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29 septembre 2017 5 29 /09 /septembre /2017 18:59

 

Recommandations de
 l’ANSES 
 Agence nationale de sécurité sanitaire
de l’alimentation, de l’environnement et du travail 
Cueillette et consommation de champignons

 

Risques d’intoxication liés à la consommation de champignons

 

 

Chaque année, on déplore en France un millier d’intoxications dues à des champignons. Les conséquences sur la santé peuvent être graves voire mortelles. Voici quelques recommandations pour une cueillette en toute sécurité.

La cueillette de champignons sauvages est u. Il est donc indispensable d’apprendre à reconnaître les espèces de champignons que l’on cueille.ne activité qui peut comporter des risques. En effet, un certain nombre de champignons n’est pas comestible. Chaque année, on déplore ainsi, en France, un millier d’intoxications dues à des champignons. Les conséquences sur la santé peuvent être graves et conduire à une hospitalisation  : troubles digestifs sévères, complications rénales, atteintes du foie pouvant nécessiter une greffe. Certaines intoxications peuvent entraîner le décès

 Dans tous les cas, lors de la cueillette des champignons, il est important de rappeler les recommandations suivantes :

  •  
  • ne ramassez uniquement que les champignons que vous connaissez parfaitement : certains champignons vénéneux hautement toxiques ressemblent beaucoup aux espèces comestibles ;
  • au moindre doute sur l’état ou l’identification d’un des champignons récoltés, ne consommez pas votre récolte avant de l’avoir faite contrôler par un spécialiste en la matière. Les pharmaciens ou les associations et sociétés de mycologie de votre région peuvent être consultés;
  • prenez une photo de votre cueillette, avant cuisson, elle sera utile au pharmacien ou au médecin du centre antipoison en cas d’intoxication, pour décider du traitement adéquat ;
  • cueillez uniquement les spécimens en bon état et prélever la totalité du champignon (pied et chapeau), afin de permettre l’identification ;
  •  
  • ne cueillez pas les champignons près des sites pollués (bords de routes, aires industrielles, décharges) car les champignons concentrent les polluants ;
  •  
  • déposer vos champignons séparément, dans une caisse ou un carton mais jamais dans un sac plastique qui accélère le pourrissement ;
  • séparez bien les champignons récoltés, par espèce. Des morceaux de champignon vénéneux peuvent être mélangés à des morceaux de champignons comestibles ;
  • lavez-vous bien les mains après la récolte ;
  • conservez les champignons à part et dans de bonnes conditions au réfrigérateur et les consommer dans les 2 jours au maximum après la cueillette ;
  • consommez les champignons en quantité raisonnable et de préférence de façon espacée dans le temps, après une cuisson suffisanteNe les consommez jamais crus;
  • ne proposez jamais de champignons cueillis à de jeunes enfants.

 

 

En cas d’apparition d’un ou plusieurs  symptômes suite à une consommation de champignons (nausées, vomissements, sueurs, tremblements, vertiges, troubles de la vue, …), appeler immédiatement le « 15 » ou un centre antipoison.
Les symptômes apparaissent le plus fréquemment dans les 12 heures après la consommation, mais dans certains cas, l’intoxication peut apparaître plus tard.
Veillez à noter l’heure du ou des repas de champignons et celle des premiers symptômes. Conserver les restes de la cueillette pour identification.

 

https://www.anses.fr/fr/content/cueillette-et-consommation-de-champignons

 

 

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19 septembre 2017 2 19 /09 /septembre /2017 20:56

 

 

OBSERVATOIRE REGIONAL DE SANTE D’IDF

 

Questions de santé avril 2017

http://www.ors-idf.org/dmdocuments/2017/2017_QuestionDeSante_versionWEB.pdf

Les femmes meurent plus de cancers en Seine et Marne que dans les Yvelines
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18 septembre 2017 1 18 /09 /septembre /2017 18:46

 

 

 

OBSERVATOIRE REGIONAL DE SANTE D’IDF

 

Questions de santé avril 2017

http://www.ors-idf.org/dmdocuments/2017/2017_QuestionDeSante_versionWEB.pdf

La Seine et Marne est le département d'IDF où les hommes meurent le plus de cancers !
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13 septembre 2017 3 13 /09 /septembre /2017 16:10

 

 

 

Paru sur le site Robin des Toits :

 'Scientifiques et médecins alertent sur de potentiels graves effets sanitaires de la 5G' - Robin des Toits - 13/09/2017
VOIR L'APPEL EN PIECE JOINTE
 

Plus de 170 scientifiques et médecins de 37 pays demandent un moratoire sur le déploiement de la 5G – cinquième génération de téléphonie mobile – jusqu'à ce que des études d'impact sanitaires et environnementales sérieuses et indépendantes aient été réalisées préalablement à toute mise sur le marché. 

