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23 novembre 2017 4 23 /11 /novembre /2017 17:00
Paru sur France Info :
Qu'a fait votre ancien député de sa permanence parlementaire ? Vérifiez-le avec notre moteur de recherche

Franceinfo a enquêté sur les permanences parlementaires de 250 anciens députés, pour savoir s'ils en étaient locataires ou propriétaires et, le cas échéant, s'ils avaient "pioché" dans l'enveloppe de leur indemnité représentative de frais de mandat pour cet investissement.

Qu'est devenue la permanence parlementaire de votre ancien député ? Alors que Jean-Jacques Urvoas fait l'objet d'une plainte pour "détournement de bien public" après l'achat de son bureau avec son indemnité représentative de frais de mandat (IRFM), franceinfo a interrogé un grand nombre d'anciens députés, qui ont quitté l'Assemblée nationale ce printemps, pour savoir s'ils avaient fait de même. Une pratique courante, mais interdite depuis 2015.

Cette enquête, dont vous trouverez les principaux enseignements dans cet article, n'est pas exhaustive. Pour des raisons pratiques, nous nous sommes concentrés sur les 250 élus sortants en 2017 qui avaient effectué au moins deux mandats. Sur cet échantillon, une centaine n'ont pas répondu à nos sollicitations.

>> ENQUETE FRANCEINFO. Les bonnes affaires d'anciens députés qui ont acheté leur permanence avec des fonds publics

Notre travail repose principalement sur les entretiens réalisés avec ceux qui ont bien voulu répondre et sur la sincérité de leurs propos, qui a parfois fait défaut. Pour une cinquantaine d'entre eux, nous avons en outre procédé à des vérifications auprès du Service de la publicité foncière (SPF). Une méthode précise mais pas infaillible : le député a pu acheter ce bien sous le nom d'un proche, ou via une société civile immobilière. Au total, 32 parlementaires sur les 150 interrogés ont reconnu avoir été propriétaires de leur permanence grâce à leur indemnité de frais de mandat. En revanche, 18 propriétaires ont pour leur part refusé de répondre à cette question de l'utilisation de l'IRFM.

>> Qu'a fait votre ancien député de sa permanence ? Etait-il propriétaire ou locataire ? Pour le savoir, il vous suffit de choisir un département et/ou de rechercher votre député en tapant son prénom puis son nom. Si vous ne trouvez pas votre ex-parlementaire dans cette liste, c'est qu'il n'a siégé que cinq ans au Palais-Bourbon.

        
       
Qu'a fait votre ancien député de sa permanence

Nom

Prénom

Départe

ment

Année

d'élection

Groupe

Proprié

taire

IRFM

Explications

ALBARELLO

YVES

SEINE-ET

-MARNE

2007

LR

?

?

N'a pas donné

suite.

 

 

https://www.francetvinfo.fr/politique/moralisation-de-la-vie-politique/permanences-parlementaires/qu-a-fait-votre-ancien-depute-de-sa-permanence-parlementaire-verifiez-le-avec-notre-moteur-de-recherche_2479499.html

 

 

 

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23 novembre 2017 4 23 /11 /novembre /2017 14:39

 

 

OBSERVATOIRE REGIONAL DE SANTE D’IDF

 

Questions de santé avril 2017

http://www.ors-idf.org/dmdocuments/2017/2017_QuestionDeSante_versionWEB.pdf

En Seine et Marne et Seine St Denis les hommes meurent  le plus de cancers des bronches d'IDF !
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22 novembre 2017 3 22 /11 /novembre /2017 17:30

 

 

Depuis des années des associations environnementales et des élus réclament une étude épidémiologique au nord-ouest 77 mais l’agence de santé estime que ce n’est pas utile,

L’ARS nous l’a encore confirmé en début de ce mois lors d’une réunion étude de zone.

