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15 octobre 2015 4 15 /10 /octobre /2015 10:04

 

Marisol Touraine

va-t-elle financer une étude épidémiologique

autour du fort de Vaujours

pour connaître

l’impact sur la santé des populations

des essais nucléaires

du CEA ?

Paru dans le Journal de l’environnement :
Victimes d’essais nucléaires: le ministère de la santé entre dans la danse

Le 13 octobre 2015 par Romain Loury

1966, premier essai en Polynésie

 

La commission de suivi de l’indemnisation des victimes des essais nucléaires a été installée mardi 13 octobre par la ministre de la santé, Marisol Touraine. Exit la tutelle du ministère de la défense, jugée un frein à l’instruction des dossiers.

 

En janvier 2010, la «loi Morin» fixait un cadre pour l’indemnisation des victimes des 210 essais nucléaires, dont 50 atmosphériques, ayant eu lieu entre 1960 et 1996 dans le Sahara et en Polynésie française. Son bilan est plutôt maigre: au 31 décembre 2014, le ministère de la défense faisait état de 931 demandes, et de seulement 17 indemnisations. Et moins de 10% de l’enveloppe allouée par le gouvernement avait été utilisée en 2013.

Pour les associations, ces chiffres illustrent le manque d’indépendance d’un dispositif coordonné par un ministère juge et partie, celui de la défense. Grâce à la loi de décembre 2013 relative à la programmation militaire pour 2014-19, complétée par un décret de septembre 2014, ce temps est désormais révolu: le comité d’indemnisation des victimes d’essais nucléaires (Civen) est devenu une autorité administrative indépendante (AAI), tandis que la commission de suivi de l’application de la loi Morin est désormais présidée par le ministre de la santé, en l’occurrence Marisol Touraine.

Lors de l’installation de cette commission, mardi 13 octobre, la ministre a estimé que ces deux comités devaient travailler «en toute indépendance», en vue d’«aboutir à davantage d’indemnisations des victimes». Et ce en faisant montre de transparence, par exemple en publiant les critères d’évaluation du risque et d’indemnisation, et en favorisant un débat contradictoire –c’est-à-dire en donnant la parole au représentant du demandant, avocat ou association.

 

Pour l’instant, «pas grand-chose de changé»

Pour l’instant, c’est encore loin d’être le cas, estime Jean-Luc Sans, président de l’Association des vétérans des essais nucléaires (Aven), contacté par le JDLE«J’attends les résultats du nouveau Civen, mais pour l’instant il n’y a pas grand-chose de changé, il n’y a toujours pas de débat contradictoire», regrette-t-il, tout en reconnaissant à Marisol Touraine «une volonté de faire évoluer les choses».

Autre objectif de la ministre, renforcer l’information: «les populations concernées ne sont pas suffisamment informées du nouveau dispositif de 2013. Les demandeurs doivent être mieux accompagnés dans leur démarche (…) Il nous faut redonner confiance, lutter contre l’idée selon laquelle ‘les dés sont pipés’», a-t-elle déclaré, estimant à 20.000 le nombre de demandes d’indemnisation attendues. Pour Jean-Luc Sans, elles se situent plus probablement «entre 3.000 et 4.000», pour 250.000 personnes exposées.

En l’absence d’un dispositif ayant satisfait les victimes, nombre de celles ayant été déboutées par le Civen se tournent vers la justice, obtenant souvent raison contre l’Etat. Plusieurs affaires sont en cours, notamment à Lille, Toulouse et Nancy, explique Jean-Luc Sans. Ce qui, selon lui, pourrait expliquer l’envie du gouvernement de voir le Civen mieux indemniser: «par rapport à une indemnisation accordée par le Civen, l’Etat peut s’attendre à payer le double en justice, et sans qu’aucune enveloppe soit allouée à ces frais».

 

 

http://www.journaldelenvironnement.net/article/victimes-d-essais-nucleaires-le-ministere-de-la-sante-entre-dans-la-danse,62937?xtor=EPR-9

 

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13 octobre 2015 2 13 /10 /octobre /2015 10:07

 

D’un côté l’élite parisienne protège le secteur où elle vit en prenant l’eau des meilleures sources de Seine et Marne pendant que l’on fait  boire aux populations du nord ouest 77 l’eau pompée au pied des décharges.

