuyait aussi sur le « diagnostic du risque amiante » effectué le 26 septembre 1997. Celui-ci révélait la présence de cette fibre cancérigène sur le site de Vaujours, notamment dans les dalles de sol et les joints des portes des sécheurs. L'ancien ouvrier avait aussi produit des attestations de ses collègues prouvant qu'il avait été exposé « de par les outils utilisés (soufflettes à air comprimé, pinceaux, balais) aux poussières d'amiante à l'occasion des opérations de maintenance ».
Dans ses attendus, le tribunal relève « que l'employeur a nécessairement eu conscience des risques encourus par son salarié au moins depuis 1996, d'autant plus qu'il ressort du dossier que la société Placoplatre était alertée de

la nocivité de l'amiante depuis plus de vingt ans ». Il souligne également
« que la société Placoplatre
ne démontre pas avoir fait bénéficier M. Mercier de mesures de protection contre l'inhalation des poussières d'amiante », mais « au contraire que celui-ci accomplissait les tâches d'entretien qui

lui étaient confiées sans protection particulière, à l'exception de gants et de lunettes qui ne sont d'aucune utilité contre les poussières d'amiante».
Après avoir rejeté les conclusions de la société Placoplatre sur la fin de non-recevoir pour
cause de prescription, le tribunal déclare que l'ancien salarié « peut prétendre à la majoration de sa rente au taux maximum, cette majoration devant suivre l'évolution de son taux d'incapacité perma
nente partielle ». Il a ordonné

aussi une mesure d'expertise « afin de déterminer le préjudice causé par les souffrances physiques et morales endurées par M. Mercier, ainsi que son préjudice d'agrément »…

Le Parisien

http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis/amiante-placoplatre-condamne-pour-faute-inexcusable-18-06-2007-2008131585.php

 

   

Pour aller plus loin :

http://lacgtplacocormeilles.over-blog.com/article-30727477.html

 

 

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19 janvier 2014 7 19 /01 /janvier /2014 19:11

 

 

TOUCHE  PAS  A  MA   VIE 

 

 

Les populations

ne veulent plus être les otages de projets insensés !

 

C’est ce qui ressort  des commentaires de la pétition

du Collectif  « Sauvons la Dhuis »

Pour la vérité sur la radioactivité et les pollutions du Fort de Vaujours

 

Les « élites » qui dirigent ce pays

vont-elles prendre en compte les demandes des populations ?

 

Les intérêts financiers des multinationales

ne doivent pas être préservés

au détriment de la santé des populations. 

 

Pas de paroles, mais des actes :

une dépollution totale du site puis une fermeture définitive 

avec interdiction d’y effectuer toutes activités.  

 

 

signez la pétition qui à ce jour dépasse les 77 000 signatures

 

 

http://www.change.org/FortdeVaujours

 

 

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18 janvier 2014 6 18 /01 /janvier /2014 08:51

 

 

Pourquoi

l’ETAT français

 n’a--t-il pas dépollué entièrement

le site de

l’ancien CEA Courtry-Vaujours,

alors que la loi l’y oblige ? 

 

A vous de juger

 

 

   

Article L110-1 DU CODE DE L’ENVIRONNEMENT

I. - Les espaces, ressources et milieux naturels, les sites et paysages, la qualité de l'air, les espèces animales et végétales, la diversité et les équilibres biologiques auxquels ils participent font partie du patrimoine commun de la nation.

II. - Leur protection, leur mise en valeur, leur restauration, leur remise en état et leur gestion sont d'intérêt général et concourent à l'objectif de développement durable qui vise à satisfaire les besoins de développement et la santé des générations présentes sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Elles s'inspirent, dans le cadre des lois qui en définissent la portée, des principes suivants :

1° Le principe de précaution, selon lequel l'absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l'adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l'environnement à un coût économiquement acceptable ;

2° Le principe d'action préventive et de correction, par priorité à la source, des atteintes à l'environnement, en utilisant les meilleures techniques disponibles à un coût économiquement acceptable ;

3° Le principe pollueur-payeur, selon lequel les frais résultant des mesures de prévention, de réduction de la pollution et de lutte contre celle-ci doivent être supportés par le pollueur ;

4° Le principe selon lequel toute personne a le droit d'accéder aux informations relatives à l'environnement détenues par les autorités publiques ;

5° Le principe de participation en vertu duquel toute personne est informée des projets de décisions publiques ayant une incidence sur l'environnement dans des conditions lui permettant de formuler ses observations, qui sont prises en considération par l'autorité compétente.

III. - L'objectif de développement durable, tel qu'indiqué au II, répond, de façon concomitante et cohérente, à cinq finalités :

1° La lutte contre le changement climatique ;

2° La préservation de la biodiversité, des milieux et des ressources ;

3° La cohésion sociale et la solidarité entre les territoires et les générations ;

4° L'épanouissement de tous les êtres humains ;
5° U
ne dynamique de développement suivant des modes de production et de consommation responsables.

