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18 juillet 2012 3 18 /07 /juillet /2012 11:56

La Seine et Marne

ne doit pas accueillir en plus ces  déchets radioactifs

à faire disparaître

et que personne  ne veut. 

 

Nous vous rappelons que ce département reçoit déjà  les ordures des autres

citées ci-dessous :

- les ordures ménagères

- les déchets industriels

- les déchets dangereux

- les déchets du bâtiment

- les Déchets à Radioactivité Naturelle Renforcée.

 

Nous demandons à Madame Christine Gilloire, habitante de Seine et Marne et représentante de FNE (citée dans cet article) de nous soutenir pour faire respecter la Chartre de l’Environnement (1) et permettre aux Seine et Marnais de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé.

 

(1) http://www.developpement-durable.gouv.fr/La-Charte-de-l-environnement.html 

Paru sur le site 20 minutes :

Plus d'un million de mètres cubes de déchets radioactifs à faire disparaître

Créé le 11/07/2012 à 14h40 -- Mis à jour le 11/07/2012 à 16h47

ENVIRONNEMENT - L'inventaire national des déchets radioactifs est publié ce mercredi...

Attention, terrain miné. 1,32 million de mètres cubes de déchets radioactifs ont été produits en France à la fin 2010, révèle l’inventaire national réalisé par l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) publié ce mercredi. Réalisé tous les trois ans, ce document offre une photo de l’ensemble des matières et déchets radioactifs précisant leur nature, leur quantité et leur localisation sur le territoire.

0,2% des déchets représentent 96% de la radioactivité

Issus à 59% de la production d’électricité nucléaire, les déchets sont classés selon leur niveau de radioactivité et leur durée de vie. Les plus dangereux sont les déchets à haute activité issus du traitement des combustibles usés. A la fin de l’année 2010, la France en comptait 2.700m3, vitrifiés et entreposés dans des tubes en inox sur les sites de La Hague et de Marcoule. Ils ne représentent que 0,2% des déchets nucléaires français mais 96% de la radioactivité stockée.

S’ils sont d’un degré de radioactivité moins élevé, les déchets de faible et moyenne activité à vie courte représentent eux 63% des déchets stockés: on compte en France 830.000m3 de produits utilisés dans l’exploitation et la maintenance des installations nucléaires (vêtements, outils, gants, filtres, effluents liquides ou gazeux…). Ils sont aujourd’hui majoritairement entreposés dans un site souterrain de l’Aube, qui en recueille 10.000m3 supplémentaires chaque année.

Suivre le rythme des démantèlements

Pour l’édition 2012 de l’inventaire, l’Andra s’est penché sur l’avenir: «Nous avons étudié deux scénarios: que se passerait-il en cas de poursuite de la production nucléaire avec des réacteurs ayant une durée de vie de cinquante ans et en cas de non-renouvellement du parc après quarante ans d’activité», explique Marie-Claude Dupuis, directrice générale de l’Andra. Car avec l’objectif du gouvernement de réduire la part du nucléaire dans l’électricité française de 75 à 50%, la gestion des déchets va devoir suivre le rythme des démantèlements.

«En cas de poursuite de la production, on arrive à 10.000m3 de déchets à haute activité après 2030 contre 90.000m3 en cas de non-renouvellement», chiffre Michèle Tallec, responsable de l’inventaire à l’Andra. Toutefois, pas d’inquiétude à avoir rassure Marie-Claude Dupuis: «Ces déchets sont très irradiants et nécessitent de grands espaces pour être stockés. Nous avons la place dans une zone entre la Meuse et la Haute-Marne où nous connaissons bien 30km² de sol calcaire.» Un nouveau centre de stockage, baptisé Cigéo (Centre industriel de stockage géologique) sera soumis au débat public en 2013 pour une entrée en service en 2025. «Ce projet est flexible et adaptable aux choix de politique énergétique», assure Marie-Claude Dupuis, qui estime à 100 millions d’euros par an le coût de la construction de ce nouveau site de stockage profond. L’argent viendra de la poche des producteurs de déchets, en vertu du principe pollueur-payeur.

«On ne s’est pas posé la question avant»

Mais ce site ne verra le jour que si les voisins acceptent de côtoyer ce cimetière de combustibles radioactifs. Christine Gilloire, représentante de France Nature Environnement (FNE) qui a participé au comité consultatif formé pour la réalisation de l’inventaire, rappelle que «ces déchets resteront dangereux très longtemps. Comment être sûr qu’ils n’auront pas de conséquences sur les générations futures? On ne s’est pas posé la question avant de s’engouffrer dans la voie du nucléaire».

