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25 octobre 2017 3 25 /10 /octobre /2017 16:20
Eaux du centre d'épuration de Villeparisis se rejetant dans le ru des Grues

Eaux du centre d'épuration de Villeparisis se rejetant dans le ru des Grues

 

Le centre d’épuration commun à Villeparisis, Mitry-Mory et Claye-Souilly déverse depuis des années des eaux qui ne sont pas épurées correctement dans le ru Grues sans que les 3 communes concernées n’aient pris les mesures nécessaires pour sa remise en état, bien contentes de transférer en 2014 le poids de ce dossier à la communauté de communes Plaines et Monts de France. Une communauté de communes qui a dû faire face cette même année à la mise en demeure de la préfecture imposant la mise en conformité de ce centre d’épuration. Aujourd’hui le dossier a été transféré à la nouvelle communauté d’agglomération Roissy Porte de France, qui vient de recevoir une nouvelle mise en demeure.

 

 

En 2013  déjà il était constaté des déversements d’effluents non traités quasi journalier dans le ru des Grues aussi bien en temps de pluie qu’en temps sec

 

Par cette nouvelle mise en demeure on  apprend qu’en 2016 la station a  reçu une surcharge hydraulique de 55 %  qui a entraîné des rejets d’eaux non traitées dans le ru des Grues.

 

Les divers travaux et études imposés par la mise en demeure de 2014  n’ayant pas pu être réalisés dans les temps l’ETAT donne un délai supplémentaire pour leur réalisation.

 

Le bon fonctionnement de la station d’épuration par temps sec est repoussé de 2018 à 2021.

 

Quant au bon fonctionnement de la station par temps de pluie l’ETAT donne 15 ans pour réaliser les travaux soit jusqu’à 2032.

 

Bien qu’Adenca le demande depuis des années, aucuns points de contrôles fixes de la qualité des eaux n’avait été mis en place dans le ru des Grues, l’ETAT se décide enfin à imposer 4 points de contrôle de la qualité des eaux mais seulement  à partir de janvier 2018.

Quant a l’analyse des sédiments ce sera pour plus tard en 2019 (Arsenic, Mercure,Plomb…. PCB, hydrocarbures…)

 

 Extrait arrêté préfectoral  2017/DDT/SEPR/n°281 Les points de contrôles sont indiqués par une étoile

Extrait arrêté préfectoral 2017/DDT/SEPR/n°281 Les points de contrôles sont indiqués par une étoile

Car il faut savoir que les 3 communes de Claye-Souilly, Mitry-Mory et Villeparisis possèdent encore des secteurs où l’assainissement est unitaire (eaux usées et eaux pluviales ensemble).

 

Elles doivent effectuer les travaux pour les mettre en séparatif, ce qui permettra aux eaux pluviales de ne plus être dirigées vers la station d’épuration de Villeparisis.

 

Concernant notre commune de Claye-Souilly c’est le secteur de Bois Fleuri qui devrait être mis en séparatif.

 

Pourquoi la commune n’a-t-elle pas réalisée ces travaux afin de réduire la pollution du ru des Grues, l’affluent de la Beuvronne, qui se rejette  dans la Marne en amont proche du pompage d’eau d’Annet sur Marne qui vous fournit l’eau potable ?

 

Il semblerait que les élus aient préféré dépenser nos impôts pour fleurir encore et encore  la commune afin d’obtenir une récompense  dans un concours des villes et villages fleuris.

 

Vous compreniez mieux pourquoi votre eau potable est l’une des plus chères de Seine et Marne,

plus l’eau pompée dans la Marne est de mauvaise qualité, plus l’on doit la nettoyer et plus cela coûte cher.

 

 

c’est

Jean-Luc Servières

adjoint au maire de Claye-Souilly

 qui est en charge de ce dossier

au sein de la nouvelle communauté d’agglomération

 

 

 

Pour tous renseignements complémentaires nous vous conseillons de le contacter.