 

Décharges qui stockent les déchets de cette même élite, car Paris n’assume pas ses ordures il les envoie chez les autres. Pourtant Paris possède d’anciennes carrières non remblayées qui pourraient recevoir les gravats de bâtiments des démolitions parisiennes, mais Paris préfère détruire les villages ruraux de Seine et Marne en y déversant ses ordures  sur leurs espaces agricoles ou en remblayant de déchets leurs  carrières.

 

Paris utilise également l’eau de notre rivière Beuvronne pour nettoyer ses trottoirs, arroser ses pelouses et remplir ses lacs, en effet la Beuvronne est la 1ère rivière à alimenter le canal de l’Ourcq mais vous « petit peuple » de Seine et Marne il vous est interdit de pomper l’eau dans ce canal pour vos besoins personnels.

 

Paris s’inquiète pour la qualité de son air et implante le maximum de points de contrôle sur son territoire pendant que le nord-ouest 77 ne possède qu’un seul point fixe qui ne contrôle que l’Ozone.

 

 

 

Pour alimenter Paris « la ville lumière » on implante des lignes à haute tension près de nos écoles sans se préoccuper des risques pour les enfants du « petit peuple ».

 

 

Ligne à haute tension près de l'école docteur Roux à Chelles

Ligne à haute tension près de l'école docteur Roux à Chelles

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7 octobre 2015 3 07 /10 /octobre /2015 20:16
Des élus qui semblent
quelque peu déconnectés
des réalités ?
Pendant que des malades recherchent désespérément un nouveau médecin traitant, les élus inscrivent la commune à un concours pour obtenir une « fleur d’or ».
Alors que la commune manquait de médecins généralistes, fin août un nouveau médecin vient de quitter la commune sans être remplacé  et  les  malades sont dans l’angoisse car les médecins du secteur sont saturés et n’acceptent plus de nouveaux patients.
Quand les élus vont-ils se pencher sur ce dossier de santé publique alors que plusieurs autres médecins généralistes proches de l’âge de la retraite devraient bientôt quitter leur poste ?
Paru dans le journal la Marne :
Environnement : la Ville passe à l'action

Une possible Fleur d’or, des brebis qui tondent les pelouses, du matériel moins bruyant… La Ville poursuit son engagement en matière d’environnement.

06/10/2015 à 16:07 par Audrey Grua

 

 « Je pense qu’on va avoir une bonne surprise dans quelques jours ». Yves Albarello est confiant. Pour lui, les membres du jury du concours des villes et villages fleuris ne peuvent qu’accorder une Fleur d’or à la ville de Claye-Souilly. Réponse le 22 octobre.

 

Lundi 5 octobre, au cours d’une réunion avec les agents des espaces verts, de la propreté urbaine et le prestataire Mabillon, le député-maire a présenté ses priorités en matière d’environnement : fleurs, animaux, propreté, cadre de vie, tout y est passé… Même la négligence des Clayois que le maire n’a pas hésité à qualifier de « sales, excessivement sales. D’ailleurs, nous allons verbaliser les déjections canines et ceux qui jettent leurs mégots de cigarettes par terre. Et dans la rue Jean-Jaurès, ce sera facile. Il y a des caméras partout et elles voient tout ! Les Clayois doivent se discipliner. »

Des brebis solognotes dans le parc

Dans le parc Pasteur près de la piscine, des brebis solognotes ont brouté l’herbe cet été. Dans quelques jours, elles seront déplacées près de la maison de retraite, de l’autre côté de la commune, sur le terrain de la Biberonne.

Yves Albarello :

 

« Les brebis nous ont permis de ne pas tondre à cet endroit : pas de bruit, pas de rejet de Co2 et pas d’utilisation de carburant ».

La Ville a d’ailleurs décidé d’inclure une clause environnementale pour les travaux d’entretien et d’espaces verts. Les ouvriers utilisent, dès que cela est possible, du matériel thermique : peu polluants, plus légers, moins encombrants et plus maniables.

......

Audrey Gruaz

 

 

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6 octobre 2015 2 06 /10 /octobre /2015 16:57

 

 

« Petit peuple » du bassin versant Beuvronne Mme Marisol Touraine finance une étude épidémiologique à Chamonix mais pas chez vous.

