Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
3 novembre 2017 5 03 /11 /novembre /2017 11:19

 

L'exemple d'un village rural

qui subit

 la pollution de l'air

St Mesmes

 

Une commune entourée de champs cultivés par l'agriculture intensive, dont l' école primaire a été construite au bord de ces champs.

 

Une commune survolée par les avions de l'aéroport de Roissy.

 

Une commune riveraine de la zone industrielle de Mitry-Compans qui compte 6 sites Seveso.

 

Une commune riveraine de la plus importante décharge d'ordures ménagères et déchets non dangereux d'Europe : Veolia Charny/Claye-Souilly/Fresnes sur Marne.

 

 

St Mesmes l'école primaire construite au bord de champs cultivés par l'agriculture intensive

St Mesmes l'école primaire construite au bord de champs cultivés par l'agriculture intensive

 

Paru sur le site La Marne :

La pollution même à la campagne

La mauvaise qualité de l'air aurait été responsable, à elle seule, de 6,5 millions de décès à travers le monde en 2015. En France, on estime ce chiffre à 48 000 cas.

Publié le 30 Oct 17 à 7:00


La Seine-et-Marne, malgré son aspect rural, est aussi sujette à la pollution atmosphérique, notamment celle liée aux particules fines, les PM10. Ces particules, en grande partie dues au chauffage au bois, à l’agriculture, au trafic routier et aux chantiers, peuvent transporter des substances toxiques capables de passer la barrière air/sang au niveau des alvéoles pulmonaires.

C’est évidemment près des axes à fort trafic routier, l’autoroute A4 notamment, que les concentrations de PM10 sont les plus importantes. AirParif note notamment un dépassement régulier des valeurs limites le long des zones de trafic.

Quant à la qualité de l’ozone en Seine-et-Marne, l’association constate que le seuil au-delà duquel la qualité de l’air n’est pas bonne est souvent dépassé, surtout en zone périurbaine, mais pas uniquement. Les zones rurales sont également concernées.

Dans les zones rurales, on estime que l’espérance de vie est réduite de 9 mois à cause de la pollution

https://actu.fr/societe/la-pollution-meme-la-campagne_13189949.html

 

Partager cet article
Repost0
2 novembre 2017 4 02 /11 /novembre /2017 10:57
1.11.2017 Quads circulant dans la forêt régionale de Montgé en Goële

1.11.2017 Quads circulant dans la forêt régionale de Montgé en Goële

 

 

 

 

Ce mercredi 1er novembre 2017 nombreuses familles avec enfants en bas âge avaient fait le choix de venir se promener dans la forêt régionale de Montgé en Goële, c’était sans compter

sur un groupe de quads qui traversaient la forêt à grande allure.

 

Lors de nos promenades dans cette forêt, il nous est arrivé une fois de rencontrer des agents de l’AEV à cheval qui surveillaient la forêt mais il semblerait que cette surveillance soit épisodique.

 

Nous regrettons que le conseil régional IDF ne mette pas plus de moyens à disposition de l’AEV pour surveiller cette forêt au moins les dimanche et jours fériés, par période de beau temps.

 

 

 

 

 

Pour toutes informations complémentaires, nous vous conseillons de contacter

vos conseillers régionaux

 

 

Il s’agit de :

Mme Anne CHAIN-LARCHÉ (LR) Maire St Denis les Rebais

Mme Marie-Pierre Badré (LR) Adjointe au Maire de Couilly Pont aux Dames

M. Gilles Battail (LR) Maire de Dammarie les Lys

M. Joffrey BOLLÉE (FN)

M. Pierre CHERRIER (FN) de la Celle St Cloud (92)

M. James CHERON (UDI) Adjoint au maire de Montereau Fault Yonne

Mme Aurélie COURNET (FN) de Paris

M. Gilbert CUZOU (PS) de Paris

M. Benoît CHEVRON (LR) de Villiers St Georges, Président de la Fédération Départementale des Chasseurs

M. Bertrand DUTHEIL DE LA ROCHERE (FN)

Mme Sylvie FUCHS (FDG) Conseillère municipale de Roissy en Brie

M. François Kalfon (PS ) Conseiller municipal Melun

M. Éric Jeunemaître (LR) Adjoint au maire de Provins

Mme Sylvie MONCHECOURT (UDI) Maire de Montigny sur Loing

Mme Laure-Agnès MOLLARD-CADIX (UDI) Conseillère municipale de Combs la Ville

Mme Bénédicte MONVILLE de CECCO Conseillère municipale de Melun

M. Jean-Paul Planchou (PS ) Ancien maire de Chelles

M. Julien PROFFIT (LR) Conseiller Municipal de Claye-Souilly

Mme Hamida Rezeg (LR) Adjointe au maire de Meaux, vice présidente chargée du tourisme