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24 octobre 2017 2 24 /10 /octobre /2017 13:13
Ecole primaire de St Mesmes au bord des champs cultivés par l'agriculture intensive

Ecole primaire de St Mesmes au bord des champs cultivés par l'agriculture intensive

Le député Rodrigue Kokouendo de la 7ème circonscription du 77 ne signe pas la tribune contre le pesticide « glyphosate » !

 

Une circonscription  couverte de champs cultivés par l’agriculture intensive où la Beuvronne est l’une des rivières les plus polluées de Seine et Marne par les pesticides, où il a été retrouvé  récemment de l’atrazine (pesticide interdit depuis 2001)  dans l’eau potable  de Gressy, Messy, Charny, Charmentray….,

Une circonscription ou plusieurs écoles primaires ont été implantées au bord des champs cultivés par l’agriculture intensive : St Mesmes, Fresnes sur Marne

 

Ironie du sort le député LREM de cette circonscription, Rodrigue KOKOUENDO ne signe pas la tribune contre le pesticide « glyphosate ».

 

Un député qui n’accepte pas de recevoir Adenca qui travaille sur la santé et l’environnement.

 

La question du jour :

 

Rodrigue Kokouendo est-il plus à l’écoute du lobby agricole que des associations qui défendent la santé et l’environnement ?

 

A vous de répondre.

 

 

 

 

Paru dans Libération :
54 députés LREM montent au front contre le glyphosate

Par LIBERATION — 22 octobre 2017 à 17:01

 

Une cinquantaine de parlementaires de la majorité réclame l'interdiction «le plus rapidement possible» du pesticide, dans une tribune publiée dans le Monde.

 

Alors que le vote à Bruxelles sur le renouvellement de l’autorisation du glyphosate dans l’Union européenne doit intervenir le 25 octobre, 54 députés de La République en marche signent une tribune dans le Monde ce dimanche pour réclamer «une interdiction de la commercialisation du glyphosate et de son utilisation le plus rapidement possible»«Nous estimons que ce produit nocif, aujourd’hui largement utilisé, doit être abandonné», justifient les parlementaires.

La Commission européenne propose que soit prolongée pour dix ans la licence de cette substance, classée cancérogène probable pour l’homme et qui est notamment contenue dans l’herbicide le plus vendu au monde, le Roundup de Monsanto. Si la France a annoncé qu’elle voterait contre cette proposition, elle ne s’est jamais prononcée avec clarté sur une date précise. Or les signataires, issus de la majorité, évoquent une «urgence», et disent attendre «aujourd’hui une prise de conscience et de responsabilité forte de notre pays».

Une promesse de campagne

Il faut «voter contre pour notre planète : ces substances n’affectent pas uniquement les mauvaises herbes contre lesquelles on les utilise. Le glyphosate perturbe la vie des sols sauvages, aquatiques, la biodiversité et met en péril tout notre écosystème», explique le texte des élus.

 

Le député Rodrigue Kokouendo de la 7ème circonscription du 77 ne signe pas la tribune contre le pesticide « glyphosate » !
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22 octobre 2017 7 22 /10 /octobre /2017 21:00

 

Nous apprenons que Chantal Jouanno vient de démissionner de la vice présidence à l'écologie du Conseil Régional d'IDF.

 

C'était elle qui était chargée de mettre en place le futur Plan Déchets d'Ile de France.

 

Pour mémoire elle n'a jamais répondu à nos e.mail et courrier.

 

Elle ne nous a pas permis de participer à la concertation du futur plan déchets et n'a d'ailleurs invité à cette concertation aucunes associations environnementales du 77, le département le plus impacté d'IDF par les ordures des autres.

 

Elle n'a pas accepté de recevoir 3 associations environnementales du 77 qui le lui demandaient.

 

Souhaitons que son successeur Jean-Philippe Dugoin-Clément (UDI), élu de l'Essonne, soit plus à l'écoute des populations de Seine et Marne.
 