L’inventaire, réalisé sur la base des déclarations des producteurs de déchets (EDF, Areva, CEA), est consultable en ligne, ainsi que des cartes de France permettant de visualiser les lieux de stockage ou d’enfouissement des déchets.

Audrey Chauvet

 

 

http://www.20minutes.fr/article/969729/plus-million-metres-cubes-dechets-radioactifs-faire-disparaitre

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6 juillet 2012 5 06 /07 /juillet /2012 15:54

 Concertation avec quels acteurs ?

 

 Les exploitants de décharges, les professionnels du déchet.... mais quelle concertation avec les populations du nord-ouest 77, celles qui supportent les ordures des autres ?

A cette question nous n'avons pas de réponse.

 

Pourquoi le Consei Régional d'Ile de France n'a pas accepté d'intégrer notre association à cette concertation ?

A cette question non plus nous n'avons pas de réponse.

 

 

Paru sur le site de l’ORDIF :

Déchets de chantier : concertation avec les acteurs.


La Région engage les discussions avec les acteurs franciliens sur les objectifs du PREDEC - plan régional de prévention et de gestion des déchets de chantier.


Suite au décret d’application de la loi gre
nelle 2, du 11 juillet 2011, la Région a engagé l’élaboration du Plan Régional de prévention et de gestion des DEchets issus des Chantiers du Bâtiment et des Travaux Publics (PREDEC). La première commission consultative a été réunie le 10 novembre 2011. Depuis, 5 groupes ‘experts’ constitués de représentants des fédérations du BTP, de maitres d’ouvrages publics et privés, d’associations, de professionnels de la gestion des déchets, d’élus, des services de l’Etat ainsi que d’experts, travaillent pour construire l’état des lieux pour l’année 2010 de la prévention et de la gestion des déchets du BTP en Ile-de-France.

Le futur plan devra fixer des objectifs de prévention et de recyclage des déchets de chantier aux horizons 2019 et 2025, et identifier les leviers et les moyens à mobiliser pour les atteindre. Dans cette perspective, la Région Ile-de-France a organisé le 24 mai dernier à la Maison de l’Architecture d’Ile-de-France une première session d’ateliers de concertationanimée par le cabinet Res Publica.

Ces ateliers sont basés sur la participation active des acteurs répartis par tables. Chaque table étudie une problématique précise, sur la base de fiches présentant les constats de la situation actuelle et de questionnements pour explorer et enrichir les pistes de recommandations. La matinée a ainsi été consacrée aux « Pratiques des maîtres d’ouvrages et objectifs du PREDEC », côté Bâtiment et côté Travaux Publics et l’après-midi aux « Filières de gestion et objectifs du PREDEC » pour les déchets non dangereux (DIB) d’une part et déchets inertes d’autre part.

Prés de 80 participants (collectivités, entreprises du BTP, professionnels de la gestion des déchets, associations, organismes techniques, …) ont pu échanger et travailler à des propositions concrètes après avoir enrichi les constats et les éléments de diagnostics apportés par la Région Ile-de-France.

Plusieurs témoignages ont également permis d’introduire ces ateliers :
Julien LERAY, GTM Bâtiment a fait le point sur les pratiques de tri sur les chantiers de bâtiment et sur freins et leviers pour augmenter les taux de valorisation de ces déchets.
Daniel BAUCHEREL, Conseil Général de Sei
ne-et-Marne, a présenté les pratiques développées dans les marchés publics de TP par le Conseil Général dans le cadre de la Convention d’Engagement Volontaire de Seine-Marne animée par le groupe ‘Ensemble 77’ qui réunit des entreprises, des maitres d’œuvre, et des maitres d’ouvrages du TP.
Erwan LEMEUR, FEDEREC – Directeur d’agence Paprec Chantier a présenté les possibilités d’amélioration des performances de recyclage par le développement d’installations performantes de tri des déchets de chantier du bâtiment,
Pascal PIAN, CSTP 77, Entreprise PIAN, a témoigné sur la mise en place d’u
ne plateforme de recyclage des déchets inertes mutualisée entre différentes entreprises de TP de Seine-et-Marne.

Les travaux d’élaboration du PREDEC se poursuivront jusqu’à la fin de l’année 2012. Une seconde session d’ateliers est en préparation. En 2013, le projet de plan et son rapport environnemental seront soumis à l’assemblée régionale avant d’être mis en enquête publique.