MmeRoseline Sarkissian (PS) Conseillère municipale de Fontainebleau

Membre de la commission Environnement, aménagement du territoire

Mme Claudine  Thomas (LR) Adjointe au maire de Chelles

Mme Béatrice TROUSSARD (FN) conseillère municipale de Chelles

M. Frédéric Valletoux (LR) Maire de Fontainebleau 

Mme Thi Hong Chau VAN (CD) Adjointe au maire de Bussy Saint Georges

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
1 novembre 2017 3 01 /11 /novembre /2017 17:48

 

 

 

 

Une taxe qui était payée, sous conditions, en particulier par les exploitants de stockage de déchets non dangereux comme Veolia Claye-Souilly et par les exploitants d'incinérateur comme Suez St Thibault des Vignes .

Pour tous renseignements complémentaires
 nous vous conseillons de contacter
votre député
Rodrigue Kokouendo

Paru sur le site Reporterre :

Le gouvernement supprime la taxe sur les activités polluantes et les installations classées

 

26 octobre 2017 
 

 

 

Les industriels pollueurs peuvent se frotter les mains : Le gouvernement supprime la taxe sur les activités polluantes et les installations classées !

Les députés ont adopté, samedi 21 octobre, un amendement gouvernemental au projet de loi de finances pour 2018 (PLF 2018) qui supprime les deux composantes de la taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) applicables aux installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE). L’une est recouvrée au moment de la délivrance de l’autorisation, l’autre, chaque année, au titre de l’exploitation de l’installation.

Le gouvernement met en avant plusieurs arguments pour justifier cette suppression. D’abord, le rendement faible (19 miilions d’€ en 2016) de la taxe et sa baisse (la recette était de 25 M€ en 2014) en raison du passage d’un nombre important d’installations du régime d’autorisation à celui d’enregistrement, qui est non taxé. Ensuite, son caractère non incitatif. Les deux composantes se fondent « d’une part, sur les projets et, d’autre part, sur l’existence de l’installation et non sur les niveaux de pollution des installations soumises aux prélèvements », justifie l’exécutif. Ce dernier omet toutefois de préciser que des coefficients multiplicateurs sont censés prendre en compte les différents degrés de nuisances des installations pour la composante « exploitation » de la taxe. Celle-ci représente la majeure partie de son produit (17 M€).

Enfin, le gouvernement met en avant la charge administrative qui repose sur l’inspection des installations classées chargée du recouvrement de la taxe. Une tâche qui serait effectuée au détriment des activités de contrôle technique et d’instruction des demandes, qui constituent les missions principales de ce corps d’inspection.

 

https://reporterre.net/Le-gouvernement-supprime-la-taxe-sur-les-activites-polluantes-et-les

Partager cet article
Repost0
31 octobre 2017 2 31 /10 /octobre /2017 19:43
Une occasion pendant les vacances scolaires d'aller ramasser les châtaignes en famille dans la forêt régionale de Montgé en Goële
Une occasion pendant les vacances scolaires d'aller ramasser les châtaignes en famille dans la forêt régionale de Montgé en Goële
Partager cet article
Repost0
30 octobre 2017 1 30 /10 /octobre /2017 19:04

 

Paru sur le site Zero Waste France
27/10/ 2017
Abandon illégal de mâchefers d’incinération : la justice démêle un trafic en Ile-de-France

 

 

Par un jugement du 4 juillet 2017 , le Tribunal correctionnel de Paris a condamné plusieurs sociétés impliquées dans le dépôt illégal de 30 788 tonnes de mâchefer, à l’été 2012, sur un terrain agricole situé à Saint-Cyr-sur-Morin (77). L’occasion, en particulier grâce à une enquête policière permettant de tracer les relations financières croisées, de démêler le fonctionnement bien rôdé de ce trafic, organisé pour réduire les coûts au mépris de la réglementation environnementale.