 

Pour toute réponse à la demande de notre association Mme Touraine signale notre demande à l’Agence Régionale de Santé pour examen de la situation.

 

Vous avez bien lu «pour examen de la situation » car l’ETAT connaît le bassin Beuvronne pour y accumuler les sites polluants et dangereux depuis plus de 50 ans mais ne connaît pas la situation de santé des populations.

 

Mme Touraine n’a même pas pris le temps de signer le courrier c’est Grégory Guillaume dont les fonctions ne sont mêmes pas précisées au sein du ministère de la Santé qui a signé ce courrier.

 

« Petit peuple » du bassin versant Beuvronne vous n’êtes bons qu’à recevoir les ordures de la France entière et boire l’eau puisée au pied des décharges pendant que l’élite parisienne qui vous dirige se baigne dans l’eau des meilleures sources du sud de la Seine et Marne.

 

 

Pour aller plus loin :

http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2015/04/01/sophie-dion-obtient-un-fonds-air-pur-et-une-etude-epidemiologique

 

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2 octobre 2015 5 02 /10 /octobre /2015 10:06
Accumulation de sites polluants
dans le
Bassin versant Beuvronne
quels risques
pour les femmes enceintes et leurs futurs enfants ?

 

L’ETAT a implanté le plus gros aéroport de France Roissy près du bassin versant Beuvronne puis y a  accumulé depuis des décennies des décharges, carrières remblayées par des déchets, incinérateur de déchets, usines chimiques, usines de bitume…  sans se préoccuper des risques pour les riveraines femmes enceintes et leurs futurs enfants.
Aujourd’hui une étude épidémiologique est plus que nécessaire sur ce secteur pour connaître l'état de santé des populations, depuis plusieurs années ADENCA la demande ainsi que plusieurs élus, aujourd’hui il est temps que Mme Touraine trouve l’argent nécessaire pour effectuer cette étude dans les plus brefs délais.
Extrait de l’article paru sur le Monde Planète :
Des enfants qui naissent « prépollués »

LE MONDE | 01.10.2015 à 10h04 • Mis à jour le 01.10.2015 à 12h13 | Par Stéphane Foucart et Pascale Santi

Les substances chimiques auxquelles les populations sont quotidiennement exposées ont des effets sur la santé de plus en plus manifestes. C’est le sens de l’alerte publiée jeudi 1er octobre dans l’International Journal of Gynecology and Obstetrics par la Fédération internationale de gynécologie et d’obstétrique (FIGO). Elle met en avant la responsabilité de certains polluants de l’environnement dans les troubles de la fertilité et souligne l’urgence d’agir pour réduire l’exposition aux pesticides, aux polluants atmosphériques, aux plastiques alimentaires (bisphénol A, phtalates…), aux solvants, etc.

 

 

C’est la première fois qu’une organisation regroupant des spécialistes de santé reproductive s’exprime sur les effets délétères de ces polluants, présents dans la chaîne alimentaire et dans l’environnement professionnel ou domestique. Un appel soutenu par des ONG dont Women in Europe for a Common Future (WECF) et Health & Environment Alliance (Heal).

La prise de position de la FIGO — qui regroupe 125 sociétés nationales de gynécologie et d’obstétrique — rejoint celle, publiée deux jours plus tôt, de l’Endocrine Society. Pour cette société savante, qui rassemble 18 000 chercheurs et cliniciens spécialisés dans l’étude du système hormonal, l’exposition aux polluants de l’environnement est aussi en cause dans plusieurs maladies émergentes : diabète de type 2, obésité, cancers hormonodépendants (sein, prostate, thyroïde) et troubles neuro-comportementaux (troubles de l’attention, hyperactivité, etc.).

Constat préoccupant

Après la publication, en 2012, du rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), ces deux nouvelles publications creusent un peu plus le fossé qui sépare l’état des connaissances et celui de la réglementation. Celle-ci ne reconnaît toujours pas l’existence de certaines substances – dites « perturbateurs endocriniens » – capables d’interférer avec le système hormonal et d’agir à des niveaux d’exposition très faibles, inférieurs aux seuils réglementaires. « Près de 800 substances chimiques environnementales sont connues ou suspectées d’interférer avec les récepteurs hormonaux, la synthèse ou la conversion des hormones », soulignait déjà, en 2012, le rapport de l’OMS et du PNUE.

