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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 11:56

 

 

 

Le rééquilibrage territorial  en Ile de France

des ordures ménagères et déchets industriels :

un leurre ! 

 

 

La Seine et Marne 

condamnée à perpétuité

à vivre au milieu des ordures des autres ? 

 

 

Analysons la situation :

Combien de décharges d’ordures ménagères et de déchets industriels à l’horizon 2015 en Ile de France ?

 

-1 dans les Yvelines à Guitrancourt :                                                                                                   100 000  tonnes

- 2 dans le Val d’Oise Plessis-Gassot et Attainville :                                                                        1 030 000 tonnes

-Et toujours 5 en Seine et Marne

Claye-Souilly, Fouju,  Monthyon, Isles les Meldeuses, Soignolles                                              1 765 000 tonnes.

-Probablement une décharge dans les Essonnes

à Vert le Grand ( la 6ème sur cette commune)                                                                                     220 000 tonnes ?

 

 

 

 

 

Pour aller plus loin :

Ceux qui ne veulent pas de décharges :

http://accet.groslieu.pagesperso-orange.fr/invitation/lettre-ouverte-l-gislative-partielle.pdf

http://www.adse-saintescobille.com/

 

ceux qui les supportent :

http://vert-le-grand-nature-environnement-officiel.over-blog.com/

http://ioplace.pagesperso-orange.fr/agora%2023%20oct%2010_BD.pdf

http://nature.environnement.77.over-blog.com/article-seine-et-marne-le-depotoir-prefere-des-entreprises-de-btp-de-l-ile-de-france-79219227.htm

 

 

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19 décembre 2011 1 19 /12 /décembre /2011 20:33

rep-01.2008.jpg

Décharge Veolia Claye-Souilly

 

 

 

 Un cadeau pour les fêtes de fin d’année

 

Les déchets de Limeil-Brévannes en route vers  

Claye-Souilly et Isles les Meldeuses

 

Les seine et marnais remercient

Madame Nathalie Kosciusko-Morizet

 

 

Paru sur le site France 3.fr

Publié le 19/12/2011 | 18:55

L'évacuation des déchets a commencé

Par Emmanuelle Hunzinger/AFP  

A Limeil-Brévannes dans le Val-de-Marne la montagne des déchets est en cours d'évacuation.

Les travaux d'évacuation des 150.000 m3 de déchets industriels entassés à Limeil-Brévannes (Val-de-Marne) ont commencé. L'objectif est d'évacuer 1000 m3 de déchets par jour. Le chantier de nettoyage devrait durer jusqu'en avril prochain.

Les premiers camions sont arrivés aujourd'hui  pour transporter les déchets vers leurs centres de traitement, à Isles-les-Meldeuses et Claye-Souilly (Seine-et-Marne), Bouqueval (Val d'Oise) et Guitrancourt (Yvelines). 1000 m3 devaient être évacuer par jour.

C'est la fin d'un long calvaire pour les riverains. Ils regrettent  néanmoins le temps perdu par les differents protagonistes de cette affaire. Ils se sont longtemps rejeté la balle.

Début septembre, la ministre de l'Ecologie Nathalie Kosciusko-Morizet avait officiellement lancé les travaux d'évacuation de cette montagne de déchets de 25 m de haut sur 200 m de long, qui a valu à son ex-gérant d'être condamné à 18 mois de prison avec sursis.

L'évacuation des déchets n'est pas sans risque.
Pour les ouvriers qui travaillent sur le site. Après analyse d'une première tranche à la surface de la montagne de déchets, des petits morceaux d'amiante ont été détectés dans 2 échantillons sur 52. Une méthodologie d'enlèvement adaptée doit encore être décidée.

Pour la nappe phréatique. Des risques sanitaires peuvent se produire en cas de rejet dans la nappe, sous le site, des eaux utilisées pour circonscrire les départs de feu sur la montagne et qui seraient chargées de sulfure d'hydrogène, un gaz dangereux.
Il n'y a pas de dégradation à ce jour de la qualité des eaux souterraines, selon le bureau d'études chargé d'analyser l'air et l'eau sur le site.

 Le coût des travaux est estimé à 15 millions d'euros, dont une partie est prise en charge par l'Ademe par des subventions du ministère de l'Environnement.

