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21 octobre 2013 1 21 /10 /octobre /2013 16:34

 

 

La rubrique d’Alain :

 

Claye-Souilly : Isabelle Godard, une agricultrice bio 

 

 

 

Pendant que l'on marche sur la tête dans le domaine agricole et que l'on est amené à

créer un numéro national d'appel pour la prévention des suicides, dédié

spécifiquement aux professionnels, une certaine agriculture locale, archaïque pour

certains et à la pointe de la modernité pour ceux qui la pratiquent, se bat pour exister malgré l'artificialisation des terres dans les zones péri-urbaines :


A Claye Souilly,  Isabelle Godard, en se lançant dans la reprise de terres familiales pour s'installer en production maraîchère biologique, a voulu proposer un choix qui devrait se présenter comme une évidence: se fournir et fournir localement.

Suite au départ en retraite de son père, elle a donc repris une partie de l'exploitation pour concrétiser son projet qui comporte plusieurs volets: maraîchage, élevage de volailles et également une part de grande culture.

 


L'entrée de l'exploitation côté serre

 

 I. Godard EntreeEtSerre

 

 

La ferme vise à être en relative autonomie en polyculture et élevage où les plantes nourrissent les animaux et vice versa (Autonomie vers laquelle on peut avec un trait d'humour noir penser que notre communauté la pousse quand on considère que la ferme n'est raccordée au secteur électrique que par un transformateur loué, que l'eau provient d'un puits et que la voie d'accès communale est complètement délabrée….)

L'exploitation est en bio et produit des légumes variés. Pour avoir des plantes saines, un maximum de diversité est nécessaire, d'où l'implantation d'arbres et d'une mare. Ceci est bien sûr un travail de longue haleine et il ne faudra pas moins d'une dizaine d'années pour retrouver un système écologique équilibré.

Avec ce genre d'exploitation (20 ha) on est vraiment dans le développement d'un tissu local, que cela soit la production, les consommateurs (60 familles) ou même les emplois (4 prévus à partir de la cinquième année), dans tous les domaines on est loin de la tendance de l'agro-business où on tourne à environ 1 emploi pour 120 ha en exploitation céréalière.

 

 

Ramassage des patates


I.Godard RamassageDesPatates

 

 

 

Il faut beaucoup de courage et de persévérance aux paysans qui s'embarquent dans de telles aventures car on ne peut pas dire que l'organisation actuelle de notre société leur facilite la tâche avec toutes les vagues de standardisation, la suppression des petites structures (par ex les abattoirs, les laiteries…) et le lobbying forcené des géants de l'agroalimentaire et de la chimie. Cette agriculture paysanne a pour ambition de redonner aux agriculteurs leur rôle social, écologique et économique.

Le soutien des AMAP est pour Isabelle d'une grande importance  et à ce sujet on se doit de constater que contrairement à une idée très répandue les amapiens sont loin d'être des "bobos" et qu'ils sont plutôt des gens curieux et des citoyens actifs (comme une enquête de l'Ademe a pu le montrer  http://ademe.typepad.fr/presse/2013/04/une-enquete-inedite-sur-la-consommation-collaborative-.html ) .

On peut penser que l'avenir de notre agriculture et à terme de notre santé est entre nos mains (j'aimerais pouvoir penser que nos collectivités territoriales nous y aideront..). Le consommateur peut décider de sa façon de s'alimenter et du respect de l'environnement par ceux qui prétendent nous nourrir ….

 


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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 12:36

 

 

Paru sur le site Terre de liens :

 

 

La Foncière Terre de liens est un outil d’investissement solidaire destiné à collecter de l’épargne citoyenne et à acquérir des terres pour installer ou maintenir des porteurs de projets agri-ruraux respectant la charte de Terre de liens. L’accès au foncier est devenu un frein au maintien et à l’installation d’activités agricoles et rurales respectueuses de l’environnement :

- 66 000 ha de terre sont artificialisés chaque année en France (l’équivalent d’un département de taille moyenne tous les 10 ans !).
- La spéculation croissante qui pèse sur ce secteur et la concurrence effrénée que se livrent les agriculteurs pour s’agrandir font disparaître 200 fermes chaque semaine.