NB : ce jugement a été frappé d'appel par les parties. Il y a lieu de considérer, en application de la présomption d'innocence, que les person
nes condamnées sont présumées innocentes jusqu'au prononcé éventuel de nouvelles condamnations en appel.

 

LES INCINÉRATEURS FONT DISPARAÎTRE TOUS LES DÉCHETS, NON ?

Faux !

Les mâchefers d’incinération (aussi appelés « MIDND ») sont des résidus issus de la combustion des déchets dans les incinérateurs ("le déchet du déchet"). Environ 20% des tonnages entrants ressortent des usi
nes sous cette forme, résidus dont l’industrie de l’incinération se vante peu auprès du grand public.

A l’échelle de la France, ce sont environ 
2.7 millions de tonnes qui sont produites chaque année (chiffres pour 2014) pour environ 14 millions de tonnes incinérées dans les 126 usines en fonctionnement. Le problème : il faut bien en faire quelque chose ! En l’occurrence, les mâchefers étaient issus de la plateforme d’Isles Les Meldeuses, aujourd’hui fermée, qui gérait à l’époque 270 000 tonnes de mâchefers issus des usines de Créteil, Bonneuil et Ivry sur Seine.


 

QUE FAIT-ON DES MÂCHEFERS ?

Les mâchefers sont d’abord envoyés vers des plateformes de « maturation », parfois implantées à proximité immédiate des incinérateurs, parfois construites de façon indépendante. Ils y sont stockés pendant quelques mois et arrosés afin de les décharger en polluants et les stabiliser. La réglementation, depuis un arrêté de 2011, soumet leur usage, en technique routière (remblais dans le BTP), au respect de seuils de divers polluants.

S’ils
ne respectent pas ces seuils, les mâchefers ne sont pas « valorisables » et doivent être envoyés en décharge « classique » (plus ou moins 300 000 tonnes chaque année), et ainsi payer le prix fort pour leur élimination (entre 80€ et 100€ la tonne, en fonction des prix du marché). Dans tous les cas, la gestion des mâchefers alourdit le « modèle économique », déjà très onéreux, de l’incinération et en particulier lorsqu’ils ne peuvent pas être utilisés en technique routière, puisque les exploitants d'usines doivent payer pour leur prise en charge par des prestataires.

Il arrive que les gestionnaires de mâchefers, afin d’éviter de payer cher pour leur élimination, préfèrent rémunérer certains repre
neurs pour les utiliser dans leurs travaux (lorsque les normes sont respectées) ou, parfois et comme dans cette affaire, les stocker sur des terrains en méconnaissance de la réglementation environnementale.

C’est dire le désespoir de l’industrie de l’incinération et de la gestion des mâchefers, qui cherche u
ne valeur ajoutée à des matériaux qui n'en ont aucune, et surtout tente de donner une bonne réputation à ses résidus à grand renfort de
 communiqué de presse, de guides ou de plaquettes publicitaires...


 

L’AFFAIRE DE SAINT-CYR

L’intrigue est à la fois simple dans sa réalisation, et complexe dans ses aspects financiers.

En 2012 et à l’occasion de travaux sur des chemins communaux, u
ne première société, « RTR groupe environnement », a signé un contrat pour l’occupation d’une parcelle d’un particulier (moyennant loyer), aux fins de nettoyage de la parcelle, décapage et remblaiement avec des terres spécifiées « non inertes non polluantes ». Jusque-là, rien à signaler.

Cette société a ensuite contracté avec u
ne deuxième société, un transporteur dénommé « VITRANS », lui mettant ce terrain à disposition.

Cette société « VITRANS » a quant à elle contracté avec u
ne troisième société, la « CIDEME » (filiale de TIRU, elle-même filiale d’EDF), spécialisée dans la gestion des mâchefers, et lui a commandé des mâchefers.

L’enquête démontrera que, bien que VITRANS ait officiellement payé u
ne somme pour l’achat des mâchefers (environ 120 000€), c’est surtout la CIDEME qui paiera un montant bien plus important, pour ce qui s’avère être une reprise bien arrangeante de 30 788 tonnes de mâchefers trop pollués (pour environ 437 000€ !). Bien plus arrangeante que de devoir payer plus de trois millions d’euros pour leur envoi en décharge.