Un comité de suivi des travaux, qui doivent se terminer en avril, aura lieu fin janvier.

 

 

 

Lien vers l’article :

 http://paris-ile-de-france.france3.fr/info/l-evacuation-des-dechets-a-commence-71742927.html

__._,_.___

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14 décembre 2011 3 14 /12 /décembre /2011 15:03

 

 


 

Le Conseil Général 77

approuve un programme d'aménagement de l'espace naturel sensible ENS "des Olivettes" à Trilbardou et Charmentray ouvert au public

 

Financé par les deniers publics gérés par le Conseil Général 77

à hauteur de 600 000 € (1)

 

alors qu'un projet de décharge déposé par la Sas Vitrans est à l'étude auprès des services de l’Etat à Trilbardou  sur un terrain voisin du site des Olivettes au lieudit  "Les sables sud" "Les Granges"

 


Avant d’engager  600 000 € de denier public, le Conseil Général 77 ne devrait-il pas attendre la  décision  de  Monsieur le Préfet de Seine et Marne d’accorder ou non  l’autorisation d’implantation d’une nouvelle décharge au nord ouest 77 sur la commune de Trilbardou ?

 


Les populations du nord-ouest 77 n’auront-ils plus le choix que  de se promener :

- soit au bord d'une décharge comme à Annet sur Marne « lieudit les Gabots » ?

- soit sur une ancienne décharge comme à Claye-Souilly ?

- soit à Trilbardou à proximité d’une décharge, si le projet est accordé par Monsieur le Préfet ? 

 

 

(1)Rapporteurs : Messieurs Arnaud de Bellenet et Jean-Jacques Marion

http://www.seine-et-marne.fr/rapports-et-deliberations/122984?pager.total=5&pager.num=&pager.search=olivettes&pager.offset=0&pager.size=5 

 

 

trilbardou olivettes 001

Source : CG77

 

La route que devrait emprunter les camions venant déverser les déchets dans la future décharge se trouve au bord du parking , poste d'observatoire secondaire, sur le plan,  à droite.

(le nombre de camions empruntant cet itinéraire devrait être d'environ 200 par jour ( pour l'aller-retour ).

Le projet de décharge se situant sous une partie de la légende sur un espace agricole.

 

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5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 19:07
Deux décharges de déchets inertes de Seine et Marne  
reçoivent des déchets amiantés
et ne  respectent pas la législation européenne :
 GLEM SA
BARBEY, MAROLLES-SUR-SEINE, MISY-SUR-YONNE "Les 30 Arpents"
Sté APRR
LA CHAPELLE-LA-REINE "La Mare Assieuse"

 


Paru dans le journal de L'environnement :
La France épinglée pour ses décharges de déchets amiantés

Le 01 décembre 2011 par Stéphanie Senet

>  ,

La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) accuse la France, aujourd’hui 1er décembre, de ne pas avoir mis en place de mesures suffisantes pour l’élimination des matériaux de construction contenant de l’amiante.

 

La procédure à l’encontre de la France se poursuit. Après avoir été saisie en octobre 2010 par la Commission européenne, les juges de la CJUE ont estimé que le recours en manquement était fondé: l’Hexagone ne traite pas les déchets de construction contenant de l’amiante dans des décharges appropriées.

 

Alors que l’UE considère ces déchets comme dangereux, elle impose de les traiter dans des installations de stockage de déchets dangereux, ou dans des installations destinées aux déchets non dangereux s’ils sont entreposés dans une unité distincte suffisamment confinée pour éviter la dispersion des fibres (1).

 

Dans son arrêt (2), la Cour juge que «la zonede stockage doit être recouverte chaque jour et avant chaque opération de compactage par des matériaux appropriés. La décharge ou l’unité nedoivent faire l’objet d’aucuneopération susceptible d’entraîner une libération des fibres». Elle précise qu’après la fermeture, «un plan doit indiquer l’emplacement où les déchets d’amiante sont conservés et des mesures doivent être prises pour limiter les éventuelles utilisations du sol pour éviter tout contact humain avec les déchets».

 

La réglementation française (3), en considérant ces déchets comme des déchets inertes non dangereux, ne respecte donc pas la législation européenne. Si Paris ne rectifie pas le tir rapidement, la France sera condamnée à des sanctions pécuniaires.