IV. - L'Agenda 21 est un projet territorial de développement durable.

http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000026849052&cidTexte=LEGITEXT000006074220&dateTexte=20140117

 

 

Nous remercions   

les 72 000 personnes 

qui ont signé

  la pétition du Collectif Sauvons la Dhuis

Pour la vérité 
sur la radioactivité et les pollutions  
du Fort de Vaujours

Les associations ont besoin de votre soutien

Signez la pétition 

http://www.change.org/fortdevaujours

 

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17 janvier 2014 5 17 /01 /janvier /2014 16:30

 

Pourquoi projette-t-on de détruire

les chênes

de la forêt régionale de Montgé en Goële :

injustice environnementale ? 

 

La faute aux exploitants de carrières,

à l'ETAT et aux élus ?

A vous de juger

 

Au sud 77

dans la forêt de Fontainebleau on plante un chêne.

http://www.biosphere-fontainebleau-gatinais.fr/evenements/22205

 

Au nord 77

dans la forêt régionale de Montgé en Goële

on projette de  détruire les chênes.

http://adenca.over-blog.com/article-va-t-on-detruire-la-foret-de-montge-en-goele-120903989.html

http://adenca.over-blog.com/article-destruction-de-la-foret-regionale-de-montge-en-goele-un-desastre-annonce-120928421.html

 

 

Injustice environnementale ?

 

 

A vous de juger 

 

 

MONTG2 EN GOELE 10.11.2013 VUE PRISE DE ST MARD

Forêt régionale de Montgé-en-Goële

 

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17 janvier 2014 5 17 /01 /janvier /2014 09:55

Nous remercions   

les 62 000 personnes 

qui ont signé

  la pétition du Collectif Sauvons la Dhuis

Pour la vérité 
sur la radioactivité et les pollutions  
du Fort de Vaujours

Les associations ont besoin de votre soutien

Signez la pétition 

http://www.change.org/fortdevaujours

Reportage France 3

http://www.youtube.com/watch?v=uP-0Yv1hxTc

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 14:31

 

 

Les services de l'ETAT ont choisi le département des Yvelines pour effectuer la 1ère étude sanitaire de zone en Ile de France, département où l'espérance de vie est la

plus élévée d'Ile de France.

 

 

Pour vous les bouseux du 77 

on verra après

dans quelques années peut-être

s'il reste encore de l'argent.

 

 

Pas d'études sanitaires = pas de problèmes pour vos élus

 


 

 

ORS Ile de France :

Extrait Profils de santé Seine et Marne (base de données élaborées en 2012)

 

La situation du territoire de santé de Seine-et-Marne

Ce tableau permet de comparer le territoire de santé à la moyenne française, à la moyenne de la région, à la valeur la plus basse et la plushaute parmi l’ensemble des territoires de santé.

 

  ORS Profil SANTE 2012

 

 

1/ Nombre de personnes âgées de moins de 20 ans pour 100 personnes (2009), Insee/RP - 2/ Nombre de personnes âgées de 75 ans et plus pour 100 personnes (2009), Insee/RP - 3/ Nombre de foyers fiscaux non imposables pour 100 foyers fiscaux (2010), Direction Générale des Finances Publiques/Impôt sur le revenu - 4/ Nombre d’ouvriers pour 100 cadres et professions intellectuelles supérieures dans la population active de 15 ans ou plus ayant un emploi (2009), Insee/RP - 5/ Nombre de jeunes de 20-29 ans non diplômés pour 100 personnes de 20-29 ans (2009), Insee/RP - 6/ Nombre de familles monoparentales pour 100 familles ayant des enfants de moins de 25 ans (2009), Insee/RP - 7/ Nombre de naissances vivantes dont la mère est âgée de moins de 18 ans pour 1 000 naissances vivantes

(2009-2011), Insee, État civil - 8/ à 13/ Taux standardisés de mortalité sur la population France entière au RP2006 pour 100 000 (2007-2009), Inserm-CépiDc, Insee - 14/ Taux standardisé de mortalité sur la population France entière au RP2006 pour 100 000 femmes (2007-2009), Inserm-CépiDc, Insee - 15/ Nombre de décès d’enfants de moins de 1 an pour 1 000 naissances vivantes (2009-2011), Insee, État civil - 16/ à 20/ Taux standardisés d’admissions en ALD sur la population France entière au RP2006 pour 100 000 personnes (2008-2010), Cnamts, CCMSA, CNRSI, Insee - 21/ à 24/ Taux standardisés de mortalité sur la population France entière au RP2006 pour 100 000 personnes (2007-2009), Inserm-CépiDc, Insee - 25/ Nombre de médecins généralistes libéraux pour 100 000 habitants, Drees, ASIP-Santé, RPPS 2012, Insee - 26/ Nombre de chirurgiens-dentistes libéraux pour 100 000 habitants, Drees, ASIP-Santé, RPPS 2012, Insee - 27/ Nombre d’infirmiers libéraux pour 100 000 habitants, Drees, ASIP-Santé, répertoire Adeli 2012, Insee.

S=secret statistique

* = effectifs annuels moyens

** = France incomplète (sans les régions Champagne-Ardenne et Lorraine)

 

http://www.ors-idf.org/dmdocuments/2013/profil_77.pdf

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