YPREMA
Lagny sur Marne
traitement des déchets non dangereux
non respect des lois environnementales !
Article à lire sur le site
Le Marneux :
http://www.lemarneux.fr/2016/12/yprema-lagny-sur-marne-non-respect-des-lois-environnementales.html
ADENCA
Association de Défense de l'ENvironnement de Claye-Souilly et ses Alentours
"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le
mal,
mais par ceux qui les regardent agir et qui refusent d'intervenir."
Albert Einstein
YPREMA
Lagny sur Marne
traitement des déchets non dangereux
non respect des lois environnementales !
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Le Marneux :
http://www.lemarneux.fr/2016/12/yprema-lagny-sur-marne-non-respect-des-lois-environnementales.html
Déjà à Claye-Souilly les élus font promener vos enfants sur une ancienne décharge au lieudit « Le Parc de la Prée ».
Dans quelques années vous pourrez également promener vos enfants sur la décharge ECT d’Annet sur Marne, en effet l’industriel prévoit, après la fermeture de la décharge, d’y implanter une promenade au bord des lignes à Haute Tension.
CHATEAU-LANDON : LE MAIRE SOUTIENT LA POPULATION,
L’EXPLOITANT RETIRE SON PROJET DE DECHARGE
La présidente d'AIDe au milieu des adhérents
et de Monsieur le Maire de Château-Landon (2ème à droite)
Nous avons été conviés dimanche 26 avril 2009 a une petite fête organisée par l’association « AIDe Section locale de Château-Landon » à la suite du retrait du projet de décharge par l’exploitant la Société COVED.
En effet après une lutte de plusieurs années des riverains de cette future décharge (voir article du 20 avril 2009) et un avis défavorable du Conseil Départemental de l’Environnement et des Risques Sanitaires, la Société COVED a retiré son projet de 3ème décharge.
Après une courte allocation de la présidente remerciant Monsieur le Maire de Château-Landon, la fédération d’associations Seine et marne Nature Environnement 77 et notre association pour leur soutien, nous fûmes conviés à un buffet préparé par tous les membres de l’association.
Cela a permis de conforter les liens entre les associations du nord Seine et Marne et celles du sud pour un même combat :
« Pas tous les déchets dans notre jardin,
la Seine et Marne n’est pas un dépotoir »
Les participants ont promis de nous aider dans nos combats, nous avons distribué un CD intitulé les décharges autour de Claye-Souilly, présentant des photos des différentes décharges.
Les riverains de Château-Landon
restent toutefois très vigilants :
« un projet de décharge abandonné
La présidente d'AIDe en compagnie de la présidente de NE 77 ( à gauche)
Il est certain qu’à Claye-Souilly notre situation est beaucoup plus difficile, Monsieur le Député Maire, Yves Albarello, n’a toujours pas accepté de nous recevoir, le Grenelle de l’Environnement devait permettre aux associations de se faire entendre mais dans notre commune il en est autrement.
Site de la mairie de Château-Landon :
Fin du projet de décharge (CET n°3) | le 03-04-2009 à 15:30 |
FIN DU PROJET DE DECHARGE Par lettre du Préfet de Seine-et-Marne reçue le 27 mars dernier, nous avons l’immense plaisir de vous informer que la Société COVED a retiré son projet d’extension du C.E.T. 3, suite à l’avis défavorable du Conseil Départemental de l’Environnement et des Risques Sanitaires. Après toutes ces années de lutte, de démarches et d’interventions, de participations à l’enquête publique, que chacun et chacune d’entre vous soit remercié sincèrement pour sa contribution. Le Maire, Antoine DEFOIX
Pour plus amples informations, consultez : http://www.mairie-chateau-landon.fr/suite-actualites.php?id_news=41
Contact :
AIDe Section locale de Château-Landon
4. rue du Lieutenant Charron
77570 Château-Landon
Pour aller plus loin :
Le commissaire enquêteur donne un avis défavorable
Certains parmi vous sont bien désemparés pour aborder ce lourd dossier, c’est pourquoi nous avons décidé de vous aider.