D’autre part, la seconde Commission consultative du Plan Régional d’Elimination des Déchets de Chantier (PREDEC) s’est déroulée le mardi 5 juin. A cette occasion, l’état d’avancement des différents groupes de travail ont été présentés.


Plus d’informations :
- Région Ile-de-France -  Direction de l’Environ
nement - Service « prévention et gestion des déchets » - Tel : 01 53 85 56 38 - Email : plansdechets@iledefrance.fr

Sur le site de l’ORDIF :
- article ORDIF « Déchets de chantier : [vidéo] participez à l’état des lieux. «
- article ORDIF « Déchets de chantier : lancement du plan. »

http://www.ordif.com/public/actualite/dechets-de-chantier-concertation-avec-les-acteurs.html?id=15846&rub=8986

 

 

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21 juin 2012 4 21 /06 /juin /2012 11:10
Une nouvelle décharge en Seine et Marne dans le site Natura 2000 de la Bassée exploitée par CEMEX 
La Sté CEMEX a obtenu l’autorisation d’exploiter une décharge ISDI
sur le site Natura 2000  de la Bassée pendant 20 ans.
C’est une première en Seine et Marne depuis 2007 le délai maximum d’exploitation accordé pour ce type de décharge était de 10 ans, aujourd’hui il passe à 20 ans.
Pour effectuer les travaux du Grand Paris, si comme aujourd’hui les entreprises du BTP ne font pas plus d’efforts pour recycler leurs déchets, elles auront besoin de matériaux et  de décharges, le secteur de la Bassée semble intéresser les professionnels du déchet pour plusieurs raisons :
- ses carrières de granulats
- son accessibilité par voie d’eau : la Seine.
En effet à l’aller on amènera des granulats  vers Paris et au retour  les péniches viendront reboucher les trous avec des déchets.
L’ouest parisien étant défavorable aux décharges, cela viendra comme d’habitude à l’est vers la Seine et Marne.
Un certain nombre d’élus de ce département étant favorables à ce type d’activité polluante trouvent là  des possibilités de convention financière avec les exploitants de décharges et par delà une recette pour leur collectivité, leur permettant de boucler leur budget.
La LIGUE DE PROTECTIONS DU OISEAUX
LPO
va-t-elle continuer à lier des partenariats
avec  Cemex qui va exploiter une décharge
sur le site Natura 2000 de la Bassée?
Les Grands partenaires Centenaire

L’ambition de la LPO à l’occasion de cette année exceptionnelle n’aurait pu prendre corps si de nombreux acteurs n’avaient pas accepté de relevé le défi. Qu’ils en soient ici remerciés chaleureusement. Certains nous accompagnent déjà depuis de nombreuses années, d’autres nous rejoignent ponctuellement ou dans la durée. Tous partagent cette volonté d’agir en faveur de la biodiversité.

Engagés aux côtés de la LPO dans la durée et sur de nombreux dossiers, les « Grands partenaires Centenaire » soutiennent également le Centenaire de la LPO.

CEMEX

Un des leaders de l’industrie des matériaux de construction (ciment, bétons prêts à l’emploi et granulats).

La question environnementale a été très tôt au cœur des préoccupations de CEMEX. En contact régulier avec les associations naturalistes et environnementales locales dans le cadre de l’exploitation de ses carrières, CEMEX a décidé, dès 1995, de formaliser ces échanges en créant le Collectif des Associations Partenaires (CAP). Ce collectif compte 18 membres (associations et conservatoires) et vise à encourager le dialogue et les actions concrètes avec le milieu associatif régional.
Fort de ce premier engagement, CEMEX s’est naturellement tourné vers un partenaire reconnu au niveau national pour ses compétences naturalistes, afin de poursuivre son action. En 2003, CEMEX et la LPO ont ainsi signé un partenariat renouvelé annuellement qui s’appuie sur 2 volets distincts :
- un mécénat financier : CEMEX soutient des programmes de préservation des espaces et des espèces gérés par la LPO. Depuis 9 ans ce ne sont pas moins de 31 programmes d’actions qui ont été concernés, dont parmi eux, ceux en faveur des marais de l’Ouest. Le Ministère de l’Ecologie, jugeant de l’exemplarité du partenariat engagé, a reconnu et mis en valeur ces derniers à travers la réalisation d’un film pédagogique (www.lpo.fr/partenariats/cemex).
- un plan d’actions : par ses connaissances de terrain, la LPO accompagne CEMEX dans la gestion environnementale de ses sites d’exploitation (suivi des espèces, gestion du patrimoine naturel…). Au travers d’échanges réguliers, les deux partenaires partagent également leur compréhension des sujets d’actualité ayant trait à la biodiversité (Grenelle de l’environnement, Trame Verte et Bleue…).
Ces deux volets sont, pour CEMEX et la LPO, complémentaires et cohérents. Ils s’enrichissent mutuellement d’année en année et tous deux contribuent de manière pragmatique à la préservation de la biodiversité, l’une des composantes majeures de la politique de développement durable de l’entreprise. L’organisation du réseau LPO, qui est proche de celle de CEMEX au niveau des implantations territoriales, permet l’obtention de plus de résultats. Ce partenariat trouve également une cohérence au niveau international à travers le rapprochement de Birdlife – dont la LPO est le représentant officiel en France – et de CEMEX International.
Ainsi, face aux enjeux de l’érosion de la biodiversité, ce partenariat constitue une réponse concrète de deux acteurs responsables et engagés, et participe en France aux démarches initiées par l’Etat pour protéger la biodiversité. Les Victoires CEMEX-LPO.
www.cemex.fr