 

Paru dans France 3 Paris Ile de France :

 

Chantal Jouanno, dernier entretien avant de fermer totalement la page de sa vie politique

© Patrick Kovarik/AFP Photos

 

Ancienne ministre, Chantal Jouanno aura passé une quinzaine d'années dans le monde politique. Elle quitte ces jours-ci totalement la politique en mettant fin au dernier mandat qu'elle occupait, celui de conseillère régionale (UDI) d'Ile-de-France. Entretien.

Par Christian Meyze

Publié le 28/09/2017 à 15:57

Sa démission du Conseil régional d'Ile-de-France sera effective à la fin septembre 2017. L'ancienne ministre des sports, ancienne secrétaire d'Etat chargée de l'écologie auprès de Jean-Louis Borloo au moment de la négociation du "Grenelle de l'environnement", a décidé de quitter la vie politique.

Chantal Jouanno, qui a longtemps été une championne de judo maintes fois titrée, avait aussi pris soin de mettre sur son parcours une maîtrise d'administration économique et sociale, un diplôme de Sciences politique et un cursus de l'ENA. Autant dire qu'elle sait faire beaucoup de choses. Depuis 2002, elle s'était laissée tenter par la politique, dans le sillage de Nicolas Sarkozy, qu'elle a suivi tant dans les Hauts-de-Seine qu'au ministère de l'intérieur puis à l'Elysée.

Un temps sénatrice de Paris, elle était encore conseillère régionale d'Ile-de-France. Au total ce sont environ quinze ans passés dans la politique auquels elle a décidé de mettre fin. Chantal Jouanno va désormais rejoindre une entreprise du secteur privé. Auparavant, elle a accordé un dernier entretien à William Van Qui et Morgane Prévost avec qui elle est revenue sur ce parcours.

 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/paris/chantal-jouanno-dernier-entretien-fermer-totalement-page-sa-vie-politique-1336607.html

 

 

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20 octobre 2017 5 20 /10 /octobre /2017 21:08
Châtaignes de la forêt régionale de Montgé en Goële

Châtaignes de la forêt régionale de Montgé en Goële

 

La majorité de la forêt régionale de Montgé en Goële appartient aux contribuables d'Ile de France, elle est gérée par le Conseil Régional d'IDF au travers de l'AEV.

 

L'industriel Knauf souhaiterait exploiter une carrière de gypse à ciel ouvert dans cette forêt, c'est-à-dire détruire la forêt puis remblayer ensuite avec des déchets "dits inertes".

 

Il ne pourra le faire sans l'accord de Valérie Pécresse et des élus de la région.

 

Car ce sont eux qui doivent lui donner le "droit de fortage", c'est-à-dire de creuser pour récupérer le gypse.

 

Deux options peuvent être envisagées : creuser en souterrain comme sous la forêt de Montmorency ou creuser à ciel ouvert en détruisant la forêt.

 

L'industriel Knauf pourrait laisser le sol aux habitants et creuser en souterrain, mais il veut tout le sol et le sous sol.

 

Valérie Pécresse

est bien muette dans ce dossier

et

c'est ce qui nous inquiète.

 

 

Valérie Pécresse va-t-elle céder aux demandes de l'industriel et priver le petit peuple de Montgé en Goële et environs de ce plaisir simple de venir ramasser des kilos de châtaignes pour les déguster ensuite  entre amis ?

 

 

L'avenir nous le dira....

 

 

 

 

Paru dans Mag Journal 77 :

 

Montgé-en-Goële ► Ils ont grillé 50 kilos de châtaignes à la fête
20OCT2017 Isabelle Derock

Avec « le goûter de châtaignes » proposé par Montgé-Sports-Loisirs (MSL), le foyer rural de Montgé-en-Goële a pris un air de fête durant le week-end du 14 et 15 octobre.

Nougat et barbe à papa, pomme d’amour et pop corn, châtaignes grillées et crêpes au chocolat, manèges et poissons rouges… Comme chaque année, les bénévoles de Montgé-Sports-Loisirs, présidé par Isabelle Guerroudj, ont préparé l’arrivée de la fête foraine en s’assurant qu’il y ait des animations autour des manèges.« Nos équipes ont ramassé les châtaignes dans la forêt de Montgé. Nous avons plus de 50 kg de châtaignes à griller » explique Isabelle.

