Extraits du rapport d'inspection
lien vers l'inspection complète
https://www.georisques.gouv.fr/risques/installations/donnees/details/0006506576
ADENCA
Association de Défense de l'ENvironnement de Claye-Souilly et ses Alentours
"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le
mal,
mais par ceux qui les regardent agir et qui refusent d'intervenir."
Albert Einstein
Extraits du rapport d'inspection
lien vers l'inspection complète
https://www.georisques.gouv.fr/risques/installations/donnees/details/0006506576
Lors de la dernière commission de suivi de site du 15 novembre une représentante d’association a demandé si la CSS était enregistrée, le sous Préfet Nicolas Honoré l’a confirmé, ce que nous ne savions pas.
Elle a demandé si les participants pourraient obtenir une copie de l'enregistrement, ce qui a été répondu par la négative.
Quand au compte-rendu il est établi par le secrétariat de la sous Préfecture de Meaux sans validation par les associations environnementales.
Car Il faut savoir également que comme celle de Terzeo Villenoy cette CSS ne dispose pas d’un règlement intérieur, alors que la majorité des CSS d’autres départements d’IDF en bénéficie.
Ce règlement intérieur n’est pas obligatoire, c’est au bon vouloir du Préfet.
Par exemple dans les Yvelines l’article 8 du règlement intérieur d'une CSS permet aux associations de faire part de leurs observations comme vous pouvez le constater :
Un manque de transparence ?
A vous de juger
Extraits du rapport d'inspection
Lien vers le rapport complet https://www.georisques.gouv.fr/risques/installations/donnees/details/0006513537
Pour compléter lien vers l'excellent article, très documenté
du blog "Le Marneux"
http://www.lemarneux.fr/2023/11/zone-industrielle-de-chelles-et-le-ru-qui-pue.html
A l’invitation de François-Claude Plaisant, sous Préfet de Torcy, les membres du bureau de la CSS se sont réunis à la sous préfecture le 27 novembre, en présence de Magali Daverton, sous Préfète du Raincy.
Cette réunion était organisée dans le but de préparer la CSS de Fort de Vaujours prévue le 6 décembre prochain.
Elle a permis aux associations de préciser les points particuliers sur lesquels elles souhaitaient obtenir des informations de l’exploitant.
Une réunion que les associations environnementales souhaitent voir se renouveler avant chaque CSS.
Lors de la dernière commission de suivi de site du 9 novembre une représentante d’association a demandé si la CSS était enregistrée, le sous Préfet Nicolas Honoré l’a confirmé, ce que nous ne savions pas.
Elle a demandé si les participants pourraient obtenir une copie de l'enregistrement, ce qui a été répondu par la négative.
Quand au compte-rendu il est établi par le secrétariat de la sous Préfecture de Meaux sans validation par les associations environnementales.
Car Il faut savoir également que cette CSS ne dispose pas d’un règlement intérieur, alors que la majorité des CSS d’autres départements d’IDF en bénéficie.
Ce règlement intérieur n’est pas obligatoire, c’est au bon vouloir du Préfet.
Par exemple dans les Yvelines l’article 8 du règlement intérieur d'une CSS permet aux associations de faire part de leurs observations comme vous pouvez le constater :
Un manque de transparence ?
A vous de juger
Extraits du rapport d'inspection
Lien vers le rapport complet
https://www.georisques.gouv.fr/risques/installations/donnees/details/0006515900
Extraits du rapport d'inspection
Lien vers le rapport complet
https://www.georisques.gouv.fr/risques/installations/donnees/details/0006517591
La Martinique ne dispose pas de décharge qui peut « accueillir » les déchets à radioactivité naturelle renforcée, alors il faut bien les envoyer quelque part, Villeparisis est l’un des réceptacles de ces déchets.
Il s’agit de centres volantes issues de l’entreprise ALBIOMA Galion.
Le tonnage reçu est passé de 23 tonnes en 2020 à 1156 tonnes en 2022.
Pour comparaison Villeparisis a reçu en 2022 : 5.85 tonnes de déchets à radioactivité naturelle renforcée en provenance de Seine et Marne soit une infime partie des déchets de ce type (0.09%).
Rapport de 2022 du Sénat sur la gestion des déchets dans les Outre-mer
https://www.senat.fr/rap/r22-195/r22-195_mono.html#toc37
Paru sur France TV Info Martinique :
Un séminaire grand public intitulé : ressources ou ordures ? Regards croisés sur les déchets, se tient sur le campus de Schœlcher à l’Université des Antilles (18 avril). Pendant la journée, les experts échangent avec le public sur les enjeux qui empêchent la Martinique d’être meilleure en matière de recyclage et de gestion des déchets.
Caroline Popovic • Publié le 18 avril 2023 à 17h00
Un rapport sénatorial d’information sur la gestion des déchets dans les Outre-mer est déposé fin 2022. Les sénatrices, Gisele Jourda et Vivianne Malet, chargées d’une mission spéciale, constatent des dysfonctionnements et des lacunes dans le traitement des ordures à la Martinique.
La Martinique est le seul DROM (Département et région d’outre-mer) doté d'une unité d'incinération. Selon le rapport, cette infrastructure aujourd’hui vieillissante, n’est pas bien exploitée. Faute d’investissement programmé, cet outil "connaît de nombreux arrêts techniques qui se répercutent sur l'ensemble de la chaîne de traitement des déchets."
Seule la création d'une troisième ligne au sein de l'unité d'incinération pour consommer des CSR (combustibles solides de récupération) peut permettre la valorisation de certains types de déchets.
La mise aux normes des installations représente un investissement de 80 millions d'euros.
Aujourd’hui les ISDND (installations de stockage de déchets non dangereux) comme à Céron (Sainte-Luce) où les déchets sont enfouis, sont saturées et doivent être mis en conformité.
L'enfouissement est le premier mode de traitement des déchets en Martinique.
Les Martiniquais ne trient pas assez
À la Martinique, la production de déchets par habitant est supérieure à la moyenne nationale or les taux de recyclages sont insuffisants.
Pour inciter la population à faire le tri, le rapport sénatorial préconise la mise en place de déchetteries mobiles et le développement des collectes dans les zones éloignées.
Trop de véhicules hors d’usage dans la nature
En 2015, le député Serge Letchimy, estim qu’il y a 65.000 véhicules abandonnés en Martinique qui ne sont pas dans les centres agréés. Les conséquences sont graves pour le territoire. Les sols et les cours d’eau sont pollués et le paysage est dégradé.
Plus de 20 propositions sont présentées y compris un accompagnement des collectivités territoriales d'Outre-mer pour collecter et traiter les VHU abandonnés dans la nature.
Huit ans plus tard, la collecte des VHU est loin d’être rationnelle.
Insuffisance de ressources humaines
Une insuffisance de l'ingénierie dans les Outre-mer est un frein à l’efficacité sur le plan technique, administratif et financier de la gestion des déchets.
C’est un manque à gagner car la mise aux normes des installations représenterait un investissement de 80 millions d'euros.
Pour mieux dépenser les crédits, il faut lever le verrou de l'ingénierie.
Les problématiques de la gestion des déchets sont répétées dans tous les territoires d’Outre-mer or 80% de la biodiversité française se concentre dans ces zones.
La gestion et la valorisation des déchets doit donc être une priorité pour tous.