La Foncière Terre de liens apporte une solution collective efficace pour répondre à ces enjeux. Elle acquiert du foncier qu’elle loue à des agriculteurs ou des porteurs de projets solidaires respectueux de l’environnement, via un bail rural environnemental.

Vous pouvez devenir actionnaire solidaire de la Foncière en remplissant le bulletin de souscription.

Actualités de la Foncière

Souscription au capital de la Foncière

La Foncière a obtenu le 27 décembre 2011 un nouveau visa de l’Autorité des Marchés Financiers (n°11 - 593) lui permettant de poursuivre la collecte d’épargne solidaire sur la période du 27/12/2011 au 26/12/2012.

Le prospectus complet de l’AMF est consultable ici. Le bulletin de souscription 2012 est téléchargeable ici

Terre de Liens remporte le Grand Prix Le Monde - Finansol

Jeudi 3 novembre, auditorium du journal Le Monde : Finansol et Le Monde décernent un grand prix à la Foncière Terre de Liens en tant qu’acteur remarqué pour son action et son efficacité au sein de la finance solidaire. Cette reconnaissance constitue un gage de crédibilité et confirme la pertinence de projets où finance et agriculture responsable font bon ménage.

Pour en savoir plus, cliquez ici

 

http://www.terredeliens.org/spip.php?rubrique108

 

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25 août 2012 6 25 /08 /août /2012 11:27
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13 avril 2012 5 13 /04 /avril /2012 21:20

 

Ile de France : désert agricole ?

Seine et Marne :

Les décharges remplacent les terres agricoles 

 

 

 

 

 

Paru sur le site « Les eaux glacées du calcul égoïste » :

Agriculture : l’aide au bio, la luzerne, et le désert agricole de l’IDF…

par Marc Laimé, 2 avril 2012

Eclairages saisissants.

Les aides à l’agriculture bio sont versées avec un retard scandaleux à leurs bénéficiaires par le ministère de l’Agriculture, qui s’empresse, à contrario, de verser les aides de la PAC aux agriculteurs conventionnels… à l’avance, comme le dénonçait Le Canard Enchaîné le 13 mars dernier.

 

"Pas d’oseille pour le bio"

Plaidoyer pour la luzerne

Dans la détérioration permanente de la qualité des masses d’eau en France, mais aussi en Europe, l’utilisation d’engrais azotés et de pesticides pour l’agriculture demeure une question majeure.

Or de nombreux travaux, menés notamment par l’INRA montrent que la culture de la luzerne produit un effet positif sur la qualité de l’eau.

La luzerne est une plante pérenne et une légumineuse, c’est-à-dire une plante qui a la particularité de capter l’azote de l’air, bien qu’elle absorbe prioritairement l’azote disponible dans le sol ; ainsi lorsqu’elle est introduite dans les successions culturales, la luzerne réduit la concentration en nitrates des eaux de drainage à l’échelle de la rotation culturale.

Le retournement des luzernes n’entraîne pas de libération intempestive d’azote. En effet, un article de Perspectives Agricoles (n° 264, Janvier 2001, Justes et al.) montre que l’incorporation de l’azote présent dans les racines et les collets (parties aériennes non récoltées) provoque d’abord une organisation de l’azote minéral du sol par les micro-organismes avant d’être progressivement reminéralisé, notamment au printemps suivant.

Enfin, la luzerne est une plante rustique qui ne nécessite pratiquement aucun traitement phytosanitaire : une enquête de la Chambre d’Agriculture de la Marne démontre ainsi que la Luzerne n’a quasiment pas besoin d’insecticides : 94% des parcelles de 1ère année et 97% des parcelles de 2ème année ne reçoivent aucun insecticide.

De plus, la luzerne ne nécessite que peu de traitement herbicides : 72% des parcelles de 1ère année et 68% des parcelles de 2ème n’ont reçu aucun traitement anti dicotylédones durant l’hiver.

Enfin, la luzerne ne reçoit aucun traitement fongicide, la recherche variétale ayant fait progresser efficacement la tolérance naturelle aux maladies telles que verticilliose, sclérotiniose ou anthracnose.

C’est pour ces raisons que la luzerne a été choisie sur les recommandations de l’INRA pour protéger le périmètre de captage des eaux de Vittel, elle fait ainsi partie des seules cultures autorisées dans les 500 zones de captages prioritaires d’eau potable.