En plus des attractions traditionnelles comme le tir au fusil, la pêche aux canards ou la vente de barbe à papa, les enfants ont pu glisser dans une structure gonflable, sauter dans un Bungy Trampoline ou encore tirer à l’arc : « C’est une nouveauté : nous avons aménagé un espace tir à l’arc sur le cours de tennis. Grâce aux Archers de Saint-Mard, les enfants et les adultes pourront s’initier à ce sport. L’animation semble plaire » constate Isabelle.

Pendant que la présidente et un bénévole, Franck s’affairent à griller les châtaignes, David et Sylvie ont géré le coin crêpes : « Sylvie a préparé quatre litres de pâte à crêpe. Les crêpes ça marche toujours surtout quand elles sont bonnes » constate fièrement David, vice président de MSL.

Comme chaque année, la municipalité a distribué au préalable trois tickets de manège aux enfants de moins de 16 ans : « L'animation a lieu tous les ans, elle est très appréciée » reconnaît Pascal Hiraux, le maire. Dans le cadre du regroupement pédagogique intercommunal, les communes de Vinantes et Cuisy se sont associées à l’événement en offrant également des tickets gratuits aux écoliers de leurs communes respectives.

http://www.magjournal77.fr/montge-goele-ils-ont-grille-50-kilos-de-chataignes-a-la-fete/#4ixaVkg2vjibswaT.99


 


 

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19 octobre 2017 4 19 /10 /octobre /2017 10:50

 

 

OBSERVATOIRE REGIONAL DE SANTE D’IDF

 

Questions de santé avril 2017

http://www.ors-idf.org/dmdocuments/2017/2017_QuestionDeSante_versionWEB.pdf

C'est en Seine et Marne que les hommes meurent le plus par maladie respiratoire d'IDF !
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18 octobre 2017 3 18 /10 /octobre /2017 20:28

 

 

OBSERVATOIRE REGIONAL DE SANTE D’IDF

 

Questions de santé avril 2017

http://www.ors-idf.org/dmdocuments/2017/2017_QuestionDeSante_versionWEB.pdf

C'est en Seine et Marne que les femmes meurent le plus par maladie de l'appareil respiratoire d'IDF!
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17 octobre 2017 2 17 /10 /octobre /2017 14:19

 

Après la cessation en 2006 de l'activité de traitement de métaux et matières plastiques de Wabco il a été découvert une pollution des sols et de la nappe phréatique, cette pollution a fait l'objet d'une inscription dans la base Basol (1) des sites pollués français,

 

Depuis cette entreprise fait l'objet d'une surveillance des services de la préfecture.

 

C'est sur ce site que

Monsieur le Maire de Claye-Souilly

prévoit d'implanter une crèche

 

 

Comment Yves Albarello

prévoit-il de faire dépolluer ce site ?

 

Claye-Souilly

ne possède-t-elle pas un terrain plus sain

pour implanter une crèche ?

 

A toutes ces questions nous n'avons pas de réponses

 

 

Pour plus d'informations

 nous vous conseillons de vous rapprocher

de

Yves Albarello

Maire de Claye-Souilly

et des conseillers municipaux de cette commune

(1) http://basol.developpement-durable.gouv.fr/fiche.php?page=1&index_sp=77.0152

 

Caractérisation du site à la date du 23/01/2015

 

Paru dans le journal la Marne :
Claye-Souilly. Quel avenir pour Wabco?

Et si un nouveau quartier remplaçait Wabco? En cas de départ définitif de l'entreprise, le maire espère que des habitations et des services la remplacent.