 

A Lacq aussi les associations environnementales la réclamaient et on leur faisait la même réponse mais, ironie du sort, elles apprennent en 2016 que cette étude avait été réalisée en toute discrétion 14 ans plus tôt et que les résultats n’avaient pas été transmis aux riverains. Les maires les auraient reçus mais ne s’en rappellent pas.

 

 

Est-ce qu’au nord-ouest 77

une telle étude a été réalisée

et que l’on nous cache les résultats ?

 

 

 

 

EXTRAIT ARTICLE pARU SUR LA SITE bastamag :

POLLUTIONS

Fumées suspectes, odeurs irritantes et surmortalité inquiétante autour du bassin pétrochimique de Lacq

PAR ARIANE PUCCINI, ELSA DOREY 20 NOVEMBRE 2017

La zone industrielle de Lacq, près de Pau dans les Pyrénées-Atlantiques, est le deuxième pôle chimique de l’Hexagone, où les réserves de gaz ont longtemps fait le bonheur de Total. Pendant des années, les nombreux rejets polluants issus de ces activités industrielles ont été mis au second plan, si ce n’est passés sous silence. Aujourd’hui, devant la multiplication des troubles sanitaires et les indices épidémiologiques inquiétants, les habitants du secteur tentent de briser l’omerta…..

La main se fracasse violemment contre la table : « Et mes gamins ? » L’assemblée sursaute. « Mes gamins sont malades ! », aboie Xavier Hache, mâchoires serrées, arc-bouté vers une assistance médusée. Le trentenaire poursuit : « Deux ans que vous nous dites que vous ne savez rien ! » Son regard fusille l’autre bout de la salle municipale, où se tient assis une rangée de messieurs, des élus et des industriels. Tandis que certains plongent le nez dans leurs dossiers, d’autres réclament, dans un soupir indigné, « un peu de retenue ». Parmi les autres participants, des riverains silencieux, et quelques discrets hochements de tête approbateurs. Mais aussi, des sourcils froncés : ce n’est certainement pas ainsi qu’on a l’habitude de se faire entendre à Lacq.

Le mystère des suffocations

Cette réunion d’information entre patrons d’usines, élus et riverains du site industriel de Lacq (Pyrénées-Atlantiques) s’est déroulée le 11 juillet 2017. Tout a pourtant été prévu pour empêcher un quelconque dérapage. La rencontre, dans la jolie salle municipale de ce village béarnais situé à 30 km de Pau, se tenait à huis clos. Pour« éviter toute polémique », la presse n’avait pas été conviée. Les quelques journalistes locaux qui ont tenté d’y assister ont été sommés de quitter les lieux. Un climat « de modération » souhaité par les industriels, « de manière à ce que l’on travaille tous ensemble », explique d’emblée Jacques Cassiau-Haurie, président de la Communauté de Communes Lacq-Orthez. A l’ordre du jour, un seul et unique sujet pour la trentaine de participants : l’air respiré autour des usines de ce bassin industriel historique.

Xavier Hache habite la commune de Lacq depuis l’âge de six mois et travaille dans la maintenance industrielle. Il vit avec sa femme, Angélique, et leurs deux filles de 10 ans et 4 ans. Depuis 2014, ils se plaignent d’odeurs nouvellement apparues et qui déclenchent des problèmes d’ordre physiologiques (démangeaisons, problèmes respiratoires, toux...). 

 

La réunion démarrée, les exposés s’enchaînent : comptes-rendus des dernières mesures d’air, diagrammes des rejets atmosphériques, analyse du sens du vent, des molécules en suspension, présentation de plans d’action, énumération des symptômes des riverains, hypothèses météorologiques... On s’interpelle avec exaspération, on s’invective, on appelle au calme. Après deux heures que tout le monde espérait « constructives », la conclusion penaude des industriels tombe : « On ne sait pas ce qu’il se passe », lâche finalement Hervé Brouder, le président de l’association locale des industriels « Induslacq », par ailleurs directeur de l’usine chimique Arkema, implantée sur la zone. En ce début de soirée d’été, le mystère des suffocations de riverains va donc demeurer, aussi épais que les fumées industrielles qui enveloppent certaines nuits les quartiers résidentiels alentour……

