ADENCA
Association de Défense de l'ENvironnement de Claye-Souilly et ses Alentours
"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le
mal,
mais par ceux qui les regardent agir et qui refusent d'intervenir."
Albert Einstein
Publié par Jean-Pierre Stahl le 6
Côté châteaux l’apprend ce matin : une information judiciaire contre X a été ouverte pour utilisation inappropriée de produits phytopharmaceutiques dans l’affaire de Villeneuve près de Blaye en Gironde où plus d’une vingtaine d’enfants et une enseignante avaient été intoxiqués suite à des épandages de pesticides du mois de mai 2014.
L’affaire avait été classée sans suite après le rapport de la Draaf par le parquet de Libourne. « On avait constesté ce classement sans suite du 23/4/2015 », commente François Ruffié, avocat de la Sepanso, « et envoyé une lettre recommandée avec accusée réception. Hier on a reçu ce message pour savoir si nous souhaitions nous constituer partie civile avec cette ouverture d’une information judiciaire contre X pour utilisation inappropriée de produits phytopharmaceutiques », suite aux épandages du 5 mai 2014. Le parquet de Libourne a confirmé l’ouverture de cette information durant la deuxième semaine de décembre : ce sera au magistrat instructeur de faire toute la lumière sur cette affaire.
Bien sûr la Sepanso, représentée par Me François Ruffié avocat à Libourne, va se constituer partie civile: « on se réjouit car on avait assisté à un grand débat public (l’affaire avait ému Ségolène Royal à l’époque). Il y a une législation sur la question, il faut qu’elle soit appliquée. Pour nous l’infraction est parfaitement constituée. »
Et Daniel Delestre, Président de la Sepanso Gironde, interviewé cet après-midi de confirmer ce sentiment : »nous sommes extrêmement satisfaits. On avait essayé d’agir auprès de la justice pour signaler ces faits répréhensibles d’épandage de produits phytosanitaires dans des conditions de vent dans lesquelles une institutrice et une vingtaine d’ élèves en avaient subi les conséquences facheuses, puisque l’institutrice avait fini à l’hôpital et donc ça me paraissait totalement anormal ; et donc on est content que la justice s’empare de cette affaire. »
« Les élèves étaient pris de vomissements d’autres avaient les yeux qui leur piquaient, le professeur avait arrêté la classé et empêchait les enfants de sortir en récréation, c’est quand même totalement anormal, qui plus est dans un pays de tradition viticole. Donc il faut que la justice fasse la lumière sur cette affaire, c’est important. » Et de préciser que ces produits avaient été épandus alors qu’il y avait pas mal de vent, comme l’indiquaient les relevés de vent de Météo France à Mérignac, supérieur à Force 3.
Pour aller plus loin :
Il faut mieux vivre
à l’Ouest Parisien ou à Paris
qu’au
nord-ouest 77
ou
en Seine St Denis
La Seine et Marne 2ème département d’IDF où les hommes meurent le plus de cancers de la trachée, des bronches et du poumon. (1)
Au regard de la carte on trouve des communes particulièrement touchées au nord-ouest 77, pour ne citer qu’elles :
Othis
- commune située à proximité de l’aéroport de Roissy où ADP (chaudière) est classée 4ème plus important émetteur de poussières totales (particules) dans l’air d’Ile de France en 2013
- commune située au milieu des champs cultivés par l’agriculture intensive
- commune survolée par les avions de l’aéroport de Roissy
Mitry-Mory et Compans
- communes qui « accueillent » la plus importante zone industrielle d’IDF (7 sites Seveso dont un incinérateur de déchets dangereux, 2 usines à bitume…..)