C’est pourtant ce qui aurait dû être fait puisque l’enquête a démontré que les mâchefers n’avaient pas été utilisés dans les travaux routiers mais simplement enfouis dans un terrain à usage agricole, ce que savaient parfaitement les exploitants de l’époque au regard des e-mails échangés entre eux.

Lors des travaux, le caractère « douteux » de ces matières n’a pas manqué d’alerter immédiatement les riverains, qui ont constaté leur apparence bien éloignée de « terres non polluées », ainsi que des écoulements grisâtres le long de la parcelle.

Voilà un cas qui, bien que n’étant pas systématique dans le milieu, illustre u
ne difficulté criante et récurrente de l’industrie de l’incinération, qui a bien du mal à écouler ses résidus, encombrants, onéreux et polluants. Non contente de transformer la nature en décharge, elle a bien du mal à donner corps à son slogan de « zéro mise en décharge », pourtant inévitable après incinération des déchets.

Zero Waste France constate pourtant régulièrement les velléités de ce lobby d’assouplir la réglementation en vigueur, tout comme les demandes de faire sortir du statut de déchet les mâchefers d’incinération. Cette affaire démontre que cela est parfaitement inacceptable.

Le jugement est en attente d'anonymisation sur demande de la société TIRU - il sera publié prochainement.
 

LES CONDAMNATIONS (APPEL DU JUGEMENT EN COURS)

Les condamnations prononcées (jugement frappé d'appel par toutes les parties à l’exception de RTR à l’encontre de laquelle le jugement est définitif - ces parties sont présumées innocentes jusqu'à l'arrêt d'appel) :

RTR groupe environ
nement :

- tromperie, par personne morale, sur la nature, la qualité, l’origine ou la quantité d’une marchandise (amende de 50 000€)


- Exploitation non autorisée, par personne morale, d’une installation classée pour la protection de l’environnement (1 500€)

Le directeur d’exploitation de VITRAS :

- condamné avec sursis pour tromperie

- abandon ou dépôt illégal de déchets par producteur ou détenteur de déchets

SAS VITRANS :

- tromperie, par personne morale, sur la nature, la qualité, l’origine ou la quantité d’une marchandise

- abandon ou dépôt illégal de déchets par person
ne morale productrice ou détentrice de déchets (amende de 100 000€)


CIDEME : abandon ou dépôt illégal de déchets par person
ne morale productrice ou détentrice de déchets (200 000€).

Le tribunal a par ailleurs condamné à titre de peine complémentaire la société VITRANS et la société CIDEME à remettre le site en état le site, ce qui signifie qu’elles devront enlever à leurs frais les 30 000 tonnes de mâchefers entreposés sur ce terrain et les remplacer par de la terre végétale.

Quelques extraits croustillants du jugement :


 

Nord 77 St Cyr sur Morin : abandon illégal de mâchefers d'incinération
Nord 77 St Cyr sur Morin : abandon illégal de mâchefers d'incinération
Partager cet article
Repost0
30 octobre 2017 1 30 /10 /octobre /2017 11:55

 

 

Le site ICPE (1) du ministère de l’environnement répertorie les entreprises soumises au régime d’enregistrement ou autorisation.

 

Sur les 7 entreprises ayant subi un incendie ces 5 derniers mois

5 ne sont pas répertoriées sur ce site :

 

SFRM à Thorigny sur Marne, First Plast à Chelles, Frasnier à Compans,

Le Menu Dubreuil à Ozoir la Ferrière, Newrest à Mesnil Amelot

 

 

Pourquoi ?

 

Ce sont les entreprises soumises au régime de déclaration.

Des entreprises considérées par l’ETAT comme peut-être moins dangereuses.

 

 

 

Dans un rapport de 2015 du Conseil Général de l'Environnement et du Développement Durable CGEDD (2) nous apprenons : 

 - que 10 % de ces installations doivent faire réaliser un contrôle tous les 5 ans par un

organisme extérieur agréé par l’ETAT  mais que seulement 1/5 de ces installations s’y soumettraient

- Qu’aucune fréquence minimale d’inspection n’est fixée par l’ETAT

- Que la fréquence moyenne de contrôle de ces entreprises est comprise entre une fois tous les 90 ans et une fois tous les 100 ans.  

 

                                               Pourquoi si peu de contrôles ?

 

 

Le ministère de l’écologie ne donne pas les moyens humains nécessaires à ses services

pour réaliser régulièrement des contrôles dans ces entreprises.