« L’exposition à des produits chimiques toxiques au cours de la grossesse ou l’allaitement est ubiquitaire », note la FIGO, qui s’inquiète de ce qu’« aux Etats-Unis, une femme enceinte serait en moyenne contaminée par au moins 43 substances chimiques différentes ».

« On trouve la trace de polluants organiques persistants [POP]) chez des femmes enceintes et allaitantes dans le monde entier, ajoute la FIGO. L’Institut national américain du cancer se dit préoccupé par le fait que les bébés naissent en quelque sorte “prépollués”. »........


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/10/01/environnement-les-enfants-naissent-pre-pollues_4779381_3244.html#P9IbdkrQDxk2IDg4.99

 

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1 octobre 2015 4 01 /10 /octobre /2015 09:50
Les riverains des sites polluants ou dangereux
populations d’aucuns intérêts ?

 

C’est ce qui semble ressortir de toutes les autorisations délivrées par l’ETAT dans ce département où l’espérance de vie est la plus faible d’Ile de France.
Ici l’ETAT encaisse les taxes versées par les industriels et utilise cet argent ailleurs.
En effet nous ne trouvons pas trace de financement par l’ETAT d’étude épidémiologique  récente dans ce département pour connaître l’impact sur la santé des riverains de ces installations polluantes ou dangereuses.
Extrait article paru sur le site Reporterre
Gaz et pétrole de schiste : Royal et Macron accordent des autorisations... à deux mois de la COP 21 !

 

1er octobre 2015 / Isabelle Lévy

 

À quelques semaines du lancement de la COP 21, la ministre de l’Ecologie et celui de l’Economie ont autorisé de nouvelles concessions de recherche d’hydrocarbures liquides ou gazeux en métropole.

Isabelle Levy est membre Collectif du Pays fertois, qui s’oppose à l’exploration du pétrole de schiste (Doue, Jouarre, Signy-Signets - Seine-et-Marne / Permis de Chateau-Thierry)

Le 29 septembre 2015, le Journal officiel publiait trois arrêtés ministériels signés par Ségolène Royal octroyant trois nouveaux permis exclusifs de recherche d’hydrocarbures liquides ou gazeux.

Il s’agit des permis de Champfolie (Seine-et-Marne), d’Esthéria (Marne) et d’Herbsheim (Bas-Rhin). Les bénéficiaires de ces permis sont respectivement les entreprises Vermilion, Lundin et Bluebach.

Le permis de Champfolie avait été demandé par Vermilion en 2009, à une époque où la fracturation hydraulique n’était pas remise en question. Il est accordé aujourd’hui. La géologie a-t-elle changé entre temps ? Quel est l’intérêt d’un permis de recherche de 120 km2 pour une entreprise qui détient déjà 13 permis ? Pourquoi Vermilion dépose-t-il régulièrement de nouvelles demandes de permis (26 à ce jour) ? Comment expliquer la nouvelle autorisation faite à Vermilion par le préfet de Seine-et-Marne de procéder à 30 nouveaux forages sur une concession (Champotran) ne faisant que 90 km2 ? Comment expliquer la demande d’autorisation faite par Vermilion de 10 nouveaux forages sur la concession de Vert-le-Grand ? Comment expliquer l’autorisation de deux nouveaux forages sur le permis de Saint-Just-en-Brie malgré les oppositions exprimées des membres du conseil municipal sur les registres de l’enquête publique au printemps dernier ?

Vermilion, premier producteur d’hydrocarbures sur le sol français, a les moyens d’attendre que « les temps changent » en produisant quelques milliers de barils par jour ! Cela lui permet surtout de dire haut et fort qu’il respecte la loi (c’est bien le minimum qu’on puisse attendre d’une entreprise) mais que si la loi change… il suivra encore et toujours la loi, quelle qu’elle soit !