- communes situées à proximité de l’aéroport de Roissy où ADP (chaudière) est classée 4ème plus important émetteur de poussières totales (particules) dans l’air d’Ile de France en 2013
- communes situées au milieu des champs cultivés par l’agriculture intensive
- communes survolées par les avions de l’aéroport de Roissy
- communes bordées par la RN 2
Courtry
- commune où est située l’ancien site du Commissariat à l’Energie Atomique fort de Vaujours
- commune riveraine de la plus importante décharge de déchets dangereux de France, classée Seveso à hauts risques Sita Fd Villeparisis
- commune riveraine de l’usine Placoplatre de Vaujours classée 5ème plus important émetteur de poussières totales (particules) dans l’air d’Ile de France en 2013
- commune bordée par des champs cultivés par l'agriculture intensive
Le Pin
- commune qui « accueille » l’usine de plâtre Siniat
- commune voisine de la plus importante décharge de déchets dangereux de France, classée Seveso à hauts risques Sita Fd Villeparisis
- commune située en bordure de la francilienne
- commune située au milieu des champs cultivés par l’agriculture intensive
Villeparisis
- commune qui « accueille » la plus importante décharge de déchets dangereux de France classée Seveso à hauts risques Sita Fd Villeparisis
- commune qui accueille une carrière Placoplatre remblayée par des déchets
- commune riveraine de l’usine Placoplatre de Vaujours classée 5ème plus important émetteur de poussières totales (particules) dans l’air d’Ile de France en 2013
- commune bordée par la Francilienne et la RN3.
C’est là au nord-ouest 77 que
Marisol Touraine
n’accepte pas de financer
une étude épidémiologique réclamée par la population.
(1) Etude ORS
http://www.ors-idf.org/dmdocuments/presentations/2015/2015-11-27_ors_COREGvDef.pdf
Qu’est-ce qu’une étude épidémiologique : pour faire court, c’est une étude de l’état de santé
de la population.
Depuis plus de 60 ans l’ETAT et le Conseil Régional IDF ont favorisé l’implantation de sites polluants sur ce secteur, sans jamais financer d’étude épidémiologique ni même faire d’état des lieux : air, eau, sol et bruit.
Aujourd’hui, sous prétexte que Ségolène Royal a décidé d’octroyer 150 000 € pour faire une étude de zone au nord-ouest 77, Marisol Touraine dit vouloir attendre les résultats de cette étude qui devrait durer près de 5 ans, pour « peut-être » engager ensuite une étude épidémiologique sur ce secteur.
Pour ADENCA le compte n’y est pas.
L’étude de zone décidée par Ségolène Royal consiste simplement à faire un état des lieux de l’environnement : air, eau, sols. Le bruit n’est même pas pris en compte.
L’étude de zone ne couvre même pas toutes les communes du bassin versant Beuvronne (1), en effet les communes qui accueillent les sources de la Beuvronne et de la Biberonne n’ont pas été retenues, ni même certaines communes qui « accueillent » des décharges, ni même un certain nombre de communes qui subissent la pollution d’aéroport de Roissy où sur lesquelles sont pratiquées l’agriculture intensive, il s’agit de :
Mousssy-le- Neuf, Moussy le Vieux, Mauregard, Othis, Dammartin-en Goële, Longperrier, Montgé-en-Goële, Vinantes, Cuisy, Le Plessis-aux-bois, Le Plessis-l’Evêque.
Petit peuple du bassin versant Beuvronne n’acceptez plus que l’argent de vos impôts soit utilisé pour les autres, c’est aujourd’hui que votre argent doit être utilisé pour protéger votre santé et pas dans plusieurs années.
(1) http://www.sdvp77.fr/wp-content/uploads/2012/12/Beuvronne_cle0b2d74.pdf
Paru dans le Quotidien des médecins :
04.12.2015
·
Le Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM), en collaboration avec l’Alliance Européenne pour la Santé et l’Environnement (HEAL), l’Association Médicale Mondiale (AMM) et la Fédération Internationale des Associations des Etudiants en Médecine a organisé, en marge des négociations de la COP21, un événement intitulé : « Les professionnels de santé en action pour des énergies et un climat sains ».