 

En plus sur ce secteur du nord-ouest 77 les services de la DRIEE qui contrôlent ces installations sont en sous effectifs, depuis des décennies.

 

 

 

Les députés de ce secteur doivent demander à Nicolas Hulot des moyens humains  supplémentaires pour mieux protéger les riverains de ces installations.

 

 

 

 

Si vous souhaitez faire avancer ce dossier

nous vous conseillons de les contacter

il s’agit de :

 

Stéphanie DO

Jean Michel FAUVERGUE

Rodrigue KOUENDO

Tous trois du mouvement « En Marche »

 

 

 

 

 

 

(1) http://www.installationsclassees.developpement-durable.gouv.fr/rechercheICForm.php

(2)  p 32 http://www.modernisation.gouv.fr/sites/default/files/epp/epp_police-environnement_rapport.pdf

 

 

 

 

Incendie le dimanche 4/6/2017

dans un centre de compostage de déchets Frasnier

à Compans (77)

http://adenca.over-blog.com/2017/06/7eme-circonscription-de-seine-et-marne-village-rural-martyr-de-compans-feu-dans-une-entreprise-de-compostage-de-dechets-a-proximite

 

 Incendie le samedi 10/6/2017

dans l’imprimerie Rotofrance de Lognes

http://adenca.over-blog.com/2017/06/nord-ouest-77-incendie-rotofrance-dans-quel-etat-se-trouvait-l-installation-electrique-l-industriel-avait-il-respecte-la-mise-en-dem

 

Incendie jeudi 15/6/2017

dans l’imprimerie «  Le Menu Dubreuil » d’Ozoir la Ferrière

http://adenca.over-blog.com/2017/06/ozoir-la-ferriere-2eme-incendie-en-quelques-jours-dans-une-imprimerie-du-nord-ouest-77.html

 

 

Incendie le jeudi 13/7/2017

dans  l’entrepôt Nemrest de Mesnil Amelot

http://adenca.over-blog.com/2017/07/des-incendies-en-serie-dans-plusieurs-entreprises-au-nord-ouest-77-le-dernier-en-date-l-entrepot-newrest-a-mesnil-amelot.html

 

 

 

Incendie le samedi  30/7/ 2017

dans la décharge Veolia de Claye-Souilly (77)

 

http://adenca.over-blog.com/2017/07/incendie-samedi-et-dimanche-dans-la-decharge-veolia-claye-souilly-des-pompiers-de-4-casernes-deplaces-pour-eteindre-le-sinistre.html

 

 

 Incendie le vendredi 22/9/2017

dans l’entrepôt First Plast de Chelles (77)

http://adenca.over-blog.com/2017/09/apres-la-decharge-veolia-de-claye-souilly-c-est-aujourd-hui-un-grave-incendie-qui-s-est-declare-dans-la-zone-industrielle-de-chelles

 

 

 

 

   Paru dans Actu.fr :

 

Thorigny-sur-Marne. D’importants moyens déployés par les pompiers pour venir à bout de l’incendie d’entrepôt

 

Un violent incendie s'est déclaré, vendredi 27 octobre dans la soirée, dans un entrepôt de Thorigny-sur-Marne. Une enquête a été ouverte pour comprendre l'origine des flammes.

 

 

Publié le 28 Oct 17 à 10:49|Modifié le 28 Oct 17 à 10:49

 

 

Nord-Ouest 77 : Incendies en séries dans des entreprises depuis plusieurs mois, le dernier en date SFRM à Thorigny sur Marne  ce 27 octobre !

Illustration – 54 pompiers ont été déployés pour venir à bout de l’important incendie qui s’est déclaré dans un entrepôt de Thorigny-sur-Marne (©Franck Desprez / Sdis 77/archives)

 

 

 

 

Les pompiers ont mis plus de huit heures pour venir à bout des flammes. Un violent incendie dont l’origine n’est pour le moment pas déterminée s’est produit, ce vendredi 27 octobre dans la soirée, dans la commune de Thorigny-sur-Marne, dans le nord de la Seine-et-Marne. D’importants moyens ont été déployés par les soldats du feu pour intervenir dans un entrepôt de 1 500 m2, qui abrite la société SFRM.

 

Cinquante-quatre pompiers ont été mobilisés pour circonscrire l’incendie qui a finalement été maîtrisé vers 4 heures du matin. Une enquête a été ouverte par la police pour comprendre l’origine de l’incendie qui a touché cette société spécialisée, qui, sur Internet, indique proposer des équipements de manutention.