Surmortalité à proximité du bassin industriel

Si les regards se tournent avec suspicion vers les cheminées du complexe de Lacq, personne ne semble en mesure de conclure fermement sur la dangerosité ou non de leurs fumées. Les industriels, qui affirment respecter les normes de rejets, comme les études de risques sanitaires menées depuis 2007, bottent en touche : s’ils affirment que les 140 substances (recensées) qui sont rejetées par les usines du complexe ne le sont pas à des doses nocives, il reste qu’à minima « on ne peut pas connaître l’effet réel du cocktail » issu du mélange de toutes ces molécules, comme l’admet un industriel lors de la réunion du 11 juillet.

« Les industriels ne savent pas ce qu’ils font… et ils se disent professionnels ? », s’exaspère Xavier Hache. Chose inédite dans le secteur, l’industrie jusqu’ici pourvoyeuse d’emplois est désormais montrée du doigt. Il faut dire qu’entre temps, le vent a tourné sur le Bassin. Depuis 2013, parce que les poches de gaz se sont taries, Total s’est retiré du site en laissant derrière elle quelques filiales qui n’emploient plus qu’une centaine de personnes, et en laissant la place à un patchwork d’entreprises chimiques nouvellement installées. Dans un climat de fin de règne, le voile se lève enfin sur les conséquences sanitaires de soixante ans d’exploitation gazière.

Mais en matière sanitaire, le silence a longtemps été la loi. Après quatorze ans de secret, les riverains du bassin découvrent abasourdis en mars 2016, par la presse, qu’une étude épidémiologique a été réalisée en 2002 par l’Institut de santé publique, d’épidémiologie et de développement (ISPED) de l’Université de Bordeaux. Bien que prudentes, les conclusions n’en sont pas moins inquiétantes : plus on s’approche de la zone industrielle, plus la mortalité est importante. Ainsi entre 1968 et 1998, dans la zone la plus proche, les individus de moins de 65 ans présentaient une surmortalité de 14% par rapport aux habitants situés sur la zone la plus éloignée incluse dans l’étude. Soit 136 décès supplémentaires, dont 38 liés à des cancers. L’étude souligne que plus le temps passe, plus le nombre de morts suspectes augmente.

De l’agence régionale de santé au gouvernement : la faillite des autorités

C’est la Cour des comptes, enquêtant sur la reconversion du site industriel de Lacq, qui apprend à une association environnementale locale, Sepanso 64, l’existence de ce document. Les bras de Michel Rodes, secrétaire de l’association auditionné par la Cour des comptes, en sont tombés : « Nous réclamions une étude épidémiologique depuis des années ! » Les autorités affirmaient qu’une telle enquête n’avait aucun intérêt. « Le lancement d’une étude [ferait] courir, dès lors, le risque de briser la paix sociale, la population étant amenée à penser que les investigations en cours sont motivées par la suspicion de problèmes », expliquait à la Haute autorité de la santé publique Michel Noussitou, un responsable local des services déconcentrés de l’État.

 

Craignant que la situation ne s’enlise, en mars 2016, l’association Sepanso 64 finit par faire fuiter dans la presse l’étude tenue secrète. Car si l’Agence Régionale de Santé (ARS) affirme avoir communiqué dès 2002 les résultats à « l’ensemble des maires de la zone étudiée », l’information n’est jamais parvenue au public. Les maires sont-ils coupables de rétention d’information ? Les rares édiles qui ont accepté de répondre à nos questions n’ont pas le souvenir d’avoir reçu cette étude, vérification faite dans leurs archives municipales. L’un d’entre-eux, Patrice Laurent, maire de Mourenx, se montre plus catégorique : il affirme n’avoir jamais eu connaissance de l’étude, avant de la découvrir dans les journaux.

