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4 mai 2017 4 04 /05 /mai /2017 15:51
Le Pin : comment le conseil départemental 77 peut-il laisser s’étendre depuis des années une décharge illégale sur un terrain lui appartenant ?

 

 

Le Conseil Général ne penserait-il au nord-ouest 77 que lorsqu’il s’agit d’encaisser 1 million d’euros de l’exploitant de décharge  ECT en compensation du retrait des recours contre l’implantation de décharges ISDI à Annet sur Marne et Villeneuve sous Dammartin ?

 

C’est la question que l’on se pose lorsque l’on voit que depuis des années Jean-Jacques Barbaux laisse une décharge illégale s’étendre dans le village rural de le Pin sur un terrain appartenant à sa collectivité.

 

Avec le million d’euros perçu de l’exploitant de décharge ECT, Jean-Jacques Barbaux avait les moyens financiers de faire évacuer les déchets et de mettre en sécurité le site, en le clôturant.

 

Jean-Jacques Barbaux veut-il ruiner les villages ruraux du nord-ouest 77 en laissant vivre leurs habitants au milieu des ordures des autres ?

 

 

Leurs jolies maisons
les habitants de
Le Pin,  Villevaudé et Courtry
devront-ils les solder ?

 

 

En effet
qui voudra les acheter
et venir vivre
près
de toutes ces décharges
et carrières/décharges?
Paru dans le Parisien 77 :
Déchets : le département veut transformer
une nuisance en atout

>Île-de-France & Oise>Seine-et-Marne>Melun|F.L.|01 septembre 2016, 16h20|

Face aux montagnes de déchets des chantiers de la région, le conseil départemental a décidé de changer de stratégie. Et a choisi le pragmatisme.

Le plan de prévention et de gestion des déchets de chantier (Prédec) adopté l’an dernier à l’unanimité par le conseil régional permettait à la Seine-et-Marne de bénéficier d’un moratoire de trois ans dans le département interdisant la création et l’extension de sites de stockage et fixant le plafond de la capacité d’accueil à 4 millions de tonnes.

Jusqu’à ce qu’en mars le préfet de région demande au tribunal administratif d’annuler le plan. « La Société du Grand Paris estime ne pas avoir d’autre solution pour les 40 millions de tonnes de déchets que vont produire les travaux du Grand Paris Express », regrettait Jean-Jacques Barbaux, le président (LR) de l’assemblée départementale. Or, avec treize installations de stockage de déchets inertes et une multitude de carrières de remblayage, la Seine-et-Marne a reçu entre 2009 et 2013 26,7 millions de tonnes de déchets, soit 80 % des déchets inertes stockés en Ile-de-France.

« L’Etat estime que la Seine-et-Marne est la réceptacle des déchets de chantier. Nous allons le concevoir, mais nous exigeons des contreparties », avance le cabinet de Jean-Jacques Barbaux. Or, pour le moment, il n’y en a pas. Pas question de subir ». Le département souhaiterait des financements pour aménager des routes et la mise en grand gabarit de la Seine entre Nogent-sur-Seine et Bray-sur-Seine.

Estimant qu’il y a « une véritable économie du déchet de chantier », le département voudrait créer une filière permettant de les recycler, transformer la nuisance en atout. « Il faudra assurer la traçabilité, poursuit le cabinet. Mais il faut d’abord que l’Etat, les entreprises et les collectivités locales s’assoient autour de la table ».

leparisien.fr

http://www.leparisien.fr/melun-77000/dechets-le-departement-veut-transformer-une-nuisance-en-atout-01-09-2016-6086341.php

 

 

 

 

 

 

 

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