Les communes de Villenoy, Isles les Villenoy, Mareuil les Meaux, la communauté d’agglo de Meaux ....vont être consultés.
Vous devez vous rapprocher de ces différents élus et leur demander la copie de leur réponse : avis favorable ou défavorable.
Quant à l'enquête publique, vous trouverez ci-dessous les informations
de la préfecture.
Il ne vous suffit pas de rencontrer le commissaire enquêteur, il est impératif que vous consigniez sur le registre d’enquête publique vos observations, vous pouvez le faire à plusieurs reprises pendant la durée de l’enquête, en écrivant directement sur le registre ou en y collant un courrier que vous aurez préparé à l'avance.
Vous pouvez demander à M. Claude Pouey (président de la commission d'enquête)
1° d'organiser une réunion publique
2° de prolonger le délai d'enquête publique de maximum 30 jours
Un parcours du combattant pour trouver les éléments du dossier, rien n’est groupé, vous devez aller sur 4 liens, 3 pour la préfecture 77 et 1 pour la DRIEE IDF.
A noter que l'enquête publique a débuté le 7/11/2016 mais qu'une partie du dossier n'a été mis en ligne par la préfecture 77 que le 15/11/2016 après qu'une association environnementale ait demandé des informations et la préfecture d'Ile de France n'a mis le reste du dossier en ligne que le 17/11/2016.
Nous ne vous cachons pas que nous-mêmes qui sommes habitués à traiter ce genre de dossier nous avons eu des difficultés à trouver tous ces éléments qui dans un souci de transparence auraient pus être regroupés
documents mis en ligne avant le début de l'enquête publique
document mis en ligne le 15/11/2016
document mis en ligne le 17/11/2016
http://www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr/terzeo-a-villenoy-a2842.html
La suite dans un prochain article……
Un peu plus de 2 heures ont été consacrés à cette réunion, amputée pour près d’un sixième de son temps par la présentation d’une étude biodiversité qui a coûté pas moins de 15 000 € à l’exploitant pour en quelque sorte reverdir son image.
Mais personne n’est dupe les 289 hectares de terres agricoles sur lesquelles on déverse depuis des années des ordures ne pourront pas être rendus à l’agriculture.
Les premiers à le savoir ce sont ces agriculteurs qui ont vendu à prix d’or leur terrain à la multinationale.
Les associations environnementales auraient préféré que les 15 000 € soient utilisés pour financer l’implantation d’un point de contrôle de la qualité de l’air sur l’école maternelle de Fresnes sur Marne.
Réduire le temps de paroles des associations environnementales, il semblerait que ce soit dans l’air du temps. Comme le disait un intervenant lors d’une récente réunion : « on a tous autre chose à faire… ».
Pour pallier à ce manque, ces associations ont décidé qu’après chaque CSS elles enverraient une demande écrite à l’exploitant, espérant qu’il daignera répondre ou que le sous préfet interviendra afin qu’une réponse leur soit donnée.
A la lecture du rapport d’activité nous apprenons que cette décharge « dite de déchets non dangereux » reçoit de plus en plus de déchets dangereux (amiante liée) , son tonnage a été pratiquement multiplié par 4 entre 2014 et 2015.
Un peu plus d’un tiers des ordures enterrées proviennent de Seine et Marne, les autres proviennent de l’IDF ( les hauts de Seine envoient de plus en plus d’ordures), du Loiret, de l’Oise, de l’Aisne, de l’Aube, de la Marne….
Une décharge qui est autorisée à recevoir des terres polluées de la France entière.
Elle reçoit également des pneumatiques usagés pour majorité de l’Orne, également de la Seine Maritime, du Nord, de la Meuse, du Jura, des Ardennes, du Bas Rhin…..