Publié le 12 Oct 17 à 14:23|Modifié le 12 Oct 17 à 14:25

Pour le maire, il est hors de question que Wabco devienne une friche industrielle. (©La Marne)

« Je ne veux surtout pas que cela soit une verrue. » Le maire de Claye-Souilly, Yves Albarello (LR), craint que le site de Wabco ne devienne une friche et qu’il dénature une des sorties de la commune. En septembre 2015, l’entreprise a annoncé un plan social réduisant de manière très significative le nombre de ses employés à Claye-Souilly. « À la fin de l’année, l’entreprise pourrait être vide. Je crains qu’elle ne devienne un squat », lâche l’élu local. « Je doute qu’une autre entreprise ne s’installe dans les locaux. Cela me semble très compliqué. »

Il faudra démolir les bâtiments et dépolluer le site.

Il réaffirme donc son envie que Wabco soit remplacé par un quartier mêlant habitations, commerces et services. « Un quartier avec une crèche, une résidence seniors ou encore une pépinière d’entreprises », suggère-t-il. « Je veux surtout que le quartier soit une continuité de la ville. »

Yves Albarello reconnaît que son idée de nouveau quartier coûtera cher pour l’investisseur. « Il faudra démolir les bâtiments et dépolluer le site. C’est très compliqué et très long. Mais il faudra aller vite, car avec le temps, le terrain pourra se déprécier. »

 

https://actu.fr/ile-de-france/claye-souilly_77118/quel-avenir-wabco_12975553.html

 

 

 

 

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16 octobre 2017 1 16 /10 /octobre /2017 14:53
WIPELEC POMPONNE :   Des riverains dans l'angoisse  qui réclament depuis plusieurs années  la mise en sécurité du site

 

 

 

WIPELEC POMPONNE

 

Des riverains dans l'angoisse

qui réclament depuis plusieurs années

la mise en sécurité du site

 

 

L'affaire Wipelec ne cesse d'avoir des ramifications sur 3 sites de l'Est Parisien, après Romainville et Meaux ( près d'une crèche), c'est aujourd'hui à Pomponne que l'ETAT va faire réaliser  des analyses  de l'air ambiant dans les  maisons riveraines de l'usine.

 

Une fois de plus ce sont les contribuables qui vont payer ces analyses et non l'industriel pollueur Wipelec qui, depuis plusieurs années, ne donne pas suite aux diverses mises en demeure de la préfecture.

 

 

 

Pour toutes informations complémentaires

nous vous conseillons de vous rapprocher

du député de cette circonscription

Rodrigue KOKOUENDO


 

Paru sur le site BASOL :

WIPELEC: 
16, rue Eugène Gaudineau

77 POMPONNE


L'activité de la société WIPELEC consistait à fabriquer des pièces de grande précision pour l'industrie de l'électronique.
Cette activité peut se décomposer en deux secteurs :
- découpe chimique,
- traitement de surface.

En juillet 2012, la société WIPELEC a transmis à Madame la Préfète de Seine-et-Marne le mémoire de cessation d'activité du site de POMPONNE.

Description qualitative :
Par arrêté préfectoral en date du 23 février 1999, la société WIPELEC devait réaliser un diagnostic initial et une évaluation simplifiée des risques pour son établissement.

Un arrêté préfectoral complémentaire relatif à la surveillance des eaux souterraines a été pris en date du 7 juillet 2004.

Les résultats de la surveillance n'ont pas appelé d'actions particulières.

Suite à l'arrêt des activités du site, le repli définitif des installations techniques et le nettoyage du site étaient prévus pour fin septembre 2012.

L’inspection du 3 décembre 2013 a mis en évidence que l'exploitant n’avait pas pris toutes les dispositions pour mettre en sécurité le site (trous dans la clôture, déchets et produits présents sur le site...). Dans ce contexte, un arrêté préfectoral de mesures d’urgence imposant la mise en œuvre de mesures visant à mettre en sécurité le site et à transmettre un rapport explicitant les mesures prises et comportant tous les justificatifs nécessaires a été signé le 8 janvier 2014. 

Concernant l'usage futur du site et sa réhabilitation, dans son mémoire transmis le 9 juillet 2012, la société WIPELEC indique que compte tenu des résultats de la surveillance des eaux souterraines au droit du site réalisée jusqu'en 2011, il n'est pas nécessaire de procéder à de nouvelles investigations. 