Voir le site qualité de l’eau-luzerne

L’Ile-de-France, désert agricole…

Dans un article rendant compte d’un Rapport publié par le Ceser le 13 mars dernier, dédié aux enjeux de l’approvisionnement alimentaire en Ile-de-France, le Journal de l’environnement dresse un tableau impressionnant d’une déprise qui ne cesse de s’accentuer, avec des impacts importants sur l’emploi, et même l’avenir de Rungis… On y mesure l’ampleur des efforts qui devraient être déployés avant que la région capitale ne recouvre ne serait-ce qu’une part d’une autosuffisance depuis longtemps disparue…

 

http://www.eauxglacees.com/Agriculture-l-aide-au-bio-la

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21 mars 2012 3 21 /03 /mars /2012 12:12

GRAND ROISSY

Encore plus de nuisances pour

Le Nord-Ouest Seine et Marne

 

 Qui pense à ces minorités invisibles que sont les riverains de cet aéroport ?

Ceux-là même qui subissent les nuisances des décharges et installations polluantes ?

 

A-t-on choisi délibérément d’accumuler tous les points noirs au même endroit et en quelque sorte de sacrifier cette population ?

 

 

 

 

Paru sur le site Nord Nature Environnement :

16/03/2012 : communiqué de France Nature Environnement

Lutte contre les nuisances sonores nocturnes : réveillons-nous !


Une journée par an pour célébrer un exploit partagé par tous : à 75 ans, nous aurons dormi 25 ans ! Mais dans quelles conditions et à quel prix ? FNE se mobilise en cette journée du 16 mars, journée nationale du sommeil, pour lutter contre les nuisances sonores et soutenir ceux qui en sont victimes, particulièrement les riverains des grands aéroports français.

Les effets silencieux du bruit sur notre santé

Les conséquences des nuisances sonores nocturnes sur la santé ne doivent plus être ignorées. Cessons de nier l’évidence en parlant de simple gêne ou trouble du sommeil : la fatigue, le stress, les troubles psychiques ou encore les maladies cardio-vasculaires sont des effets aujourd’hui avérés d’une exposition prolongée aux bruits nocturnes (trafic, bruits aériens, voisinage…). Par ailleurs, lorsqu’ils affectent, par exemple, des conducteurs routiers, des cheminots, des policiers… les troubles du sommeil peuvent avoir des conséquences désastreuses liées aux micro-endormissements. Le niveau de preuve est suffisant pour l'OMS : le droit au sommeil est un droit fondamental qui doit s’appliquer durant 8h consécutives, sans discrimination.

Les aéroports peuvent absorber la croissance du trafic…pas les riverains

En 2010, en moyenne 160 avions ont survolé chaque nuit Roissy et ses environs, soit plus de 60 000 vols par an. 350 000 riverains sont ainsi directement impactés par les nuisances sonores nocturnes autour des grands aéroports français.
Face aux difficultés de maitrise de l’urbanisation, au retard des travaux d’insonorisation des habitations (à Toulouse il faudra encore 25 ans au rythme de progression actuel pour insonoriser l’ensemble des logements concernés ), aux limites de la généralisation des performances acoustiques des avions (délai minimum de 15 ans ), le nombre de vols de nuit suivra comme ces 10 dernières années la croissance du trafic aérien global. Roissy, Toulouse, Beauvais…se préparent à l’absorption de cette croissance. Comment les riverains peuvent-ils accepter cette perspective ? Quelles trajectoires seront privilégiées ?

Pour José Cambou : « Si l’absorption de la croissance du trafic peut être aujourd’hui envisagée par les aéroports, pourquoi le report des vols de nuit en journée ne peut-il être envisagé ? »

Les associations pour une réduction du nombre de vols de nuit

Depuis longtemps, des représentants de France Nature Environnement siègent dans les commissions environnementales locales des aéroports. En septembre 2011, FNE a accepté de rejoindre le groupe « Vols de Nuit » piloté par l'Autorité de Contrôle des Nuisances Aéroportuaires (ACNUSA). Cette dernière invite associatifs, élus et professionnels à dialoguer pour trouver des solutions pour les populations.

Pour Bruno Genty, président de FNE : « les pouvoirs publics ne jouent pas leur rôle d’arbitre entre le développement économique du transport aérien et la légitime protection de la santé des populations survolées.»