Pneumatiques broyés que la multinationale semble avoir des difficultés à revendre, puisque seulement un peu plus de 1000 tonnes ont été revendues à l’extérieur sur 9450 tonnes reçus.
Idem pour les mâchefers sur 188 000 tonnes reçues, un peu plus de 3500 tonnes ont été revendus à des clients extérieurs, Veolia Bouqueval sera destinataire d’environ 6000 tonnes et 72 800 tonnes resteront sur le site de Claye-Souilly mais nous ne savons pas comment ils sont utilisés, nous demandons des informations à ce sujet.
En plus des mâchefers des usines d’incinération de la région parisienne, de Monthyon et Vaux le Pénil, la décharge devrait recevoir également ceux de Montereau F.Yonne, située à plus de 80 kms de Claye-Souilly.
Quand au dit « bio gaz » qui devait alimenter un véhicule de la commune de Claye-Souilly, projet pour lequel Veolia a reçu des subventions de l’ETAT, l’installation est toujours à l’arrêt, il n’y a eu aucune production en 2013,2015 et 2016 jusqu’à maintenant, la production devrait repartir le mois prochain.
Pour mémoire cette décharge est l’un des plus importants émetteurs dans l’air de méthane de France et cela depuis de nombreuses années.
La Driee lui impose un état des lieux de ses émissions diffuses dans l’air, avant le 30/6/2017.
Veolia est également l’un des plus importants émetteurs d’IDF dans l’air de gaz SOx.
Les SOx proviennent essentiellement de la combustion des combustibles fossiles contenant du soufre (fuel lourd, fuel domestique, charbon).
Le dioxyde de soufre est un gaz irritant pour les yeux et les voies respiratoires, susceptible d’aggraver les troubles cardio-vasculaires. Les symptômes respiratoires sont accrus lorsque les oxydes de soufre sont associés à des teneurs simultanément élevées en particules. Le dioxyde de soufre est également à l’origine des pluies acides. (1)
(1) http://www.paca.developpement-durable.gouv.fr/les-emissions-de-dioxyde-de-souffre-sox-r1139.html
Trois villages ruraux de l’agglomération de Meaux risquent d’être durement impactés par le projet d’implantation d’une décharge de déchets dangereux de 7 hectares.
Une paille cette décharge, la surface d’environ 9 terrains de foot et le trou (alvéole) d’une profondeur d’un immeuble d’environ 3 étages.
Et puis le terrain est déjà pollué à l’arsenic, alors si on en rajoutait une couche, mais pas une petite couche, le projet prévoit d’y enterrer 1 030 800 tonnes de déchets dangereux. (environ 41 000 camions de 25 tonnes).
Les déchets ça peut rapporter gros !
Pour faire accepter son projet aux élus, l’industriel va-t-il signer un partenariat financier avec les communes de Villenoy, d’Isles les Villenoy, de Mareuil les Meaux, la communauté d’agglo de Meaux et le conseil départemental de Seine et Marne.
Nous n’en savons rien.
Ce que nous savons c’est que cette décharge se situera à moins de 500 m des habitations de Mareuil les Meaux.
Leurs jolies maisons, les habitants de
Villenoy, Isles les Villenoy et de Mareuil les Meaux
devront-ils les solder ?
En effet, qui voudra les acheter
et venir vivre
près d'une montagne de déchets dangereux ?
Pour aller plus loin :
A lire dans le journal le Parisien :
Sébastien Roselé|15 novembre 2016, 19h46
Villenoy. La société Terzeo veut construire, une usine de retraitement des gravats issus des chantiers du Grand Paris. Elle s’implanterait sur les anciens bassins de décantation de l’ex-sucrerie Beghin Say, le long du canal de l’Ourcq, près de la Marne. Le terrain, d’une surface de 60?ha, est traversé par la rocade ouest de Meaux, l’autoroute A140. LPI
Sébastien Roselé
VillenoyTerzéoDéchetsDéchargeRetraitementGravats
C’est un projet qui crée la polémique à Villenoy, aux portes de Meaux. La société Terzeo veut construire, une usine de retraitement des gravats issus des chantiers du Grand Paris. Elle s’implanterait sur les anciens bassins de décantation de l’ex-sucrerie Beghin Say, le long du canal …..
