OBSERVATOIRE REGIONAL DE SANTE D’IDF
Questions de santé avril 2017
http://www.ors-idf.org/dmdocuments/2017/2017_QuestionDeSante_versionWEB.pdf
ADENCA
Association de Défense de l'ENvironnement de Claye-Souilly et ses Alentours
"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le
mal,
mais par ceux qui les regardent agir et qui refusent d'intervenir."
Albert Einstein
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Questions de santé avril 2017
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Questions de santé avril 2017
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Au 1er janvier 2017
l'ETAT avait autorisé
le déversement dans les décharges ISDI
de gravats BTP et autres déchets "dits inertes"
comme suit :
- 77 % pour la Seine et Marne (59% pour le seul nord-ouest 77 + 18% pour le reste du 77)
- 6 % pour l'Essonne
- 8 % pour les Yvelines
- 9 % pour le Val d'Oise
Une "dite concertation" sur ce futur plan déchets IDF est organisée actuellement, à laquelle Valérie Pécresse n'a invité aucunes associations environnementales du 77.
Il serait mal venu que les riverains des décharges du 77 viennent geindre dans ces réunions, polluer le débat et contrarier les professionnels du BTP, les démolisseurs et les exploitants de décharges.
Paru dans le Parisien 77 :
>Île-de-France & Oise>Seine-et-Marne>Chelles|Hendrik Delaire|02 novembre 2017, 19h02|
Les odeurs nauséabondes qui incommodent les habitants du quartier de La Malnoue depuis plusieurs mois proviendraient de la dégradation des anciennes carrières de gypse de la Montagne de Chelles.
« L’odeur est infecte et pénètre désormais dans notre maison, nous obligeant à calfeutrer nos aérations. Nous avons l’impression de vivre dans un colon géant ! ». Céli
En octobre les pompiers avaient dû intervenir et la société de la Nantaise des eaux, délégataire de ce service public qui est de la compétence de la communauté d’agglomération Paris Vallée de la Mar
« Ces odeurs fétides se sont amplifiées et étendues aux quartiers du Clos Roger et de Perichelles, cela touche plusieurs milliers de person
Après plusieurs semai
Mais du côté de la municipalité de Chelles on
« U
À Villeparisis, on se pince le
« Depuis plus d’un an et demi, les mauvaises odeurs incommodent tous les riverains et les usagers de la place Henri-Barbusse, où se trouvent le bureau de poste et plusieurs commerces ».
Avec ses camarades de l’association européen
« Lors des travaux de rénovation en 2014, les réseaux n’ont pas été refaits. Nous reprenons depuis les travaux d’assainissement mais on
H.D.
La ville contre la campagne ?
Détruire l'environnement
des villages ruraux
pour favoriser
celui de certaines villes ?
Pendant des années la politique de la ville de Paris a été de bétonner à outrance, le quartier de la Défense étant l'un des exemples frappant de cette politique.
A l'approche des jeux olympiques Paris s'aperçoit qu'elle manque d'espaces verts, mais pour en créer maintenant, il va falloir beaucoup d'argent.
L'une des solutions pourrait se trouver dans la vente de l'aqueduc de la Dhuis, l'un des derniers poumons verts du nord-ouest 77 dont Paris n'a plus l'utilité.
En effet les eaux contenues dans cet aqueduc servaient autrefois à alimenter Paris en eau, mais aujourd'hui ces eaux ont été détournées et servent à alimenter le parc d'attraction de Disneyland.
De Chessy à Paris l'aqueduc ne contient plus d'eau et n'est donc plus utile à Paris.
Paris qui déverse, depuis des décennies, ses ordures sur les espaces agricoles du nord-ouest 77 pourrait, à titre de compensation, laisser l'un de ces derniers poumons verts à la disposition des populations de l'est parisien, mais c'est sans compter sur l'intérêt porté à ce site par l'industriel Placoplatre, un site qui gène l'industriel, notamment à Villevaudé, puisqu'il se trouve au milieu de la carrière à ciel ouvert qu'il vient d'être autorisé à exploiter.
La ville contre la campagne ?
Détruire l'environnement
des villages ruraux
pour favoriser
celui de certaines villes ?
Parmi les industriels qui polluent cette rivière Aéroport de Paris est principalement montré du doigt, l’industriel doit mettre aux normes son système d’épuration des eaux de ruissellement des pistes, mais depuis des années l’ETAT lui don
La zo
La station d’épuration commu
En effet plusieurs quartiers de Mitry-Mory, Villeparisis et Claye-Souilly (Le Bois-Fleuri) sont en secteur unitaire (eaux usées et eaux pluviales ensemble), un système ancien qui tant à disparaître en France, car le système séparatif (eaux usées d’un côté et eaux pluviales d’un autre) permet d’envoyer seulement les eaux usées à traiter vers le centre d’épuration.
L’ETAT vient de don
Pour tous renseig
nous vous conseillons de vous rapprocher de :
Yves Albarello
Maire de Claye-Souilly
président du syndicat de la Re
Jean-Luc Servières
Adjoint au maire de Claye-Souilly
Vice président chargé de l’assainissement à la communauté d’Agglomération.