……

Rappelons que le Code minier actuel ne permet pas à un gouvernement de revenir sur un permis de recherche préalablement octroyé. Ce même code minier rend quasi-automatique la transformation d’un permis de recherche en une concession (exploitation). Obtenir un permis de recherche, pour une entreprise pétrolière, revient à« mettre le pied dans la porte ». Or, le Code minier ne fait pas la distinction entre hydrocarbures conventionnels (sans fracturation) et non conventionnels. Tout permis obtenu aujourd’hui sera valide encore dans quatre ou cinq ans. Le prix du pétrole, bas aujourd’hui, remontera un jour ; la fracturation hydraulique, interdite aujourd’hui…

 

Un gouvernement qui prétend refuser l’exploration et l’exploitation des ressources non conventionnelles ne devrait pas accepter que les gaz de couche soient exploités en Lorraine et dans le Nord-Pas-de-Calais en entretenant une confusion entre gaz de houille (le grisou) et gaz de couche (CBM) qui fait des ravages en Australie.

Vue la précipitation avec laquelle Ségolène Royal signe des prolongations et des octrois de permis, va-t-on voir dans les jours prochains de nouveaux arrêtés ministériels concernant les permis de Dicy, Gastins, et une dizaine d’autres dossiers propulsés dans les tuyaux il y a un an par la ministre ? Permis, rappelons-le, dont l’objectif initial était le pétrole de schiste ?

Enfin, une question plus générale, la seule action réelle d’un gouvernement qui prétend vouloir participer à la lutte contre le réchauffement climatique ne serait-elle pas de refuser systématiquement l’octroi de nouveaux permis de recherche d’hydrocarbures (une énergie du passé) ?

http://www.reporterre.net/Gaz-et-petrole-de-schiste-Royal-et-Macron-accordent-des-autorisations-a-deux

 

 

 

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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 09:27

 

 

Une députée

qui se bat dans la vallée de l'Arve

pour la santé de sa population.

 

 

 

Un exemple à suivre …….

 

 

Paru sur le site le Dauphiné. com :

 

POLLUTION VALLÉE DE L'ARVE
Sophie Dion obtient un fonds « air pur » et une étude épidémiologique

 

La députée du Mont-Blanc, et présidente du groupe “Montagne” à l’Assemblée nationale, Sophie Dion, était reçue ce mercredi à l’Elysée afin d’évoquer le problème majeur de la qualité de l’air dans la vallée de l’Arve. A la sortie de son rendez-vous, elle a assuré «avoir obtenu des garanties de la Présidence de la République», obtenant ainsi «un accord de principe pour la mise en place d’un fond “Air pur” visant à mettre en place une aide exceptionnelle à l’acquisition d’équipements de transports propres dans la vallée de l’Arve, en complément de la prime pour l’achat d’une voiture propre qui entre en vigueur aujourd’hui au plan national». Autre satisfaction, l’Elysée s’est engagé auprès d’elle à lancer «une vaste étude épidémiologique pour mesurer scientifiquement l’impact de cette pollution sur la population de la vallée de l’Arve. Elle sera menée conjointement par l’Institut national de veille sanitaire et l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes.» Des mesures dont la mise en place devrait être précisée prochainement par les ministères du Développement durable et de la Santé.

Publié le 01/04/2015 à 16:37

http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2015/04/01/sophie-dion-obtient-un-fonds-air-pur-et-une-etude-epidemiologique

 

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28 septembre 2015 1 28 /09 /septembre /2015 18:39

Paru dans la revue Nature Actualités de Septembre  2015 

éditée par

la fédération d'associations environnementales 

Nature Environnement 77

Présidente Jane Buisson

http://www.environnement77.fr/

Etude de zone nord-ouest 77 : répondre aux inquiétudes des populations
Etude de zone nord-ouest 77 : répondre aux inquiétudes des populations
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17 septembre 2015 4 17 /09 /septembre /2015 11:52

 

Depuis des décennies les élus de cette commune ont donné des avis favorables pour l’implantation ou l’extension de décharges sur leur territoire et les communes avoisinantes.

Aujourd’hui encore la commune projette, sous couvert d’implanter une piste de BMX, d’autoriser le déversement de près de 190 000 m3 de déchets « dites inertes » sur un terrain situé au lieudit « Les Culées » sur le route d’Annet sur Marne près du lotissement « les Jardins Anglais ».