Toutefois, au vu des anciennes activités exercées par la société WIPELEC mettant en œuvre des produits chimiques destinés notamment à l'activité de traitement de surfaces, des conditions de stockage et de manipulation des produits et de l'incendie ayant eu lieu en 2012, de la situation du site à proximité d’habitations et de la Marne, l'arrêté préfectoral complémentaire du 28 mars 2014 impose à l'exploitant de réaliser des investigations complémentaires dans les sols (y compris gaz du sol) et les eaux souterraines et d'appréhender l’état des pollutions des milieux et des voies d’exposition aux pollutions au regard des activités et des usages constatés.

La visite d'inspection réalisée le 13 février 2014 a permis de constater que le site n'avait pas totalement été mis en sécurité. Un arrêté préfectoral de mise en demeure imposant à l'exploitant de respecter l'arrêté préfectoral de mesures d'urgence du 8 janvier 2014 a été signé le 3 avril 2014.

En l'absence d'information ou de justification et suite à une intrusion sur le site, une nouvelle visite d'inspection a été diligentée le 3 mars 2015. Cette visite a permis de constater que le site n'était toujours pas mis en sécurité malgré la condamnation des accès, les produits chimiques et déchets n'étant pas évacués. Aussi, pour le non respect de la mise en demeure signée en date du 3 avril, il a été décidé par arrêté préfectoral du 13 mai 2015 de prendre à l'encontre de la société WIPELEC des sanctions administratives sous la forme d'astreinte journalière jusqu'à satisfaction de la mise en demeure. Un arrêté de mise en demeure imposant à l'exploitant de respecter l'arrêté préfectoral complémentaire du 28 mars 2014 pour la réalisation d'un diagnostic de l'état des sols a également été pris en date du 13 mai 2015.

Le 11 mars 2016, la mairie de Pomponne a alerté la DRIEE de l'occupation du site par les gens du voyage. Un arrêté préfectoral d'expulsion a été pris. Les forces de l'ordre ont évacué les caravanes le 15 mars 2016.

Une nouvelle visite d'inspection a été réalisée le 30 mai 2016, à la suite de laquelle l'exploitant s'est engagé à mettre en sécurité le site et réaliser le diagnostic de l'état des milieux d'ici fin septembre 2016.

Devant la persistance de la non mise en sécurité du site, de nouvelles sanctions administratives ont été prises à l'encontre de l'exploitant par arrêté préfectoral du 13 février 2017 consistant à une consignation de sommes répondant du coût de l'évacuation et du traitement des déchets encore présents sur site d'une part et de la réalisation d'un diagnostic de l'état des milieux d'autre part.


Suite à des plaintes de riverains, des analyses de l'air ambiant dans les habitations riveraines ont été mandatées par l’État en octobre 2017 à un laboratoire compétent.

 

http://basol.developpement-durable.gouv.fr/fiche.php?page=5&index_sp=77.0026

 

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16 octobre 2017 1 16 /10 /octobre /2017 09:26
Montgé en Goële les communs du château de St Thibault en état de délabrement

Montgé en Goële les communs du château de St Thibault en état de délabrement

 

 

 

 

Ce sont les seuls vestiges qui restent du château construit au 19ème siècle, résidence secondaire des banquiers d’Eitchal.    

 

Depuis des années les communs du château se détériorent sans que le Conseil Régional d’Ile de France ne décide d’engager des travaux. 

 

Dans l’article qui suit, vous trouverez l’histoire de ce site :

http://adenca.over-blog.com/2017/05/foret-regionale-de-montge-en-goele-une-destruction-annoncee-qui-pourrait-ruiner-les-riverains.html

 

Ce patrimoine doit être conservé en mémoire du Baron André d’Eitchal, maire de Montgé en Goële de 1919 à 1929, qui oeuvra pendant de nombreuses années pour le soutien aux blessés militaires et pour l’assistance des populations des régions sinistrés par la 1ère guerre mondiale.