Aux côtés d’autres associations, France Nature Environnement demande une réduction effective et planifiée du nombre de vols entre 22h et 6h du matin dans le ciel des aéroports proches des zones urbanisées de France. C’est une nécessité sanitaire, sociale et environnementale

http://www.nord-nature.org/info_veille/20120316.htm

 

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2 janvier 2011 7 02 /01 /janvier /2011 19:07

 

 

Précy- sur Marne (77)

Maire Yves Duteil, chanteur

 

Pourquoi le moulin bio se délocalise-t-il en Côte d’Or ?

 

 

La Brie autrefois  « Grenier à blé de l’Ile de France »

laisse partir vers la Côte d’Or

 l’un des fleurons de son savoir-faire :

le Moulin Bio Decollogne-Lecocq  de Précy sur-Marne

                                                 http://www.decollogne.fr/pdf/actu02.pdf

 

 

Après les paysans,

 les exploitants de décharges  

sont-ils devenus les nouveaux seigneurs de la Brie ?

 

 

 Paru sur le site Jurandoubs :

 

Des céréales bio pour protéger les captages

L’Agence de l’eau va participer aux coûts de la reconversion de 100 exploitations de l’ouest franc-comtois. Objectif revendiqué : diminuer les pesticides dans l’eau du robinet.

 

L’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse va subventionner la conversion à l’agriculture biologique de 7.000 hectares exploités par cent céréaliers de Franche-Comté d’ici trois ans.

C’est ce que prévoit une convention signée lundi avec l’association Interbio et la coopérative Interval. Les grandes cultures bio représentent 3.500 hectares sur 185.000 en Franche-Comté, dont la moitié en Haute-Saône, 30 % dans le Jura, moins de 10 % dans le Doubs. Ils se répartissent en 148.740 ha de céréales, 34.890 ha d’oléagineux et 465 ha de protéagineux.

Interbio recevra 250.000 euros de l’Agence de l’eau, qui avait lancé un appel à projet pour protéger les captages d’eau potable de la pollution aux nitrates et surtout aux pesticides. L’Agence a constaté que 82 % des sites d’eaux souterraines et 94 % des cours d’eau suivis sont « contaminés par les pesticides » sur le bassin-versant du Rhône.

Vingt-sept captages « dégradés »

En Franche-Comté, elle a recensé 27 captages « dégradés par les pesticides », la plupart dans les 104.000 hectares de grandes cultures des zones ciblées par la convention : Graylois, basses vallées de l’Ognon, de la Loue et du Doubs. Ces 27 captages ont des « dépassements fréquents des normes, ou des analyses en hausse constante », précise Philippe Clapé, le directeur de l’agence à Besançon.

La subvention a permis l’embauche par Interbio d’une technicienne basée dans le Graylois, Alice Dousse, pour « réaliser une sensibilisation active » au projet et accompagner les agriculteurs décidés à passer au bio. La subvention servira surtout aux documents et journées techniques de formation. Le coût de la reconversion (5 à 8 millions) viendra en sus, l’Agence de l’eau se substituant à l’aide de l’Etat, qui participe à parité avec l’Europe.

Passer au bio n’est plus considéré comme farfelu par les dirigeants professionnels agricoles. Ils ont constaté la demande : le chiffre d’affaire des produits bio est passé en France de 850 millions d’euros en 1999 à plus de trois milliards aujourd’hui. Le pire, c’est que cette croissance a surtout profité aux agricultures d’autres pays de l’Union européenne.

Moulin à blé bio

L’heure est venue de la reconquête, mais passer au bio nécessite un débouché pour les paysans. Or, une opportunité se fait jour dans la région. Le démantèlement de l’Organisation commune de marché du sucre par l’Europe, à la suite d’une décision de l’Organisation mondiale du commerce, a conduit à la reconversion, subventionnée, de la raffinerie d’Aiserey en Côte d’Or (ER du 7 décembre 2009), en moulin à blé biologique.

C’est là qu’interviennent la coopérative Interval et ses 4.650 adhérents. Elle est actionnaire du moulin bio Decollogne de Précy-sur-Marne (77), dont la production doit être transférée à l’été 2011 à Aiserey dont la capacité sera doublée, à 20.000 tonnes par an, un record en bio. Déjà engagée dans la luzerne bio, Interval veut élargir sa palette. Elle assure être « consciente de la nécessité de changer les pratiques culturales » et annonce « souhaiter accompagner ses adhérents qui veulent s’engager en agriculture biologique ».