 

Etre élu, ce n’est pas un chèque en blanc que vous donne la population, c'est respecter les demandes des habitants et ce  qu'ils veulent  c’est vivre dans un environnement propre et non entouré de déchets.

 

Ce qu’ils veulent également c’est des médecins pour les soigner, mais à Claye-Souilly le désert médical s’installe, un médecin vient encore de quitter la commune fin août sans être remplacé.

 

La commune pourrait favoriser l’implantation de médecins en les accueillant dans l’ancien centre de Sécurité Sociale, situé en centre ville derrière la mairie, mais ce n’est pas le projet des élus, ils veulent abattre ce bâtiment quand les finances de la commune le permettront et reconstruire pour y implanter entre autres une salle de danse.

 

 

La petit commune de Coupvray qui compte 2600 habitants aide les médecins à s’implanter comme l’a fait récemment Compans (795 habitants).

 

Pourquoi

Claye-Souilly

n’en ferait pas de même ?

 

 

Paru dans le journal la Marne :
Coupvray Le pôle santé des Tamaris ouvre en partie

La maison des Tamaris accueille déjà deux médecins. L'aboutissement d'un chantier qui a pris beaucoup de retard.

08/09/2015 à 18:18 par admin

 

L’ancienne maison de retraite accueille désormais deux généralistes et deux infirmières. A la fin du mois, un second bâtiment, neuf, doit également ouvrir ses portes. Le chantier a pris plus d’un an de retard. L’objectif : répondre à une désertification du tissu médical à Coupvray. Plusieurs autres spécialistes sont attendus dans ce qui est appelé à devenir un véritable pôle santé sur la commune.

 

 

http://www.journallamarne.fr/2015/09/10/le-pole-sante-des-tamaris-ouvre-en-partie/

 

 

 

 

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9 septembre 2015 3 09 /09 /septembre /2015 10:23

 

Le District de Paris (aujourd’hui Conseil Régional IDF) a décidé dans les années 60 d’envoyer les activités polluantes vers Mitry-Mory, Claye-Souilly, c’est ce que nous apprend un document confidentiel du BRGM daté du 10/11/1963, pour extrait :

 

« A la demande  du District de la Région de Paris, une étude a été entreprise, en liaison avec la BCEOM, sur le site proposé entre Mitry-Compans et Claye-Souilly (SetM) pour l’implantation d’industries polluantes. ».

 

Vous avez bien lu c’était une étude confidentielle financée par l’argent du contribuable qui avait pour but d’implanter des activités polluantes dans le bassin versant de la Beuvronne.

 

Le site initialement prévu dans cette étude n’a pas été retenu, peut-être trop proche du Canal de l’Ourcq dont l’eau est utilisée pour partie pour remplir les lacs parisiens et arroser les pelouses de Paris.

 

Ce sera Mitry-Compans un peu plus au nord qui sera alors choisi. Cette zone compte aujourd’hui 7 sites SEVESO dont 3 à seuil haut, 4 sites pollués inscrits dans la base Basol et est survolée par les avions d’aéroport de Roissy, elle a vu s’implanter autour d’elles nombre de sites polluants : industries chimiques, décharges, carrières remblayées par des déchets….

 

Depuis des années nous demandons à ce même Conseil Régional IDF de financer une étude épidémiologique dans ce secteur, nous avons rencontré plusieurs vice président du CR IDF chargé de l’environnement et même l’actuelle vice présidente du CR IDF chargée de la santé Laure Lechatellier (EELV) qui semblait bien trop occupée par d’autres sujets et a dû nous quitter en pleine réunion sans jamais donner suite à notre demande.

 

 

Le Conseil Régional doit réparer les erreurs passées qui ont consisté à créer des injustices environnementales en accumulant une masse de sites polluants dans le bassin versant Beuvronne.

Il doit participer au financement d’une étude épidémiologique afin de connaître l’état de santé de ces populations victimes d’injustices environnementales, cette étude ne peut plus attendre, elle doit être réalisée maintenant.

 

 

La question du jour :

Dans un pays qui se dit démocratique est-ce normal que la plus importante collectivité de France  le CR IDF trouve de l'argent  pour financer le projet privé de "Villages dits Nature", mais n'en trouve pas pour financer une étude sur l'état de santé d'une population victime d'injustices environnementales ?

 

 

 

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