 

 

http://centenaire.lpo.fr/partenaires100ans/

 

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 11:08

 

 

  Les déchets, une vérité qui dérange ?

 

Les  candidats aux élections législatives de la  7ème circonscription de Seine et Marne doivent se positionner sur ce sujet :

  


Vont-ils proposer le vote d’une loi pour  rééquilibrer l’implantation des décharges en  France et ne plus permettre à des populations de vivre dans les conditions dans lesquelles vivent  les habitants de cette circonscription ? 

 


1.2.2009--REMBLAIS-PAYSAGERS-ET-COMMUNES-CS-087.jpg

Décharge Claye-Souilly  " Les Remblais Paysagers" 1/2/2009

transformée aujourd'hui en parc « Papillon de la Prée »

http://www.77info.fr/article-1310-Ecologie-ENVIRONNEMENT

    

 

Canton de Claye-Souilly

6 décharges  pour 6 communes

 

Bientot une 7ème décharge ?


Nous venons d'apprendre que la Sté ECT vient de déposer le 13/4/2012 une nouvelle demande  d'exploitation d'une décharge sur la commune d'Annet sur Marne.

Rappelons que cette société possède déjà 2 décharges sur cette commune, qu'elle a obtenu une autorisation d'exploitation d'une décharge à Combs la Ville le 28 février dernier, qu'elle possède des décharges sur les communes de Villeneuve sous Dammartin, Moussy le Neuf, Brie Comte Robert, Moissy-Cramoyel...

 

 

Pour mémoire les avis favorables d'exploitation ou d'extension de décharges et d'installation de traitement de déchets qui ont été donnés sur ce canton en sa qualité de Maire de Claye-Souilly par Monsieur Yves Albarello, actuel Député de la 7ème circonscription :

 

Avis favorables :

 

- pour l’implantation d’une installation de traitement de déchets dangereux Paté Villeparisis (Conseil Municipal  4/4/2011), Claye-Souilly a été la seule commune de Seine et Marne consultée à donner  un avis favorable sur ce dossier.

 

- pour  la poursuite de l’exploitation de la décharge Terralia de Villevaudé (Conseil Municipal  3/4/2008)

 

- pour l’extension de la décharge Veolia Claye-Souilly qui est devenue la plus importante décharge de France de déchets ultimes (Conseil Municipal  29/3/2007)

 

- pour l’implantation d’une décharge à Claye-Souilly « Les Remblais Paysagers » autorisation 10/4/1998, qui est devenue une décharge illégale après le 31/12/2004  et jusqu’à l’arrêté municipal interruptif de travaux du 16/7/2007, 

décharge transformée aujourd'hui en parc http://www.77info.fr/article-1310-Ecologie-ENVIRONNEMENT

 

 

 

Parmi les élus qui soutiennent la candidature du député sortant, les  maires des communes suivantes ont donné des avis favorables soit pour l’implantation ou l’extension de décharges :

 

Annet sur Marne , Charny,  Fresnes sur Marne, Moussy le Neuf , Villevaudé.....