Le signal est fort, mais hélas, sans obligation de résultat...

Daniel BORDUR / L’Est Républicain - 19.05.2010

 Lien vers l'article : http://www.jurandoubs.com/journaliste/l-agriculture/article/des-cereales-bio-pour-proteger-les

 

pour aller plus loin :

http://www.decollogne.fr/pdf/actu01.pdf

http://www.agraalimentation.fr/decollogne-mise-sur-le-bio-art275254-15.html

 

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26 octobre 2010 2 26 /10 /octobre /2010 11:18

l’AMAP de Mitry-Villeparisis

va bientôt fêter son premier anniversaire

 

Dénomination : AMAP "De Part et d'Autre du Canal"

Le siège social de l’association est situé à Mitry-Mory

http://amap.mitry.villeparisis.over-blog.com/article-bienvenue-sur-le-blog-de-l-amap-de-part-et-d-autre-du-canal--44250995.html

 

L'agriculteur est à Boutigny. 

 

La mairie de Villeparisis prête chaque mardi  une salle municipale pour permettre la distribution des légumes.

 

Cette association regroupe des adhérents de Villeparisis, Mitry-Mory mais aussi Claye-Souilly, Fresnes sur Marne……

 

Si vous désirez adhérer à cette AMAP vous pouvez vous inscrire sur la liste

d’attente pour l’année 2011  amap.mitry.villeparisis@gmail.com

 

 

 

Mais qu’est-ce qu’une AMAP ?

 

 

La charte des AMAP

……

 

Une AMAP est une Association pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne ayant pour objectif de préserver l'existence et la continuité des fermes de proximité dans une logique d’agriculture durable, c'est-à-dire une agriculture paysanne, socialement équitable et écologiquement saine, de permettre à des consommateurs d’acheter à un prix juste des produits d’alimentation de qualité de leur choix, en étant informés de leur origine et de la façon dont ils ont été produits, et de participer activement à la sauvegarde et au développement de l’activité agricole locale dans le respect d’un développement durable.

 

Elle réunit un groupe de consommateurs et un agriculteur de proximité autour d’un contrat dans lequel chaque consommateur achète en début de saison une part de la production qui lui est livrée périodiquement à un coût constant. Le producteur s’engage à fournir des produits de qualité dans le respect de la charte des AMAP.

 

 

 

 

Paru sur le site du réseau des AMAP Ile de France http://www.amap-idf.org/

Lien vers l’article complet :

http://www.amap-idf.org/index.php?option=com_content&task=view&id=20&Itemid=255

 

 

 Quelques AMAP Nord 77 :

Carnetin : http://lacledusol.asso.fr/amap

Dammartin en Göele : http://lepanierdedamgoele.over-blog.com/

Lagny : http://lacledusol.asso.fr/amap

Pomponne : http://lacledusol.asso.fr/amap

Rentilly : http://lacledusol.asso.fr/amap

 

 mais aussi  Chelles, Meaux, Mouroux…

 

 

 

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26 juin 2009 5 26 /06 /juin /2009 18:03

Nos belles terres de Brie à Claye-Souilly et ses alentours

continueront-elles a être utilisées pour y stocker des déchets

ou pour y recevoir de l’agriculture biologique ?

Posons la question à nos élus.

***

Article paru sur le blog de Nature Environnement 77 de ce jour

une bonne nouvelle qui nous réjouit !

SOURCE: PRÉFECTURE DE LA RÉGION D'ILE-DE-FRANCE

L’ETAT S’ENGAGE POUR UN PLAN DE DÉVELOPPEMENT 2009-2013
DE L’AGRICULTURE BIOLOGIQUE EN ILE-DE-France

http://www.idf.pref.gouv.fr/actu/communique/2009/idf-heure-du-Bio.html

  N'hésitez pas à questionner vos élus pour connaitre concrêtement

ce qui se fait près de chez vous.

.. et tenez nous au courant !

 

Pour plus amples informations consultez le blog :

http://nature.environnement.77.over-blog.com/article-33133771.html

 

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