>|F. Lé.|13 novembre 2016, 17h42|0
Conseil DépartementalDéchetsECTJean Jacques Barbaux
Des socialistes qui accusent la majorité Les Républicains à l’assemblée départementale de « vendre le département » à ECT. Et même des élus du même parti que son président, Jean-Jacques Barbaux (LR), qui s’interrogent sur le retrait du recours de la Seine-et-Marne au tribunal administratif contre la demande d’ECT déposée en 2014…….
Energie | 07 novembre 2016 | Rachida Boughriet
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Le Syndicat intercommunal de traitement des ordures ménagères de la région parisienne (Syctom) et le Syndicat interdépartemental pour l'assainissement de l'agglomération parisienne (Siaap) lancent un appel d'offres pour réaliser un projet innovant de co-méthanisation. L'objectif est d'étudier les possibilités de méthaniser à grande échelle la fraction organique et fermentescible des déchets ménagers traités par le Syctom et les boues d'épuration traitées par le Siaap. "Leur mise en commun, dans un procédé adapté, permettrait de favoriser leur complémentarité, afin d'optimiser leur méthanisation et produire du biogaz", soulignent les syndicats.
Les groupements "start-up innovante et concepteur-exploitant" sont invités à répondre à cette commande publique. Plusieurs candidats seront qualifiés dans le cadre de ces partenariats d'innovation. La signature est prévue pour fin 2017. Les travaux de recherche seront menés durant le premier semestre 2018. La mise en œuvre du pilote industriel est attendue pour septembre 2018.
Le coût prévisionnel est de 90 millions d'euros en incluant l'installation définitive qui succédera au pilote industriel.
Rachida Boughriet, journaliste
Rédactrice spécialisée
http://www.actu-environnement.com/ae/news/syctom-siaap-appel-offres-projet-methanisation-27826.php4
Le village rural de
Villeneuve sous Dammartin
va accueillir
des déchets du Grand Paris et d'ailleurs
3 fois plus pollués.
Le préfet Jean-Luc Marx
vient de l’autoriser
par arrêté préfectoral du 31/10/2016.
On ne va toute de même pas envoyer les déchets pollués du Grand Paris dans les villages ruraux de l’Ouest Parisien, au bord de la forêt de Rambouillet …. !
Là-bas, au nord ouest 77, ils sont habitués à recevoir des ordures, la décharge ECT de Villeneuve sous Dammartin est l’une des plus importantes décharges ISDI de France, sinon la plus importante, et puis dans le village rural voisin de Moussy le Neuf ECT possède également une autre décharge.
A Moussy le Neuf ECT projette d’implanter une seconde décharge ISDI.
Il y a également un projet de compostage de boues de stations d’épuration et pour couronner le tout un projet d'une usine de méthanisation qui recevrait entre autre le fumier de cheval, peut-être celui de Chantilly, la cité princière qui cherche à envoyer son fumier chez les autres.
Mais ne vous plaignez pas
cela va créer
des emplois
pour vos enfants
Ils pourront trier les ordures des autres.
Site de la mairie de Vémars :
Une installation de stockage de déchets inertes (ISDI) de 33 hectares qui serait réalisée à la limite de notre commune (entre la ligne TGV, la ZAC de Chaufourcy et le nouveau lotissement des 10 Arpents) à environ 200m à l’arrière des maisons de la rue de la Pointe d’Aumont.
6 425 800 tonnes de déchets de chantier stockés pour une durée d’exploitation de 6 ans+1 an pour la remise en état du site.