 

 

 

 

Pour aller plus loin :

Etat des lieux de la 7ème circonscription de Seine et Marne a été fait dans un précédent article :http://adenca.over-blog.com/article-seine-et-marne-7eme-circonscription-le-plus-gros-points-noirs-environnemental-d-ile-de-france-104651884.html

 

http://adenca.over-blog.com/article-la-7eme-circonscription-de-seine-et-marne-va-t-elle-sombrer-sous-les-ordures-104858508.html

 

http://adenca.over-blog.com/article-7eme-circonscription-de-seine-et-marne-environnement-le-grand-roissy-encore-plus-de-bruit-plus-104857870.html

 

http://adenca.over-blog.com/article-environnement-7eme-circonscription-de-seine-et-marne-la-beuvronne-l-une-des-rivieres-les-plus-degr-104817009.html

 

 

 

 

 

 

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1 juin 2012 5 01 /06 /juin /2012 11:04

 

A CEUX QUI FONT SUPPORTER AUX AUTRES

LE POIDS DE LEURS ORDURES

 

 

- A vous que ne triez, ni ne recycler vos déchets

 

- A vous qui déversez vos ordures depuis des décennies

  sur nos champs de Brie

 

- A vous qui nous traitez de « nimby » (1)ou parfois de bouseux

 

- A vous  qui participez à la destruction de notre environnement,

  de nos paysages

 

- A vous  qui  participez à la pollution de notre sol, de notre air

 

- A vous  qui  participez à la pollution de notre nappe phréatique,

  de nos  rivières.

 

 

Nous vous proposons une visite autour des décharges du nord-ouest Seine et Marne :

 

Pour constater :

- la noria de camions d’ordures qui circulent sur nos routes

 

- comment on a implanté une décharge à proximité d’une école maternelle

 

Pour voir :

- une rue à proximité d’une décharge où les riverains ont constaté

  un nombre important de cancers

 

- ce que devient une ancienne décharge fermée suite à une pollution

 

- la décharge illégale LGD (le même exploitant qu’à Limeil Brévannes)

   ou bien cette autre décharge illégale près de Disney…..

 

 


Nos enfants comme les vôtres

ont le droit de vivre dans un environnement propre.

 

 

 

 

 

 (1) http://fr.wikipedia.org/wiki/Nimby

 

 

 

 

 

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29 mai 2012 2 29 /05 /mai /2012 16:40

 

 

Le vrai Débat Public, c’est MAINTENANT ! 

 


C’est maintenant qu’il faut nous dire où iront les déchets du

Grand Paris.

 

C’est maintenant qu’il faut nous dire si on implantera  encore des décharges au nord-ouest 77.

 

C’est maintenant qu’il faut que les élus s’expliquent :

 

- pourquoi ont-ils donné des avis favorables encore et encore pour l’implantation ou l’extension de décharges sans concertation avec les populations ?

 

- pourquoi ont-ils signé des conventions financières avec des exploitants de décharges ?

 

 L’argent récupéré par leurs collectivités au travers de ces conventions et les taxes diverses sur les déchets ont été utilisés pour quoi ? :

       

-       Pour financer des études sanitaires à titre préventif sur la santé des

populations,  sur l'impact de ces sites polluants sur nos rivières, notre nappe phréatique, notre sol, notre air....? 

 

-       Pour financer  des dépenses somptuaires (1)  et inutiles en période de crise ?

 

 

Nous demandons des comptes !

 


 

 

 

 

(1) Relatif aux dépenses ostentatoires et luxueuses dans les cérémonies, dans les festins, dans les édifices….

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26 mai 2012 6 26 /05 /mai /2012 21:25

 

 

Pourquoi les Députés de Seine et Marne  n'ont pas  fait voter une  loi

pour interdire et taxer la mise en décharge et l'incinération

comme le font d'autres pays d'Europe

 

 

   

 

 

Combien d'emplois auraient pu être créés ?

 

 

 

 

Paru sur le site Europa Press releases Rapid :

 

Environnement: Les déchets valent de l'or, ou comment certains États membres transforment les déchets en ressource


Reference:  IP/12/369    Date:  16/04/2012

 

 

Commission européenne - Communiqué de presse

Environnement: Les déchets valent de l'or, ou comment certains États membres transforment les déchets en ressource

Bruxelles, le 16 avril 2012 – Les États membres les plus performants recyclent jusqu'à 70 % de leurs déchets et n'enfouissent pratiquement rien, tandis que d'autres mettent en décharge plus des trois quarts de leurs détritus. Comment les pays les plus performants ont-ils transformé les déchets, autrefois source de problèmes, en ressource ? Un nouveau rapport de la Commission européenne dévoile aujourd'hui la solution: grâce à l'effet combiné de plusieurs instruments économiques. Taxes et interdictions de mise en décharge et d'incinération, programmes de responsabilité du producteur et systèmes de tarification sont les outils les plus efficaces pour envoyer les flux de déchets sur des chemins plus durables. Si l'Union européenne veut atteindre les objectifs spécifiés dans la Feuille de route pour une Europe efficace dans l'utilisation des ressources, c'est-à-dire supprimer totalement la mise en décharge, maximiser le recyclage et la réutilisation des déchets et limiter la récupération d'énergie aux déchets non-recyclables, ces instruments économiques devront être répandus dans tous les États membres.

