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3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 21:42

 

Seine et Marne 

Département où l’espérance de vie est la plus faible d’Ile de France

7ème circonscription

Un désert médical !

La double peine 

 


secteurs déficitaires en médecins en idf 

 

La santé et l’environnement sont intimement liés, la 7ème circonscription, qui représente moins de 5% de la surface de la Seine et Marne  et près de 10 % de sa population, accumule :

 

- 28 % des sites SEVESO à Hauts Risques du département

- 87 ICPE (1)dont 43 sur la seule zone industrielle de Mitry-Compans (qui possède 7 sites classés SEVESO)

 et parmi ces ICPE, la 7ème circonscription  compte :

- 3 incinérateurs dont 2 sur la même commune de St Thibault des Vignes et le 3ème à Compans 

- 8 décharges dont la plus importante décharge d’ordures ménagères ISDND de France Veolia Claye-Souilly et l’une des plus importante décharge  de déchets dangereux de France ISDD Sita Villeparisis

- 3 carrières remblayées par des déchets

 

mais elle compte également :

- 3 décharges illégales

- 14 Sites ou sols pollués inscrits dans la base Basol

 

supporte :

- les nuisances d’aéroport de Roissy et du Bourget.

 

(1) Toute exploitation industrielle ou agricole susceptible de créer des risques ou de provoquer des pollutions ou nuisances, notamment pour la sécurité et la santé des riverains est une installation classée.

http://www.installationsclassees.developpement-durable.gouv.fr/Definition.html

 

 

C’est ici que les services de l’Etat ont choisi de fermer

l’hôpital de Lagny

le seul de cette circonscription.



 

Lagny hopital 9.5.2013

Ancien hôpital de Lagny 8/5/2013

 

 

 

La même année la clinique privée de Lagny fermait et quelques années avant c’était celles de Thorigny et Villeparisis.

 

Claye-Souilly a vu fermer son laboratoire médical du centre ville, disparaître son gastro entérologue et son cardiologue.

 

Ailleurs ce sont les médecins généralistes arrivés à l’âge de la retraite qui ne trouvent pas de successeurs.

 

L’attente chez certains spécialistes dépasse souvent les 4 mois, des spécialistes parfois qui ne peuvent plus prendre de nouveaux patients.

 

 

 Pourquoi cette désaffection de notre circonscription :

- Trop de patients avec des maladies lourdes ?

- Des médecins qui ne souhaitent pas implanter leur famille dans ce secteur si pollué ?

 

 

Que font vos élus sur ce dossier sensible?

Pour le savoir nous vous conseillons de les contacter.

 

 

 

 

 

 

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3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 21:38
Paru sur le site INRS :
Base de données Biotox

BIOTOX. Guide biotoxicologique pour les médecins du travail. Inventaire des dosages biologiques disponibles pour la surveillance des sujets exposés à des produits chimiques 

Biotox a pour objectif de répondre aux principales questions que se pose le médecin face à la mise en place d'une surveillance biologique.
Biotox est u
ne base de données comportant des informations sur :
  plus d'u
ne centaine de substances auxquelles le salarié est susceptible d'être exposé et pour lesquelles une biométrologie existe ;
  les dosages correspondants (plus de 250) ;
  les laboratoires susceptibles de réaliser ces dosages (près de 50).

Biotox : enquête de lectorat
Merci de prendre quelques minutes pour
répondre à l'enquête en ligne
Vos réponses nous permettront d'adapter les futures mises à jour de Biotox


Mise à jour des données : mai 2013

 

http://www.inrs.fr/accueil/produits/bdd/biotox.html
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30 mai 2013 4 30 /05 /mai /2013 11:09

 

 

 

 

 

un extrait de l’article paru sur le site Orée : 

 

 

Connaître et maîtriser les risques liés à l'environnement

 

Quels risques peuvent menacer mon territoire ?

Santé-Environnement

 

 

La pollution du sol

  

1. Définition :

On dit qu’un sol est pollué lorsqu’il contient une concentration anormale de composés chimiques potentiellement dangereux pour la santé, des plantes ou des animaux. La contamination se fait alors soit par voie digestive (consommation d’eau polluée par exemple), ou par voie respiratoire (poussières des sols pollués dans l’atmosphère).

