Trois villages ruraux de l’agglomération de Meaux risquent d’être durement impactés par le projet d’implantation d’une décharge de déchets dangereux de 7 hectares.
Une paille cette décharge, la surface d’environ 9 terrains de foot et le trou (alvéole) d’une profondeur d’un immeuble d’environ 3 étages.
Et puis le terrain est déjà pollué à l’arsenic, alors si on en rajoutait une couche, mais pas une petite couche, le projet prévoit d’y enterrer 1 030 800 tonnes de déchets dangereux. (environ 41 000 camions de 25 tonnes).
Les déchets ça peut rapporter gros !
Pour faire accepter son projet aux élus, l’industriel va-t-il signer un partenariat financier avec les communes de Villenoy, d’Isles les Villenoy, de Mareuil les Meaux, la communauté d’agglo de Meaux et le conseil départemental de Seine et Marne.
Nous n’en savons rien.
Ce que nous savons c’est que cette décharge se situera à moins de 500 m des habitations de Mareuil les Meaux.
Leurs jolies maisons, les habitants de
Villenoy, Isles les Villenoy et de Mareuil les Meaux
devront-ils les solder ?
En effet, qui voudra les acheter
et venir vivre
près d'une montagne de déchets dangereux ?
Pour aller plus loin :
A lire dans le journal le Parisien :
Sébastien Roselé|15 novembre 2016, 19h46
Villenoy. La société Terzeo veut construire, une usine de retraitement des gravats issus des chantiers du Grand Paris. Elle s’implanterait sur les anciens bassins de décantation de l’ex-sucrerie Beghin Say, le long du canal de l’Ourcq, près de la Marne. Le terrain, d’une surface de 60?ha, est traversé par la rocade ouest de Meaux, l’autoroute A140. LPI
Sébastien Roselé
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C’est un projet qui crée la polémique à Villenoy, aux portes de Meaux. La société Terzeo veut construire, une usine de retraitement des gravats issus des chantiers du Grand Paris. Elle s’implanterait sur les anciens bassins de décantation de l’ex-sucrerie Beghin Say, le long du canal …..