Janez Potočnik, membre de la Commission européenne chargé de l’environnement, a déclaré à ce propos: «Les déchets ont trop de valeur pour être uniquement éliminés. Si cela est géré correctement, cette valeur peut être réinjectée dans l'économie. Six États membres parviennent, à l'heure actuelle, à la suppression presque totale de la mise en décharge et ont un taux de recyclage élevé. Non seulement ces États exploitent la valeur des déchets, mais ils ont également créé une industrie prospère et de nombreux emplois. Ce rapport explique comment: grâce à une variété d'instruments économiques, ils ont augmenté l'attrait économique de la prévention, de la réutilisation des déchets et du recyclage. Nous avons la responsabilité, avec les États membres et les autorités locales, d'assurer l'utilisation efficace de ces instruments et leur diffusion dans toute l'Union européenne. C'est l'un des objectifs principaux de la Feuille de route pour une Europe efficace dans l'utilisation des ressources».

L'expérience des États membres a démontré que l'effet combiné des instruments suivants est le meilleur moyen d'améliorer la gestion des déchets:

·         Taxes et interdictions de mise en décharge et d'incinération – les résultats de l'étude sont sans équivoque: les taux de mise en décharge et d'incinération ont baissé dans les pays où interdictions ou taxes ont entraîné une augmentation des coûts de mise en décharge et d'incinération.

·         Les systèmes de tarification se sont révélés très efficaces pour prévenir la génération de déchets et encourager les citoyens à participer aux collectes séparées.

·         Les programmes de responsabilité des producteurs ont permis à plusieurs États membres de collecter et redistribuer les fonds nécessaires à l'amélioration des collectes séparées et du recyclage. Mais la rentabilité et la transparence varient énormément entre les États membres ainsi qu'entre les flux de déchets. Ces systèmes nécessitent donc une planification et un suivi minutieux.

Différences considérables entre États membres

Il y a des différences considérables entre les États membres en ce qui concerne la gestion des déchets. D'après un rapport publié par Eurostat le 27 mars (voir STAT/12/48), les six États membres les plus performants, c'est-à-dire la Belgique, le Danemark, l'Allemagne, l'Autriche, la Suède et les Pays-Bas mettent en décharge moins de 3 % de leurs déchets municipaux. À l'autre extrémité, neuf États membres mettent encore en décharge plus de 75 % de leurs déchets municipaux. Des statistiques récentes publiées par Eurostat soulignent les progrès constants réalisés par certains nouveaux États membres, où les taux de recyclage augmentent rapidement. La génération des déchets municipaux a également diminué dans plusieurs États membres, probablement à cause de la récession économique.

Instruments économiques nécessaires pour atteindre les objectifs de l'UE

Il faudra nécessairement reproduire ces instruments dans tous les États membres si l'UE veut atteindre les objectifs visés dans sa législation en matière de déchets et ses objectifs en matière d'efficacité des ressources. C'est la raison pour laquelle la possibilité de rendre leur utilisation juridiquement contraignante sera évaluée en 2014, lors d'un réexamen des objectifs de l'UE en matière de déchets. La Commission a également inclus la gestion rationnelle des déchets dans les conditions d'octroi de certains fonds européens (voir IP/11/1159 et MEMO/11/663)

Le déchet, un secteur prometteur

Entre-temps, la Commission encourage les États membres à mettre en œuvre de façon plus efficace la législation en vigueur en matière de déchets. La gestion des déchets et l'industrie du recyclage au sein de l'Union européenne ont réalisé un chiffre d'affaires de 145 milliards d'euros en 2008 et représentaient environ 2 millions d'emplois. L'application intégrale de la politique de l'UE en matière de déchets permettrait la création de 400.000 emplois supplémentaires au sein de l'Union et augmenterait de 42 milliards d'euros le chiffre d'affaires annuel du secteur (voir IP/12/18).L'amélioration de la gestion des déchets permettrait d'atteindre plusieurs objectifs généraux et spécifiques d'Europe 2020, une stratégie pour une croissance intelligente, durable et inclusive.

