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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 20:28

 

 

 

ADENCA

 

n’assistera pas à la manifestation organisée

par le Conseil Général de Seine et Marne

le samedi 2/3/2013 à Annet sur Marne

 

 

La position du CG 77  semble ambigüe dans le dossier de l'extension de la décharge ECT d'Annet sur Marne et oblige Adenca à se mettre en retrait de cette manifestation.

 

 

Sa lettre d'avis du 13/12/2012 à la DDT qui ne semble pas défavorable à cette décharge

 

Nous rappelons

- que ce remblai "qui suit le cours d'eau" fait déjà plus de 20m de haut (soit la hauteur d'un immeuble de plus de 6 étages qui a déjà occulté une grande partie de la vallée de la Beuvronne)

- que c'est 7 hectares seulement sur 98  qui devraient être rendus à l'agriculture.

- que nous souhaitons que nos enfants se promènent ailleurs que sur une décharge et à proximité des lignes à hautes tension.



CG77

 

 

CG 77 2

 

 

Son communiqué du 26/2/2013 semble défavorable à la décharge

 

Paru sur le site du CG 77 : 

Gestion des déchets

  • Retour
  • 26-02-2013
  • Environnement

Nouvelle extension de décharge en Seine-et-Marne : la majorité départementale dit stop !

Les élus de la majorité du Conseil général de Seine-et-Marne dénoncent le manque de solidarité régionale en matière de gestion des déchets, et demandent, au nom du rééquilibrage territorial, à ce que les nouvelles autorisations de stockage accordées en Seine-et-Marne soient limitées aux besoins du département.


 

 

Le Conseil général dénonce l’autorisation donnée le 29 janvier 2013 à la société ECT d’étendre sur plus de 100 hectares son activité de gestion et de stockage de déchets à Annet-sur-Marne.

 


Le département accueille déjà la majorité des déchets franciliens. On dénombre 19 installations de stockage de déchets inertes (ISDI) issus des activités du secteur des Bâtiments et Travaux Publics (BTP), qui reçoivent plus de 5 millions de tonnes annuelles, soit plus de 65% des capacités régionales, auxquelles il faut ajouter 2 millions de tonnes contribuant au remblaiement des carrières.

Les dommages sanitaires et environnementaux subis par le Seine-et-Marne sont irrémédiables : diminution des surfaces agricoles, dégradation du paysage et du cadre de vie, destruction de milieux naturels, impacts sur la qualité et le régime des eaux, pollution par les transports… et risque de pollution par les déchets déposés, dont la nature n’est absolument pas contrôlée.
Cette situation suscite de vives inquiétudes de la part des populations riveraines et des associations locales, qui sont plus que jamais mobilisées.

Cela ne peut plus durer. Il est urgent que toute la région Île-de-France se coordonne d'avantage au niveau pour supporter collectivement ces coûts : c’est une question d’équité territoriale !
D’autant plus que les travaux du Grand Paris Express pourraient engendrer plus de 20 millions de mètres cubes de déblai supplémentaires à gérer dans la région.

L’élaboration du PREDEC (plan régional d’élimination des déchets de chantiers) qui est en cours doit être l’occasion de résorber ce déséquilibre, notamment en incitant les exploitants à prospecter sur les territoires présentant des déficits de capacité de stockage de déchets.
La mise en oeuvre du principe de « solidarité régionale » ne peut plus être repoussée.

Sans plus attendre, les élus de la majorité du Conseil général de Seine-et-Marne demandent au Préfet de Région d’organiser une table-ronde sur cette question.

 

 

 

   http://www.seine-et-marne.fr/actualites-environnement/gestion-des-dechets

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