 

 

2. Les causes possibles :

Ce sont la plupart du temps les activités humaines qui sont à l’origine des pollutions des sols :

- Les installations industrielles peuvent, dans le cas d’une fuite, d’un accident, ou encore dans l’abandon d’une usine, provoquer une pollution du site.

- L’épandage des produits phytosanitaires et les rejets des bâtiments d’élevage, des exploitations agricoles sont également à l’origine de nombreuses pollutions des sols (notamment par l’azote et les phosphates), qui vont à leur tour amener la contamination des eaux de ruissellement, et par la suite les cours d’eaux.

 - Les actions des collectivités territoriales peuvent également être à l’origine d’une pollution des sols : gestion des décharges et des stations d’épuration, utilisation de produits phytosanitaires par les services des espaces verts, gestion de jardins partagés, etc.

 Des évènements géographiquement éloignés peuvent également produire des pollutions de sols, qu’il s’agisse d’évènements naturels (les retombées des cendres d’un volcan suite à une forte éruption par exemple), ou technologiques (retombées radioactives suite à un essai nucléaire ou une catastrophe, comme lors de l’accident de Tchernobyl).

 

 

3. Les conséquences possibles sur la santé :

L’évaluation des polluants présents dans le sol peut être réalisée par des mesures physiques ou chimiques (calcul de la concentration de polluants comme le mercure, le cuivre, le plomb, etc.), ou bien par observation des indicateurs biologiques : biodiversité végétale et animale, etc.

En effet, ces polluants peuvent se retrouver dans l’air (poussières) et dans l’eau, où ils deviennent dangereux car potentiellement absorbés par les êtres vivants et donc avoir un impact sur leur santé :

 

- Certains métaux lourds et métalloïdes sont connus pour leur pouvoir neurotoxique ou cancérogène par ingestion et/ou inhalation.

 

- Certainshydrocarbures, en particulier le benzène et les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), sont reconnus pour leur effet CMR (cancérigène, mutagène, reprotoxique). En 2003, les HAP ont été rajoutés aux produits visés par la convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants : ils ont été classés comme produits très préoccupants pour la santé.

 

- Beaucoup desolvants halogénés ou leurs produits de dégradation sont reconnus comme substances très toxiques, toxiques et nocives, parfois cancérogènes (par exemple le trichloroéthylène ou le chlorure de vinyle). Ils peuvent causer divers troubles, notamment neurologiques aigus et chroniques, cutanéo muqueux, hépato-rénaux, cardio-respiratoires et digestifs.

 

 

 

4. Quelques exemples d'actions pouvant être menées au sein des collectivités territoriales :

- Actions préventives

- Approfondir l’état des connaissances des milieux

- Application des plans de contrôle et de surveillance des résidus de pesticides

- Consolider le dispositif de surveillance de l’état de santé des populations, et approfondir la connaissance des effets sur la santé

- Poursuivre la réduction de l’exposition des populations, assurer la qualité de la production alimentaire locale et soutenir les profession
nels impactés

- Gérer les milieux contaminés et assurer u
ne bonne information de la population

- Les ICPE sont tenues avant leurs mise en activités ou avant un changement ou une diversification de leur activité de présenter un dossier en préfecture répertoriant toutes les nuisances et pollutions qu'elles sont susceptibles de provoquer ou émettre, et les moyens qu'elles comptent mettre en œuvre pour les prévenir et les réparer le cas échéant.

- Les ICPE qui cessent leur activités doivent remettre en état le site de l'installation dans un état tel qu'il
ne s'y manifeste aucun des dangers ou inconvénients mentionnés à l'article L 511-1 du Code de l'environnement, ce qui comprend les nuisances "esthétiques" et qu'il permette un usage futur déterminé conjointement avec l'autorité compétente en matière d'urbanisme et le propriétaire du site.

 

- Actions répressives 

- En cas de pollution des sols le principe de base applicable est celui de pollueur - payeur.
Le principe du pollueur-payeur est le fait de faire assumer la charge (La charge utile (payload en anglais ; la charge payante) représente ce qui est effectivement transporté par un moyen de transport donné, et qui donne lieu à un paiement ou un bénéfice non pécuniaire pour être...) financière de la prévention, de la réduction et de la lutte contre la pollution au pollueur. Dans cette optique (L'optique est la branche de la physique qui traite de la lumière et de ses relations avec la vision.), les équipements et produits polluants sont plus taxés que des produits dits écologiques. Et lors d'u
ne pollution, le pollueur est censé assumer le nettoyage des zones contaminées.