Pour aller plus loin :
http://www.eau-seine-normandie.fr/mediatheque/Dossier_partage/PTAP/Rivieres_ile_de_France.pdf
Paru sur le site La Marne :
Publié le 5 Nov 17 à 20:16
Dimanche 5 novembre, vers 16h, un épais nuage de fumée était visible à des kilomètres à la ronde. Un feu s’est déclaré dans un ancien garage automobile, avenue de Villiers, à Crécy-la-Chapelle. Les flammes se sont rapidement propagées à un hangar, juste à côté, contenant du bois de chauffage.
Les raisons de cet incendie restent encore indéterminées. L’incendie n’a fait aucun blessé.
Durant l’intervention des pompiers, qui est toujours en cours et qui devrait se prolonger jusque 5 h du matin, l’avenue de Villiers est fermée à la circulation et u
Côté rails, la circulation ferroviaire a été coupée entre Crécy-la-Chapelle et Esbly, dans les deux sens. Des bus de substitution ont été mis en place.
Décharge illégale à Fresnes sur Marne
pourquoi la préfète
Béatrice Abollivier
ne fait pas fermer le site ?
Depuis près d'un an une décharge illégale s'est installé, en bordure de la Beuvronne à Fresnes sur Marne, sur la commune voisine du captage d'eau d'Annet sur Marne qui fournit près de 500 000 habitants en eau potable.
Depuis décembre 2016 les services de la préfecture sont au courant de cette situation, ils sont alertés régulièrement par les associations environnementales, mais ne font pas faire fermer ce site illégal.
Est-ce parce qu'ici
nous sommes considérés comme
« des gens qui ne sont rien »
que l'ETAT
ne fait par fermer cette décharge illégale ?
Si cette décharge illégale se trouvait au bord de la forêt de Fontainebleau, il est probable qu'une telle situation aurait déjà été réglée.
Pour tous renseignements complémentaires
nous vous conseillons de vous rapprocher
de votre député
Rodrigue Kokouendo
C'est à la baronne d'Eitchal, propriétaire du Château de St Thibault que nous devons cette magnifique allée cavalière qui était constituée de 252 platanes.
Son époux a été de nombreuses années maire de Montgé en Goële.
Paru sur le site Evasion :
Publié le 02 novembre 2017 à 15h49
Le département a été distingué cet après-midi à Paris par la Société pour la protection des Paysages et de l'Esthétique de la France.
Le département a été distingué cet après-midi à Paris par la Société pour la protection des Paysages et de l'Esthétique de la France. Il a reçu le Prix des Allées d'Arbres pour ses efforts afin de préserver et de mettre en valeur les alignements d'arbres le long des routes. Car depuis un siècle, le patrimoine arboré seine-et-marnais a fortement diminué. Le Conseil départemental s'est donné pour mission de reconquérir ces alignements en replantant de nouveaux arbres le long de 340 km de routes jugées prioritaires. C'est notamment le cas sur la RD 619 entre Moissy-Cramayel et Yèbles où une allée d'arbres a été préservée sur 12 km.
>Île-de-France & Oise>Seine-et-Marne>Meaux|Sébastien Roselé|01 novembre 2017, 12h08|
Et de deux. Guy Pelamourgue, le gérant de l’entreprise Wipelec, a de nouveau été placé en garde à vue par la police judiciaire de Meaux, le mercredi 18 octobre. Il avait déjà été entendu par les enquêteurs, il y a quatre mois, lundi 19 juin. Au terme de cette première garde à vue, il était reparti libre et sans contrainte. Mais après sa deuxième audition, le juge d’instruction l’a placé sous contrôle judiciaire. Il lui a été interdit de gérer son entreprise et d’y mettre les pieds.
La société Wipelec, basée dans la zone industrielle de Meaux, fabrique des pièces de précision pour l’armée, l’aéronautique et le spatial. Elle emploie quarante-trois personnes. Les motifs de la garde à vue sont les mêmes qu’en juin. Le chef d’entreprise n’aurait pas respecté les deux exigences fixées par le préfet de l’époque, qui avait signé un arrêté préfectoral, en mai dernier, suspendant son activité. Il devait, entre autres, vider une cuve de 1 000 m3 de produits chimiques dangereux.
L’avocat de Wipelec, Me Yvon Marti
Contacté, l’administrateur judiciaire qui gère Wipelec, depuis que Guy Pelamourgue a l’interdiction de la diriger, confirme qu’il travaille « actuellement, à tenter de lever les conditions » de la préfecture. Celle-ci acquiesce mais en partie. « Le mandataire provisoire (...) transmet actuellement les pièces nécessaires pour lever les trois dernières non-conformités. Pour autant, d’autres points de non-conformités notables (...) perdurent encore. L’exploitant est invité à y remédier dans les meilleurs délais. »
Guy Pelamourgue n’a pas souhaité réagir, étant mis en examen. Son avocat, MeDavid Marais estime, quant à lui, qu’« on reproche à M. Pelamourgue de
Fin juin, Guy Pelamourgue et ses avocats avaient tenté, devant le Conseil d’Etat, en référé, de suspendre l’arrêté préfectoral. Sans succès, malgré le témoignage de l’entreprise Safran, qui plaidait en sa faveur. Le feuilleton judiciaire Wipelec semble loin d’être terminé.