 

Ce contentieux communautaire s’ajoute aux manquements français sur l’eau et sur la qualité de l’air (JDLE).

 

(1)   directive du 26 avril 1999 sur la mise en décharge des déchets

(2)   http://curia.europa.eu/juris/document/document.jsf?text=&docid=115787&pageIndex=0&doclang=fr&mode=lst&dir=&occ=first&part=1&cid=1

(3)   arrêté du 15 mars 2006

 

Lien vers l’article :

http://www.journaldelenvironnement.net/article/la-france-epinglee-pour-ses-decharges-de-dechets-amiantes,26259

 

directive du 26 avril 1999 sur la mise en décharge des déchets :

http://europa.eu/legislation_summaries/environment/waste_management/l21208_fr.htm

 

 

 

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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 22:48

 

 

Le Nord-Ouest Seine et Marne

ne serait-il pas considéré comme  une zone morte

où on implante les activités indésirables ?

 



placoplatre 16.5.2009 010 

Carrière Placoplatre Groupe St Gobain Villeparisis

 

 

La question est d’actualité.

 

Pour exemple le canton de Claye-Souilly : 7 décharges pour 6 communes.

 

Sans oublier :

- le remblaiement de la carrière de Bois le Comte à Villeparisis avec des déchets inertes, par le carrier Placoplatre, Groupe St Gobain

- les 3 nouveaux projets de décharges ou d’extension de décharges

sur les communes de Claye-Souilly et Annet sur Marne

 

Dans ce canton l’homme a eu l’ingéniosité d’édifier au plus près possible des zones habitées d’immenses décharges, en quelque sorte un laboratoire à ciel ouvert qui donne aux chercheurs l’opportunité de tester grandeur nature l’effet à long terme des doses de polluants sur la santé des « cobayes locaux ».


 

5 BMR 4.9.2011

Décharge illégale BMR Villeparisis

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8 novembre 2011 2 08 /11 /novembre /2011 21:16

 

 

 

_6597.jpg

 

Décharge d'Annet sur Marne Lieudit les Carreaux exploitant ECT 11/2/2009

 

 

 

 

Une nouvelle décharge à Claye-Souilly ? 

 

C’est dans cette commune qui possède déjà la plus importante décharge de France d’ordures ménagères et de déchets industriels Rep Veolia, qui a aménagé un parcours de santé sur une ancienne décharge illégale, que devrait peut-être encore s’implanter une décharge ?

 

En effet dans un courrier adressé le 29 septembre dernier à Monsieur Canepa, Préfet de la Région  Ile de France, Monsieur Huchon, Président du Conseil Régional Ile de France évoque un projet d’implantation d’une décharge sur cette commune.

 

Un accord financier est-il déjà entrain d’être négocié entre la commune de Claye-Souilly  et le futur exploitant de la décharge  pour compenser le préjudice subi par l’implantation de cette nouvelle  activité polluante ?

 

Pour plus amples renseignements sur ce dossier, rapprochez-vous de vos élus.

 

 

Un référendum ne serait-il pas nécessaire sur ce sujet ?

 

 

Les habitants de cette commune

doivent-ils encore supporter

 une nouvelle décharge

sans donner leur avis ?

 

 

 

 

 

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19 octobre 2011 3 19 /10 /octobre /2011 22:18

 

 

rep-01.2008.jpg

 

 

 

Si on parlait de ces ordures du Val de Marne, de Limeil Brévannes, que Madame Nathalie KOCIUSKO-MORIZET va faire  enterrer en Seine et Marne  dans la décharge de déchets non dangereux de Claye-Souilly.

 

            Pourquoi ne pas appliquer le principe de proximité pour éliminer ces déchets ? Là on ne parle plus de Grenelle de l’Environnement, ni de gaz à effet de serre.

 

 

 

Qu’en pense les maires des communes d’implantation

de cette décharge Veolia ? 

 

- Monsieur le député maire de Claye-Souilly Yves Albarello (groupe UMP)

- Monsieur le maire de Fresnes sur Marne Jean Lefort

- Monsieur le maire de Charny  Xavier Ferreira.

                                  

 

Nous ne les avons pas entendu s’exprimer sur le sujet ? 

 

Il est vrai que les élus de  ces communes ont instauré

une taxe sur les déchets réceptionnés

dans une installation de stockage de déchets ménagers et assimilés.