- En l'absence de diagnostic pollution des sols montrant la volonté du vendeur de se soustraire à ses obligations légales, l’État peut confier à l'ADEME u
ne mission de dépollution systématique, un recours juridique est alors systématiquement requis contre le responsable, ce recours est assorti desanctions pénales et administratives.  

 

 

5. Les acteurs clés en matière de pollution des sols

- Acteurs publics

 - Le ministère de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement (MEDDTL)

- BASIAS (inventaire historique des sites industriels et activités de service)

- BASOL (base des sites pollués ou potentiellement pollués qui appellent une action de l’administration)

- Le Bureau de Recherches Géologiques et Minières

- L'Institut National de l'Environnement Industriel et des Risques

- Le Pôle de compétence sites et sédiments pollués 

- Le Portail pour la gestion des sols et des eaux en Europe

- L'Agence De l'Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie (ADEME).

- L'institut national de veille sanitaire

 

- Acteurs privés

§                            Les associations 

- L'association française d'étude des sols (AFES)

 

§                            Les entreprises 

- Orceo,  société de traitement écologique des pollutions

- Les Installations Classées pour la Protection de l'Environnement (ICPE) locales

 

 Lien vers l’article:

http://risquesenvironnementaux-collectivites.oree.org/le-guide/risques-mon-territoire/sante-environnement/pollution-du-sol.html

 

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5 mai 2013 7 05 /05 /mai /2013 19:13

 

Demande de rendez-vous à

Madame la Préfète de Seine et Marne

sans réponse à ce jour

 

 

 

 

préfète décharge

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5 mai 2013 7 05 /05 /mai /2013 19:11
Protection des salariés
 travaillant
dans les déchetteries ou
installations de traitement de déchets
et manipulant de l’amiante 
Paru sur le site INRS :
Exposition à l'amiante lors du traitement des déchets

Guide de prévention

Ce document est destiné à informer et à fournir des conseils pratiques de prévention à tous les professionnels qui, travaillant dans les déchèteries ou les installations de stockage des déchets, peuvent être amenés à manipuler et à intervenir sur des déchets contenant de l'amiante.
Il ne concerne pas, en revanche, les salariés des entreprises qui effectuent des travaux de retrait et de confinement de matériaux contenant de l'amiante, d'une part, ou des travaux d'entretien et de maintenance, d'autre part.
Pour ces professions, des règles particulières de travail ont été fixées dans des guides spécifiques :
- Exposition à l'amiante dans les travaux d'entretien et de maintenance (ED 809)
- Situations de travail exposant à l'amiante (ED 6005)
- Travaux de retrait ou d'encapsulage de matériaux contenant de l'amiante (ED 6091)
Cependant, les chapitres concernant la réglementation et le traitement de déchets pourront utilement être consultés par ces entreprises.

 

 

http://www.inrs.fr/accueil/produits/mediatheque/doc/publications.html?refINRS=ED%206028

 

 

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1 mai 2013 3 01 /05 /mai /2013 19:12

 

 

NORD-OUEST SEINE ET MARNE

7ème circonscription

Une circonscription qui reçoit plus

que sa propre part de pollution

et une exposition disproportionnée aux risques (3) 

 

 

La commune de Villevaudé possède depuis 1948 un  poste électrique

225 000 volts.

réseau tranport francilien-copie-1

Quelles études sanitaires autour de cette commune  et des communes avoisinantes ont été réalisées pour connaître l’impact sur la population 

de ces lignes à haute tension et notamment les enfants ?

 

A notre connaissance aucunes.

 

Suite à l’instruction du 23 avril 2013 du Ministère de l’Ecologie, Madame la Préfète de Seine et Marne va t-elle engager une étude sanitaire ?

 

Depuis plusieurs  années Adenca demande une étude sanitaire  sur ce secteur, nous avons cogné à toutes les portes sans être entendus.