C’est son épouse Madeleine qui fit planter la magnifique allée de platanes qui subsiste

encore aujourd’hui.

 

http://adenca.over-blog.com/2017/05/nord-ouest-77-foret-regionale-de-montge-en-goele-un-banquier-d-origine-allemande-la-protegea-un-industriel-allemand-veut-la-detruire

 

 

 

 

 

Paru sur le site du Conseil Régional IDF:

 

06 juil. 2017

François-Xavier Chauvet

Bientôt un label régional pour le patrimoine

 

La Région va renforcer son soutien au patrimoine francilien. Les aides vont être simplifiées et étendues, tandis qu'un label « Patrimoine d'intérêt régional » va être créé. Près de 6 M€, soit un budget doublé par rapport à 2016, seront mobilisés.

 

Le patrimoine francilien est générateur de ressources économiques et d'emplois. Il contribue à faire de l'Île-de-France la 1re destination touristique du monde. C'est aussi un facteur d'appropriation du territoire par ses habitants. Afin de contribuer à l'attractivité touristique, la Région entend être un acteur incontournable du patrimoine et de sa valorisation à travers plusieurs mesures.

1. Un nouveau label régional pour soutenir le patrimoine non protégé

C'est la grande nouveauté. La Région va désormais protéger et préserver le patrimoine francilien (entretien et rénovation) qui n'est ni classé, ni inscrit au titre des Monuments historiques. Alors qu'il s'agit de bâtiments bénéficiant de moins d'aides publiques, ils participent tout autant à la qualité du paysage francilien. Sont éligibles les musées franciliens, les maisons et ateliers d'artistes tels que l'atelier Vasarely à (Annet-sur-Marne, 77) mais aussi le petit patrimoine que sont les lavoirs et les fontaines. Un nouveau label « Patrimoine d'intérêt régional » va être créé à cette fin.

 …..

https://www.iledefrance.fr/fil-presidence/bientot-label-regional-patrimoine

 

 

   

  Aidez-nous à protéger ce patrimoine

 

en contactant 

vos conseillers régionaux

 

 

 

 

 

Mme Anne CHAIN-LARCHÉ (LR) Maire St Denis les Rebais, vice présidente du Conseil Régional chargée de la ruralité et de l’agriculture

Mme Marie-Pierre Badré (LR) Adjointe au Maire de Couilly Pont aux Dames

M. Gilles Battail (LR) Maire deDammarie les Lys

M. Joffrey BOLLÉE (FN)

M. Pierre CHERRIER (FN) de la Celle St Cloud (92)

M. James CHERON (UDI) Adjoint au maire de Montereau Fault Yonne

Mme Aurélie COURNET (FN) de Paris

M. Gilbert CUZOU (PS) de Paris

M. Benoît CHEVRON (LR) de Villiers St Georges, Président de la Fédération Départementale des Chasseurs

M. Bertrand DUTHEIL DE LA ROCHERE (FN)

Mme Sylvie FUCHS (FDG) Conseillère municipale de Roissy en Brie

M. François Kalfon (PS ) Conseiller municipal Melun

M. Éric Jeunemaître (LR) Adjoint au maire de Provins

Mme Sylvie MONCHECOURT (UDI) Maire de Montigny sur Loing

Mme Laure-Agnès MOLLARD-CADIX (UDI) Conseillère municipale de Combs la Ville

Mme Bénédicte MONVILLE de CECCO Conseillère municipale de Melun

M. Jean-Paul Planchou (PS ) Ancien maire de Chelles

M. Julien PROFFIT (LR) Conseiller Municipal de Claye-Souilly

Mme Hamida Rezeg (LR) Adjointe au maire de Meaux

MmeRoseline Sarkissian (PS) Conseillère municipale de Fontainebleau

Membre de la commission Environnement, aménagement du territoire

Mme Thomas Claudine (LR) Adjointe au maire de Chelles

Mme Béatrice TROUSSARD (FN) conseillère municipale de Chelles

M. Frédéric Valletoux (LR) Maire de Fontainebleau

Mme Thi Hong Chau VAN (CD) Adjointe au maire de Bussy Saint Georges

 