Si l’enquête n’éclaire pas la cause de ces morts, ses auteurs émettent une hypothèse : la surmortalité observée pourrait être due à une exposition professionnelle, et pas nécessairement à une exposition « environnementale ». Encore fallait-il poursuivre l’étude pour en avoir le cœur net. Ce qui n’a pas été le cas. La Cour des comptes réclame pourtant, dans un référé daté du 26 janvier 2015, une étude épidémiologique complémentaire. Interpellés par le référé, ni Ségolène Royal, ni Marisol Touraine, ni Emmanuel Macron, alors respectivement ministre de l’Environnement, de la Santé et de l’Économie, ne donnent leur feu vert. La poursuite de l’étude serait trop chère, trop compliquée, pas assez pertinente……..

Elsa Dorey et Ariane Puccini

Article complet :

https://www.bastamag.net/Fumees-suspectes-odeurs-irritantes-et-surmortalite-inquietante-autour-du-bassin

 

 

 

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22 novembre 2017 3 22 /11 /novembre /2017 11:31
Claye-Souilly : une nouvelle fois l'eau potable non conforme  aux références bactériologiques le 16/10/2017
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21 novembre 2017 2 21 /11 /novembre /2017 10:40
GVHTP 2011

GVHTP 2011

 

 

 

C’est bien de venir dans les médias pour présenter son livre mais il ne faudrait pas non plus oublier les préoccupations des populations de sa circonscription.

 

Jean-Michel Fauvergue (député LREM) pourrait demander un rendez-vous à Nicolas Hulot

pour faire fermer définitivement l’installation illégale GVHTP, mais ce problème semble être bien loin des préoccupations actuelles du député.

 

Pour résumer la situation :

 

C’est dans l’une des communes voisines de Disneyland, dans le charmant village de Coupvray, berceau de Louis Braille, l’inventeur du système d’écriture en relief pour aveugles que s’est implanté cette installation illégale depuis bientôt 7 ans qui empoisonne la vie des riverains.

 

Depuis toutes ces années les élus de la commune et associations n’ont cessé d’alerter.

Des associations qui ont vu leurs plaintes du 21/3/2012 classées sans suite par le procureur de la république de Meaux en date du 15/10/2013.

 

C’est le 13ème arrêté préfectoral qui vient d’être délivré par la préfecture en date du 16 novembre dernier à l’encontre de cet exploitant.

 

C’est un arrêté de suspension d’activité dans l’attente de régularisation administrative, un copier-coller des arrêtés de 2011 et 2014.

http://www.seine-et-marne.gouv.fr/Politiques-publiques/Environnement-et-cadre-de-vie/ICPE-carrieres/Decisions/Sanctions/COUPVRAY-77700-Societe-GVHTP

 

En effet  voici plus de 6 ans  le 27/5/2011 la DRIEE 77 avait déjà mis en demeure l’entreprise de régulariser sa situation et suspendu son activité.

 

 

La balle est dans le camp de Nicolas Hulot qui nous le souhaitons va mettre fin à cette situation inacceptable qui perdure depuis de nombreuses années et porte atteinte à la qualité de vie des riverains et à l’environnement, notamment à la préservation de notre ressource en eau, car les eaux de ruissellements de cette installation  illégale se dirigent vers la Marne, rivière sur laquelle sont situées plusieurs usines de captage d’eau qui fournissent en eau potable l’est parisien.