Un trafic moyen journalier de 120 camions (soit 240 passages). Les nuisances liées à cette circulation seront conséquentes en termes de pollution, de poussières, de bruit.
Le conseil municipal de Vémars s’est opposé à ce projet par délibération, le 30 juin 2014, car ce projet constitue une atteinte inacceptable à notre environnement et notre cadre de vie.
L’autorisation d’une telle installation est préfectorale. Le préfet de Seine et Marne rendra son avis le 2/03/2015.
Une unité de compostage de boues de stations d’épuration et de déchets verts (à 210 m du terrain d’aéromodélisme, route de Plailly), sur 1,8 hectares.
19,5 tonnes de déchets (13,2 t/j de déchets verts et 6,3 t/j de boues de station d’épuration), dans des installations non couvertes qui finiront bien par laisser échapper des odeurs que nous respirerons inévitablement.
Le dossier de permis de construire est en cours d’instruction et devrait être validé aux alentours du mois de Mars 2015.
Une usine de méthanisation qui occupera 2 hectares sur le même terrain, avec une capacité de 50 t/j, pour méthaniser du fumier de cheval et des sous-produits de l’activité céréalière.
Là encore les dossiers sont en cours d’instruction.
http://mairiedevemars.fr/actualites-projets/lutte-contre-les-projets-de-decharge
pour aller plus loin :
Les déchets dangereux
du Grand Paris
il faut bien les mettre quelque part !
Pourquoi ne pas venir les trier et les regrouper au bord de la Forêt Régionale de Montgé en Goële où des familles avec enfants en bas âge se promènent.
On ne va toute de même pas implanter cette activité polluante dans l’Ouest Parisien, au bord de la forêt de Rambouillet !
Là-bas, au nord ouest 77, ils sont habitués à recevoir des ordures, la carrière Knauf voisine de St Soupplets remplit ses trous avec des déchets et à côté à Monthyon il y a l’incinérateur d’ordures ménagères qui « traite » les déchets d’une partie du secteur, sans oublier la décharge de déchets ultimes située sur la même commune.
Pour en revenir au projet Colas, il s’agit entre autres :
Du démantèlement des anciens wagons ferroviaires… (désamiantage, dépollution, découpe…), environ 100 unités par an.
D’une installation de tri, transit, regroupement de déchets dangereux (déchets d’amiante lié) et déchets non dangereux du BTP… environ 60 000 tonnes par an.
Et puis les déchets
ça peut rapporter gros
Marchemoret et Montgé en Goële
deux communes
financièrement aux aboies ?
Comme le dit Jean-Louis Durand, le maire de Marchemoret, président de la communauté de commune Plaines et Monts de France, cette communauté vient de perdre 95 % de ses recettes fiscales suite à une décision de l’ Etat de l’amputer des 17 communes les plus riches.
Une décision de l’Etat
peut-être bien moins anodine
qu’il n’y paraît ?
En effet mettre à genoux financièrement certaines communes rurales va les obliger à chercher des financements pour boucler leur budget.
Le choix le plus facile serait d’accepter dans leur environnement des activités très polluantes et les déchets du Grand Paris dont personne ne veut, contre par exemple une convention financière signée avec les industriels.
Parisien dans le Parisien 77 :
Sébastien Roselé|31 octobre 2016,
Dammartin-en-Goële, mardi. Jean-Louis Durand (LR), président de la communauté de communes Plaines et Monts de France, dresse un bilan de la collectivité amputée de 17 de ses membres les plus riches. LP/S.R.
En janvier, la communauté de communes Plaines et Monts de France (CCPMF) a perdu dix-sept de ses communes les plus riches, rattachées à l’agglomération du Grand Roissy (Val-d’Oise). Jean-Louis Durand (LR), le président de cette CCPMF réduite à vingt communes….
Pour aller plus loin, consultez le dossier :