La 5G augmentera considérablement l'exposition aux champs électromagnétiques de radiofréquences (RF-CEM) et s'ajoutera au brouillard électromagnétique déjà produit par la 2G, 3G, 4G, Wi-Fi, etc., exposition dont il a été prouvé qu'elle est nocive pour les humains et pour l'environnement. 

Le déploiement de la 5G conduirait à une augmentation générale et massive de l'exposition aux ondes du sans-fil alors que les dangers de ces technologies sont établis. 

La technologie de la 5G est efficace sur des petites distances seulement. Elle se transmet mal à travers les solides. Il faudra beaucoup de nouvelles antennes-relais, et la nouvelle architecture du réseau exigera une nouvelle antenne toutes les 10 ou 12 maisons en zone urbaine créant de fait une exposition massive à laquelle nul ne pourra se soustraire. 

Le déploiement de nouveaux transmetteurs pour la 5G (on les trouvera également dans les foyers, les boutiques, les hôpitaux) devrait générer selon les estimations entre 10 et 20 milliards de connexions (réfrigérateurs, machines à laver, caméras de surveillance, voitures et bus sans conducteur) et constituera l'Internet des objets. Tout cela augmentera substantiellement l'exposition permanente de l'intégralité de la population européenne aux champs électromagnétiques des technologies du sans-fil. 

Les dangers de l'exposition aux champs électromagnétiques de radiofréquences (RF-CEM) sont déjà démontrés 

Plus de 230 scientifiques de plus de 40 pays ont exprimé leur « préoccupation sérieuse » concernant l'accroissement permanent et universel de l'exposition aux champs électromagnétiques par les technologies du sans-fil avant l'ajout du déploiement de la 5G. Ils font référence aux « nombreuses études scientifiques récentes qui ont démontré que ces champs électromagnétiques affectent les organismes vivants à des niveaux d'exposition bien en-dessous des valeurs limites internationales ». Ces effets accroissent le risque de cancer, le stress cellulaire, augmentent l'apparition de radicaux libres nocifs, de dommages génétiques, de changements structurels et fonctionnels du système reproductif, de déficits d'apprentissage et de mémoire, de désordres neurologiques et d'impacts négatifs sur le bien-être. Ces dommages n'affectent pas seulement l'homme mais aussi la faune et la flore selon un nombre croissant d'études. 

Pour Etienne Cendrier, porte-parole : "Robin des Toits soutient cet appel de scientifiques et de médecins de grand renom pour que la 5G ne soit pas mise sur le marché : il serait irresponsable et criminel de traiter la population en cobaye alors que les radiofréquences sont peut-être cancérigènes d'après l'OMS ..." 

--- 
Contact Presse : 
Etienne CENDRIER
etienne@robindestoits.org 
Porte-Parole national 

 

http://www.robindestoits.org/Scientifiques-et-medecins-alertent-sur-de-potentiels-graves-effets-sanitaires-de-la-5G-Robin-des-Toits-13-09-2017_a2455.html

 

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12 septembre 2017 2 12 /09 /septembre /2017 19:15

 

 

OBSERVATOIRE REGIONAL DE SANTE D’IDF

 

Questions de santé avril 2017

http://www.ors-idf.org/dmdocuments/2017/2017_QuestionDeSante_versionWEB.pdf

Espérance de vie pour les femmes en IDF : il faut mieux vivre à Paris qu'en Seine et Marne !
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11 septembre 2017 1 11 /09 /septembre /2017 14:27

 

 

OBSERVATOIRE REGIONAL DE SANTE D’IDF

 

Questions de santé avril 2017

http://www.ors-idf.org/dmdocuments/2017/2017_QuestionDeSante_versionWEB.pdf

 

Mieux vaut vivre à Paris qu'en Seine et Marne où le taux de mortalité pour les hommes est le plus élevé d'IDF
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19 juillet 2017 3 19 /07 /juillet /2017 11:52

 

 

Cette étude de zone est en fait un état des lieux de la pollution sol, air et eau d'après une compilation de divers documents et études faits sur cette zone

 

Et après ?

Si comme dans les Yvelines l'ETAT, les collectivités locales, les industriels s'accordent pour donner de l'argent, des études approfondies des secteurs les plus pollués pourront être réalisés.

