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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 11:15
La loi Alur  présentée par Cécile Duflot (EELV) a été adoptée
le 20 février dernier par le parlement et devrait permettre de créer plus de logements en favorisant notamment la reconversion des friches polluées pour semble-t-il éviter la consommation de terres agricoles ?
Comment seront dépollués ces sites
là est la question ?

 

Une législation cousue mains

pour les promoteurs immobiliers  ?

A vous de juger


Mais quand est-il
de la destruction d’espaces agricoles
 par les carriers et les exploitants de décharges ? 
Circulez y’a rien à voir  

 

Extrait du projet de loi Alur:

Le code de l’environnement est ainsi modifié :

1° L’article L. 125-6 est ainsi rédigé :

« Art. L. 125-6. – I. – L’État élabore, au regard des informations dont il dispose, des secteurs d’information sur les sols qui comprennent les terrains où la connaissance de la pollution des sols justifie, notamment en cas de changement d’usage, la réalisation d’études de sols et de mesures de gestion de la pollution pour préserver la sécurité, la santé ou la salubrité publiques et l’environnement.

« II. – Le représentant de l’État dans le département recueille l’avis des maires des communes sur le territoire desquelles sont situés les projets de secteur d’information sur les sols et, le cas échéant, celui des présidents des établissements publics de coopération intercommunale compétents en matière d’urbanisme. Il informe les propriétaires des terrains concernés.

« Les secteurs d’information sur les sols sont arrêtés par le représentant de l’État dans le département.

« III. – Les secteurs d’information sur les sols sont indiqués sur un ou plusieurs documents graphiques et annexés au plan local d’urbanisme ou au document d’urbanisme en tenant lieu, ou à la carte communale

....

 

 

4° Le dernier alinéa de l’article L. 514-20 est ainsi rédigé : 

« À défaut, et si une pollution constatée rend le terrain impropre à la destination précisée dans le contrat, dans un délai de deux ans à compter de la découverte de la pollution, l’acheteur a le choix de demander la résolution de la vente ou de se faire restituer une partie du prix ; il peut aussi demander la réhabilitation du site aux frais du vendeur, lorsque le coût de cette réhabilitation ne paraît pas disproportionné par rapport au prix de vente. »

 

http://www.senat.fr/petite-loi-ameli/2013-2014/356.html

 

pour aller plus loin : http://www.territoires.gouv.fr/spip.php?page=accueil-sous-site&site=432

 

 

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