 

 

 

 

pour aller plus loin :

http://adenca.over-blog.com/2015/07/pres-de-disneyland-l-envers-du-decor-coupvray-gvhtp-une-decharge-illegale-qui-inquiete-les-elus-et-les-associations.html

http://adenca.over-blog.com/2015/04/decharge-illegale-gvhtp-coupvray-mme-taubira-ce-n-est-pas-des-effets-d-annonces-mais-la-remise-en-etat-en-urgence-de-ce-site-que-nou

http://adenca.over-blog.com/article-m-jean-luc-marx-prefet-du-77-va-t-il-faire-fermer-definitivement-la-decharge-illegale-gvhtp-coupvr-125378463.html

http://adenca.over-blog.com/article-comment-ont-ils-pu-laisser-s-accumuler-autant-de-decharges-illegales-sur-la-seine-et-marne-108570672.html

http://adenca.over-blog.com/article-le-cas-de-la-decharge-illegale-gvhtp-coupvray-125255908.html

http://adenca.over-blog.com/article-decharges-illegales-en-seine-et-marne-gvhtp-coupvray-100029801.html

http://adenca.over-blog.com/article-encore-une-decharge-illegale-en-seine-et-marne-gvhtp-dirigee-par-gabriel-van-honacker-a-coupvra-82662778.html

 

 

 

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20 novembre 2017 1 20 /11 /novembre /2017 16:47

 

 

 

Des absences très remarquées : celles du maire de Claye-Souilly, Yves Albarello et de la conseillère départementale Véronique Pasquier (élue également de Claye-Souilly).

 

Les pompiers étaient également absents, alors que les associations de riverains souhaitaient avoir un compte-rendu de leur part, de l’incendie important de juillet 2017 où plusieurs casernes de pompiers avaient été appelées en renfort.

 

Production de Biométhane 

Il y a quelques années Veolia avait obtenu une subvention de l’ETAT pour réaliser un essai de production de biométhane pour alimenter des véhicules.

 

Qu’en est-il aujourd’hui ?

Il semblerait que l’activité ne soit pas assez rentable, pour l’instant Veolia ne fournit qu’un seul véhicule, celui de la commune de Claye-Souilly.

 

Mais l’industriel ne remboursera pas la subvention à l’ETAT, car il n’avait aucune obligation de résultat.

 

Emissions de gaz dans l’air

 

Concernant les émissions dans l’air de gaz formaldéhyde, Veolia en émettait auparavant mais n’avait pas l’obligation de le déclarer, c’est suite à l’implantation d’une nouvelle chaudière que Veolia a été dans l’obligation de le faire.

 

Veolia est classé depuis des années parmi les plus importants émetteurs de Méthane dans l’air de France.

Un arrêté ministériel du 15/2/2016 impose, pour faire court, à ce type d’installations de prendre des mesures correctives pour réduire les émissions de ce gaz dans l’air.

 

Quand aux contrôles des eaux souterraines, on constate l’augmentation de certains polluants.

 

Pour les mâchefers, Yprema n’acceptant plus les mâchefers de Montereau Fault Yonne, c’est Veolia Claye-Souilly qui les a récupérés, nous reviendrons sur ce sujet dans un article plus complet.

 

Quant aux produits chimiques envoyés dans l’air pour couvrir les odeurs nauséabondes de la décharge, l’exploitant ne nous a toujours pas indiqué leur composition, l’exploitant se retranche derrière « le secret industriel ».

 

 

Concernant les mouettes et goélands, Veolia vient d’installer un canon effaroucheur  sur la décharge ISDI de Fresnes sur Marne, ce type de matériel provoque des détonations pour éloigner les oiseaux.

 

Quels risques ces détonations peuvent-elles avoir sur la santé des enfants de l’école maternelle et du centre aéré de Fresnes sur Marne ?

 

Eloigner les oiseaux de la décharge semble les envoyer vers les habitations des riverains, qui retrouvent des fientes de mouettes et goélands, parfois même sur leur table de jardin.

 

 

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18 novembre 2017 6 18 /11 /novembre /2017 18:21

Le Conseil Général de Seine et Marne

a classé

en février 2015

un arbre remarquable

dans la forêt régionale de Montgé en Goële

 il s’agit

d’un hêtre

plus que centenaire.