 

 

Et sinon ?

L'Etude s'arrêtera là.

 

 

Des nouvelles de l'étude de zone nord-ouest 77
Des nouvelles de l'étude de zone nord-ouest 77
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3 juillet 2017 1 03 /07 /juillet /2017 11:15

 

 

 

 

Riverains de décharges et sites polluants

 êtes-vous

des gens qui ne sont rien ?

 

 

Pour que les « élites » qui votent les lois :

 

- autorisent l’implantation de sites qui polluent votre air, votre sol et votre eau :

 décharges, incinérateurs et industries  polluantes au bord de vos écoles maternelles, de vos crèches, de vos terrains de sport, de vos immeubles et lotissements….

 

- autorisent l’implantation de sites de loisirs sur d’anciennes décharges……

 

 

 

Riverains de décharges et sites polluants

 êtes-vous

des gens qui ne sont rien ?

 

 

Pour que les « élites » qui votent les lois oublient que ces sites polluants ou dangereux, détruisent votre environnement, vont font prendre des risques

sur votre santé et dévalorisent votre patrimoine immobilier.

 

 

 

 

Il est vrai que ces mêmes « élites » protègent leur famille et leur choisissent, en général, un environnement privilégié sans industries polluantes, sans décharges ou incinérateurs puisque leurs ordures elles les  envoient chez les autres.

 

 

 

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2 juillet 2017 7 02 /07 /juillet /2017 19:13

 

Paru dans le Journal le Parisien :
Un enfant souffre d'une leucémie, des parents demandent la fermeture d'une usine en Seine-Saint-Denis

>Île-de-France & Oise>Seine-Saint-Denis>Montreuil|Thomas Poupeau|02 juillet 2017, 16h54 | MAJ : 02 juillet 2017, 17h54|0

 

 

 

Un enfant habitant près d’une usine de produits chimiques de Montreuil (Seine-Saint-Denis) vient de contracter une leucémie. Les riverains demandent la fermeture du site. 

 

 

 

L’usine a-t-elle empoisonné les enfants de la rue des Messiers, à Montreuil (Seine-Saint-Denis) ? C’est la crainte de beaucoup de voisins de la Snem, société de traitement chimique des pièces aéronautiques. D’autant qu’un enfant, habitant en face de l’entreprise, vient de contracter une leucémie.

 

Suspectant un lien avec les activités de l’usine, l’association de quartier la Butte à Morel envoie, ce lundi, un courrier à la préfecture, à la mairie ainsi qu’aux clients de la Snem (Airbus, notamment). Objectif : réclamer la fermeture du site «au vu de tous les éléments prouvant [son] caractère polluant […]». S’appuyant sur une étude qu’ils ont eux-mêmes commandée et qui révèle des taux élevés de produits toxiques aux alentours de l’usine, les riverains craignent que les émanations n’empoisonnent toute la rue, l’école située à une centaine de mètres et un centre d’hébergement pour autistes.

 

Depuis quelques jours, tout le quartier ne parle que de ça. Ainsi, pour Pascal, un père de famille de 54 ans habitant la rue depuis 1966, ce cas de leucémie fait écho à la maladie de son fils, en 2005. «Mon fils a attrapé cette leucémie quand il avait 8 ans. Il a été hospitalisé un an et demi à l’hôpital Robert-Debré. Les médecins n’ont jamais su nous dire quelles étaient les causes de sa maladie.»

 

«Il mangeait les cerises qui venaient de la cour de l’entreprise»

 

Aujourd’hui, Adam a 20 ans et est hors de danger. «Mais il est toujours suivi», précise son père. Qui se souvient : «Gamin, il jouait souvent près de l’usine, il mangeait les cerises qui venaient de la cour de l’entreprise, sans compter qu’il était scolarisé à Jules-Ferry, à quelques mètres de l’usine !» Mais aucun lien formel n’a été établi entre la leucémie de son fils et les activités de la Snem. «Aucune preuve du contraire non plus», rétorque Pascal.

 

Pascal, 54 ans. Son fils a contracté une leucémie en 2005. Il craint que ce ne soit à cause de l’usine de la Snem (LP/T.P.)

 

A la préfecture de Seine-Saint-Denis, on assure que le site a fait l’objet de plusieurs inspections, notamment en 2010, 2014, 2015 et 2016. A chaque fois, «l’exploitant a répondu aux demandes formulées à l’issue de chaque visite», précise la préfecture. Plus récemment, alors que des riverains ont constaté l’ouverture des trappes de désenfumage de l’usine, les services de l’Etat ont réalisé une «inspection inopinée» et sommé la Snem de «mettre en place des actions correctives».