Pour plus d’informations

Le rapport et les résultats détaillés par État membre:

http://ec.europa.eu/environment/waste/use.htm

Rapport ESTAT sur la gestion des déchets municipaux:

STAT/12/48

Étude sur la modélisation macroéconomique du développement durable et des liens entre l’économie et l’environnement:

http://ec.europa.eu/environment/enveco/studies_modelling/index.htm#macro

Voir également:

http://ec.europa.eu/environment/waste/index.htm

Contacts :

Joe Hennon (+32 2 295 35 93)  

Monica Westeren (+32 2 299 18 30)

 


http://europa.eu/rapid/pressReleasesAction.do?reference=IP/12/369&format=HTML&aged=0&language=FR&guiLanguage=en

 

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25 mai 2012 5 25 /05 /mai /2012 20:17

1 GVTP cOUPVRAY 6.9.2011

Décharge illégale Coupvray

 

 

TRAVAUX GRAND PARIS

 

 

43 Millions de tonnes de déchets par an ?

C’est ce qu’on nous annonce. 

 

 

Pas de problème

ceux qu’on méprise,

les laissés pour compte,   

« les bouseux du nord-ouest Seine et Marne »  

 vont les supporter. 

 

 

Rappelez- vous  le 19 novembre dernier, pour « Sauver l’Aqueduc de la Dhuis » ces mêmes bouseux ont organisé une manifestation de près de 900 personnes, ont fait signé une pétition  de près de 5000 signatures et ont fait renoncer la Mairie de Paris.

 

 

Ce n’était qu’un début, puisque dans ce pays il semble qu'il faille sortir dans la rue pour faire respecter ses droits, ils le feront.

 

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19 mai 2012 6 19 /05 /mai /2012 15:18
Les travaux du Grand Paris vont initier des millions de tonnes de déchets ?
Où seront stockés ces déchets ?
En Seine et Marne ?
Est-ce possible
 de faire supporter encore et encore
à ces populations une telle injustice environnementale ?
Un vrai casse-tête pour les nouveaux ministres.
Paru sur le site Grand Paris et petits détours :
Gouvernement Ayrault: pour qui le Grand Paris?

Qui, de Cécile Duflot, nouvelle ministre de l'Egalité des territoires et du Logement  ou de François Lamy, ministre délégué à la Ville, sera en charge du Grand Paris? Pour Cécile Duflot, c'est clair et c'est elle. Evoquant la ville durable dans son discours lors de la passation de pouvoirs aujourd'hui, elle a fait cette précision: "C'est dans cet esprit que j'aborde les enjeux du Grand Paris dont l'animation m'incombe désormais et dont j'entends bien qu'il soit relancé en harmonie avec les principes du développement de la ville durable". Voilà, c'est à moi.

Grande fidèle du RER dont elle twitte régulièrement les dysfonctionnements, cette native ( et longtemps élue) de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) par ailleurs présidente du groupe EELV au conseil régional d'Ile-de-France, ne manque pas de légitimité sur le dossier. D'autant plus qu'elle en a été partie prenante: au moment où l'Etat et la région allaient signer (enfin) un accord sur les transports en Ile-de-France en janvier 2011, elle a refusé la signature de son groupe. Dans l'explication qu'elle donnait alors, et que l'on peut lire ici, elle mettait en particulier en avant la question de la desserte du plateau de Saclay. Les écologistes ne voulaient pas d'un éventuel passage du métro en surface et ils eurent temporairement gain de cause: la question de Sacalay ne figura pas dans l'accord du 26 janvier 2011. Il fallut encore des mois pour trouver un accord ultérieur.

Or, malgré ces faits d'armes, Cécile Duflot n'est pas la seule dans ce nouveau gouvernement à pouvoir revendiquer une expertise Grand Paris. François Lamy, maire de Palaiseau et président de la communauté d'agglomération de Paris-Saclay, s'y connaît également, c'est le moins que l'on puisse dire. Jusqu'à peu, il boycottait le conseil d'administration de l'établissement public de Saclay. Là encore, un accord a fini par être trouvé.  Et François Lamy a laissé entendre aujourd'hui que les jeux ne sont pas faits côté  pilotage du dossier.

Mais au delà du titulaire, où sera le centre de gravité du Grand Paris? L'accord transports est une petite affaire à 32 milliards d'euros sur dix ans minimum. François Hollande, alors candidat, avait assuré, dans une lettre au président de l'association des maires d'Ile-de-France (Amif) qu'il ne serait pas remis en cause. Mais qu'il faudrait remettre à plat le financement. Le futur président précisait aussi que le Grand Paris était, à ses yeux d'abord l'affaire des élus, avec toutefois "une feuille de route" côté solidarité financière. Une prise de position qui renforcera Paris Métropole, présidée en ce moment par le volontaire Patrick Braouezec.