Membre de l’Association médicale mondiale, qui mène depuis 2009 un combat pour encourager l’implication de médecins dans les actions liées au climat, le CNOM a signé l’Appel de l’OMS pour le climat et la santé et a tenu à se positionner clairement sur la question qui occupe actuellement à Paris tous les dirigeants de la Planète. Pour son président, le Dr Patrick Bouet, « les changements climatiques sont avant tout une question de santé publique ».
Si l’omniprésence de l’utilisation des énergies fossiles dans toutes les économies de la planète constitue une menace avérée pour la santé publique, à l’instar de ces 80 nouvelles centrales à charbon actuellement en construction en Turquie et dénoncées par le Dr Bayazit Ilhan de l’Association médicale turque, alors les professionnels de santé doivent élever la voix et s’impliquer davantage. C’est en substance le message que le Dr Maria P. Neira, directrice du département de l’OMS Santé publique et environnement, a fait passer à ses confrères.
En accord avec le Dr Bouet qui a rappelé qu’il était désormais « impératif de faire appel aux organisations médicales professionnelles pour exhorter les politiciens locaux à limiter les émissions dans nos villes », le Dr Neira a souligné de son côté l’urgence de « mobiliser la communauté médicale pour agir sur les changements climatiques ».
Selon elle, « les médecins ne doivent plus uniquement se concentrer sur le soin, mais également rappeler aux hommes politiques qu’il est primordial de régler le problème ». Son souhait : « Entendre plus de médecins s’exprimer sur le sujet de la santé et des changements climatiques ». L’enjeu est désormais d’être en mesure de « fournir des données précises prouvant le bénéfice des actions déjà entreprises dans le sens d’un changement vers moins d’émissions de gaz toxiques et à effet de serre ».
Qu’il s’agisse du Dr Isabella Annesi-Maesano, de la Société respiratoire européenne (ESR), du Dr Frederica P. Perera, du Centre Columbia (USA) pour la santé environnementale des enfants ou du Dr K. Srinath Reddy, de la Fondation indienne de Santé Publique, le constat est pour tous le même : l’utilisation des énergies fossiles influence directement la santé des personnes et élève significativement la prévalence et l’incidence des affections respiratoires dans le monde.
Pour le Dr Tadeusz Zielonka, de la Société polonaise des maladies pulmonaires, « ces faits doivent désormais être enseignés et connus de tous les médecins. D’un spécialiste des maladies, le médecin doit désormais se muer en spécialiste de la bonne santé ».
Alors que faire ? « Il est désormais évident que beaucoup d’éléments qui ont un impact négatif sur la santé publique ne dépendent pas ou plus des seuls ministères de la Santé », constate Sir Andy Haines, de la London School of Hygiene and Tropical Medecine. L’une des voies qu’il conviendrait selon lui d’emprunter passe par « la constitution dans tous les gouvernements nationaux d’un cabinet transministériel en charge des questions d’environnement et de santé ».
Pour que les changements nécessaires puissent se produire, il est également essentiel, selon le Dr Neira, de « sans cesse rappeler qu’éliminer les risques environnementaux permettrait de sauver 13 millions de vies par an ».
Benoît Thelliez
Il a 7 ans et vient de fêter son anniversaire pour la 3ème fois sans sa maman décédée d’un cancer à 35 ans.
Il a 5 ans, il y a 2 ans déjà on lui a détecté un cancer du rein, la chimio, il connaît, les examens médicaux, il connaît, les hôpitaux, il connaît.
Aujourd’hui il retourne à l’école, sauf les jours où il doit subir de nouveaux examens médicaux.
C’est un ado qui demandait seulement à vivre comme les autres, mais on lui détecte un cancer, on le transfère d’hôpital en hôpital, il se sent un peu seul, alors il envoie des mails à ses copains. Aujourd’hui il a repris le chemin de la classe, sauf les jours où il doit subir de nouveaux examens.
Ils viennent de perdre leur fille d’une quarantaine d’années atteinte de 2 cancers successifs qu’il ont soigné jusqu’à sa mort.
Il avait un peu plus de quarante ans, il est mort d’un cancer détecté moins d’un an auparavant, il manque à ses proches….