 

Pourquoi réalise t-on une étude sanitaire dans les Yvelines (Val de Seine) et pas ici ? http://www.spi-vds.org/doc/copil/COPILEZ270312/CR3COPIL27031final.pdf


 

Lignes à haute tension près de l'usine ERDF de Villevaudé

 


 Paru sur le site Localtis.info :

Champs magnétiques : une instruction recommande la maîtrise de l'urbanisme autour des lignes THT

Santé / Urbanisme Publié le vendredi 26 avril 2013

Une instruction du ministère de l'Ecologie, mise en ligne le 23 avril 2013, recommande aux collectivités territoriales et aux autorités en charge de la délivrance des permis de construire "d'éviter, dans la mesure du possible", de décider ou d'autoriser l'implantation de nouveaux établissements sensibles (hôpitaux, maternités, établissements accueillant des enfants tels que crèches, maternelles, écoles primaires etc.) dans des zones exposées à un champ magnétique supérieur à 1 microTesla (μT) à proximité d'ouvrages à haute et très haute tension (HT et THT), lignes aériennes, câbles souterrains et postes de transformation ou jeux de barres. Cette valeur, appliquée en bordure de "zone de prudence", apparaît "globalement compatible avec la valeur d'exposition permanente des occupants de bâtiments sensibles de 0,4 μ T proposée par l'avis de l'Anses", indique la circulaire. Près de 350.000 personnes seraient en effet exposées à des valeurs de champ magnétique supérieures à 0,4 µT émis par des lignes de transport d'électricité. Dans un avis sur les effets sanitaires des champs électromagnétiques extrêmement basses fréquences rendu public le 6 avril 2010 (lire ci-contre), l'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset devenue depuis l'Anses) avait notamment recommandé, par précaution, de ne plus installer ou aménager des bâtiments sensibles à moins de 100 mètres des lignes THT. Parallèlement, l'Agence avait recommandé que les futures implantations de lignes THT soient écartées de la même distance de ces établissements. Chargés d'examiner les suites à donner aux recommandations de l'Agence, le Conseil général de l'environnement et du développement durable (CGEDD) et le Conseil général de l'industrie, de l'énergie et des technologies (CGIET) avaient préconisé, dans un rapport publié en août 2010, de retenir la valeur de 1 µT comme limite de la zone de prudence.

Effets cancérogènes

Des études épidémiologiques ont montré des corrélations statistiques entre l'exposition aux champs magnétiques de très basses fréquences et les leucémies de l'enfant en particulier. Cependant, aucun lien de cause à effet n'a pu être établi, rappelle l'instruction. Ces incertitudes ont toutefois amené le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) à classer en 2002 les champs magnétiques de très basses fréquences (50-60 Hz) dans le groupe 2B : "peut être cancérogène pour l'homme". Des illustrations de niveaux de champs magnétiques d'extrêmement basse fréquence (50Hz) générés par des lignes aériennes THT et HT ainsi que par des câbles souterrains sont fournies en annexe de la présente instruction. Ces valeurs moyennes doivent toutefois "être examinées avec circonspection", les champs magnétiques variant "dans de grandes proportions avec l'intensité du courant transporté, la nature des pylônes, la compacité des lignes, l'existence d'autres circuits sur la même ligne de pylônes, la température....", précise l'instruction.

Philie Marcangelo-Leos / Victoires-Editions

Référence : instruction du 15 avril 2013 relative à l'urbanisme à proximité des lignes de transport d'électricité, Bulletin officiel du ministère de l'Ecologie, n° 8 du 10 mai 2013.

http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&jid=1250265156469&cid=1250265152147&np=ex3403989

 

Lien vers la circulaire :

 

http://circulaire.legifrance.gouv.fr/pdf/2013/04/cir_36823.pdf

 

Pour aller plus loin :

 http://adenca.over-blog.com/article-que-serait-paris-la-ville-lumiere-sans-la-seine-et-marne-comment-pourrait-elle-acheminer-son-112786944.html

 

http://adenca.over-blog.com/article-nord-ouest-seine-et-marne-pourquoi-a-t-on-implante-des-ecoles-pres-de-sites-seveso-ou-de-decharges-117445399.html


  ANNET 8.12.2009

Annet sur Marne lignes à haute tension

 