 

Voici sa situation :

49° 02' 34" N     02° 45' 11" E

Allez à la découverte du hêtre remarquable de la forêt régionale de Montgé en Goële
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17 novembre 2017 5 17 /11 /novembre /2017 15:59

 

 

 

Paru sur le site Robin des Bois :

 

VOTRE ÉCOLE EST-ELLE TOXIQUE (SUITE)

16 nov. 2017

 

– Lagny-sur-Marne (77). Ecole maternelle Fort du Bois. ETS n°0770439J. 9 avenue du stade.
Le groupe scolaire Fort du Bois a été construit à la fin des années 1950 sur des champs agricoles au niveau du coteau Sud de la vallée de la Mar
ne. L’école se trouve en contiguïté à l’est d’un ancien garage/parc de stationnement de poids lourds. Désormais, une fabrique « de machines destinées à l’industrie des arts graphiques », la société Montecop, a été implantée sur la parcelle de ce garage aujourd’hui fermé. Montecop a mis la clé sous le paillasson en 2014 et des stockages non identifiés restent présents sur le site. L’école est également située à environ 20 m au sud-est du Relais du Parc de Lagny, un garage/station-service toujours en activité. Des stockages, notamment de carburants, sont présents sur ces sites.


Risques : Inhalation de l’air dans les bâtiments et ingestion d’eau du robinet.
Du benzè
ne, du toluène, de l’éthylbenzène, des xylènes, une fraction d’hydrocarbures aliphatiques et du tétrachloroéthylène ont été détectés localement dans l’air des vides sanitaires et dans l’air du sol, dans un ou plusieurs des échantillons prélevés au droit de la cantine et du bâtiment principal (gymnase/dortoir). Les concentrations estimées dans l’air intérieur à partir de ces mesures ne seraient pas susceptibles de poser des problèmes sanitaires aux enfants, au personnel éducatif et périscolaire selon les diagnostiqueurs. Toutefois, dans l’hypothèse d’une dégradation de la dalle des bâtiments de l’école (perforation ou démantèlement lors de travaux d’aménagements), qui n’assurerait alors plus son rôle protecteur, certaines concentrations en composés volatils dans l’air intérieur pourraient tendre vers celles mesurées dans l’air du sol ou des vides sanitaires [Note de Robin des Bois : et seraient susceptibles de poser des problèmes sanitaires].
Du chloroforme a été détecté dans l’eau du robi
net prélevée dans les sanitaires de l’école maternelle. La présence de ce sous-produit du traitement de l’eau par chloration est considérée comme normale dans une eau de distribution et sa concentration est inférieure à la valeur limite de potabilité.


Classé B. Maintenir la dalle en bon état.

→ Fort du Bois, école maternelle – Diagnostic / première phase (pdf)
→ Fort du Bois, école maternelle – Diagnostic / deuxième phase (pdf)

 

– Lagny-sur-Marne (77). Groupe scolaire Fort du Bois : école élementaire. ETS n° 0770437G. 5 et 9, avenue du stade.
Classé A.

→ Fort du Bois, école élémentaire – Diagnostic / première phase (pdf)
→ Fort du Bois, école élémentaire – Diagnostic / deuxième phase (pdf)

 

http://www.robindesbois.org/votre-ecole-est-elle-toxique-suite/

 

 

 

 

Paru sur le site Mag Journal 77 :

 

Lagny-sur-Marne ► Scolaire : travaux dans les écoles Fort-du-Bois et Jean-Macé

31JAN2017 

L’école maternelle Fort-du-Bois et le groupe scolaire Jean-Macé à Lagny-sur-Marne bénéficieront d’une réhabilitation et extension. Les travaux entrent dans le plan pluriannuel d’investissement (PPI) mis en place par la municipalité fin 2016 pour le secteur scolaire et périscolaire.