Bref, le Grand Paris ne manquera pas de spécialistes. L'absence de Claude Bartolone au gouvernement semble confirmer en revanche que la fusion des quatre départements centraux de l'Ile-de-France, qu'il préconise,  n'est pas à l'ordre du jour. Mais c'était déjà dans la lettre de François Hollande.

 

http://grandparis.blogs.liberation.fr/vincendon/2012/05/gouvernement-ayrault-pour-qui-le-grand-paris.html

 

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17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 19:30

 

 

Une sénatrice de Seine et Marne nommée Ministre de l’Ecologie 

 

Est-ce un message fort envoyé à ce département  

considéré

 comme la poubelle de l’Ile de France ? 

 

 

Mme Bricq va-t-elle travailler en priorité sur le dossier du

rééquilibrage national des décharges

afin que jamais plus on ne fasse subir à d’autres

ce que les populations du nord-ouest Seine et Marne 

 subissent depuis tant de décennies ?

 

Attendons………

 

 

 

Paru dans le Parisien 77 :

Nicole Bricq nommée ministre de l’Ecologie

On attendait cette spécialiste de la fiscalité au Budget, voire à l’Economie. La parlementaire a hérité de l’Ecologie, un domaine qui ne lui est pas inconnu. A commencer par le dossier du pétrole de schiste.

faustine Léo | Publié le 17.05.2012, 07h09

 

 

MEAUX, le 16 AVRIL 2011. Nicole Bricq, encadrée par Eva Joly et Vincent Eblé, s’adressait ce jour-là à plus de 1500 manifestants contre l’extraction des pétroles et gaz de schiste en Seine-et-Marne. | (LP/Christel BRIGAUDEAU.)

 

Son nom circulait depuis plusieurs mois pour occuper un ministère. C’est presque sans surprise que Nicole Bricq, sénatrice (PS) de Seine-et-Marne, a fait hier soir son entrée au gouvernement. Mais à l’Ecologie, au Développement durable et à l’Energie, et non au Bugdet comme cela était attendu, elle qui est une spécialiste des finances publiques.

 « Je suis un peu étonnée, avoue celle qui a rendu un rapport sur la fiscalité environnementale en 1998, lorsqu’elle était députée, juste après avoir battu Jean-François Copé. Mais je suis un soldat. »

Et surtout pas une tête brûlée qui court derrière les honneurs, puisqu’elle a demandé cinq minutes de réflexion et des précisions avant d’accepter. Il y a quelques jours, elle redoutait « que les postes importants soient trustés par les hommes ». Elle a désormais sous sa responsabilité le ministre délégué aux Transports.

Nicole Bricq était jusqu’à maintenant rapporteur général du budget au Sénat. Un poste clé, où jamais une femme n’avait été désignée avant elle. Si le fait qu’elle soit une femme a pu influencer un président de la République en quête de parité, ses compétences sont reconnues, à gauche comme à droite. Elle a d’ailleurs été élue meilleure sénatrice de l’année 2011. Proche de François Hollande depuis 2009, bien avant qu’il soit sous les projecteurs de la présidentielle, femme de poigne, sèche mais bosseuse et intègre, elle a mené le combat contre le dernier projet de budget de Nicolas Sarkozy. Le contre-budget qu’elle a fait adopter au Sénat déroule le programme de François Hollande.

Née en Charente de parents bouchers, mariée au maire (PS) de Chelles, Jean-Paul Planchou, Nicole Bricq a été conseillère régionale dans les années 1980, puis directrice du Syndicat d’agglomération nouvelle du Val Maubuée, à Marne-la-Vallée. Elle reprend la politique en devenant la première femme députée du département en juin 1997, face à Jean-François Copé, à la faveur de la dissolution de l’Assemblée nationale. En 2004, elle accède au Sénat.

Inscrite au pôle écologique lors du dernier congrès socialiste, Nicole Bricq est devenue une ardente opposante aux compagnies pétrolières prêtes à tout pour extraire du pétrole de schiste dans le département. Elle a déposé une proposition de loi (non adoptée) demandant l’abrogation des permis et interdisant l’exploitation du pétrole de schiste. Les anti-pétrole de schiste pourraient trouver avec la ministre un relais à leur combat. « C’est dans mon portefeuille, concédait hier soir Nicole Bricq. Je dois aussi m’occuper du développement durable, du nucléaire, etc. » Elle ira ce matin « récupérer les clés du ministère ». « Comme NKM avait démissionné, j’espère qu’il y aura quelqu’un », s’amuse la sexagénaire, qui a aussi le sens de l’humour.

Le Parisien

 

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