 

VEOLIA CLAYE 8.12.2009

Entre Charny et Claye-Souilly lignes à haute tension près de la décharge Veolia

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26 avril 2013 5 26 /04 /avril /2013 15:02

 

 

Pollution aux PCB 

                       

Sur 7 sites pollués au PCB en Seine et Marne 

4 sont situés au nord-ouest de ce département

 

Concernant la pollution

on retrouve toujours les mêmes noms de communes cités

Mitry-Mory (la plus importante zone industrielle de l’Est Parisien)

Monthyon (une décharge ordures ménagères et un incinérateur ordures ménagères)

St Soupplets (des carrières remblayées par des déchets « dits inertes »)

 

Concernant les rivières c’est pareil

On retrouve la Beuvronne et la Thérouanne  

 

 

Une injustice distributive

Recevoir plus que sa propre part de pollution ?

A vous de Juger 

 

 

 

 

 

 

Paru sur le site Robin des Bois, pour extrait :

La bombe PCB et les moyens de la déminer

Voici la 7ème édition de l’atlas des sites terrestres et aquatiques pollués par les PCB. Pour pallier aux éventuelles insuffisances et aux fragmentations des sources officielles, les archives de Robin des Bois et les alertes transmises par des lecteurs des atlas antérieurs sont aussi mobilisées.

Les PCB (PolyChloroBiphényles), notamment ceux qui sont apparentés aux dioxines – les dioxin-like – sont des cancérogènes probables. Ils sont reconnus en tant que perturbateurs endocriniens, ils peuvent générer des malformations fœtales, un affaiblissement des systèmes immunitaires, des troubles du cycle de reproduction, de la croissance et du système nerveux. Ces effets affectent toutes les espèces animales, y compris l’espèce humaine et sont en synergie avec ceux d’autres polluants persistants......

 

 Atlas des sites pollués au PCB

7ème édition

 

77 Marcilly  * CNI Courtage Négoce International

La société spécialisée dans la collecte, le traitement et l’élimination des déchets, la récupération et la régénération. Elle a démantelé des transformateurs au PCB mais la traçabilité des huiles vidangées est incertaine.

77 Mitry Mory Adobe Systems GEREP

Centre d’incinération de déchets liquides spéciaux.

77 Monthyon Adobe Systems SODAP    

Ancienne décharge d'ordures ménagères également utilisée pour des déchets industriels.

77 Saint-Soupplets * SEREM Constructions Electriques et mécaniques

Fabricant de transformateurs......

 

http://www.robindesbois.org/PCB/PCB_hors_serie/ATLAS_PCB.html

 

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23 avril 2013 2 23 /04 /avril /2013 12:00

 

 

 

Lettre adressée à Monsieur EVIN

 Directeur Général de l'ARS Ile de France

sans réponse à ce jour

 

 

 

m.evin

 

 

m.evin 001

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22 avril 2013 1 22 /04 /avril /2013 10:44

annet ect 22 3 2013

Décharge ECT Annet sur marne Mars 2013

 

 

 

Canton de Claye-Souilly

Décharge ECT Annet sur Marne

Lettre envoyée à Madame la Préfète de Seine et Marne

sans réponse à ce jour

 

 

 

 

santeisdi annet

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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 16:58
Pour nous implanter des sites polluants
au nord-ouest 77:
décharges, incinérateurs, carrières, industries chimiques …
on sait 
Pour surveiller les effets de tous ces sites polluants
sur notre santé
  Pas d’étude sanitaire
ou épidémiologique
pas de biosurveillance


  Préfère-t-on utiliser l’argent ailleurs ?
A vous de juger 
Paru sur le site de l’Institut de Veille Sanitaire :
Qu'est-ce que la biosurveillance ?

La biosurveillance humaine permet de surveiller la présence, dans l’organisme, des substances chimiques de notre environnement ou de leurs produits de dégradation. La biosurveillance peut aussi consister à surveiller certains effets précoces des substances chimiques sur l’organisme. Les dosages peuvent être faits dans le sang, l’urine les cheveux, le lait maternel… Les substances ainsi dosées sont appelées "biomarqueurs".