Paru sur le site Nature Environnement 77 :
Publié le 27 octobre 2015 par Nature Environnement 77
RASSEMBLEMENT FRANCILIEN ELUS-RIVERAINS
POUR L’ARRET DE L’AUGMENTATION DU NOMBRE DE VOLS
ET LA RÉDUCTION SUBSTANTIELLE DES NUISANCES AERIENNES
EN ILE-DE-FRANCE
MARDI 10 NOVEMBRE 2015, A 18 HEURES
MINISTERE DE L’ECOLOGIE
246, BOULEVARD SAINT-GERMAIN – 75007 PARIS
Inscription auprès du secrétariat de la Convergence Associative :
contact@convergence-associative.fr / 01 39 89 91 99
VENEZ NOMBREUX POUR DIRE NON A UNE CROISSANCE
SANS CONTRAINTES DU TRAFIC AERIEN EN ILE-DE-FRANCE
Plus que jamais, la menace d'augmentation du trafic aérien en Île-de-France est présente, conséquence prévisible du doublement annoncé du trafic mondial pour 2030, et corroborée par les prévisions d'investissements d'ADP, ainsi que par les carnets de commande des constructeurs d'avions.
Face à cette situation, la politique aéroportuaire du pays se résume en une gestion à saturation des aéroports existants, alors que les couloirs aériens survolent des zones très densément peuplées. Aucune mesure tangible n'a été prise ces dernières années par les pouvoirs publics, alors qu'il existe des solutions réalistes et applicables pour réduire les nuisances aériennes et protéger les habitants survolés de la région la plus peuplée de France.
http://www.environnement77.fr/2015/10/non-a-l-augmentation-des-nuisances-aeriennes.html
Le 23 octobre 2015 par Romain Loury
Des nanotubes dans l'air
Ce sont des enfants parisiens qui en font l’honneur: pour la première fois, des nanotubes de carbone, issus de la pollution atmosphérique, ont été retrouvés dans des poumons humains, lors d’une étude franco-américaine publiée dans la revue eBioMedicine.
Une première au monde, enfin presque: avant cela, ces nanotubes de carbone issus de la combustion (à ne pas confondre avec ceux produits de manière synthétique pour des applications industrielles) avaient été retrouvés dans les exsudats de survivants du World Trade Center, donc suite à une exposition massive et accidentelle.
Menée par Fathi Moussa, professeur de chimie à l’université Paris-Sud et pharmacien biologiste à l’hôpital Trousseau (Paris), et ses collègues, cette étude est la première à porter sur une exposition chronique à la pollution urbaine. Pour cela, les chercheurs ont étudié 69 lavages broncho-alvéolaires de jeunes asthmatiques, âgés de 2 mois à 17 ans, chez qui ces échantillons sont prélevés en routine dans les services de pneumo-allergologie.
A l’aide de différentes méthodes d’analyse (microscopie électronique à transmission, analyse dispersive en énergie par rayons X), les chercheurs ont observé, y compris à l’intérieur de cellules pulmonaires, des nanotubes de carbone d’un diamètre compris entre 10 et 60 nanomètres, et d’une longueur de plusieurs centaines de nanomètres. Les mêmes que ceux qu’ils ont retrouvés sur des pots d’échappement et dans de la poussière recueillie sur des fenêtres.
Des mécanismes à élucider
Quel impact sanitaire de ces nanotubes qui s’accumulent dans nos poumons? Certes, les effets des particules fines, en particulier les PM2,5 dont font partie ces nanotubes, ne font plus guère de doute: selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la pollution de l’air a tué 7 millions de personnes en 2012. Mais les mécanismes à l’œuvre demeurent encore peu connus, tant la pollution atmosphérique contient une grande variété de composants.