Plus Veolia Claye-Souilly reçoit de déchets,

plus ces communes perçoivent d’argent


Cette taxe s’élève à 1.50 € la tonne de déchets entrant dans l’installation 

(que ces 3 communes se partagent avec 2 communes riveraines)

 

Exemple :  100 000 tonnes de déchets X 1.50 €

= 150 000 €

 

         

   Ces sommes n’ont pas obligation à être utilisées dans des actions en faveur de l’environnement, c’est pourquoi ces communes ne donnent pas suite à la demande de notre association de financer une étude sanitaire autour de cette décharge qui fonctionne depuis près de 40 ans.


 

 

Article sur le même sujet :

http://adenca.over-blog.com/article-25133019.html

 

http://adenca.over-blog.com/article-25177186.html

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12 octobre 2011 3 12 /10 /octobre /2011 14:38

 

 

Après l’aqueduc de la Dhuis entre Villevaudé et le Pin qui devrait être vendu aux carriers, c’est une décharge qui devrait voir le jour en bordure de la forêt régionale de Montgé en Goële.

Pourquoi le Conseil Régional (Agence des Espaces Verts) ne s’est-il pas porté acquéreur de ces hectares de terres et bois afin de protéger la lisière de la forêt? Pour les laisser  aux démolisseurs ?

 

 

« Puisque chez vous tout est foutu,

pourquoi ne pas en rajouter une couche »

 

 

 

Montgé-en-Goële

 

Projet de décharge

entre

 la forêt régionale

et les espaces agricoles 


MONTG2 EN GO^LE 11102011 

Allée de platanes en bordure de la Forêt Régionale de Montgé-en-Goële


Afin de déverser leurs ordure

  Afin de déverser les ordures en provenance de leurs chantiers de démolitions du BTP d’Ile de France et des départements limitrophes, les entreprises Brunel http://www.brunel-demolition.fr/ de Montfermeil (93) et Picheta de Pierrelaye (95) ont jeté leur dévolu sur la Seine et Marne. 

 

 

« En Seine et Marne ils ont de la place »

 

Montgé en Goële 27.9.2011 2

C'est derrière ce bois que devrait être implantée la décharge.

 

Un site à l’abri des regards à Montgé-en-Goële entre la forêt régionale plantée de chênes, châtaigniers et hêtres plus que centenaires et les espaces agricoles, caché derrière une épaisse  haie d’arbres, la situation est idyllique pour ces démolisseurs mais pas pour les seine et marnais qui voit régulièrement  leurs champs et leurs bois disparaître pour faire place à des décharges.

 

Mais en Seine et Marne ce n’est pas le sujet, ici on parle d’argent, la majorité des  élus se préoccupent principalement des taxes perçues par leurs collectivités grâce à l’implantation de ces activités polluantes sur nos communes, mais pour en faire quoi ?

 

- Une étude sanitaire pour connaître les effets de ces sites polluants sur l’environnement (eau, air, sol..) ou sur la population, le financement de points de contrôles de la qualité de l’air ? pas à notre connaissance.


  - Pour construire plus de routes pour permettre aux camions d'acheminer plus facilement ces ordures sur  notre département ? vraisemblablement.

 

 

-  Pour faire un concours : la commune la plus fleurie, la mieux décorée, celle qui aura la plus belle médiathèque, la plus belle salle polyvalente ou qui offrira le plus de réceptions…. ? peut-être bien.



 

Avant de donner des avis favorables encore et encore pour l’implantation de décharges et sites polluants  ces mêmes élus ne devraient-ils pas demander l’avis à leurs administrés et penser un peu plus aux risques de ces établissements polluants  sur l’environnement et sur la santé des populations et notamment des plus fragiles :

les jeunes enfants ?

 

Favoriser la création d’emplois c’est bien, mais  dans des activités non polluantes.

 

Il est vrai qu’aujourd’hui quelle entreprise souhaiterait s’implanter auprès d’une décharge sinon une autre décharge.

 

Il est bien tard pour le nord-ouest de la Seine et Marne,

mais à qui la faute ?