 

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13 octobre 2017 5 13 /10 /octobre /2017 10:26

 

Paru sur le site Robin des Bois :

 

 

PRÉSERVER 893 ENFANTS ET 17 OUVRIERS

5 oct. 2017

 

A Montreuil, Seine-Saint-Denis, l’école élémentaire Jules Ferry (I et II) héberge 562 enfants âgés de 6 à 11 ans. Sa création est antérieure à celle de l’usine.

Dans une erreur manifeste d’aménagement urbain, l’usine s’est installée à partir des années 70 à 50 m de l’école. Aujourd’hui, l’usine est vétuste et confrontée à des difficultés financières insurmontables. La SNEM (Société Nouvelle d’Eugénisation des Métaux) met en œuvre des produits toxiques exposant ses salariés à des risques sanitaires aigus ou chroniques. La SNEM assure la finition de pièces métalliques pour l’industrie aéronautique. Son principal donneur d’ordres serait Airbus. Il est étonnant qu’un groupe aéronautique européen ait recours à un façonnier sans lui donner les moyens de travailler dans des conditions et des locaux appropriés. La SNEM, pour perdurer, doit être transférée dans une zone industrielle et dans des ateliers modernes.

Il est malheureusement bien connu par les services de l’Etat et par l’ADEME que cette catégorie d’établissements vieillissants a produit par dizaines, ces dernières années, des sites pollués et polluants abandonnant sur place après des faillites généralement discrètes des centaines de tonnes de déchets liquides acides et pour certains cancérogènes. Le démantèlement, l’assainissement et le suivi d’un ex-atelier de traitement de surface de métaux de la taille de la SNEM revient en moyenne à 500.000 € si l’opération est partielle et différée et à 3 millions d’euros si elle est complète et intègre la dépollution des eaux souterraines.

L’inspection des Installations Classées pour la Protection de l’Environnement sait que la SNEM n’a aucun avenir là où elle est située et avec l’outil de travail tel qu’il est. Robin des Bois demande la fermeture organisée et anticipée de la SNEM à Montreuil.

Pour autant, la fermeture de la SNEM ne doit pas effacer du tableau noir toutes les légitimes inquiétudes des enseignants et des parents d’élèves des écoles à proximité.

Robin des Bois souhaite qu’un diagnostic comparable à ceux qui ont été diligentés par le ministère de l’Ecologie dans les établissements scolaires bâtis sur ou à proximité de sites pollués historiques soit effectué en priorité dans les écoles élémentaires Jules Ferry I et II. Le périmètre de ce diagnostic-type inclut le milieu sol (sols superficiels, bandes enherbées et autres espaces verts, éventuels jardins pédagogiques), le milieu air (vides sanitaires, salles de repos, salles de classe, locaux administratifs, éventuels logements de fonction) et le milieu eau (eau du robinet dans les lieux sanitaires et de restauration). Les diagnostics durent plusieurs semaines ou plusieurs mois si nécessaire.

Il est probable qu’en 45 ans d’activité et de négligences constatées, la SNEM par ses émissions atmosphériques diffuses et canalisées, par la mauvaise gestion des déchets et par la dispersion de rejets liquides mal collectés ait marqué de son empreinte les écoles élémentaires Jules Ferry I et II et que des actions de remédiation soient nécessaires.

S’agissant d’un site ayant mis en œuvre du cadmium, des cyanures, du mercure, du chrome hexavalent et du perchloroéthylène, Robin des Bois estime que le diagnostic pourrait être utilement étendu aux écoles maternelles Jules Ferry et Anne Frank ainsi qu’aux domiciles privés mitoyens ou à proximité immédiate du site industriel.

 

Voir aussi :
Votre école est-elle toxique ?, 18 septembre 2017

https://www.robindesbois.org/preserver-893-enfants-et-17-ouvriers/

 

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