Ce samedi matin, les pompiers étaient toujours sur place et la police attendait le feu vert afin de pouvoir réaliser des prélèvements nécessaires dans le cadre des investigations, menées par le commissariat de Lagny-sur-Marne. Selon les forces de l’ordre, il n’y a pas eu de dégagement de produits toxiques et l’incendie n’a pas nécessité d’évacuation.

Fin septembre, un spectaculaire incendie avait déjà touché une entreprise dans le nord du département,dans la zone industrielle de la commune de Chelles.

 

 

https://actu.fr/ile-de-france/thorigny-sur-marne_77464/thorigny-sur-marne-dimportants-moyens-deployes-par-pompiers-venir-bout-lincendie-dentrepot_13194661.html

 

Partager cet article
Repost0
29 octobre 2017 7 29 /10 /octobre /2017 16:30
Pollution physico-chimique de la Beuvronne : presque tous les voyants au rouge indiquant une mauvaise qualité des eaux de cette rivière
Partager cet article
Repost0
29 octobre 2017 7 29 /10 /octobre /2017 14:59
Coucher de soleil à Ermenonville (Oise) près de la mer de sable
Partager cet article
Repost0
27 octobre 2017 5 27 /10 /octobre /2017 16:35

 

 

Le Conseil Régional IDF, au travers de son agence l'AEV, autorise, à partir de novembre 2017, la chasse dans la forêt régionale de Claye-Souilly.

 

Le lobby des chasseurs est bien représenté au sein du Conseil Régional pour le département de Seine et Marne, en la personne de Benoît Chevron, conseiller régional, administrateur de l'AEV et président de la fédération de chasse de Seine et Marne.

 

C'est Hervé Proffit qui est chargé de notre secteur au sein de la fédération des chasseurs du 77.

 

Pourquoi l'AEV

ne fournit pas à Adenca

la copie de la convention signée

entre elle et

la sté de chasse ?

 

Que nous cache-t-on ?

 

 

La seule information que notre association a pu obtenir de l'AEV est la suivante concernant les dates de chasse qui sont organisées le jeudi :

 

Claye lot 1 : 16/11, 07/12, 11 et 25/01, 08/02

Claye lot 2 : 30/11, 14/12, 18/01

 

Et après plusieurs demandes l'emplacement de ces lots,

 

Ironie du sort c'est à proximité des lotissements de Maupertuis de la Closerie, du Parc de la Prée et non loin du lotissement de Bois Fleuri et de la promenade de la Dhuis que sont organisées ces chasses,

 

Carte AEV  lot de chasse 1, entouré en rouge, lot de chasse 2 entouré en vert (fond vert pâle)

Carte AEV lot de chasse 1, entouré en rouge, lot de chasse 2 entouré en vert (fond vert pâle)

 

 

Pour tous renseignements complémentaires

nous vous conseillons de vous rapprocher

du maire de Claye-Souilly

Yves Albarello

 

du conseil municipal et conseiller régional

Julien Proffit

 

 

Partager cet article
Repost0
26 octobre 2017 4 26 /10 /octobre /2017 13:33

 

 

Né le 15/8/1975 à Ris Orangis (91)

 

Il est le fils de Xavier Dugoin  président du syndicat d’ordures de l’Essonne SIREDOM

 

 

Directeur Général des services à la mairie de Montereau-Fault-Yonne de 2004 à 2016.  

 

Maire de Mennecy depuis le 17 janvier 2011.

Adjoint au Maire de Mennecy délégué aux Finances et à l’Administration Générale (2008 – 2011).

Vice-Président de la Communauté de Communes du Val d’Essonne.

Administrateur de l’OPHLM Confluence Habitat

Membre du Conseil d’Administration de l’école de la 2ème chance de Seine-et-Marne

Conseiller Régional Ile de France depuis Décembre 2015 à Octobre 2017.