L’école Fort-du-Bois

Sur les neuf groupes scolaires de la commune, celui de Fort-du-Bois était l’un des moins bien dotés en termes de confort et de sécurité. Il n’avait pas fait l’objet d’investissements depuis plusieurs années et n’était plus aux normes. Deux classes, comportant de l’amiante et laissées à l’abandon, ont été démolies l’été dernier.

Devant un tel constat, la Ville a  décidé de programmer sa réhabilitation. Le projet vise également à fusionner les écoles maternelles d’Orly Parc et de Fort-du-Bois en une seule pour la rentrée de septembre. La maternelle d’Orly Parc ne compte que deux classes et une quarantaine d’enfants. Son espace ainsi libéré sera transformé en centre socio-culturel, projet qui sera conduit avec les habitants du quartier.

Les travaux à l’école Fort-du-Bois porteront sur la création de deux salles de classe et d’un dortoir modulable, l’amélioration du confort thermique, sanitaire et acoustique, la mise aux normes de sécurité et d’accessibilité, ainsi que sur l’environnement extérieur (cour, préau, jardins).

Pour mener à bien l’opération, la Ville a budgété une somme de 1 250 000 euros TTC. « La nouvelle école répondra aux normes toujours plus exigeantes et aux attentes des enfants, enseignants et parents, du quartier des Coteaux et d’Orly Parc » avait indiqué le maire lors de ses vœux, le 19 janvier. Durant les travaux, les enfants restent sur le site ; des locaux préfabriqués ayant été installés temporairement.

 

L’opposition a voté contre

Défavorables à la fusion des deux écoles, les sept élus d’opposition (groupe Objectif Lagny) ont voté contre le projet, lors de la séance du conseil municipal du 24 janvier. « Cela peut conduire à des classes chargées à l’avenir. Le nombre d’élèves par classe conditionne la qualité de l’encadrement des enfants, que ce soit sur le temps scolaire ou périscolaire, or la fusion de ces deux écoles ne le garantit pas » a déclaré Adrien Bernascon. « Le nombre de classe et les effectifs ne sont pas le choix de la Ville, mais de l’Éducation nationale » lui a répondu Jean-Paul Michel, le maire.

« En fusionnant ces deux écoles, on arrive exactement au même effectif qu’aujourd’hui, c’est-à-dire 21 enfants par classe. Fusion ou pas, les effectifs augmenteront avec celle de la population. Si l’Éducation nationale décide d’ouvrir des classes, tant mieux, si elle refuse, on ne pourra rien faire car on n’a pas la maîtrise » renchérit Bouchra Fenzar, adjointe au maire pour l’enfance et la vie scolaire.

http://www.magjournal77.fr/lagny-sur-marne-scolaire-travaux-dans-les-ecoles-fort-du-bois-et-jean-mace/

 

 

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16 novembre 2017 4 16 /11 /novembre /2017 20:58

 

 

 

Paru sur le site Robin des Bois :

 

PRÉSERVER 893 ENFANTS ET 17 OUVRIERS

5 oct. 2017

Accueil » Actualités » Préserver 893 enfants et 17 ouvriers

A Montreuil, Seine-Saint-Denis, l’école élémentaire Jules Ferry (I et II) héberge 562 enfants âgés de 6 à 11 ans. Sa création est antérieure à celle de l’usine.

Dans une erreur manifeste d’aménagement urbain, l’usine s’est installée à partir des années 70 à 50 m de l’école. Aujourd’hui, l’usine est vétuste et confrontée à des difficultés financières insurmontables. La SNEM (Société Nouvelle d’Eugénisation des Métaux) met en œuvre des produits toxiques exposant ses salariés à des risques sanitaires aigus ou chroniques. La SNEM assure la finition de pièces métalliques pour l’industrie aéronautique. Son principal donneur d’ordres serait Airbus. Il est étonnant qu’un groupe aéronautique européen ait recours à un façonnier sans lui donner les moyens de travailler dans des conditions et des locaux appropriés. La SNEM, pour perdurer, doit être transférée dans une zone industrielle et dans des ateliers modernes.