Menés chez l’animal, «des travaux ont déjà montré que lorsqu’ils sont longs ou qu’ils forment des agrégats, les nanotubes de carbone engendrent des granulomes inflammatoires» à l’intérieur des poumons, pouvant aller jusqu’au cancer, explique Fathi Moussa au JDLE. Pourtant, la taille des nanotubes découverts par les chercheurs semble inférieure à celle requise à cet effet, proche de l’amiante.
«Ce qui est certain, c’est que ces particules [du fait de leur petite taille] ont une très grande surface spécifique, qui leur permet d’adsorber un très grand nombre de composants» qu’ils côtoient dans l’air (gaz, métaux, autres particules), dont la toxicité serait renforcée par l’effet de concentration. En cela, ces nanotubes pourraient agir comme «nanovecteurs», avance Fathi Moussa, qui pointe les nombreuses inconnues quant à leur devenir.
Par arrêté préfectoral du 22/10/2015
le préfet Jean-Luc Marx autorise
Novergie St Thibault
à incinérer encore plus d’ordures ménagères
passant
de 140 000 tonnes à 155 000 tonnes.
Il faut bien incinérer les ordures ménagères des autres, car ce n’est pas pour incinérer un surplus de vos ordures ménagères mais pour incinérer les ordures venant d’autres départements, par exemple de l’aéroport de Roissy dans le Val d'Oise…
A l'approche de la COP 21 les émissions supplémentaires de gaz à effet de serre, M. le Préfet semble les avoir oubliées.
M. Jean-Luc Marx semble également avoir oublié que :
1° St Thibault des Vignes est l’une des rares communes de France à posséder 2 incinérateurs
2° L’'incinérateur d'ordures ménagères de St Thibault est classé parmi les plus gros émetteurs d'Ile de France en NOx en 2013 (1)
3° L'incinérateur d'ordures ménagères de St Thibault est classé plus important émetteur de Cadmium en IDF en 2005 (2)
4° L’'incinérateur d'ordures ménagères de St Thibault est classé parmi les plus importants émetteurs de chrome et de cuivre d'IDF en 2005 (2)
5° La blanchisserie industrielle Thimeau de St Thibault des Vignes est classée plus gros émetteur en France de Tétrachloroéthylène en 2013 (1)
6° La blanchisserie industrielle Thimeau de St Thibault des Vignes est classée parmi les plus importants émetteurs de COVnM d’IDF en 2013(1)
7° William Saurin est le 1er émetteur en Ile de France en 2013 de Gaz à effet de Serre
hydrochlorofluorocarbones (HCFC) (1)
8° La francilienne traverse cette commune où circulent en particulier beaucoup de véhicules diesel et notamment de camions (émissions de particules…)
Voici la liste du président et des vice-présidents du SIETREM
en charge de cet incinérateur
collectivité
qui a demandé l'augmentation de capacité d'incinération
à St Thibault des Vignes
pour toutes informations complémentaires
nous vous conseillons de les contacter
Michel GERES Président (maire de Croissy-Beaubourg)
Vice-présidents :
Xavier LEMOINE (maire de Montfermeil)
Jean-Louis GUILLAUME (adjoint au maire Vaires sur Marne)
Anasthasio DIOGO (adjoint au maire de Noisiel)
Christian PLUMARD (adjoint au maire de St Thibault des Vignes)
Hien Toan PHAN (adjoint au maire de Collègien)
Guillaume SEGALA (adjoint au maire de Chelles)
Lionel MARTINEZ (conseiller municipal de Lognes)
Christian ROBACHE (maire de Montévrain)
Jacky CUISINIER (conseiller municipal Courtry)
Dominique FRANÇOISE (adjointe à l’environnement Pomponne)
(1) Source site REP
(2) (1) étude d'airparif de 2008 indique que cet incinérateurhttp://www.airparif.asso.fr/_pdf/publications/Rapmontereau_biblio.pdf
Pour aller plus loin :
http://adenca.over-blog.com/2015/09/pollution-de-l-air-a-st-thibault-des-vignes-la-ville-aux-2-incinerateurs-jean-luc-marx-prefet-du-77-va-t-il-autoriser-l-augmentation