Lors de la préparation du Plan d’action européen en faveur de l’environnement et de la santé, la biosurveillance a été définie comme « la surveillance de l’homme, en utilisant des indicateurs biologiques, dénommés "biomarqueurs", révélateurs d’expositions environnementales, de maladies et/ou de troubles ou d’une prédisposition génétique, et l’étude des liens éventuels existant entre eux». Le terme « biomarqueurs » comprend des biomarqueurs d’exposition, d’effet et de susceptibilité1. Ainsi, un biomarqueur peut être défini comme une substance chimique ou les produits qui en découlent présents dans le corps humain (biomarqueur d’exposition). On parle habituellement d’imprégnation pour décrire les concentrations d'un biomarqueur dans l’organisme. Un biomarqueur peut être aussi le signe d’une réponse biologique vis-à-vis de cette substance (biomarqueur d’effet).

La biosurveillance est donc un outil important qui permet d’évaluer le degré d’exposition aux substances chimiques présentes dans l’environnement. Elle intègre les parts respectives de tous les modes d’exposition, de toutes les sources, quelles que soient les voies d’entrée des substances dans le corps humain, quels que soient le lieu d’exposition, l’activité ou la nature des produits consommés. Elle améliore ainsi les connaissances sur les expositions grâce à une mesure directe de l’exposition totale chez l’homme aux polluants de l’environnement. Elle prend également en compte les différences physiologiques selon les individus (respiration, métabolisme…) ainsi que les facteurs associés au comportement et aux activités de chacun (micro-environnements, hygiène, usage de produits de consommation). Cet outil fournit des connaissances nécessaires pour mieux évaluer et gérer les risques pour la santé posés par les substances chimiques.

La biosurveillance permet :

  • d’améliorer la surveillance sanitaire d’expositions environnementales de la population ;
  • de comparer l’exposition de différentes populations ;
  • d’établir des valeurs de référence pour les niveaux d’imprégnation ;
  • de fournir un signal d’alerte précoce ;
  • d’identifier et décrire l’imprégnation de populations à risque, fortement imprégnées ou particulièrement sensibles ;
  • d’identifier et suivre les variations géographiques et temporelles des imprégnations ;
  • d’améliorer la connaissance du lien entre les expositions environnementales et les effets sanitaires ;
  • d’évaluer ou orienter les actions de gestion.
1La biosurveillance a été définie par le rapport du Groupe de travail technique comme étant “monitoring activities, using biomarkers, that focus on environmental exposures, diseases and/or disorders and genetic susceptibility, and their potential relationships. The term “biomarker” comprises biomarkers of exposure, biomarkers of effects and biomarkers of susceptibility”.

Les études de biosurveillance humaine comportent plusieurs étapes résumées dans la figure.

Dans un premier temps, il s’agit de définir un protocole qui doit répondre à des critères rigoureux et reconnus par la communauté scientifique (objectif, méthodologie, faisabilité de l’étude, caractéristiques de la population étudiée et ses modalités de recrutement, choix des biomarqueurs étudiés, questionnaires et prélèvements biologiques, modalités de recueil, traitement des échantillons, transfert et stockage des échantillons, analyse toxicologique et interprétation des résultats de dosage, exploitation statistique, interprétation et communication des résultats, calendrier…).

Dans un deuxième temps, en France, ces études sont soumises à l’approbation d’un comité d’éthique ("Comité de protection des personnes") et de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil). Des procédures similaires existent dans les autres pays.

Comme toute étude visant à estimer les caractéristiques d’une population, les études de biosurveillance doivent être réalisées auprès de personnes recrutées par tirage au sort (pour éviter au maximum des biais de participation). Les participants doivent avoir donné leur consentement éclairé, c'est-à-dire après information détaillée. Les données sont recueillies au moyen de questionnaires et complétées par des prélèvements biologiques (sang, urine, etc.) dans lesquels seront dosés des biomarqueurs.

Dans un troisième temps, les données recueillies sont analysées sur le plan toxicologique (laboratoires pour les dosages) et statistique. Cette phase peut être assez longue. Les résultats peuvent ensuite être restitués au niveau individuel (selon les cas) et collectif.

http://www.invs.sante.fr/Dossiers-thematiques/Environnement-et-sante/Biosurveillance/Qu-est-ce-que-la-biosurveillance

 

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