Il est malheureusement bien connu par les services de l’Etat et par l’ADEME que cette catégorie d’établissements vieillissants a produit par dizaines, ces dernières années, des sites pollués et polluants abandonnant sur place après des faillites généralement discrètes des centaines de tonnes de déchets liquides acides et pour certains cancérogènes. Le démantèlement, l’assainissement et le suivi d’un ex-atelier de traitement de surface de métaux de la taille de la SNEM revient en moyenne à 500.000 € si l’opération est partielle et différée et à 3 millions d’euros si elle est complète et intègre la dépollution des eaux souterraines.

L’inspection des Installations Classées pour la Protection de l’Environnement sait que la SNEM n’a aucun avenir là où elle est située et avec l’outil de travail tel qu’il est. Robin des Bois demande la fermeture organisée et anticipée de la SNEM à Montreuil.

Pour autant, la fermeture de la SNEM ne doit pas effacer du tableau noir toutes les légitimes inquiétudes des enseignants et des parents d’élèves des écoles à proximité.

Robin des Bois souhaite qu’un diagnostic comparable à ceux qui ont été diligentés par le ministère de l’Ecologie dans les établissements scolaires bâtis sur ou à proximité de sites pollués historiques soit effectué en priorité dans les écoles élémentaires Jules Ferry I et II. Le périmètre de ce diagnostic-type inclut le milieu sol (sols superficiels, bandes enherbées et autres espaces verts, éventuels jardins pédagogiques), le milieu air (vides sanitaires, salles de repos, salles de classe, locaux administratifs, éventuels logements de fonction) et le milieu eau (eau du robinet dans les lieux sanitaires et de restauration). Les diagnostics durent plusieurs semaines ou plusieurs mois si nécessaire.

Il est probable qu’en 45 ans d’activité et de négligences constatées, la SNEM par ses émissions atmosphériques diffuses et canalisées, par la mauvaise gestion des déchets et par la dispersion de rejets liquides mal collectés ait marqué de son empreinte les écoles élémentaires Jules Ferry I et II et que des actions de remédiation soient nécessaires.

S’agissant d’un site ayant mis en œuvre du cadmium, des cyanures, du mercure, du chrome hexavalent et du perchloroéthylène, Robin des Bois estime que le diagnostic pourrait être utilement étendu aux écoles maternelles Jules Ferry et Anne Frank ainsi qu’aux domiciles privés mitoyens ou à proximité immédiate du site industriel.

 

http://www.robindesbois.org/preserver-893-enfants-et-17-ouvriers/

 

 

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14 novembre 2017 2 14 /11 /novembre /2017 19:57

 

C'est à proximité des lotissements de Maupertuis de la Closerie, non loin du lotissement de Bois Fleuri et de la promenade de la Dhuis que sera organisée cette chasse.

 

 

Partie entourée en rouge sur la carte qui suit :

 

Claye-Souilly attention danger: chasse autorisée dans la forêt régionale le jeudi 16 novembre 2017

 

  

C'est le Conseil Régional IDF, au travers de son agence l'AEV, qui gère cette forêt pour vous, et y autorise certains jours la chasse.

 

Le lobby des chasseurs est bien représenté au sein du Conseil Régional pour le département de Seine et Marne, en la personne de Benoît Chevron, conseiller régional, administrateur de l'AEV et président de la fédération de chasse de Seine et Marne.

 

C'est Hervé Proffit qui est chargé de notre secteur au sein de la fédération des chasseurs du 77.

 

 

 

Pourquoi l'AEV

ne fournit-elle pas à Adenca

la copie de la convention signée

entre elle et

la sté de chasse ?

 

Que nous cache-t-on ?

 

 

 

Pour tous renseignements complémentaires

nous vous conseillons de contacter

 

Julien Proffit

conseil municipal de Claye-Souilly

et

conseiller régional d'Ile de France

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