 

La Direction régionale de l’environnement (DRIEE) indique également que le site fera «l’objet d’une visite approfondie en 2017», qui pourrait avoir lieu ce mois-ci. Objectif : «Vérifier en détail si l’exploitant respecte bien son arrêté d’autorisation, qui li impose des normes de rejet dans le domaine de l’eau, de l’air, la présence de dispositifs de sécurité, etc.» L’entreprise Snem était injoignable ce week-end.

 

 

 

 

 

«A la rentrée, on fera la grève de l’école si l’usine est ouverte»

Nicolas Barrot, riverain de l’usine

 

LP/T.P.

Nicolas Barrot est le président de l’association de quartier la Butte à Morel, qui regroupe les habitants des alentours de l’usine Snem.

 

Depuis combien de temps soupçonnez-vous cette usine d’être polluante ? 
«Depuis que je suis arrivé dans la rue, avec ma femme et mes deux enfants, en 2005 ! Chaque semaine, je voyais un camion Chimirec (NDLR : une société de collecte de déchets industriels) venir se raccorder à une trappe pour évacuer les acides usagés. Cela coulait partout, donc les employés venaient nettoyer en nous disant Ce n’est pas dangereux… sauf qu’ils portaient des combinaisons de protection !»

 

Avez-vous sollicité les autorités ? 
En 2007, j’ai demandé la liste des produits utilisés ici, sans réponse. Alors, en 2011, on a payé nous-mêmes une analyse des émissions de l’usine et le résultat est alarmant, avec des taux élevés de perchloréthylène, un solvant très dangereux. Depuis, j’ai des échanges avec les autorités mais rien ne se passe. Il y a quelques semaines, quand on a appris qu’un enfant de 11 ans était atteint d’une leucémie, on s’est dit qu’il fallait agir. D’autant qu’en 2010, un habitant était décédé d’une leucémie, et cinq ans plus tôt, c’est un enfant qui était touché, mais il s’en est sorti. Cela fait beaucoup dans un rayon de 100 mètres.

 

Quelles actions comptez-vous mener ?
Nous venons d’organiser une réunion avec cinquante habitants. Nous ne sommes pas des gens violents mais il en va de notre santé, et surtout celle de nos enfants. Alors, on a voté à l’unanimité que si, à la rentrée, l’usine était encore ouverte et qu’on ne nous avait pas prouvé qu’il n’y a pas de danger, on ne mettrait pas nos enfants à l’école. Quitte à s’organiser entre parents pour les garder à la maison à tour de rôle. Après, individuellement, certains réfléchissent aussi à bloquer l’usine

 

http://www.leparisien.fr/montreuil-93100/montreuil-les-parents-reclament-la-fermeture-de-l-usine-de-produits-chimiques-02-07-2017-7104927.php

 

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30 juin 2017 5 30 /06 /juin /2017 11:05

 

 

 

L'association AVIE été créée en 2003 pour faire la lumière sur la pollution et les conséquences de la contamination des personnes et de l’environnement dues à l’ancienne Usine d’Incinération d’Ordures Ménagères (UIOM) du tertre de Chérizy.


La préfecture a reconnu que la pollution locale par l’incinération concernait les communes de Maincy, Vaux-le-Pénil, Melun, Rubelles, Voisenon, le sud de Montereau-sur-le-Jard, Moisenay, Sivry-Courtry.


Durant 28 ans, jusqu’en 2002, les habitants de Maincy ont été exposés aux rejets très polluants de l’ancienne UIOM de Vaux-le-Pénil. Le risque sanitaire n’a pas cessé avec l’arrêt de cet incinérateur en raison de la persistance des dioxines, de la charge corporelle élevée des riverains, de la pollution des sols qui perdure et des délais de latence pour l’apparition de certaines pathologies.

 

Depuis le 16 mars 2004, plus de 100 riverains ont déposé une plainte instruite au pôle Santé Environnement du Tribunal de Grande Instance de Paris.
L’AVIE regroupe les plaignants, coordonne
les relations entre eux et leurs avocats.

 

http://www.maincy.com/Main.aspx?numStructure=80778&numRubrique=531511

 

Ancien Incinérateur de Vaux le Pénil : La communauté d'agglomération  Melun Val de Seine renvoyée devant la justice !
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