 

MONTG2 EN GOÊLE 11.10.2011

Allée de platanes en bordure de la Forêt Régionale de Montgé-en-Goële



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11 octobre 2011 2 11 /10 /octobre /2011 17:11

 

CE QU'ILS ONT FAIT DU NORD SEINE ET MARNE

DECHARGES ILLEGALES 

 

 

 

 

wIAME 11-05-01 1 

  Sté WIAME Cocherel (photos 11/5/2011)

 

 paté 25.4.2011 0390

 Sté Paté Villeparisis (photo 25/4/2011)

 

 

 


 

 5 BMR 4.9.2011

 Sté BMR Villeparisis (photo 4/9/2011)

 

 

 1 GVTP cOUPVRAY 6.9.2011

 Sté GVHTP Coupvray (photo 6/9/2011)

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3 octobre 2011 1 03 /10 /octobre /2011 21:20

 

 

 

Pourquoi La Seine et Marne  n'organise-t-elle pas 

 de colloque déchets BTP

alors que le Val d'Oise l'organise ?


  Pourquoi Aéroport de Paris était-il invité à ce colloque du Val d'Oise ?

 


Où iront les déchets BTP des futurs travaux du Grand Roissy ?

En Seine et Marne ? 


 


Extrait réponse de Monsieur le Préfet de Seine et Marne à ADENCA , en date du 23 août 2011  

 

« …. Vous sollicitez l’organisation d’un colloque sur ce sujet. Je souligne que dans le cadre de l’élaboration du PREDEC (1), les associations de défense de l’environnement sont associés aux travaux préparatoires. Je souhaite donc à ce stade prendre acte des orientations et directives du PREDEC (1) avant d’envisager unecommunication spécifique départementale. »

 

 (1) Plan Régional d’Elimination des Déchets de Chantier

 

 

Paru sur le site de l’ORDIF :

Publié le 2011-05-22

 

BTP : l’engagement du Val d’Oise.

 

Le Val d’Oise a organisé un colloque sur les déchets du BTP.

Le Val d'Oise s'est doté d'un « Plan de gestion des déchets du BTP et des travaux publics dans le Val d'Oise », qui a été signé par le Préfet le 18 août 2004. Le groupe de rédaction du plan, a rédigé aussi une  « Charte pour une gestion durable des déchets du BTP dans le Val d’Oise », document  qui vise d'une part, à rendre concrètes et contractuelles les recommandations du Plan et d'autre part à impliquer les acteurs/producteurs des déchets du BTP.

En 2009, cinq après la signature de la Charte de 2004 , une étude « retour-expérience » sur la mise en œuvre de la « Charte pour une gestion durable des déchets du BTP dans le Val d'Oise », a été menée auprès de 22 sur 32 signataires.  Malgré des expériences très positives, cette étude fait ressortir une application insatisfaisante de ce document.

 

Afin de sensibiliser à nouveau les acteurs de la construction, Monsieur le Préfet, a présidé un colloque sur les déchets du BTP dans le Val d'Oise, le 10 mai 2011.

 

Cette rencontre visait à relancer la dynamique, présenter de nouveaux outils de gestion et de suivi et aussi à informer les acteurs/producteurs de déchets du BTP, sur l'évolution de la réglementation des installations de stockage des déchets inertes (ISDI) et de l'impact du Grenelle 2 en matière de déchets du BTP.

Après une entrée en matière par Monsieur le Préfet, les acteurs présents ont été invités à signer l'engagement. ADP, le Conseil Général et l'UNED ont ensuite présenté des exemples. Le bilan du plan et de la charte de 2004 a été exposé pour déboucher sur les nouveaux outils proposés, et le colloque a été clôturé par M. Vaillant, du ministère de l'écologie.

En période de transfert de la compétence à la région, en attendant la sortie du Plan Régional d’Elimination des Déchets de Chantier – PREDEC (1) - prévue en 2012,  il a paru opportun de relancer la démarche initiée en 2004 et d'inviter les signataires de 2004 à renouveler leur engagement en faveur de la gestion durable des déchets du BTP, mais aussi de proposer à l'ensemble des acteurs/producteurs de déchets de chantier, de rejoindre les 32 acteurs  déjà engagés dans cette démarche de gestion durable.

Source : Direction départementale des Territoires du Val d’Oise (DDT)

 

 

lien vers l'article : http://www.ordif.com/public/article_archiver/?id=15389

 
 (1) Plan Régional d’Elimination des Déchets de Chantier

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