Président de l’Observatoire Régional des Déchets d’Île-de-France, l’ORDIF  Mars 2016 à Octobre 2017

Vice président du Conseil Régional IDF chargé de l’écologie depuis Octobre 2017

 

 

Membre du Conseil Syndical du SIARCE

Secrétaire Adjoint de l’AMIF (Association des Maires de l’Ile-de-France)

Délégué suppléant au SIREDOM (Syndicat Intercommunal pour le Recyclage et l’Energie par les Déchets et Ordures Ménagères)

 

Président de la Fédération de l’Essonne du Parti Radical Valoisien

Vice-président de la Fédération de l’Essonne de l’UDI  et Membre du Conseil National de l’UDI

 

 

 

 

Paru dans le Parisien 77 :

 

Les Dugoin, une histoire de famille

>Île-de-France & Oise > Essonne > Bouville|15 janvier 2011, 7h00|0

Demain, Xavier Dugoin remettra l'écharpe de maire de Mennecy à son propre fils, dix ans après l'avoir impliqué dans ses affaires politico-judiciaires. Une manière de se racheter ?

Le sacre du fils et… le pardon du père? Dix ans après avoir mêlé son fils à ses déboires judiciaires, Xavier Dugoin lui « offre » sa mairie. L'édile de Mennecy, 63 ans, a démissionné la semaine dernière de ses fonctions. Sauf surprise, Jean-Philippe Dugoin, 35 ans et actuel adjoint aux finances, succédera à son père dans le fauteuil de maire demain, à 9 heures, à l'issue d'un conseil extraordinaire.
Les mêmes intonations et les mêmes mimiques, le même rire un peu grinçant et un même talent pour la politique… la filiation est évidente entre les deux Dugoin. Pourtant, le fils n'a pas poussé dans l'ombre du père. Patron du conseil général et du RPR local, maire de Men
necy, sénateur, Xavier Dugoin est l'homme fort de l'Essonne dans les années 1990. Il contribue à lancer Franck Marlin, l'actuel maire d'Etampes, mais aussi de futurs ministres : Yves Jégo et Marie-Luce Penchard.
Mais son emploi du temps laisse peu de place à sa vie privée. Le père est absent. Jean-Philippe grandit chez sa mère — les parents sont séparés — à Bouville, près d'Etampes. « Je
ne suis pas très famille, reconnaît aujourd'hui Xavier Dugoin. C'est un fils que je n'ai pas élevé, mais j'ai beaucoup d'affection pour lui et une certaine admiration, comme j'en ai eu pour tous mes fils, génétiques comme politiques. »
En 2000, c'est la descente aux enfers. Abus de biens sociaux, emplois fictifs, Xavier est rattrapé par les affaires. Il lâche sa mairie de Men
necy et désigne — déjà — son fils Jean-Philippe, 25 ans alors, comme successeur. Une mise en orbite ratée. Inconnu, le garçon est battu avec 13,7% des voix au premier tour. Mais le principal coup de bâton tombe en 2001. Père et fils sont condamnés pour le vol de 1 200 bouteilles dans les caves du conseil général. Les faits s'étaient déroulés en 1998 : Jean-Philippe était venu prêter main-forte à ce père qu'il voyait pourtant si peu. Mal lui en a pris, il écope de quatre mois de prison avec sursis. « Peut-être la pire période de ma vie », analyse aujourd'hui Jean-Philippe, qui ajoute cependant : « C'est quand il était dans les emmerdes que, paradoxalement, j'ai retrouvé mon père. » Pendant que Xavier poursuit ses allers et retours devant les juges, Jean-Philippe entre au service d'Yves Jégo, à Montereau, en Seine-et-Marne. Il y est aujourd'hui le directeur général des services. Longtemps, il y utilisera le patronyme de sa mère, Clément, plutôt que celui de son père.
Aux élections municipales de 2008, Jean-Philippe figure sur la liste de son père pour la reconquête de Men
necy. Moins de trois ans plus tard, Xavier Dugoin passe la main à son fils. Une manière de se racheter? « Il se sent redevable envers lui pour les quatre mois de sursis », juge un observateur de la vie locale. Faux, rétorque Xavier Dugoin qui assure avoir choisi son fils parce qu'il est le meilleur de son équipe. « Jean-Phi connaît ses dossiers, il est plus raisonné que moi. Il est bon pour ça », affirme le sexagénaire qui désormais a une relation apaisée mais distante avec son fils. « Nous avons de bons rapports, mais ils sont essentiellement professionnels », résume Jean-Philippe, qui appelle son père Xavier. Jamais papa.


 http://www.leparisien.fr/bouville-91880/les-dugoin-une-histoire-de-famille-15-01-2011-1227717.php

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0

Recherche